Oh tiens, une nouvelle valse des ex ! XD
Chapitre 388 : Right this second
"Trunks. C'est mou tout ça. Mets-y un peu plus de cœur, tu veux ?" lui rendant une droite qui encastre le guerrier dans un mur porteur, faisant ébouler tout l'immeuble.
Fort heureusement, le résistant est de la trempe des Super Saiyens et son corps est résistant ! S'il eut s'agit d'un humain, son corps entier aurait éclaté contre le béton brut sous la violence du choc !
Les vêtements résistent du fait que nous développons un champ de protection autour de nous lors de nos chutes.
Aussitôt ses esprits repris, Trunks s'élance à nouveau, opiniâtre.
17 passe entre ses jambes et lui offre un coup de pied dans le dos qui le fait lourdement chanceler, tombant sur un genou.
Il attrape la nuque du Saiyen et le fait ployer vers le sol. "J'hésite mais tu pourras sans doute m'aiguiller... ton niveau faiblit ou bien c'est moi qui fais des progrès, dis-moi ?..." toujours dans la provoc'
"Ngh !..." de rage, colère sourde circulant dans ses veines.
"Tu digères toujours pas, hein, Trunks, qu'elle soit de notre côté à présent ?" sur un petit sourire. "T'as jamais capté le matricule tatoué sous sa clavicule, crétin ?"
"J'ignorai... que vous en aviez tous un..."
"C'est comme un numéro de série, tu piges ? Gero y tenait." exerçant une pression plus forte sur la nuque pour lui faire mordre la poussière.
17 se relève, croisant les bras.
"Il a ruiné nos vies."
"Nous... n'y sommes... pour rien."
"Aucun de vous n'a su l'en empêcher. J'ai dû m'en occuper moi-même. Justiciers ?... Laissez-moi rire !..."
Je pose la ceinture garnie du holster et de la pochette à chargeurs sur le lit, m'attaquant à la seconde ceinture tandis qu'il passe son bandeau noué autour du cou - façon bandit du Far West - par-dessus la tête, allant attraper mon haut pour le faire passer au-dessus. Nos bouches reviennent se saluer pour mieux se dévorer.
"T'es sûr... qu'on sera pas dérangés ici ?..." commençant à ouvrir son jeans.
"J'ai checké le secteur, ça devrait être bon." passant les mains autour de mon visage pour m'embrasser, posant un genou sur le lit.
"Ce que je pouvais te regarder lorsque tu es arrivé au labo..." caressant son visage à mon tour. "Même désactivé, tu étais beau à regarder, tu me plaisais, 17... mmm..." alors qu'il abreuve mon cou de baisers ardents et pleins, remontant jusqu'à ma bouche, me pressant contre son corps éveillé.
"Gero s'est jamais douté de rien ?..."
"Il m'a... surprise plusieurs fois autour de ta capsule... il s'est alors montré... plus pressant..."
"Le chien." piégé entre son envie de moi et celle de lui refaire la peau.
"Il pensait vraiment qu'une fois cybernétisé, je le trouverai à mon goût. Mais je... n'en voyais qu'un... et ce n'était... pas lui..."
"15." fondant sur ma bouche avec dévotion, invitant ma langue à des délices sucrés.
Il me fait pivoter, m'attrapant par l'arrière des cuisses pour me faire grimper sur ses hanches et nous installer sur le lit, lui assis, mes bras refermés autour de sa nuque.
Petite pause. Je le regarde comme je le regardais jadis, via le petit hublot de la capsule blindée.
Mes revers passent sur ses joues. "Comme ça..."
"Dommage que j'étais endormi."
Nous ne nous sommes jamais croisés ni parlé durant cette période au labo car je me suis rapidement enfuie.
Je glisse les mains dans ses manches, lui faisant quitter ce qu'il porte.
Le torse est agréable, bien fait, imberbe.
"Je rêvais de te toucher..."
"Fais-le maintenant." faisant naviguer mes paumes sur son torse dont la peau granule au passage, les libérant pour les placer derrière moi, bras tendus, s'offrant à mes attentions.
Je remonte sur les épaules, lui souriant. "Meilleur que ce que je m'étais imaginée au labo..."
Petit rire, montant la main jusqu'à ma nuque, m'invitant au baiser avant de se laisser basculer en arrière tandis que j'ouvre le jeans pour l'en extirper, le fixant dans la prunelle pendant que je le caresse d'une main, l'autre en appui à côté de son flanc.
Le sexe est beau, réactif.
J'observe sa pupille dévier sous l'afflux de plaisir, sa bouche s'entrouvrir sur des geignements qui s'alourdissent à mesure, son torse se soulever et redescendre de façon toujours plus vive.
Je me relève et nous quittons rapidement ce que nous portons pour nous rejoindre, nus sur le lit, jambes entremêlées se caressant, son sexe entre nous.
Ses bras me pressent fermement contre lui, me relâchant au moment où je l'insère en moi et qu'il progresse en plein bonheur. Allongés sur le côté, face à face, il donne des hanches pour le faire coulisser en moi, accompagnant chaque allée par un geignement expressif.
Si Gero l'a taillé pour le combat et la destruction, moi je l'ai dessiné pour l'amour.
Nous sommes tant à point que quelques mouvements suffisent à nous propulser jusqu'à l'orgasme brûlant.
18 sait parfaitement de quoi il en retourne en nous voyant disparaître durant plusieurs heures mais elle a le bon goût de n'émettre aucune remarque à ce propos.
Voir son frère me tenir la main l'émeut toujours jusqu'au sourire.
"CRÈVE, CHAROGNE !" balançant une grenade que nous regardons rouler jusqu'à nos pieds, petits sourires se dessinant sur nos lèvres.
Elle saute. Sans nous causer aucun dommage puisque nos boucliers énergétiques n'ont que faire d'une si faible charge.
Le résistant tombe en arrière.
17 se déplace rapidement derrière lui, l'abattant face à terre, d'un pied dans le dos.
"Suicidaire, uh ?" appuyant sur la colonne dont plusieurs vertèbres cèdent.
"ARGHHHH ! ENFOIRÉ ! T'AS ABATTU MON FILS PAS PLUS TARD QU'HIER !"
"Oh ? Tu veux parler de ce groupe qui m'attendait dans ce commerce ? Comment pouviez-vous croire qu'un tel guet-apens fonctionnerait ? Les humains sont vraiment pathétiques." lui destinant une salve létale.
"18, ça va ?... Tu ne te sens pas trop seule lorsque... nous prenons du temps pour nous, ton frère et moi ?..."
"Bah, je ne cracherai pas sur un peu de compagnie. Mais faites ce que vous avez à faire." sur un petit sourire. "Ça fait plaisir de le voir comme ça." avisant la silhouette de 17 plus loin.
"Oui, c'est... c'est fou la complicité que nous avons. Je dois dire que je n'étais pas si proche de Trunks à l'époque."
"Nous avons bien plus qu'un créateur maudit en commun, 15."
Retour dans le présent, dans un parc avec Lune et Mia, devant de délicieux bento.
Je consulte machinalement mes SMS lorsque je note qu'un certain numéro vient de se réactiver, alors qu'il était demeuré en silence depuis plusieurs mois, en m'envoyant un MMS qui fait s'entrouvrir ma bouche, incapable de proférer le moindre son.
"Wow, dis donc, il te fait de l'effet, ton 17 !" se marre Lune.
"Gaffe, hein, le filet de bave n'est pas loin !..." se moque Mia.
"Ce n'est pas... 17." incapable de fixer autre chose que l'écran.
"Oh hoooh !..."
"On veut bien baver nous aussi !..." s'exclame Lune.
Je leur présente l'écran.
"AH OUAIS ! PUNAISE, BG !..."
"Hahaha ! Lui alors, il n'abandonne pas !..."
"Tu t'éclates, Gojô ?" par SMS le soir même.
"Assez : p j'ai hésité à l'accompagner d'un texte, figure-toi. Finalement ça a été suffisamment parlant."
"Tu es infernal, Satoru."
"Plains-toi ! T'es pas allée jeter un œil à mon compte Insta ? #LuckyBastard_fullofhimself ?"
Il finit par appeler. "Bon alors, c'est quand que tu viens me faire ma fête ?..." de ce ton dont on ignore toujours s'il plaisante ou demeure sérieux.
"Garde la pose, j'arrive..." sur le même degré.
"Grouille. Ça se bouscule vachement sur les rangs depuis la publication."
Je me présente devant la porte de son appartement.
"Entre. C'est ouvert." percevant mon énergie.
Je pousse la porte, me déchaussant dans l'entrée avant d'enfiler les patins et le trouver dans la cuisine en pleine vaisselle.
"Dis donc, Gojô, t'étais pas censé conserver la pose jusqu'à mon arrivée ?"
"J'avais une crampe." surfant sur la provoc'
"T'es impossible." sur un sourire parfaitement audible, profitant de ce qu'il offre à voir sous ce t-shirt blanc porté sur jeans indigo. "Tu fais de la muscu maintenant ? Note que... t'en avais pas besoin mais le résultat est... plutôt joli à voir."
"Si tu venais plutôt par ici pour m'embrasser au lieu de tourner autour du pot ?" direct.
"Pas sûr que tu le mérites..." taquine. "Ben alors, elle est où ta nuée de fangirls ?"
"Je leur ai donné congé."
"Tiens donc." m'appuyant contre le plan de travail, pleine vue sur lui. Quel régal !...
"Megumi et la vaisselle, ça fait deux. Du coup, c'est moi qui dois m'y coller."
"Alors qu'il aurait eu envie d'autre chose..." avançant la main pour la passer sur son bras nu. "On a le droit de toucher ?..."
"Pendant que j'ai les mains prises ? Tu risques pas grand-chose..."
"Bordel qu'est-ce qui fait qu'en prenant de l'âge, tu deviennes de plus en plus canon ?"
Il rit. "Le fait d'entrer dans la trentaine peut-être." terminant avec un bol qu'il fait égoutter avec le reste, sortant les mains de l'eau, les passant au-dessus de ma tête pour se les essuyer au torchon suspendu dans mon dos, corps volontairement proche du mien.
Vache ! 1,91 m de magnificence !...
Il me regarde depuis le haut. "Troublée ?"
"Je le suis depuis que tu as balancé ce MMS." jouant avec l'attache de son jeans. "Tu ne recules devant rien, Gojô."
"Rien." souriant, me présentant ces rangées immaculées et parfaitement alignées.
"Et qu'est-ce que tu attends de moi ?"
"J'sais pas." m'attrapant par l'arrière des cuisses pour me hisser sur le plan de travail, écartant mes jambes pour s'y placer.
"Que je t'aide à essuyer la vaisselle ?"
"Je me serai donné tout ce mal pour ça ?..." caressant mes bras nus avant de glisser un index le long de mes lèvres, faisant grimper ma fièvre. "Tu me laisses regoûter à ça ?..."
J'accroche les doigts aux passants de son jeans. "Quoi que tu proposes... ce sera oui."
"Bon à savoir." sur ce sourire enjôleur, se penchant pour prendre mes lèvres dans un baiser ultra-chaud qui nous fait venir rapidement aux appels geints.
Il quitte ma bouche. "OK." me prenant par la main pour nous rendre dans le séjour, allant prendre place sur le canapé, bras passé derrière le dossier, l'autre ouvrant pour partie son jeans, remontant le t-shirt clair sur des abdominaux admirablement sculptés, menton levé, tête renversée en arrière, offrant pleine vue sur cette gorge.
Je viens m'installer sur ses cuisses, paumes caressant son ventre avant de me pencher pour parcourir le tracé de la langue, lui offrant de véritables décharges de frissons, l'érigeant immanquablement.
"God... yes !..." extasié.
Ma langue remonte pour s'attaquer à sa gorge déployée, mordillant la jolie pomme en relief.
Mes mains le cherchent alors qu'il est déjà haut dans le jeans.
"I'm gonna to fuck you so hard... Gojô..."
Il me répond par un vague grognement geint, dans un état indescriptible lui aussi.
Il en faudra peu. Très peu.
Je me relève pour retirer ce qui fait entrave jusqu'à mon sexe nu et reprends place, allant le chercher, l'inviter à glisser en moi, le faisant suffoquer tant son plaisir est déjà au zénith.
"Ça faisait... longtemps..." sourit jusqu'à ce qu'un spasme déchire son expression.
Surtendu et palpitant.
Tout m'indique qu'il va venir vite. Très vite.
Tenue sur mes bras, je le fais coulisser dans des sons organiques. Son rythme respiratoire s'emballe.
"Rach... el !..." alors que l'orgasme le frappe en lui arrachant une vocalise particulièrement haute et rauque.
Il accompagne chaque salve par une exclamation de pur plaisir, spasmant en rythme sous moi.
"Déso... lé..." déplorant être si rapidement arrivé en bout de course.
"Hey... it's all right." attrapant le bas de son visage d'une main pour qu'il me regarde, ses yeux magnifiques totalement voilés.
"Tu restes ?..."
"Megumi ?"
"Bah, te voir ici ne serait pas une première." sur un petit rire.
"OK, je reste pour la nuit."
"Cool."
Nous avons profité pour faire encore une fois l'amour et il m'a généreusement offert ma part.
"Salut." notant ma présence.
"Bonsoir Megumi. La forme ?"
"Ouais."
Petit sourire de Satoru. "T'as fait tes devoirs avec Yuji ?"
"Tu veux checker ?"
"Je te fais confiance."
"Ouais, c'est ça. Et avant que tu demandes : j'ai déjà mangé."
L'adolescent regagne sa chambre pour s'y enfermer.
Gojô secoue la tête. "Charmant. Comme à l'ordinaire."
"Les chiens ne font pas des chats, hein." faisant référence à la nonchalance évidente qu'il partage avec son père biologique.
"Hey." attrapant la tige de la sucette qu'il tient en bouche, la libérant lentement de la cavité, langue s'accordant un dernier contact sucré.
"Hey." souriant.
"Comment se porte mon titan préféré ?..."
"Hmm, il fait tout pour éviter la route d'un roquet hargneux." parlant de Livaï.
"La grande bête craint donc la petite ?..."
"J'ai plutôt la trouille de faire un faux pas et l'écrabouiller sous mon talon. Un accident est si vite arrivé..." regard émeraude se parant d'une lueur destructrice.
Je lèche la sucette que je viens de m'approprier, regard fixé sur lui. Assurément c'est son titan qui vient de me faire écho. "Huhuhu. Toujours aussi belliqueux, Assaillant."
"Toujours." sur un sourire armé. "Avancer demeure le mot d'ordre. Stagner, c'est la mort assurée."
"Et... rabiboché avec Mikasa ?..."
"Les Ackermann... y'a rien de bon à en faire." sur une moue qui en dit long. "Des sous-produits de titans."
"Eren." rit. "Doucement, mon tout beau."
"Doucement ? Pour quoi faire ?..."
"T'en as rien à foutre des collatéraux, Eren."
"Des encombrants, tu veux dire ? Non. Pas grand-chose."
Il me darde du regard. "Si tu m'avais suivi, Rachel, nous aurions pu faire de grandes choses."
"Ton idéologie, je ne la partage pas, Eren."
"Libre à toi."
"Tu vas... te gaver de pouvoir jusqu'à en perdre l'âme, Eren."
"Mmm. Diseuse de mauvaise aventure, à présent ?" taquin, levant les doigts pour caresser mes traits. "Avant, nous étions bien. Aujourd'hui, je... suis différent, opposé." récupérant sa friandise pour se la glisser à nouveau en bouche. "Et je partage pas."
Je me laisse tomber sur une chaise de l'arrière-boutique, lasse, vidée de tout.
Ils ont tous péri. La mort me les a arrachés les uns après les autres. Elle m'a presque tout pillé. J'ai su préserver mon père grâce à mon pouvoir.
Il frémit dans la morgue, percevant ma détresse. Ses doigts tremblent alors qu'il boutonne la veste du défunt. "My, my."
Je me secoue et prépare un thé réconfortant, bien chaud.
Caroline arrive. "Bonjour."
"Bonjour, Caroline. Les affaires vont bien ?"
"Oui. Novembre se calme enfin après le rush du premier du mois." petit rire.
Elle prépare un assortiment de biscuits pour accompagner le thé.
Undy ne tarde pas.
Sans un mot, il s'installe à mes côtés alors que j'ai regagné la chaise une nouvelle fois, abattue, avançant la main pour poser ma tête contre son épaule, me caressant lentement.
"Parfois je me demande... comment j'ai pu officier de si nombreux siècles sans m'effondrer." dit-il.
"Tu avais foi au système. Jusqu'à ce que toutes tes convictions prennent l'eau et se mettent à sombrer les unes après les autres."
"My. Quelle chute vertigineuse." embrassant le haut de ma tête.
J'attrape délicatement sa main pour la caresser. "Toi seul peut comprendre cette façon unique qu'à la mort d'arracher jusqu'à l'âme en faisant tomber le rideau sur les existences. Et j'ai beau m'étourdir... elle me rattrape toujours." secouant lentement la tête.
"Shh, my Lady." réconfortant.
Caroline, debout en face de nous, nous observe avec une immense affection. "Il t'aime comme personne, tu sais ?..."
"Oui. Je le sais. Nous avons tant vécu..."
"Trop, peut-être, pour en sortir indemnes."
Caroline pose sa tasse, tapant dans ses mains. "Allons ! Ce soir, nous sortons !... Restaurant puis balade sur les berges du canal !..."
Petit rire d'Undy, glissant sa paume sous la mienne. "D'humeur ?..."
"Ma foi." souriante. "Plutôt que demeurer là à nous morfondre."
Undy apparaît, apprêté, chevelure tenue en bun haut.
Caroline ne peut empêcher un sifflement.
"Merci, Caro line." se penchant légèrement en avant.
Le souper se passe dans une ambiance conviviale et détendue. Undy n'a de cesse de gestes tendres et attentionnés envers moi.
Puis nous allons nous balader sur les berges éclairées du canal, bavardant de tout, de rien, moi tenue tout contre Undy, son bras passé dans mon dos, main posée sur ma hanche.
"Comment donc se porte ton fils, my Lady ?..."
"Bien aux dernières nouvelles."
"Voilà bien longtemps que nous n'avons pas eu l'honneur de sa visite en notre humble boutique."
"Je lui proposerai."
Le soir venu, nous faisons lit commun, étroitement enlacés pour dormir.
"Undy ? Eliott arrive par le vol de 20h43."
"Parfait. Nous irons donc le cueillir à l'aéroport." souriant, me glissant un revers doux sur la joue.
"Oh, je peux vous y accompagner ?"
"Bien sûr, Caro line."
"Ma petite maman !..." se jetant dans mes bras.
"Mon Liottine !..." le serrant fort.
Lorsque notre étreinte relâche, il tend la main pour serrer celle d'Undy. "Monsieur Crevan."
"Eliott."
"Caroline, c'est bien ça ?..."
"Oui." le dévorant des yeux.
Je lance un regard complice à Undy. Ces deux-là vont assurément finir par nous faire des petits !...
