Ne perdez pas de temps.

Titre du 14/11/2022 : Ne perdez pas de temps

Poisson : Neal Cassidy / Baelfire (OUAT)

N : Neal Cassidy

Créature 38 : Sorcière

Prénom 41 : Neal

Quatre aspects de… Peter Pan (Peter Pan de J.M. Barrie) : Leader : Écrire sur un personnage qui est le leader de son groupe ou écrire sur Steve Rogers (Marvel)

137) 100 façons d'écrire du drama

44) 50 nuances de OUAT

8 défis fusionnés (titre du jour, horoscope, alphabets, bestiaire fantastique, elles ont dit, quatre aspects, 100 façons, 50 nuances)

« Qu'est-ce que c'est censé vouloir dire ? Les questionna David.

- Il savait, fit Neal avec un rire nerveux. Peter Pan, il… Il a toujours su, il… Je ne sais pas comment il fait et je suppose que ça n'a plus d'importance parce que ce n'est pas comme on pouvait y changer quelque chose maintenant. »

Tout prenait sens désormais.

Peter Pan cherchait Henry, peut-être même depuis toujours, probablement depuis qu'il avait gagné son immortalité et ses pouvoirs en faisant un pacte avec l'ombre du Pays Imaginaire et en abandonnant son fils des siècles plus tôt.

Et pour ça, il avait tout mis en œuvre, enlevant des enfants innocents, en les manipulant.

En le laissant partir tout en sachant pertinemment qu'ils se reverraient un jour une fois qu'il aurait enlevé son fils.

Tout ça lui laissait un goût de cendres dans la bouche.

L'immortel semblait imprévisible, incontrôlable, ses actions paraissaient erratiques, insensées, l'œuvre d'un fou ou d'un monstre cruel.

Mais dans le fond, le sorcier était exactement comme Rumplestiltskin.

Lui aussi il avait un plan, un plan bien méticuleux, sur le long terme, réfléchi et complexe dont personne ne pouvait avoir connaissance en ne connaissant pas ses intentions.

En ne sachant pas que le Ténébreux voulait retrouver son fils, impossible de réaliser pourquoi il voulait que le Sort noir soit lancé.

Et sans savoir que Peter Pan voulait à tout prix retrouver Henry Mills, tenter de voir son intention derrière ses actes n'avait rien de simple.

Et avec lui, c'était même encore pire.

Parce que l'ancien enfant perdu savait que son ancien bourreau avait besoin du jeune garçon.

Seulement, il n'avait toujours pas la moindre idée de pourquoi.

Et ne pas le savoir était à deux doigts de le rendre fou.

« On pense, poursuivit Emma à sa place, que Peter Pan, qu'il… qu'il avait prévu que certaines choses arriveraient ou du moins qu'il a fait en sorte qu'elles se produisent. Gold, est-ce que… est-ce que vous savez si votre père peut voir le futur ?

- Je l'ignore, admit le Ténébreux. Je n'étais encore qu'un enfant quand il m'a abandonné et qu'il a acquis ses pouvoirs, alors je ne sais pas… Je n'ai passé que peu de temps avec lui en tant que Peter Pan, le moins possible en vérité et je n'en sais pas plus que vous.

Pour Emma, la perspective que Rumplestiltskin, l'immortel, le Ténébreux, celui qui savait tout, puisse ignorer quelque chose, restait toujours aussi terrifiante.

- Je ne sais pas comment il a fait, continua Neal, mais il savait que… que je serais le père d'Henry, du moins je crois. Et il a… il a…

Killian fronça les sourcils, ayant l'impression que ça avait quelque chose à voir avec ce que Peter Pan ou Félix ou un autre enfant perdu lui avait sans doute dit plus tôt, qui expliquait son étrange attitude durant le combat ainsi que le fait qu'il ne semblait pas aller bien.

Et c'était probablement ce qu'il leur taisait qui expliquait ce qui avait provoqué ce brusque cheminement de pensée qui ressemblait si fort au sien.

Si sa révélation personnelle était aussi assourdissante que la sienne, elle n'avait pas dû être bien agréable.

Il ne parvint pas à finir sa phrase et en échangeant un rapide regard avec Emma, il réalisa rapidement qu'ils étaient exactement sur la même longueur d'onde.

Ils ne parleraient pas aux autres de ce qu'ils avaient découvert, du fait que Neal ne s'était en réalité jamais véritablement échappé de lui-même du Pays Imaginaire.

Hors de question qu'ils leur enlèvent un de leurs derniers espoirs de partir de cette île.

Et puis, ce qu'ils ne savaient pas ne pouvait pas leur faire du mal de toute façon.

De plus, rien n'était encore perdu, ils avaient toujours leurs haricots magiques, et aux dernières nouvelles, pour aussi puissant qu'il soit, Peter Pan n'était pas encore capable d'annuler les pouvoirs de ces derniers.

Passant furtivement sa main dans sa poche, il retint un soupir de soulagement en constatant qu'il était toujours là.

Donc, soit il n'avait pas été capable de les leur voler, soit…

Soit c'était volontaire et il avait décidé de ne pas encore le faire pour jouer avec eux, leur donner l'illusion qu'ils avaient encore une chance.

Le connaissant, c'était bien possible.

Il secoua la tête, décidé à ne plus y penser et surtout, à se taire.

- Peu importe. Et je sais que… que ça a sans doute l'air complètement fou, mais…

- Je pense être arrivé à la même conclusion, l'interrompit Killian.

Neal le regarda avec un air stupéfait.

- Quoi ?

- Mon frère Liam est mort à cause de cette île. À cause de l'ombrève. J'ai passé des années à penser que si c'était arrivé c'était uniquement à cause du roi qui nous avait envoyés au Pays Imaginaire en nous mentant, et parce que j'avais fait une erreur, que je n'avais pas compris que… que le prix qu'il devrait payer c'était de ne plus jamais pouvoir partir. Que c'était de ma faute à moi aussi. Mais après j'y ai réfléchi et j'ai réalisé qu'il avait été cryptique, sans doute volontairement. Il ne m'a pas expliqué ce que signifiait le fait de payer le prix de l'utilisation de la magie. J'ai cru que ce n'était que de la cruauté, qu'il avait trouvé ça amusant, de me voir échouer à sauver mon grand frère en étant si près du but… Et puis…

Il fit une pause, la rage se reflétant clairement dans ses yeux.

- Et puis Henry a été enlevé, j'ai découvert que Peter Pan était le père du crocodile, que Neal qu'il avait enlevé par le passé était le père d'Henry et je n'ai pas pu m'empêcher de me dire que tout ça… ne pouvait pas être une simple coïncidence. Que si Liam était mort, c'était parce qu'il l'avait voulu, qu'il l'avait décidé, qu'il voulait que je devienne celui que je suis désormais, que je me trouve ici et maintenant. Qu'il avait organisé, orchestré tout ça. Qu'il nous avait tous ou presque poussés dans une même direction. Apparemment, j'avais raison. »

Un silence pesant s'abattit sur le groupe.

Neal était à la fois rassuré et horrifié, parce que si Crochet avait formulé l'exacte même hypothèse que lui alors qu'ils n'en avaient pas parlé un seul moment ensemble, alors ça ne pouvait signifier qu'une seule chose.

Ils avaient très probablement raison.

Peter Pan avait gâché leurs vies, depuis le début, dès leur rencontre, peut-être même bien avant, et ils n'avaient jamais eu la moindre chance contre lui.

Dans ces circonstances, comment étaient-ils supposés le battre au juste ?

§§§§

En les regardant, Killian avait bien conscience qu'ils étaient tous épuisés et qu'ils avaient besoin de s'arrêter, de faire une pause, pour se reposer, récupérer, enfin.

Mais il savait également pertinemment qu'aucun d'eux ne le ferait.

Pas maintenant, pas tout de suite, pas tant qu'il leur restait encore assez d'énergie pour tenir debout, encore au moins un peu, avant qu'ils ne finissent par s'écrouler.

Ils pouvaient encore tenir, ils voulaient tenir, à n'importe quel prix, parce que Henry valait bien ces quelques sacrifices.

Face à leur détermination, le pirate ne pouvait s'empêcher d'être impressionné, de les admirer aussi.

Il était presque jaloux du petit garçon en un sens.

Lui aussi il aurait aimé qu'à l'époque, quelqu'un se batte de cette manière pour lui et pour son frère quand ils étaient seuls au monde et avaient désespérément besoin d'aide…

Alors il continua de marcher, avec eux, en tentant d'ignorer la douleur et la fatigue qu'il sentait dans absolument tous les membres de son corps épuisé et harassé.

§§§§

« Je me posais une question et je… je voulais vous… te parler d'autre chose.

Maintenant qu'ils étaient alliés, même de manière seulement temporaire, autant qu'ils se tutoient.

Emma, qui marchait en ce moment même à côté du pirate, haussa un sourcil surpris, intriguée.

Elle ne lui avait que peu parlé, elle n'avait donc pas vraiment d'avis sur lui, même si ce qu'il avait fait à Neal ne lui donnait pas vraiment envie de l'apprécier et encore moins de lui faire confiance.

- Je t'écoute.

- C'est à propos de… de Neal. Je me demandais. Est-ce que tu sais ce qui cloche avec lui ? Il n'a pas l'air d'aller très bien depuis la bataille contre les enfants perdus.

La Sauveuse lui jeta aussitôt un regard étonné, avant de brusquement réaliser qu'il avait l'air sérieux, qu'il semblait même sincèrement… inquiet.

- Tu… tu en as vraiment quelque chose à faire ? S'écria-t-elle, interloquée.

La pique faisait mal, mais il ne pouvait malheureusement pas en nier la véracité.

Pas après ce qu'il avait fait à Baelfire, pas après cette terrible nuit où il l'avait abandonné, où il l'avait livré à Peter Pan et aux enfants perdus au lieu de le laisser partir librement comme il aurait dû le faire, comme il l'aurait fait s'il avait été quelqu'un de bien.

Pas alors qu'il avait toujours l'intention de tuer Rumplestiltskin alors même que la seule chose que Neal avait jamais voulu à l'époque c'était qu'il abandonne sa vengeance contre le Ténébreux.

Il s'était toujours demandé à l'époque si ça aurait changé quelque chose, un tant soit peu, s'il y avait renoncé, s'il avait promis à l'adolescent de laisser tomber ce projet insensé, si ça aurait été suffisant pour que le fils de Milah lui pardonne ses mensonges, sa trahison, sa manipulation ou s'il était déjà trop tard pour ça.

Si ici et maintenant, des siècles plus tard, il était déjà trop tard ou si quoi que ce soit dans leur relation passée pouvait encore être sauvée.

Si quoi que ce soit qu'il aurait pu faire aurait réussi à faire la différence.

Il se surprit à se sentir triste en constatant qu'il n'obtiendrait très probablement jamais la réponse à cette question.

- Oui, affirma-t-il avec conviction, et elle réalisa avec une certaine stupeur que ce n'était définitivement pas un mensonge.

Ce n'était de toute évidence pas suffisant pour effacer ce qu'il avait fait ou pour qu'elle ait envie de lui faire confiance mais cela lui donnait au moins envie d'être plus attentive à ce qu'il avait à dire.

- Pourquoi ne pas lui poser la question toi-même ? Aux dernières nouvelles, lui aussi il fait parti de cette expédition.

Il grimaça aussitôt.

Elle avait raison, une fois de plus.

- Si seulement les choses étaient aussi simples.

- Je sais que vous… enfin que c'est compliqué et que vous n'êtes pas amis et qu'il voudrait très certainement ne plus jamais avoir à te parler ou même à se trouver au même endroit que toi, mais… c'est juste une question, non ? Le pire qui pourrait se produire serait qu'il refuse de te parler et d'y répondre et je… je pense que ce serait mieux s'il te le disait toi-même.

Déjà parce que c'était à Neal de choisir s'il voulait ou non parler du fait que sa plus grande réussite au Pays Imaginaire n'était en réalité qu'un mensonge, surtout s'il devait le dire à un ennemi comme l'était encore Crochet à ses yeux.

Et surtout, elle et Neal avaient décidé de ne rien dire à personne d'un commun accord, ce n'était pas pour qu'elle dévoile au pirate ce qu'ils s'efforçaient de cacher à tout le monde en le faisant derrière le dos de son ami qui plus est.

Il méritait mieux que ça, il méritait d'avoir le choix de parler ou au contraire de se taire.

Il hocha la tête, comprenant qu'il n'avait pas vraiment d'autre option.

- Donc, en déduisit-il, c'est que ça doit vraiment être grave.

Le regard de la blonde se durcit et une lueur sombre apparut dans ses yeux, un mélange de colère et de rage qui lui fit presque peur.

- Oh que oui, confirma-t-elle, ça l'est, et ça ne fait qu'ajouter une raison de plus à celles déjà existantes de détester Peter Pan. »

Il ne s'était donc pas trompé.

L'immortel était bien responsable de ce qu'il s'était passé durant le combat, il avait fait ou dit quelque chose, quelque chose de suffisamment douloureux ou terrifiant ou il ne savait pas quoi d'autre pour que lui, un combattant aguerri, perde tous ses moyens d'un seul coup et se fige sur place au point de presque se faire tuer.

Et de quoi avait-il bien pu s'agir bon sang ?

Il ne fut pas étonné d'être en colère, après tout, tout ce qui concernait ce maudit sorcier et ses manigances était une source d'énervement pour lui, encore plus depuis qu'il était revenu au Pays Imaginaire, encore plus maintenant qu'il savait que par sa faute une partie de ses souffrances n'était pas due au hasard.

En revanche, ce à quoi il ne s'attendait pas, ce fut à l'ampleur de la rage qui déferla en lui alors qu'il réalisait qu'après l'avoir retenu prisonnier pendant des siècles, après lui avoir fait endurer des souffrances inimaginables, le maître de l'île s'en était pris une fois de plus à son petit-fils.

Il lui avait fait du mal, à lui qui avait déjà tant souffert par sa faute, et ce fut en ressentant cette colère qu'il n'avait pas ressenti à cause de la souffrance de qui que ce soit depuis longtemps, hormis lui-même, que le pirate comprit.

Il tenait à Neal, il tenait vraiment à lui, malgré le conflit entre lui et le Ténébreux, il s'était attaché à lui quand il s'appelait encore Baelfire, puis en le retrouvant sans connaître sa véritable identité et toute la haine qu'il ressentait à l'égard de Rumplestiltskin ne pourrait jamais changer ça.

Malgré les mensonges d'autrefois, malgré ce qu'il lui avait caché, il ne lui avait jamais menti sur ça, sur le fait que son affection était réelle.

Désormais, les choses étaient différentes, l'ancien enfant perdu était devenu un adulte, il connaissait la vérité, et plus aucun retour en arrière ne serait jamais possible.

Mais il ne put s'empêcher de se dire que peut-être, il pourrait arranger les choses, qu'ils puissent devenir amis.

Dans un autre monde où leur passé n'était pas à ce point-là taché de sang, ça aurait pu marcher.

Une chose qui n'aurait été possible que s'il avait accepté de renoncer à sa vengeance meurtrière contre l'assassin de Milah.

Et c'était une chose dont il ne se sentait pas encore capable, qu'il ne pourrait probablement même jamais faire.

« Même si je doute qu'il accepte de me répondre, reprit-il quelques minutes plus tard.

- C'est toi et son père qui êtes ennemis, pas vous deux. Pas directement.

- C'est vrai. Mais j'ai… Je déteste son père et je ne rêve que d'une chose, le voir mort, le tuer.

Au moins il n'essayait pas de prétendre le contraire, Emma ne pouvait pas lui enlever ça.

- C'était aussi le cas de Regina, avant, lui indiqua Emma.

Et ce fut à cet instant qu'elle réalisa à quel point leurs situations avaient été similaires autrefois.

Deux enfants abandonnés par leurs parents, un pirate ou une sorcière au cœur brisé en quête de vengeance, une relation houleuse et pleine de colère et de souffrances, une vie réduite en miettes à cause de la personne qui avait voulu se venger.

À la différence que Neal, contrairement à Emma, n'était pas prêt de pardonner au pirate comme elle se sentait capable de le faire avec Regina.

Mais Regina avait renoncé à sa vengeance, elle avait tenté de réparer ses erreurs, de devenir une meilleure personne, elle s'était excusée à plusieurs reprises, et Emma était en train d'en tomber amoureuse.

Killian Jones, lui, avait encore dans les yeux cette colère qui brûlait comme elle le faisait depuis des siècles, d'un feu redoutable.

Et si elle devait être honnête, elle doutait qu'il soit capable de s'éteindre un jour.

- Regina a voulu tuer ta mère parce qu'elle avait révélé un secret après avoir été manipulée par Cora. Je veux tuer Rumplestiltskin parce qu'il a arraché et écrasé sous mes yeux le cœur de la femme que j'aimais. C'est différent. »

Oui, c'est vrai, songea Emma, mais Regina n'a pas renoncé à sa vendetta avant d'avoir une véritable raison de le faire.

Elle avait eu Henry, et même le petit garçon n'avait pas été suffisant, pas tout de suite.

Elle s'interrogea, se demanda si, un jour peut-être, le pirate la trouverait, cette raison qui le pousserait à s'arrêter de poursuivre cette obsession, cette chimère qu'il n'atteindrait vraisemblablement jamais.

Elle l'espérait pour lui et pour Neal, sincèrement.

§§§§

David n'avait jamais été aussi reconnaissant qu'à ce moment précis de pouvoir s'arrêter pour enfin faire une pause.

Le camp avait été installé, et ils allaient se reposer durant quelques heures le temps de récupérer pour ensuite continuer de chercher le camp des enfants perdus et enfin retrouver Henry.

Tout son corps hurlait de douleur, d'épuisement et de fatigue et il n'était pas peu soulagé de pouvoir s'arrêter.

Pour ça et pour une toute autre raison.

S'assurant que personne ne faisait attention à lui et qu'il était bien seul, il examina son flanc, là où la flèche d'un des garçons perdus l'avait effleuré et il examina la blessure pour la première fois depuis qu'il avait été touché.

En voyant l'aspect qu'elle avait désormais, il ne put s'empêcher de blêmir.

Il se souvenait de l'avertissement de Jones, du fait qu'ils ne devaient absolument pas être touchés par une des flèches de leurs ennemis, et soudainement, en un éclair, il comprit bien mieux pourquoi.

Il prit sa décision en un instant, ce qui comptait c'était Henry et rien d'autre, ils devaient à tout prix le retrouver, le sauver, et ils avaient déjà assez perdu de temps, inutile qu'ils en perdent encore plus en essayant de comprendre ce qui n'allait pas avec lui.

Il devait sauver son petit-fils, il le fallait.

Et par ailleurs, il avait une petite idée de ce qui était en train de lui arriver.

Et s'il avait raison, hé bien dans ce cas-là, oh…

Que les Dieux le protègent.

Parce qu'il n'était pas sûr de pouvoir s'en sortir et survivre cette fois-ci.

A suivre…