Bonjour ! Voici un nouveau chapitre qui fait suite au chapitre 33 dans lequel June dût s'expliquer auprès de ses amis de ce qu'il s'était passé pendant et après le cours de duel.
J'espère que ce chapitre va vous plaire ! Bonne lecture !
Chapitre 34 : Cui-Cui
La nouvelle de la mort du directeur de l'Institut Durmstrang avait provoqué une sacrée pagaille dans l'école. Les étudiants bulgares ne savaient à présent pas s'ils pourraient rester dans l'école après la mort de leur directeur. Heureusement, ils apprirent rapidement qu'un envoyé du royaume de Bulgarie allait prendre la relève et se rendrait rapidement en écosse pour les accompagner eux et surtout leur champion lors du Tournoi des Trois Sorciers.
June, qui effrayait déjà un grand nombre d'élèves dans le passé, se faisait à présent regarder avec des yeux remplis de crainte. Ses camarades s'enfuyaient quand elle approchait et ne restaient jamais à moins de deux mètres d'elle, serpentard y compris. Seuls ses amis, Edgar et Angelica étaient restés fidèles et la soutenait même si la jeune femme ne paraissait pas vraiment s'émouvoir de l'attitude des autres élèves. Elle était d'un tempérament solitaire et n'avait besoin de l'accord ou de l'appui de personne pour continuer sa vie comme elle l'entendait.
Victor Krum, lui, continuait à venir la voir de temps à autre dans sa salle sur demande. Il n'avait pas eu l'air particulièrement triste non plus de la disparition de son directeur mais fut en revanche passablement furieux contre lui quand June lui expliqua les tenants et les aboutissants de l'« affaire Karkaroff ». Il avait juré à la jeune femme que « s'il avait été là, il l'aurait étranglé lui-même de ses mains » puis il lui avait reproché de ne pas l'avoir mis plus tôt au courant. La jeune femme l'avait simplement fait taire en plaquant sa bouche contre la sienne, l'emmenant sur son canapé afin de clore le débat pour passer à des choses plus « intéressantes ».
Neville et elle avaient été auditionnés quelques jours après l'incident, dans le bureau du directeur, par des chargés du ministère qui lui avaient posé une quantité astronomique de questions, parfois sans aucun rapport avec l'affaire.
Par la suite, ils avaient pratiqué plusieurs sortilèges sur la baguette de Neville, puis sur celle de Karkaroff et de Maugrey, pour identifier les sortilèges impardonnables qui avaient été tracés pendant la fameuse journée. Ainsi on apprit que c'était bien Karkaroff qui avait jeté un Avada Kedavra, confirmant l'histoire racontée par l'auror.
Pour terminer, les fonctionnaires allèrent dans la salle des duels avec les deux élèves concernés par l'affaire, les directeurs de maison respectifs de June et de Neville, et le directeur pour vérifier leurs dires en mimant la scène. Alastor Maugrey était arrivé avec un peu de retard à la reproduction mais avait joué son rôle, tel qu'il l'avait fait le jour de l'accident.
Neville expliqua que Igor Karkaroff était arrivé proche de son groupe d'amis pendant que June montait sur l'estrade et qu'il avait ressenti d'un coup, une brume envahir son cerveau avant que ce soit le « trou noir ».
June et Neville durent remimer leur combat ce qui fut difficile pour Neville car il n'avait plus le moindre souvenir du moment, l'impérium causant en général une amnésie de l'action. Ce fut Rogue, Maugrey et June qui durent lui expliquer quoi faire.
Ensuite la jeune femme sauta de l'estrade comme elle l'avait fait et répéta la scène de lutte avec Karkaroff avec l'aide d'un chargé du ministère qui se prêta dans le rôle du feu-directeur de Durmstrang.
Rogue interpréta son rôle à nouveau, décrivant ses faits et gestes et s'approcha de la jeune femme près de laquelle il s'arrêta soudain, indécis.
Dumbledore lui demanda de continuer à mimer la suite de la scène sans hésiter. Le maître des potions croisa le regard de June et enroula son bras autour d'elle pendant qu'elle mimait l'énervement. Les chargés du ministère hochèrent la tête en silence en prenant des notes.
Maugrey expliqua qu'il était alors sorti de la pièce avec Neville et la baguette de Karkaroff.
June reproduit à la perfection – et avec un peu trop d'engouement peut-être - le coup de coude dans l'abdomen de son professeur qui la lâcha avec un regard noir. Alors que June se retournait pour le repousser comme elle l'avait fait, Rogue changea le cours des faits et la fit brutalement reculer dos contre le mur en la pointant simplement de sa baguette à une distance de sécurité suffisante pour être considérée comme raisonnable. Il la fixa du regard, la mettant au défi de révéler le véritable déroulement de l'action devant Dumbledore et toute l'assemblée, action qui les avaient poussés à se retrouver l'un contre l'autre, dans une position à la limite de l'acceptable et qui les avait, tous les deux, bien trop troublés.
June déglutit en croisant le regard onyx qui la fixait, insondable, et lui lança à son tour un regard appuyé avant d'hocher la tête imperceptiblement. Elle ne voulait pas particulièrement, elle non plus, reproduire cette scène devant tout le monde. Rogue se racla la gorge et détourna son regard hâtivement avant de se retourner vers les inspecteurs pour signifier que c'était la fin de leur rôle respectif. Albus Dumbledore avait légèrement froncé les sourcils devant leur fin de prestation mais n'avait rien dit se contentant de lancer un regard où pétillait une certaine malice à son espion, lequel l'ignora d'ailleurs superbement. Les fonctionnaires parurent, quant-à eux, satisfaits de leur inspection et quittèrent l'école, les carnets remplis de notes, en leur annonçant qu'ils rendraient leur conclusion dans plusieurs jours.
Elle était sortie de là épuisée mais calme, à l'inverse de son camarade qui était alors au bord de la crise de larmes. Il s'était d'ailleurs excusé platement de ses agissements auprès de la jeune femme, laquelle s'était empressée de lui faire comprendre qu'il n'était absolument pas fautif dans l'histoire. Il avait alors hoché la tête puis s'était ensuite éloigné dans le couloir.
June s'était lancée dès le lendemain de l'affaire dans un nouveau projet ambitieux qui n'était autre que l'élaboration d'un « Boost Magie », un élixir qui permettrait de redonner à un sorcier privé de ses pouvoirs, l'ensemble de ses capacités magiques. Il était, bien évidemment, parfaitement hors de question pour June de se retrouver une nouvelle fois aussi vulnérable qu'elle l'avait été face à son professeur de potions ce jour-là.
Elle n'était pour l'instant qu'à la phase de recherches préliminaires et il lui fallait encore trouver dans la bibliothèque un ou plusieurs ouvrages qui pourraient en aborder le sujet. Elle trouva son bonheur d'ailleurs assez difficilement, le sujet étant rarement traité devant un sortilège aussi peu connu du public.
Le mois de janvier se termina donc dans une ambiance pleine de morosité, de méfiance et de dur labeur.
Dès la première semaine de février, les étudiants commencèrent à oublier peu à peu cette histoire pour se concentrer sur un évènement qui arrivait à toute vitesse. La deuxième épreuve du Tournoi.
June proposa d'ailleurs à Harry son aide et celui-ci en fut ravi. Il n'avait jamais eu de crainte, lui, en la voyant approcher et était toujours aussi heureux de la voir venir lui parler et surtout content qu'elle dégage un peu de son temps pour lui malgré ses cours et son lourd projet du moment. Projet qu'il ne connaissait d'ailleurs absolument pas.
Ils avaient reparlé de leur sortie à Pré-au-lard et quand ils avaient appris l'évasion officielle de Bellatrix Lestrange dans la Gazette du sorcier, ils n'avaient pu s'empêcher de frissonner en concert.
June avait également pu récupérer sa baguette sans trop de mal, à sa grande surprise, mais seulement deux semaines après se l'être faite confisquée pour des raisons qu'elle n'apprendrait que bien plus tard. Le professeur Rogue ne l'avait même pas asticotée pour qu'elle arrête de faire « son insolente miss-je-sais-tout-numéro-deux ». La récupération de son bien s'était faite sans prévenir un beau jour alors qu'elle lisait tranquillement le fameux recueil de potions pour avancer sur ses recherches du « Boost-magie » sous une arche donnant sur la Cour-Est du château.
L'homme en noir était arrivé discrètement derrière elle et lui avait simplement tendu sa baguette d'un geste sec dans le couloir. Alors qu'elle allait s'en emparer, il l'avait retirée au dernier moment de sa prise. Agacée, June l'avait regardé avec un air désabusé. Lui avait baissé ses yeux sur le titre du chapitre qu'elle lisait avidement et avait eu un rictus presque amusé. Il lui avait alors retendu le morceau de bois en lui sortant un « Alors comme ça on a peur Revali ? ». June lui avait lancé un regard mauvais avant de pouvoir enfin récupérer son précieux bien. Il s'était ensuite détourné et était parti dans le couloir dans son éternel tourbillon de cape non sans un « Moins cinq points pour serpentard pour regard noir à son professeur » qui avait fait lever les yeux au ciel à la jeune femme.
June rencontra plusieurs fois le jeune garçon aux lunettes rondes pendant les séances d'études, normalement dédiées aux révisions. Il lui avait confié l'œuf pendant quelques jours et June lui avait fait passer, directement ou par l'intermédiaire des amis du jeune homme, les avancées de ses recherches. Avancées qui avaient en réalité une fâcheuse tendance à stagner.
Elle avait, bien entendu, essayé de l'ouvrir, provoquant l'assourdissement de l'ensemble du couloir dans lequel elle se trouvait alors et avait même failli se le faire confisquer en cours de potions car il « dépassait un peu trop du sac, gênant, de son reflet doré, les yeux sensibles » du professeur Rogue. Celui-ci lui avait d'ailleurs demandé de rester à la fin du cours ce jour-là pour lui sommer d'arrêter d'aider le gryffondor car « il fallait bien que Potter réfléchisse seul pour une fois et sans ses amis pour le materner ». June s'était simplement contentée d'hausser les épaules et était sortie de la pièce sans répondre à son acerbe demande.
Mais malgré les nombreuses heures de travail, ses jérémiades et ses tirages de cheveux à n'en plus finir, la jeune femme demeura sans réponse concernant cet œuf de malheur. Un jour, alors qu'elle se trouvait au niveau des toilettes des filles abandonnées du rez-de-chaussée, elle finit, pleine de rage, par le jeter dans un baquet qui récoltait l'eau fuyant du plafond.
Se produisit alors un phénomène qui fit cligner June des yeux plusieurs fois sous la surprise. Dans son mouvement, l'œuf avait heurté le bord du baquet et s'était ouvert dans l'eau sous le choc. Il sembla tout à coup que les sons stridents s'étaient tus. Elle eut alors une étrange idée. Elle s'approcha de la petite cuve et tendit l'oreille. Elle n'entendait qu'une douce musique provenant de l'œuf immergé mais rien de plus. June comprit alors la solution mais décida de laisser Harry le soin de terminer le travail. Elle plongea les mains dans l'eau glacée et referma l'œuf doré en vitesse avant de sortir des toilettes, triomphante.
Le garçon fut fou de joie quand elle lui révéla la solution. Cédric Diggory vint d'ailleurs confirmer ce fait le lendemain au gryffondor, pensant qu'il n'avait toujours pas trouvé la réponse et ce, pour le remercier de l'avoir prévenu pour les dragons avant la première épreuve.
June avait conseillé à son ami de profiter d'une soirée où ce n'était pas Rogue qui faisait la surveillance des couloirs pour s'introduire dans la salle de bain des préfets, salle de bain fermée par un mot de passe que la jeune femme connaissait, étant amie avec Angelica, préfète de serpentard. Le brun avait suivi son conseil qui porta ses fruits puisque dès le lendemain il affichait un air passablement consterné sur le visage. June ne sut pas si c'était l'énigme en elle-même qui lui posait problème où sa rencontre fortuite avec le fantôme de la pleurnicharde « Mimi-Geignarde » qui l'avait traumatisé pour le restant de ses jours. Il avait en effet raconté à la serpentard sa mésaventure qui avait consisté à se faire reluquer pendant de longues et malaisantes minutes par le spectre alors qu'il s'était mis nu dans l'eau pour immerger l'œuf. June avait éclaté de rire à cette histoire et n'avait pas cessé, depuis ce jour, de se moquer gentiment de lui par des allusions plus ou moins discrètes.
Le garçon ne pouvait pas s'empêcher de rougir de honte et de la gratifier d'un regard assassin à chaque mention de ce douloureux épisode qu'il aurait préféré oublier purement et simplement, entrainant par là le rire de la jeune femme. Il en vint à regretter amèrement de lui avoir raconté cette histoire et se jura de ne plus commettre une telle erreur à l'avenir.
Depuis le « cours-qui-s'était-mal-passé », comme aimaient à l'appeler les élèves, June voyait souvent Neuville esseulé avec un air perdu et particulièrement triste gravé sur le visage. Selon elle, Neville Londubat couvait un syndrome post-traumatique. Elle avait d'ailleurs contacté Harry Potter à ce sujet pour que lui et ses amis de gryffondor entourent le jeune homme, qui en avait, de son point de vue, terriblement besoin. Selon elle, ce n'était pas simplement le fait d'avoir été ensorcelé qui provoquait cette réaction au jeune homme. Il devait y avoir autre chose pour que cela le mette dans cet état.
Quelque jours plus tard, alors que la deuxième épreuve devait se dérouler dans quelques jours, le jeune Harry Potter commençait sérieusement à paniquer. Il ne comprenait pas comment il allait pouvoir tenir une heure dans l'eau sans respirer. Il avait demandé de l'aide à Hermione et à Ron mais ceux-ci n'avaient pas été d'une grande aide. Malgré les connaissances exceptionnellement vastes de la gryffondor, elle ne retrouva pas dans sa mémoire une solution permettant une telle chose.
Harry avait finalement opté pour la dernière option qu'il avait. June Revali.
Il lui avait donné rendez-vous sur le pont couvert de Poudlard. La neige recouvrait encore les toits et le jeune homme s'était appuyé contre la rambarde, le corps légèrement fléchi en attendant la serpentard. De la vapeur d'eau s'échappait à chacune de ses expirations. Il remonta son écharpe rouge et or sur son nez et renifla. Il espérait vraiment qu'elle viendrait à son rendez-vous. Excepté la fois à Pré-au-lard où ils s'étaient donné rendez-vous, les discussions avec la jeune femme se faisaient toujours de manière improvisées, jamais au même endroit, jamais à la même heure avec son emploi du temps d'elfe de maison. Il sourit en imaginant la vert et argent déguisée en une créature de ce genre.
Il entendit alors des pas percuter le sol en bois et il tourna la tête vers la gauche pour voir approcher la jeune femme aux yeux bicolores. Elle avait les joues et le nez rougis par le froid et avançait vers lui d'un pas, comme d'habitude, assuré. Elle lui fit un signe de la tête pour le saluer puis s'appuya elle aussi sur la balustrade avant de regarder l'horizon. Il était bientôt midi et elle venait de terminer un cours de divination particulièrement rasoir.
Elle souffla un coup et jeta un œil à son camarade.
-« Tu m'as fait appeler. Que voulais-tu ? » demanda-t-elle doucement sans préambule.
Harry sourit. Si au départ les questions tranchantes et directes de la jeune femme l'avaient quelque peu perturbées, il était à présent habitué à sa façon d'être et ne se formalisa pas de sa question sans détour.
-« Ben heu… je sais que tu as d'autres choses à faire et que tu m'as déjà grandement aidé pour la résolution de l'énigme mais… je t'avoue que je commence vraiment à être à court d'idée et passablement stre….
-Va droit au but s'il te plait, Potter. » le coupa June en roulant des yeux.
-Pourrais-tu m'aider pour la deuxième épreuve ? » demanda-t-il enfin avec des yeux implorants.
Elle le regarda une seconde et fit claquer sa langue sur son palais.
-« Que dit l'énigme, rappelle-moi ? »
Harry se racla la gorge avant de prendre une voix d'outre-tombe pour rendre l'énigme encore plus mystérieuse qu'elle ne l'était déjà.
-« Descends nous visiter et entends nos paroles
Nous devons…. Heu… pour chanter être au-dessous du sol.
À présent, réfléchis, exerce ton esprit,
Ce qui t'est le plus cher, nous te l'avons ravi,
Pendant…. Hrmm…une heure entière il te faudra chercher
Si tu veux trouver ce qu'on t'a arrrrrraché.
Après l'heure écoulée, renonce à tout espoiiiir
Tes efforts seront vains… car il sera trop taaard »
June sourit, amusée par la voix de son camarade et réfléchit un instant.
-« Pour l'instant vous en êtes où de sa résolution ? » lui demanda-t-elle en se reconcentrant sur le paysage que le soleil éclairait de sa vive lueur de midi.
-Alors, je crois que l'épreuve va se faire dans le Lac Noir car c'est le seul endroit autour du château qui contient assez d'eau pour la réaliser. Je pense qu'ils nous ont volé un truc qui nous tient à cœur mais on a eu beau réfléchir avec Ron et Hermione on ne sait pas trop ce que c'est pour l'instant. Après ce n'est pas vraiment la partie qui m'inquiète pour tout t'avouer... »
June hocha la tête en silence et le regarda dans les yeux, attendant la suite.
Harry cligna plusieurs fois, déstabilisé par le regard de la jeune femme, regard qui le mettait toujours assez inconfortable, il devait l'avouer. Il avait souvent tendance à fixer bêtement ses iris, comme hypnotisé, en essayant de comprendre ce qui le perturbait tant dans ce regard incisif et il se retrouvait souvent à jouer aux sept différences entre les deux yeux avant qu'elle ne détourne le regard, amusée. Le jeune homme la soupçonnait au fond de lui d'être parfaitement au courant de ce fait et de s'amuser à déstabiliser ses interlocuteurs de cette façon. Mais Harry, véritablement stressé par son épreuve, réussit cette fois à se concentrer. Il ferma les yeux une fraction de seconde et puis les rouvrit en gardant son regard dans le sien.
-« Ce qui me pose… problème » reprit-il, « c'est de rester une heure dans l'eau… Hermione n'a aucune idée de comment je pourrais faire. Apparemment elle n'aurait jamais lu la moindre chose sur cela et je commence à stresser car l'épreuve est dans cinq jours…
-Qu'attends-tu de moi au juste ? Que je te trouve une solution miracle ?
-Non… enfin… oui… en quelque sorte. Je… je me disais que tu penserais peut-être à quelque chose qui nous aurait échappé. Avec tes connaissances impressionnantes, tu es la meilleure pour ce genre d'épineux problème. » lui dit-il en rougissant un peu.
-« La flatterie ne marche pas sur moi, Harry, tu le sais. En revanche, je vais voir ce que je peux faire pour toi. Je ne te promets rien. Rendez-vous dans trois jours, ici à la même heure. Et toi, continue de chercher de ton côté, on ne sait jamais. Au revoir Harry. » lui dit-elle d'une voix calme avant de se retourner pour faire demi-tour.
Harry la regarda s'éloigner et lui lança un « merci » assez fort pour qu'il arrive aux oreilles de la jeune femme. Elle lui répondit par un signe de la main sans se retourner et disparut au loin.
Voilà c'est déjà la fin de ce chapitre. N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé en commentaire ! Merci de votre lecture et à bientôt pour la suite :)
