Et bien non ! je ne suis pas morte !
I'm Alive, comme dirait Céline ! (Dion, évidemment, tss tss)
J'ai conscience de vous avoir fait souffrir durant ces dernières années, et ces derniers mois avec mon petit message de fin février vous annonçant un futur retour...
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Voilà, j'ai retrouvé un peu d'inspi, et bouclé un nouveau chapitre ! Je suis très émue car ça fait plus de 2 ans que je n'avais rien écrit.
J'espère que cela ne se sentira pas trop dans la fluidité et les fôtes...
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comme d'habitude, les personnages et l'univers abordés dans cette fanfiction ne m'appartiennent pas et sont la propriété de Marvel Comics, Disney, Hollywood et tout le tralala...
Seul le personnage d'Abigaïl "Abie" Northman est ma possession jalouse et exclusive ^^
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Enjoy, et n'oubliez jamais : Love is life :)
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Lorsque le transfert s'acheva, Abie crut qu'elle allait mourir tant la sensation de déstabilisation fut grande.
A ses côtés, Thor et Loki se tenaient parfaitement droits et frais, alors que Jane verdissait quelque peu. Les princes accordèrent quelques instants à leurs compagnes pour se remettre de leurs émotions, quand la jeune femme, reprenant constance, se redressa et écarquilla les yeux.
Devant elle se dressait un homme immense, tout d'or vêtu, les surplombant de toute sa hauteur. Elle vit, à travers les pans brillants de son armure, que sa peau était d'ébène et qu'un étincelant regard couleur de bronze les toisait fixement.
Après un court instant de flottement, il accorda un respectueux signe de tête aux deux Ases.
« Mes princes. Le Père de Toute Chose attend votre retour avec une grande impatience. Ne le faites point trop attendre. »
Puis, il adressa un signe de tête tout aussi poli aux deux mortelles, la première totalement stupéfaite en explorant du regard les merveilles qui scintillaient au-delà du pont Arc-En-Ciel, la seconde plus habituée abordant un sourire timide.
« Lady Jane. Lady… Abigaïl. » Il s'adressa à nouveau aux deux princes.
« Vos montures sont à votre disposition. »
Et sans plus de cérémonie, il leur tourna le dos et reprit sa place, sur le rebord du monde, le regard dans le vague.
Les deux frères, cavaliers émérites, aidèrent galamment leurs compagnes respectives à monter en selle sur les élégants pur-sang piaffants d'impatience qui les attendaient. Peu à l'aise, Abie admira sans retenue la qualité royale du cuir qui composait la selle du cheval noir de Loki, le pommeau sculpté, les entrelacs incrustés d'or et de pierreries qui couraient jusqu'aux étriers. Les deux hommes se hissèrent à leur tour, et lancèrent les bêtes dans un galop modéré. La jeune femme agrippa frénétiquement les pans du manteau de son amant, évitant de regarder en bas : décidément, la perspective de chevaucher sur un pont translucide surplombant l'immensité du vide galactique ne lui plaisait vraiment pas.
Alourdis par leur double charge, les chevaux mirent plus de temps que d'ordinaire pour rallier les portes de la cité. Jane, mal à l'aise et avec un sourire gêné, adressait de timides signes de la main à la foule en liesse qui accueillait le retour de leurs princes. Abie, elle, contemplait sans bouger cette assemblée bigarrée, joyeuse et bruyante, et ne manqua pas de noter que la joie du peuple était surtout destinée à sa cousine et à son blond fiancé, qui souriait de toutes ses dents à son royaume venu l'accueillir. Personne n'acclamait Loki, et les seuls regards qu'on lui adressait étaient noirs, haineux ou fuyants. Le prince les ignora superbement et engagea sa monture dans les pas de son aîné.
Après une marche qui parut interminable à la jeune femme, ils parvinrent enfin aux pieds d'un escalier démesuré, dont Abie se dit qu'il lui faudrait une heure pour le gravir. Mais il n'en fut rien, car les deux frères poursuivirent leur route en engageant leurs chevaux sur les marches. Ce fut une fois devant une non moins monumentale porte à double battants, sévèrement gardée par double rangée de gardes à la lance tendue, que les hommes descendirent de selle et que Jane et Abie en firent autant, aidées par leurs compagnons.
La double haie de garde s'écarta d'un seul mouvement, et les portes s'ouvrirent lentement dans un grincement… majestueux, pensa Abie. Tout ici transpirait la gloire et la démesure. Elle ne s'en sentait que plus insignifiante, et elle sentit son cœur s'emballer d'angoisse. Loki resserra sa prise sur sa main, sans un regard pour elle. Mais ce simple geste lui insufla un peu de courage et elle se résigna à le suivre le plus dignement possible. Comme si elle pouvait être digne accoutrée de la sorte. Même sa robe de bal de promo était moins extravagante…
Les gardes disposés le long de l'interminable hall ne bronchaient pas et fixaient l'horizon, la lance au repos. Des courtisans – supposa Abie – s'écartaient sur leur passage en s'inclinant respectueusement, des regards surpris sur Loki et parfois sur la jeune femme. Elle vit d'ailleurs deux femmes, sobrement mais élégamment vêtues, venir se placer derrière Jane, à distance raisonnable. Celle-ci leur adressa un signe de tête gêné en guise de salut. Abie vit d'autres femmes vêtues de façon similaire suivre certaines dames richement habillées et parées dans la galerie ; elle en conclut qu'il devait s'agir de suivantes ou de dames de compagnie pour les aristocrates. En tant que fiancée du prince héritier, il était logique que Jane bénéficie de ce genre de garde rapproché… Elle frissonna à l'idée d'être elle-même affublé de ce genre de suite, mais en jetant un coup d'œil discret derrière elle, elle ne vit aucune servante la suivre. Loki avisa son inquiétude et sourit finement.
« Tu n'auras pas droit immédiatement à une suite princière, ma chère. Après tout, tu es une invitée de dernière minute, et Mère n'a donc pas pu prévoir de désigner une escorte pour toi. Je pense d'ailleurs que ce manquement au protocole risque de l'agacer et elle va me sermonner pour ça. » acheva-t-il, un semblant de mou ennuyée sur le visage.
« Tu crois vraiment que la priorité de la reine sera d'houspiller son fils pour ne pas l'avoir averti qu'il ramenait sa petite amie de son voyage sur Terre ? » ironisa la jeune femme.
« Oui. » répliqua Loki, mortellement sérieux. Abie eut un soupir angoissé, et elle jura avoir vu le dieu esquisser un sourire moqueur le temps d'une seconde avant de reprendre un air impassible.
Lorsqu'elle se concentra à nouveau sur le trajet, ils venaient de déboucher sur une immense salle, au fond de laquelle trônait un nouvel escalier, menant à deux fauteuils d'or gigantesques.
Les trônes d'Asgard.
Occupés par le roi et sa reine, majestueux, imposants, hiératiques, brillants de mille feux.
Abie voulut disparaître dans une feinte du plancher, mais comme ledit plancher était composé d'un superbe dallage de ce qu'elle supposa être une sorte de marbre orangé, parfaitement lisse et sans défaut, elle renonça à cette possibilité fantaisiste.
Les choses sérieuses allaient commencer.
Le roi, Odin, imposant et impressionnant avec son œil borgne, posa sur les nouveaux arrivants un regard monoculaire hautain et froid.
Abie eut l'impression d'être une souris devant un chat. Ou un lion. Plutôt un lion.
Le Père de Toute Chose ne sembla même pas la regarder. Après un bref regard pour son aîné, le bleu de son unique globe se posa plus longuement sur son ténébreux cadet, qui ne broncha pas et conservait son air ennuyé.
Abie baissa imperceptiblement la tête, tant en signe de soumission respectueuse que par peur.
Un froissement de tissu lui fit relever les yeux, alors que la reine, Frigga, dont les yeux aimants débordaient de joie, s'avançait à la suite de son auguste époux.
Enfin, la hiératique stature de la suprême divinité parla.
« Mes fils. Ma chair. Qu'il est bon de vous voir de retour parmi nous. »
« La joie qui est la mienne est grande, père ! » répondit gaiement Thor, Jane souriant timidement à ses côtés.
« Père… Mère… c'est un plaisir. » Énonça doctement Loki d'une voix neutre. Pourtant Abie n'était pas dupe. Elle sentait sa tension et son émotion.
Ses parents durent le sentir également, car elle vit la figure austère du dieu borgne esquisser un mince sourire satisfait, alors que Frigga dépassa son époux et alla étreindre son fils aîné.
« Mon fils, comme je suis heureuse de te voir sain et sauf… Et vous aussi ma toute douce ! » dit la belle déesse avant d'étreindre doucement sa future bru.
Elle se tourna ensuite vers son brun cadet, une tendre expression émue sur son beau visage mûr.
« Mon fils… tu m'as tant manqué… » Dit-elle alors avec émotion.
A ces simples mots, Loki sut alors que sa mère n'avait jamais douté de lui, ni ne lui avait jamais reproché la moindre de ses dramatiques erreurs. Il sentit ses murailles se fissurer et adressa, pour la première fois depuis longtemps, un sourire sincère et dénué de malice à sa mère adoptive.
« Il m'a été douloureux de vous causer du souci, Mère. » répondit-il doucement. La déesse saisit ses épaules de ses mains et les serra brièvement pour témoigner son affection, avant de reporter son attention sur sa compagne.
Abie avait fait son possible pour être la plus invisible possible. Raté, constata-t-elle.
« Et tu nous ramènes une si délicieuse jeune femme ! Mais je n'ai pas le plaisir de la connaître, ni même d'être informée de sa venue parmi nous. » Ajouta-t-elle, sévère, à l'attention de son cadet. Il releva la tête et se tourna vers Abie, un regard pour son père, immobile devant eux, son œil unique fixé sur la jeune femme.
« Père, Mère, permettez moi de vous présenter Abigaïl Northman. Ma compagne. Elle fut sur Midgard mon guide, mon hôte et ma… rédemption. C'est une femme d'une qualité exceptionnel et aux multiples talents, qui gagne à être connue et aimée de tous. » dit-il d'une voix forte et claire, audible de toute l'assemblée.
Abie sentit son visage s'empourprer sous les compliments, alors que l'assemblée toute entière l'observait à présent.
Saisissant les pans de sa robe, elle s'inclina d'abord devant Odin, puis devant Frigga.
« Vos Majestés, c'est un honneur bien trop grand pour ma modeste personne, que d'être présentée à vous » réussit-elle à dire sans bafouiller d'une voix qui ne tremblait presque pas.
Frigga lui adressa alors de suite un sourire des plus maternels.
« Vous êtes ravissante ma chère. » affirma la reine, souriant à pleines dents. « il me tarde d'être au banquet de ce soir pour faire plus amplement votre connaissance. Il est évident que nous allons dignement fêter votre retour, qu'en dites vous très cher ? » Demanda la reine en se tournant vers Odin, dont l'œil unique fixait toujours Abie, mal à l'aise.
« J'en dis, ma chère reine, que si votre fils cadet tient indubitablement de vous sa malice… il tient à n'en pas douter de mon goût exquis en ce qui concerne le choix de sa compagne... » Répliqua le Père de Toute Chose sur un ton plaisant.
Loki eut un sourire moqueur, et Abie jura avoir entendu Jane glousser dans son dos.
Le roi et la reine prirent alors congé après que leurs fils et leurs compagnes les aient salués une dernière fois, et Abie suivit Loki qui se dirigeait vers ses propres appartements.
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Abie mordit sans retenue l'épaule gauche du dieu qui l'avait plaqué contre le mur ; C'était ça ou crier son plaisir et rameuter tout le palais royal quant à leur occupation du moment…
Collée contre le marbre froid, entre deux tapisseries richement colorées, la brune avait repliée ses jambes autour des hanches de son amant, qui allait et venait sans délicatesse entre ses cuisses, s'enfonçant profondément en elle, ses deux mains agrippées sous les fesses de la jeune femme pour la maintenir à sa hauteur. Elle avait enroulé ses bras autour de ses épaules et griffait son dos, les yeux clos et la respiration saccadée alors que l'asgardien l'embrassait dans le cou. Alors que sa tête heurtait une nouvelle fois la pierre, Loki la porta jusqu'à l'immense lit qui trônait au centre de la pièce et dont les voilages étaient relevés sur le baldaquin. Il la posa sur le dos et s'empressa de reprendre là où il avait brièvement stoppé quand la jeune femme le repoussa fermement pour le chevaucher ; il lui adressa un sourire lubrique et garda ses mains calés sur le postérieur de son amante alors qu'elle s'empalait sur lui, les yeux mi-clos et ses doigts courant sur son torse.
Elle avait les joues rouges, le front moite de sueur et ses boucles brunes lui collait à la peau ; les sinuosités des cicatrices de son buste et de son ventre lui donnaient un air sauvage, tribal. N'y tenant plus, il se redressa et la repoussa en douceur. Surprise, elle se retrouva assise sur le matelas, mais elle n'eut pas le temps de s'interroger qu'il la saisissait par les bras pour la faire pivoter.
La jeune femme se retrouva à quatre pattes sur les genoux et lui tournant le dos. Il l'agrippa fermement par les hanches et entra une nouvelle fois en elle, se noyant dans le plaisir que lui donnait l'instant. Dans cette position, ils avaient autant de pouvoir l'un sur l'autre, lui d'imprimer un brutal mouvement de poussée, elle d'onduler du bassin et d'avancer ou de reculer à sa guise, ce dont elle ne se privait pas. Les sensations procurées par cette situation arrachèrent rapidement un gémissement à Abie, ce qui excita d'autant plus son divin amant.
Celui-ci ferma les yeux et sentit que son orgasme ne tarderait plus aussi il augmenta la cadence et la jeune femme arracha un des nombreux coussins du lit pour mordre dedans à pleine dent et étouffer un cri de jouissance. Il sentit la chair intime se resserrer autour de son membre et ce fut le moment d'extase où il exulta son plaisir dans un grognement, ses doigts crispés sur la peau moite de sa partenaire.
Il rejeta la tête en arrière en s'accordant encore un instant de mouvement alors qu'elle se laissait retomber sur le matelas. Il la lâcha alors et s'écroula à ses cotés, sur le dos, un sourire satisfait sur les lèvres.
Abie demeura à plat ventre, ses boucles brunes éparpillées autour de sa tête et masquant son visage. Amusé, il promena un doigt léger de son épaule à sa hanche, lui donnant la chair de poule. Elle releva la tête, les yeux brillants et les pommettes écarlates.
« Wouah. » Se contenta-t-elle de dire d'un sourire rêveur. « C'est d'être rentré chez toi qui te donne tant de… fougue ? »
Loki lui adressa un sourire amusé.
« Ma condition retrouvée de dieu d'Asgard me rend visiblement plus endurant que lorsque j'étais privé de tout pouvoir. » Répondit-il d'un ton narquois, ses doigts remontant en une caresse légère le long de sa colonne vertébrale. Abie ne répondit rien, fermant des yeux et savourant le bien-être dans lequel elle flottait.
Depuis une semaine se succédaient les banquets, représentations et figurations.
Le Père de Toute Chose avait tenu à célébrer publiquement le repentir de son fils cadet, au grand désespoir de celui-ci, que toutes ces mondanités n'attiraient guère. Thor exultait et descendait des tonneaux d'hydromel, Jane rougissait dès que quelqu'un venait s'incliner devant elle en l'appelant Votre Grâce – comme il sied à une future épouse royale – Loki évitait autant que possible les sollicitations et autres salutations hypocrites ou méfiantes, alors qu'Abie, résistant vaillamment à l'envie de fuir en courant qui l'avait prise, s'était retrouvée propulsée sur le devant de la « scène », présentée comme la concubine royale du cadet des princes d'Asgard – son amant étant encore officiellement marié, chose qu'à priori tous s'appliquaient à oublier avec soin.
Il y avait encore banquet ce soir là. Chaque soir, notait Abie. Chaque dîner était l'occasion de célébrer quelque chose avait-elle l'impression. Comme si les asgardiens se donnaient des raisons pour s'enivrer et s'empiffrer avec gaiété.
Ils traversèrent donc une énième fois, ce soir là, la salle du trône pour s'engager dans une coursive latérale. Coursive qui devait quand même faire la taille de la 42ème Avenue de New York, nota Abie.
Le couloir débouchait sur une autre salle monumentale, occupée par de multiples rangées de tables chargées de couverts, de vaisselle rutilantes, croulantes de fleurs et de chandeliers immenses dont les flammes répandaient une chaleureuse lumière, auxquelles s'ajoutaient le rayonnement d'immenses plafonniers de cristal.
La première fois, une telle opulence avait laissé Abie bouche bée. Elle n'avait jamais vu un tel faste. Sur une estrade se dressait la table royale, surplombant le reste de l'assemblée.
Abie apprécia avec soulagement de pouvoir enfin s'asseoir et soulager ses pieds peu habitués aux chaussures luxueuses qu'elle avait aux pieds depuis une semaine. Le palais était immense, et le trajet pour se rendre des appartements de Loki jusqu'à la salle de banquet suffisait à lui donner des ampoules.
Elle était encadrée par Loki à sa gauche, et sa mère à sa droite, qui chaque soir lui posait mille et une questions sur elle, sa vie, le travail de rédemption qu'elle avait accompli avec son fils chéri. La reine avait un regard empreint de gaieté et de malice. La même malice qu'elle avait parfois vu briller dans les yeux de Loki quand celui-ci se laissait aller à un peu de légèreté. Elle en avait été émue et avait immédiatement aimé cette femme, comme l'asgardien le lui avait prédit.
Peut-être que finalement, elle survivrait à son séjour ici… songea-t-elle alors qu'une horde de serviteurs richement vêtus venaient de débuter leur valse de distribution de plats et de pichets débordants de boissons.
Un orchestre qui se trouvait au centre de l'assemblée entama alors de joyeux airs, et la jeune femme accepta en souriant la coupe d'hydromel que son amant venait de lui tendre.
« Sans vouloir remettre en cause ton sens de l'hospitalité… ne trouves-tu pas que sur Asgard, nous avons réellement le sens de l'accueil ? » déclara-t-il d'un ton narquois.
Abie lui adressa un sourire faussement courroucé et trinqua.
« Tout n'est que question de proportion, prétentieux personnage. »
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Elle venait de porter sa coupe à ses lèvres et d'en déguster la première gorgée, lorsque la cicatrice entrelacée entre son cou et ses seins se mit à la brûler intensément.
Stupéfaite par la douleur, elle lâcha brusquement son gobelet et baissa les yeux sur sa poitrine.
Une fleur écarlate souillait le tissu de sa robe et elle porta une main sur la tâche saignante qui s'agrandissait, hoquetant de douleur.
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La jeune femme eut juste le temps de voir le visage de Loki, ravagé par l'inquiétude et de sentir ses bras musclés l'enlacer, avant de sombrer dans les ténèbres.
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La suite, je sais pas quand, mais pas dans 6 mois, promis ! j'ai déjà la moitié du chapitre d'écrit :D
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