Nouvelle exploration sur fond de Rollo. Cette fois racontée à la troisième personne avec alternance des POV puis retour à la narration à la première personne ^^ Déso pour ce petit détour XD Ca va être comme ça avec Rollo ; des rencontres et encore des rencontres lol
Chapitre 400 : Yours to hold
Rollo trouva enfin une source de rafraîchissement qui lui était bienvenue : l'une des fontaines de la place annexe à celle, plus vaste, où se déroulait le festival !...
Couvre-chef sur le rebord en pierre, appuyé sur ses bras, voûté en avant, il suffoquait. Et ce n'était pas lié aux températures extérieures, oh non !... Son corps le brûlait littéralement de l'intérieur !...
Rien n'allait plus depuis qu'il l'avait croisé...
Il secoua la tête. "Non, non... pense à autre chose, bon sang !... Cette fille t'a ensorcelé !..."
Il trempa son mouchoir dans l'eau claire pour s'éponger le visage, dans des gestes fébriles, et ouvrit même les quelques boutons du col de sa tenue pour s'apporter un frais soulagement.
"Rollo... tu dois... te ressaisir... vite !" monologuant, complètement agité, faisant penser à un fou, pour peu qu'il fut encore échevelé.
Il finit par s'installer sur le muret, observant les mouvements de la foule avec un regard fixe.
Ce n'était ni le lieu ni l'endroit pour perdre ainsi tout sens commun !...
Il avait une réputation à tenir, que diable !
Et cette... mmm... ooooh... oui... s'enfermer dans la première pièce borne venue et s'empoigner !... Oui, oui, oui !... Quelle réjouissante perspective !...
Rollo !
Il attrapa son chapeau pour s'en couvrir les cuisses ; son érection était si vive qu'elle déformait tout le haut de sa longue tunique.
Il crispa la mâchoire, menton levé. C'était une véritable torture !...
Cette fille, en une journée, venait de réduire à néant des années mises au service du personnage public qu'il s'était forgé. Il n'avait guère ménagé ses efforts et avait travaillé sans relâche, allant jusqu'à se priver de sommeil, pour obtenir le place de Président du Conseil de l'École ainsi que devenir le gardien incontesté de la Bell of Salvation.
Et cette fille, cette... troubadour de malheur... venait de tout ruiner !... En une seule journée !
La fureur venait de se joindre à l'exaspération sexuelle pour offrir à Rollo un cocktail détonnant.
"Laissez-moi... tranquille... je ne..." crispant les dents qu'il avait ma foi blanches et très joliment alignées.
Il n'avait jamais goûté aux joies du sexe, se l'étant interdit. Il avait sacrifié ses pulsions sur l'autel de la réussite.
A présent, ce qu'il avait refoulé, éteint en lui, venait de ressurgir avec un rugissement démesuré et une force que lui-même ne soupçonnait pas.
Elle était en train de le perdre !... De totalement le perdre !...
"Sir Rollo !..."
L'appel raidit tout son corps d'un seul tenant.
C'était elle... et elle venait à sa rencontre.
Il maintenait son regard sur la foule, se refusant de la regarder. Pas elle. Pas maintenant !
"Je nous ai pris des croissants chauds à la boulangerie." s'installant à ses côtés, cuisse touchant la sienne.
Il s'écarta, comme brûlé par la flamme du contact.
Il se consumait. Son corps, sa raison. Tout était ravagé par l'appétit de cette passion dévastatrice qu'elle venait de faire naître en une seule, misérable, journée !
Elle lui tendit un croissant dans une petite serviette. "Vous n'en voulez pas ?"
"Merci."
Sa voix était comme éteinte. Il attrapa la viennoiserie en prenant garde de ne surtout pas effleurer ou entrer en contact avec ses doigts, ce qui manqua de faire chuter le croissant !
"Vous me semblez exténué." glissant les doigts dans ses cheveux clairs.
"Ne me... Ne me touchez pas !..." se reculant vivement, presque hors de portée.
Elle cligna, finissant par presque s'en amuser. "Vous me semblez vraiment à fleur de peau."
Il mordit férocement dans le croissant comme s'il s'agissait de son extrême frustration.
"Le spectacle ne vous a pas convenu ?..."
Le spectacle ? Ha, parlons-en !... Votre partenaire de voltige est-il aussi votre partenaire de lit ? La question taraudait l'esprit échauffé de Rollo. Et vos jambes que vous montrez sans aucune vergogne, représentation après représentation, à tous les hommes du public ?! On nomme cela de l'impudicité, Mademoiselle !...
Il secoua la tête pour toute réponse.
Elle scruta soudain les deux hautes tours du clocher de l'école. "Dites... vous pensez qu'il est possible d'y grimper ?"
"Bien sûr. Je le fais tous les jours."
Et tout à l'heure j'irai m'y dépenser en m'imposant le double des marches !...
"Oh, vous m'y ferez monter, n'est-ce pas ?"
"Si vous insistez."
"Savez-vous monter à cheval, Sir Rollo ?..."
"Évidemment, que croyez-vous ?" piqué au vif.
Il venait de terminer son croissant presque sans le mâcher ni savourer le subtil goût de beurre.
"Comme nous ne restons qu'une semaine, je souhaite tout voir ici !..."
Une semaine... c'est long. C'est. beaucoup. trop. long. Comment vais-je pouvoir... résister ?... Où en trouverais-je la force et la volonté ?... Puisque vous vous obstinez à vouloir passer du temps en ma compagnie...
"Puis-je vous poser une question ?"
"Oui, bien sûr." souriante.
"Votre... partenaire... c'est bien comme cela que l'on dit, n'est-ce pas ?"
"Mon partenaire ?"
"Oui, celui avec qui vous pratiquez votre discipline..."
"Ah, Sebastian ?"
Petit geste pour éluder le prénom.
"Oui ?"
"Est-ce... votre bon ami ?..."
Rollo n'avait pas osé la regarder dans les yeux lorsqu'il vint faire tomber la question, observant le mouvement régulier de son pouce, mains placées sur le haut de son chapeau toujours sur ses cuisses, caressant l'espace entre le pouce et l'index de sa main opposée.
Elle rit. Si fraîche, si spontanée que cela donna un nouveau coup au cœur déjà meurtri du jeune homme.
"Nous sommes très libres, vous savez." avec un air parfaitement fripon. "Lui, moi... nous ne nous enfermons pas dans une relation de couple."
"Voilà qui est... osé." posant son mouchoir trempé sur le nez et la bouche.
"Et vous, Sir Rollo, avez-vous une bonne amie ?..."
"Dieu ! Mes études me prennent tout mon temps !..."
Ne pas la regarder. Ne. surtout. pas. la. regarder. Rollo, fais-toi violence !... Ce regard serait celui de trop !... Il te prendrait l'envie folle de l'embrasser... de... l'étreindre aux yeux de tous !... Ta réputation, ta si précieuse et sérieuse réputation s'en trouverait à jamais ruinée !
Tempère-toi, Rollo... fixe quelque chose, n'importe quoi ! Le bout de ses chaussures. Oui, voilà, fixe le bout de... non ! Ne lève pas... les yeux... Ne... Rollo !...
Son profil. Rollo s'en pinçait la lèvre inférieure, attisé.
Maintenant. Passer la main dans sa nuque et l'attirer à tes lèvres.
Alors que son érection venait enfin de trouver un semblant de repos, la voici qui repartait de plus belle !...
Il remonta son chapeau plus haut. Si elle venait à s'en rendre compte, la honte le consumerait totalement !... Il irait se jeter dans la Rivière Soleil !...
"Vraiment ? Aucune n'a trouvé grâce à vos yeux ?..."
"Je ne... m'en suis guère accordé le temps, voyez-vous." irrité qu'elle le débusque ainsi.
"Pourtant... joli garçon comme vous l'êtes..."
Ça !... C'était un véritable coup sous la ceinture, Mademoiselle !...
"Cessez de dire... des inepties." de plus en plus confus.
"Oh, je le pense. Et je ne suis sans doute pas la seule. Après, si vous ne vous laissez guère approcher, c'est un autre pro..."
Rollo venait de se relever prestement. La tension ne lui était plus tenable. "Permettez que je vous quitte. Je dois effectuer un tour de garde dans le clocher."
"Oh, je peux vous accompagner, Sir Rollo ?" sautant elle aussi sur ses jambes.
La peste soit de cette idée absurde !
Pense à autre chose. Aux mathématiques, aux lettres, vite ! Pense à autre chose qu'à lui enserrer férocement les hanches, en y crispant les doigts, à l'embrass... PAR L'ENFER ! Embrasse-la !
Rollo se rassit.
Elle observait son manège.
"Vous avez gagné." résigné, presque éteint.
"Par... don ?..."
"Ne voyez-vous pas que je lutte désespérément depuis que... nous avons lié connaissance ce matin même ?..."
Son air, affecté et tourmenté, la fit s'accroupir devant lui, avant-bras croisés au niveau de ses genoux, admirant la superbe contreplongée sur son visage de statue religieuse parfaitement taillée.
"Il ne faut pas vous mettre dans cet état, Sir Rollo. A nos âges, tout ceci est bien naturel."
Elle le prenait si... simplement !... Alors que lui se débattait !...
"Vous ne comprenez pas... ces pensées me... révulsent... de telles idées vous... souillent. La passion... consume tout sur son passage, n'en laissant que des cendres !..."
"Vous ne pensez pas que vous devriez me laisser seule juge de ce qui est susceptible de me souiller ou non ?..."
"Je ne... Je suis à la dérive... Je ne connais pas même votre prénom et me permets de vous imaginer bien plus que nue... c'est... grossier. Grotesque. Infamant. Vous auriez toutes les raisons de m'en vouloir."
"Rollo. Ne restez pas ainsi."
"Que suggérez-vous ?..." avec malaisance, étouffant soudain malgré le col haut déboutonné.
"Je me ferai un plaisir de vous montrer combien cela peut être agréable. Comment nous pourrions partager nos nuits."
"Vous... non, non, par pitié... je vous en conjure, ne me tentez pas davantage que je le suis... Je ne vous mérite pas, je... pas maintenant. Pas avec de telles pensées impures."
"Cela ne me dérange pas. Et vous ne devriez pas en avoir honte, Rollo. Nous sommes ainsi faits."
"Je crois que... je déteste cette chair qui se débat en moi..." sur une moue parfaitement révulsée, omettant totalement de la camoufler de son mouchoir.
Elle se relève. Il semble plus calme.
"Voilà Sebastian."
En effet, le saltimbanque venait à leur rencontre.
"Je vous en supplie, n'en dites rien."
"Je ne comptais pas le faire." sur un petit sourire.
Rollo ferma la porte et y plaque le dos. La nuit promettait d'être longue...
Il était exténué de toute cette tension qu'il avait ressentie au cours de la journée, sans aucun relâchement !...
Il quitta ses ornements d'apparat et ouvrit les boutons de sa soutane, versant de l'eau dans une cuvette pour une toilette sommaire.
Il était rompu comme s'il avait visité le clocher des centaines de fois en prenant les marches quatre par quatre !...
Il enfila sa chemise de nuit en lin épais puis regagna son lit, s'endormant presque immédiatement.
Ce qui le réveilla, peu avant l'aube, fut cette même, maudite tension phénoménale nichée dans ses reins, que la fatigue était parvenue à dompter temporairement mais qui ressurgissait une fois le corps reposé et l'esprit vif !...
Son sexe, rigide à en être douloureux, gonflé d'un impétueux appétit, venait triomphalement étirer le tissu de sa longue chemise.
Rollo bascula du flanc sur le dos, main irrésistiblement attirée par l'outrancier renflement. Le toucher l'électrisa comme s'il était placé sous haut-voltage !...
Il louait tous les dieux que son statut lui fasse bénéficier d'une chambre individuelle, à l'inverse de ses camarades consignés au dortoir.
Le sexe sensible ne mit pas longtemps à répondre à l'attouchement, se dressant avec autant d'appétit qu'il semblait à Rollo qu'il allait imploser !...
Il se caressait par-dessus le tissu et, Seigneur, c'était déjà un délice sans nom.
Rollo se perdait progressivement, paupières mi-closes, pupilles à la dérive, commençant à fantasmer à voix haute. "Je... te désire tellement !..." emporté par la sensation exquise. "Je ne tiendrai pas... un jour de plus... Tu me rends... si vivant !... Si... animal !" se caressant toujours, main de plus en plus vive.
Son envie était telle qu'elle le dévorait de l'intérieur !...
Il se tordait tel un ver dans son lit, jambes cherchant l'appui le plus efficace, sexe de plus en plus haut.
Il remonta la chemise pour la rabattre sur sa poitrine, se cherchant à même la peau.
Gasp !
C'était... abominablement renflé, érigé et d'une dureté absolument remarquable !
Rollo n'en était certes pas à sa première tentative mais jamais, ô grand Dieu jamais, il ne lui avait semblé que ce fut aussi étendu en diamètre et sensible !...
Il en devint totalement euphorique, mouvements ne cessant plus, appelant la jouissance au renfort d'un rythme soutenu.
Il se cambrait puis heurtait à nouveau le dos au matelas, sentant une lave volcanique tournoyer dans son bas-ventre, cherchant à quitter la nappe qui venait de la couver.
"JE TE VEUX !..." dans un rauque terrible, comme un éclat de voix.
La jouissance le cueillit enfin, sexe rendant une semence laiteuse, se répandant en lui éclaboussant jusqu'au menton tant elle était impétueuse, la garce !...
Rollo en eut presque un fou-rire tant la situation lui paraissait irréelle.
"Etes-vous prête ?..." se découvrant la tête devant moi.
Sebastian, à la lecture du journal, leva brièvement le regard sur lui. Aucune salutation. Sebastian ne peut absolument pas cadrer ce genre de personnage "impropre à la consommation".
J'ai revêtu une jupe peu lourde, aisée à saisir pour grimper les marches menant au clocher.
Sebastian laisse volontairement courir son regard incandescent sur moi, ce qui ne manque évidemment pas d'échapper à Rollo qui camoufle le bas de son visage de son précieux mouchoir, observant le jeu de Sebastian avec un dédain certain.
"Si légère qu'un faible coup de vent viendrait à tout révéler..." lâche Sebastian, amusé.
Rollo enfonce le nez dans son mouchoir.
"Quelle grossièreté." me signale Rollo, en chemin, évoquant la remarque de Sebastian.
"Allons. Il n'a fait qu'exprimer tout haut ce que vous pensiez tout bas."
Rollo cesse son pas, outré, finissant par sourire. "Vous me... débusquez si aisément..."
"Et cela vous gêne-t-il ?..." me retournant.
Nous pénétrons au pied de l'une des deux vastes tour. L'escalier est en colimaçon, fabriqué en matériaux dur. Il y a ensuite un escalier en bois, plaqué aux pans de murs qui permet d'accéder au plancher de la charpente soutenant les impressionnantes cloches.
"Permettez que je vous précède." commençant à gravir les marches, fort de l'exercice quotidien qu'il s'impose. "Si vous en éprouvez le besoin, nous pourrons faire des haltes."
L'escalade se passe sans halte, à la surprise de Rollo.
Nous voici sur le plancher en bois.
Devant nous, la glorieuse Bell of Salvation, coulée en or.
Rollo lui voue un véritable culte. "Elle possède une vertu magique ; celle de rendre meilleur le cœur des hommes. Et d'éloigner les calamités."
J'aurai presque envie de ricaner. On ne peut pas dire qu'elle ait eu beaucoup d'effet sur toi, Rollo...
"Ce doit être proprement assourdissant lorsqu'elles s'actionnent."
"En effet. Avant mécanisation, plusieurs hommes étaient nécessaires pour les actionner. Ils étaient choisis sourds. Les bien-entendants y laissant à coup sûr l'ouïe."
Nous faisons le tour, profitant de la vue à 360 degrés qu'offre le clocher.
Le lieu est apaisant, comme coupé du monde du fait de sa hauteur.
"L'homme a toujours voulu toucher aux cieux." dis-je. "L'orgueil l'y pousse."
Il me fixe. "Quelle vision pessimiste de la condition humaine."
"Je ne suis pas du genre à me bercer de contes et d'illusions, Sir Rollo."
"Il n'y a véritablement qu'une païenne pour tenir d'aussi humiliants propos dans un lieu aussi engagé."
"Votre nuit a-t-elle été agréable, Sir Rollo ?..." avec un petit sourire explicite. "Votre main s'est-elle égarée là où nul être n'a, jusqu'à présent, été autorisé à s'inviter ?... Vous êtes-vous perdu jusqu'à crier à la jouissance ?..."
"Impudique." couvrant son nez de son mouchoir aux motifs célestes. "Si les femmes savaient à quel point le désir qu'elles suscitent heurte le corps des hommes..."
"Le corps, uh ?... Point le cœur ?"
"Nous avons appris à mieux nous préserver des sentiments que du désir."
"L'un engage moins que l'autre."
"Cruelle."
Je me saisis délicatement d'une de ses mains, la droite, celle où trône l'imposant rubis taillé en losange, serti dans de l'or pur.
"Vos mains sont exceptionnelles... c'est rare d'en voir d'aussi fines et aux doigts aussi longs. Visiblement, vous en prenez grand soin." appréciant le soyeux de sa peau.
"Vous vous autorisez à me toucher..." ramenant son mouchoir sur le nez, de sa main gauche, troublé. "... sans aucun accord préalable. Qu'allez-vous me dérober de plus ?..."
"Votre vertu, sans doute."
"Vous me... tourmentez... vous me..." glissant sa main hors de portée pour me saisir par les bras, serrant fort, regard planté dans le mien, attisé par un feu consumant.
Ses lèvres viennent brutalement se poser sur les miennes. Le baiser est âpre. Lèvres se mouvant à peine, initiant simplement un jeu de pression totalement déplaisant.
Il cesse, baissant la tête, honteux de ses piètres talents malgré un corps enflammé. "Enseignez-moi..."
Son orgueil, si vivace, est terriblement malmené.
Je lui fais libérer mes bras, avançant les mains jusqu'à son visage pour en effleurer les principaux traits ; joues, front, nez, menton, terminant par les lèvres, du bout de la pulpe des doigts. Frissons délictueux, ravissement total. Ses lèvres picotent agréablement en retour. Sa bouche s'entrouvre. Le désir n'est plus qu'un souffle.
"Je serai ta guide. Mais pas ici... il faut que nous ayons du temps devant nous et j'ai... une représentation à donner."
J'attrape Sebastian par l'avant-bras, m'y laissant pendre dans le vide, coupant le souffle au public. Je sais que Sebastian est un partenaire sûr et que sa force de démon en fait le meilleur allié.
"Votre aisance dans les airs tient du miracle." annonce Rollo, planquant une moue derrière les motifs célestes de son mouchoir.
Sebastian hausse le sourcil, amusé. Je m'attends à une réplique cinglante.
"J'imagine que la légèreté demeure un concept hors de portée pour un terre-à-terre."
Pli méprisant du visage.
Sebastian 1 - Rollo 0.
