Hellooo à vous chers lecteurs ! Je suis de retour pour vous donner de la lectour XD ce chapitre est encore en avance car ce Lundi je ne pourrais pas publier pour raisons personnelles, hein ? comment ça je vais consacrer ce temps à torturer de pauvres personnages de fanfics ? je ne vois pas de quoi vous parlez !

Miss MPREG : Heyyy merci à toi pour tes reviews !

Oui c'est cool hein ? Eileen reprends des forces et un peu de son girlpower, yeaaaah ! moi aussi ce passage était mon préféré héhé. Alors, pour tes questions, oui elle à obtenu le divorce, enfin avec une baguette pointée sous le nez, Tobias avait po vraiment le choix on vas dire XD Aaaaah les Evans, ce chapitre devrait répondre à tes interrogations.

Ah oui ? quelle hypothèse ? en as-tu d'autres ? dis-moi tout ?

melu49 : Merci beaucoup pour ta review, elle me fait chaud au coeur.

Bon les cocos, faites péter les reviews ! pour ceux qui lisent les notes d'auteurs et j'espère que vous le faites tous...dans le prochain chapitre je vais lancer un défi ou plutôt un concours de prénoms, à vous de choisir et mon préféré figureras dans la suite de l'histoire ! Bonne chance à vous.

Bonne lecture mes amis lecteurs


- Je vous jure sur les chaussettes à paillettes de Dumby que je ne l'ai pas fait exprès ! S'exclama Sibylle en se vautrant sur la banquette du compartiment ou la bande de Serdaigle se trouvait.

- Sibylle, sérieusement, commença Pétunia un sourire moqueur aux lèvres, je te rappelle que le professeur MacLeod t'a retrouvée te baladant dans les cachots à trois heures du matin en chantonnant : petit petit Troll, ou-es-tuuuu ? Puis, selon une source dont je tairais le nom tu t'es jetée sur le prof d'arithmancie en criant : Sort de mon école vilain géant puant ! Finit-elle alors que tous étaient pliés de rire.

- Ce n'est pas de ma faute, j'étais persuadée qu'il s'agissait du Troll que je cherchais, ronchonna la brune en remontant ses lunettes.

La petite troupe fut interrompue par l'arrivée de la dame aux bonbons qui passait dans le couloir pile à ce moment-là. Pétunia observa Xenophilius et Septima se jeter sur le chariot pour commander de quoi grignoter.

Jamais, en arrivant à Poudlard, elle ne se serait doutée qu'elle se serait fait autant d'amis et surtout pas CE genre d'amis. Elle coula un regard sur ceux-ci et une petite voix dans sa tête lui confirma sa pensée. Jamais Pétunia Dursley n'aurait accepté de s'approcher d'une voyante au don plus que douteux et imprévisible ou même sur Xenophilius qui était une bizarrerie à lui tout seul avec ses chemises loufoques et ses chaussettes toujours dépareillée. Septima aurait peut-être eu une chance, enfin, si elle n'était pas autant férue de paris en tout genre.

La jeune fille sourit en se souvenant du dernier pari en date. Septima avait parié que jamais au grand jamais Pétunia ne réussirait à obtenir une meilleure note que désolant en défense contre les forces du mal. Et la blonde avait gagné ! Bon elle avait triché en demandant de l'aide à Terrence Moon et s'était encore plus endettée auprès de celui-ci mais cela en valait la peine puisque Septima lui devait à présent un gage.

Ou du moins elle lui en devrait un après ces vacances de noël.

- Je vais surement passer les fêtes en tête à tête avec l'elfe de maison, fit la brune avec un air ennuyé de celle qui avait l'habitude.

Pétunia se souvint que les parents de Septima étaient d'éminents chercheurs du département des mystères ce qui expliquait en partie pourquoi leur fille se retrouvait souvent seule et avait été élevée en grande partie par l'elfe de maison de la famille.

Quand les regards se portèrent sur eux, Xenophilius et Sibylle se rembrunirent.

- Maman et moi irons au bal de noël de la famille Malfoy comme chaque année, soupira le blond comme si on le menait à l'échafaud.

- Pourquoi tu dois aller chez les Malfoy, Xeno ? Demanda Pétunia alors que l'image de Lucius Malfoy, l'énervant cinquième année de Serpentard refaisait surface dans son esprit.

La mère de Xenophilius, Athenodora, est la sœur du père du Malfoy qui est en cinquième, répondit à sa place Sibylle. En tout cas moi je vais m'amuser cette année, mon frère à accepter que je reste avec lui pendant ses heures de travail, je vais donc passer les fêtes à écouter Perseus dévoiler les prénoms qui iront le mieux à ses gosses de sang-pur même pas encore nés.

- En quoi est-ce que c'est censé être marrant ? Demanda Pétunia perplexe.

- C'est marrant car les parents sang-pur font toujours des têtes à mourir de rire en apprenant l'avenir de leur futur bébé puis en se prenant la tête pour trouver le bon prénom qui sera forcément moche et bizarre, fit Sibylle avant d'enfourner une suçaçide en bouche.

Les regards se tournèrent alors d'un bel ensemble en direction de Pétunia qui cligna des yeux avant de comprendre ce qu'on attendait d'elle.

- Oh euh, je vais rentrer chez moi puis avec ma famille nous irons passer les fêtes chez mon grand-père en Irlande. Normalement je vais y rencontrer la sœur de ma mère et ses enfants.

Les quatres amis passèrent les quelques heures suivantes de trajet dans le Poudlard Express à se gaver de bonbons, à rire puis à dormir. Ils avaient eu reçus la visite dans leur compartiment de Jasmine Moon, Pandora Fawley, Bertha Jorkins et les jumeaux Gallagher qui se trouvaient dans le compartiment juste après le leur mais ensuite ils avaient tous finit par s'endormir épuisés. Peut-être était-ce à cause de la nuit blanche qu'ils avaient passé à faire leurs valises à la dernière minute, la veille. Ou alors à la partie de Twister qu'ils avaient fait dans le compartiment une heure plus tôt.

Il en résultait qu'ils ne se réveillèrent qu'au son du sifflet de la locomotive et du chahut dans le couloir. Il fallut alors se réveiller, défroisser ses vêtements, pétunia y tenait particulièrement, la personne qui dirait qu'elle était négligée n'était pas encore née. Puis il fallut faire bouger Sibylle qui ronflait encore légèrement, étouffant Xenophilius qui s'était perdu sous la masse volumineuse de cheveux de la jeune fille à côté de lui.

Quand le train s'arrêta en gare, le petit groupe était prêt, pas tous vu que Sibylle avait encore une trace de bave sur le menton et que Septima vérifiait pour la dernière fois qu'elle n'avait rien oublié mais c'était déjà mieux qu'un Lundi matin de cours, se dit Pétunia pour se rassurer.

Le quai était bondé mais pas autant que lors de la rentrée de septembre, tous les élèves ne rentraient pas chez eux pour les fêtes. Les cinquième et septième année par exemple, qui voulaient réviser un max avant leurs examens.

En débarquant, sa valise derrière elle, Pétunia salua ses amis qui allaient rejoindre leurs familles respectives. Elle observa Xenophilius rejoindre une grande femme au regard couleur de glace et aux longs cheveux aussi blonds que ceux de Lucius Malfoy.

Septima, elle rejoignit un coin du quai et disparut en un clin d'œil. Pétunia ne put s'empêcher d'avoir de la compassion pour elle, ses parents n'étaient même pas venus la chercher et avaient dû envoyer leur elfe de maison à leur place.

Sibylle, qui lui avait déjà fait ses au revoir, passa quelques mètres plus loin, bavardant gaiement avec un homme aux cheveux aussi frisés que les siens et qui la regardait avec un air attendri.

Jetant un regard à la foule de moins en moins compacte se trouvant autour d'elle, Pétunia empoigna la hanse de sa valise et se dirigea en direction du passage menant au monde moldu comme convenu avec ses parents.

Un sorcier se trouvait devant le passage faisant l'aller-retour au travers pour vérifier que la voix était libre et faisant passer les gens qui souhaitaient traverser. Pétunia fit la queue et quand enfin ce fut son tour et que le sorcier l'autorisa à passer, elle traversa.

Il y avait du monde de ce côté de la gare aussi mais les gens étaient toujours en mouvement, se dirigeant et monta dans les wagons qui se trouvaient aux quais neuf et dix.

Ils étaient là. Assis sur un banc un peu plus loin, Lily balançant ses jambes d'impatience. Quand elle arriva près d'eux, ils se redressèrent et Pétunia se figea de surprise et aussi de choc face à sa mère. Celle-ci se tenait un peu en retrait, ses beaux cheveux blonds libres et un sourire éblouissant éclairant son visage pâle. Ses mains, elles, étaient posées sur son ventre qui était déjà bien arrondis.


La famille Evans allait s'agrandir une fois de plus, Pétunia allait avoir un petit frère ou une nouvelle petite sœur et elle ne s'en remettait pas.

Ils étaient rentrés depuis quelques heures et elle finissait de ranger ses affaires dans sa chambre, en profitant pour réfléchir au calme.

Sa mère allait-elle perdre le bébé ? Cet évènement n'était pas arrivé dans sa première vie après-tout, elles n'avaient toujours été que deux, Lily et elle. Elle ne se souvenait pas non plus que sa mère ai fait une fausse couche quand elle avait eu onze ans la première fois.

Mais cela paraissait possible. Dans sa première vie, à cette époque, Lily et elle ne faisaient que de se disputer, de se battre et leurs parents en étaient épuisés et sûrement malheureux, pas vraiment un bon état d'esprit pour remettre le couvert. Mais ici, Pétunia faisait tout son possible pour garder une bonne relation avec Lily, il n'y avait pas de dispute. Il était alors normal, si leurs parents y avaient songé qu'ils tentent d'avoir un troisième enfant. Et cela, même si c'était un accident.

Ils n'en avaient pas vraiment parlé, la situation était plutôt claire, si on se fiait à l'état dans lequel se trouvait Mme Evans. Leur mère en était à peu près à cinq mois de grossesse selon les informations données par le médecin qu'ils avaient consulté et elle accoucherait donc pendant que Pétunia était à Poudlard.

Cela ne plaisait pas à la jeune fille. Pas du tout. Elle aurait aimé être là pour sa mère, pour la soutenir et alléger quelques peu sa charge de travail à la maison mais elle avait confiance en Lily et leur père pour cela.

Ce bébé serait-il, lui aussi, magique ? Se demanda-t-elle soudain. Est-ce que ses parents lui donneraient un prénom de fleur comme pour Lily et elle ? Pétunia avait tant de questions et très hâte que ce bébé vienne au monde. Elle voulait être une bonne grande-sœur pour lui aussi.


La famille Evans était arrivée quelques heures plus tôt au Hameau. Le petit corps de ferme se trouvait dans une région reculée de L'Irlande et un épais manteau de neige recouvrait le paysage à la grande joie des deux jeunes filles qui faisaient un bonhomme de neige.

Leur grand-père leur avait fait visiter plus tôt le domaine et son verger, leur promettant de leur faire des tartes aux pommes une fois l'été venu. Il y avait également une serre qui contenait des plantes médicinales et des aromates, endroits qui devint vite le préféré de Pétunia alors que Lily préférait jouer dans la neige.

Il y avait également un village non loin, de l'autre côté d'un rideau d'arbres qui bordaient la propriété du vieux Cracknell.

Leur grand-père les appela bientôt pour qu'elle rentre se mettre au chaud au coin du feu de la cheminée, là où se trouvaient déjà leurs parents. Leur mère était particulièrement fatiguée par le voyage et leur père était aux petits soins depuis la grossesse, enfin, encore plus qu'à l'acoutumée. Affamées, Lily et Pétunia ne se firent pas priées et abandonnèrent vite manteaux, écharpes et gants au profit d'une grosse tasse de chocolat chaud quand la sonnette retentit.

- Pétunia, peux-tu aller ouvrir ? Cela doit être Helen et les enfants ! Lui demanda son grand-père depuis la cuisine.

- Oui papi !

En se levant, Pétunia entendit nettement sa mère renifler de mépris puis le vieil homme prier sa fille de faire un effort pour s'entendre avec sa sœur. Pétunia se demandait à quoi pouvait ressembler cette mystérieuse tante Helen et si ses enfants étaient proches d'elle en âge. Elle se demandais aussi pourquoi les deux sœurs ne s'entendaient pas mais jamais elle n'avait osé poser la question à ses parents.

La jeune fille enfila ses chaussons et se précipita en direction de la porte d'entrée mais elle ne s'attendait pas du tout à tomber sur l'une des personnes qui se trouvait sur le péron.

Dolores Ombrage se tenait sur le seuil, la mine renfrognée au possible, entourée d'une femme blonde qui ressemblait beaucoup à la mère de Pétunia et Lily, et d'un garçon aux cheveux châtains qui devait à peine avoir sept ans.

- Toi ! S'exclama la Serpentarde en reculant d'un pas et s'empourprant.