Bonsoir chers amis ! Quoi ? Comment ça c'est qui elle ? Je ne suis pas partie si longtemps, si ?
Je plaide coupable, votre dévouée auteur s'est laissée beaucoup trop aller. Il y a eu le boulot, vous connaissez, un déménagement, la panne d'inspiration, la flemme, la panne d'inspiration et puis un beau jours un ange tombé du ciel nommé Isy (gloire à Isy) m'as débloquée et à exigé la suite donc, le chapitre bloqué ne l'est plus et la suite s'écrit toute seule.
Honnêtement je ne comprend pas comment j'ai pu être bloquée à ce point sur un seul chapitre alors que le reste était déjà presque bouclé.
dooooonc j'ai des chapitres d'avance donc ne me tuez pas sinon Isy et vous même ne pourront pas lire la suite !
Bref, il y à énormément de reviews et je ne vous remercierait jamais assez. je vais essayer d'y répondre dans ce chapitre et le suivant si il n'y a pas assez de place.
je publierais un chapitre par semaine mais je ne saurais dire quel jour, ce sera en fonction de mes horaires de travail, merci de votre compréhension.
reviews :
Tsukio Hishizora : J'adore les fins de ce genre, tu ne l'as toujours pas compris ? franchement !
FoxyCha24 : Tiens, une nouvelle tête ? Merci infiniment pour ta review et pour ce qui est d'harry...euh...des choses son prévues mais elles sont encore classées secret défense.
Miss MPREG : Oh fidèle lectrice, merci comme toujours pour tes reviews tu m'avais manquée, Anthony n'est pas comme James ne t'en fait pas et pour ce qui est de la génétique sorcière j'espère que ce chapitre répondra à tes questions.
Lassa01, Miss Gotthelf Snape : merci à vous deux de suivre ma fic, vos reviews me donne toujours le sourire par leur gentillesse
et enfin, Isy : Sans toi, cette fic serait toujours là à prendre la poussière, alors, merci de tout mon coeur
Argus Rusard se tenait assis à son bureau, tétanisé. Qu'est-ce qui avait bien pu lui prendre comme idée ? Pourquoi avait-il invité cette élève à venir prendre le thé ?
Il lança un regard amer en direction du tableau qui le fixait depuis la porte du bureau.
Il y avait, accroché à la porte, le portrait d'une sorcière au nez aquilin et aux yeux vert émeraude saisissants. Cette femme, bloquée à l'âge de ses dix-sept-ans le regardait avec peine.
- Ne me regardes pas de cette façon, c'est de ta faute ! Maugréa-t-il dans sa barbe inexistante.
- Je ne suis qu'un tableau Argus, comment cela pourrait-il être de ma faute ?
- Tu étais curieuse de rencontrer cette gamine.
- Pas une gamine Argus, ma petite-fille, la fille de Rose, et également ta petite-nièce !
L'homme se prit la tête entre les mains et soupira,
- Je voulais simplement te faire plaisirs….ce serait tellement plus simple si tu étais là pour de vrai, fit il avant de se lever.
- Argus ! Je t'en prie ne fait pas ça ! S'exclama la défunte alors qu'il s'approchait pour recouvrir le tableau d'un vieux rideau à imprimé floral ayant autrefois appartenu à leur mère.
- Désolé grande sœur, souffla l'homme une fois la pièce à nouveau plongée dans le silence.
Là, sous le regard fatigué et perçant de son chat il entreprit de débarrasser son bureau de la théière et des tasses qui y avaient été placée par ses soins.
Le nom des Rusard s'éteindrait avec lui.
Elle n'arrivait pas à y croire, ce n'était pas possible, inconcevable même. Cela faisait une bonne demie heure qu'elle attendait devant le bureau du concierge pour sa convocation et rien. Personne ne répondait quand elle toquait contre la lourde porte en bois.
Comment disaient les jeunes dans son autre vie déjà ? C'est cela, elle s'était fait poser un lapin par un vieillard.
Pétunia était encore sous le choc, les nerfs en pelote quand elle rejoignit ses camarades de promotion pour le souper.
- Alors, il te voulait quoi le vieux grincheux ? Lui demanda Sibylle, quand elle s'installa en face d'elle.
- Je ne sais pas, il n'était pas là.
- Il à sans doutes oublié ? Proposa doucement Xenophilius à sa droite.
- Il est vieux, ça peux arriver d'oublier à cet âge, continua Septima, regardez, Dumbledore, il doit bien oublier des choses lui aussi.
- Moui, répondit Pétunia, peu convaincue.
Elle allait pour se servir des haricots quand le bruit d'un verre en Crystal tinta, attirant l'attention de toute la grande salle.
Le professeur Dumbledore se tenait debout devant son siège, un verre en main qu'il faisait sonner à l'aide d'une cuillère à dessert.
- Votre attention s'il vous plait, fit il une fois le calme obtenu, Votre très estimé professeur de botanique, MR Beery à une annonce à vous faire. Professeur Beery, si vous voulez bien ?
Sur un signe de la main, le petit professeur se releva de son siège, resserrant les pans de sa cape comme pour se grandir ou se donner de l'importance à la manière du professeur Slughorn.
- Chers élèves, j'ai le plaisir de vous annoncer qu'une pièce de théâtre sera mise en scène peu avant Noël. Cette pièce très largement inspirée du conte de la fontaine de la bonne fortune saura sans doutes vous en apprendre plus sur l'art si glorieux de la comédie sorcière ! J'espère que vous serez nombreux à vouloir jouer dans cette pièce et quelle ne sera que la première d'une longue série. Des affiches seront accrochées dans vos salles communes pour que ceux qui le souhaitent puissent s'inscrire pour les auditions. Merci !
L'homme assis, la grande salle explosa en commentaires en tout genre. Chacun avait quelque choses à dire, que ce soit ceux qui souhaitaient participer, ceux qui se moquaient de ceux ci ou même encore les autres qui n'en avaient rien à faire.
- Tu étais au courant Pétunia ? Demanda Jasmine assise à la table derrière eux,
- Oui, le professeur Beery est venu nous proposer de participer lors du tutorat, mais Ted est en septième année donc il n'as pas le temps et cela ne m'intéresse pas particulièrement.
- Quel dommage, il est tellement beau ce Ted Tonks, soupira la Gryffondor en se retournant.
Le jour de Halloween marqua le jour des auditions pour la pièce et une ancienne salle de classe aux airs d'amphithéâtre avait été nettoyée puis réquisitionnée par le professeur de Botanique.
Pétunia n'avait aucunes intention de participer a cette pièce de près ou de loin. Elle avait après tout pour adage « le ridicule ne tue pas mais évite le quand même, on ne sait jamais », alors elle se tenait cachée tout en haut des rangées de bancs en compagnie de Jasmine, Septima, Elisabeth Braithwaite et du duo : Terence et Edgar.
Jasmine, Septima, Elisabeth et elle, étaient toutes amies de Aurora qui se présentait pour jouer un rôle dans la pièce. Terence, lui avait été enrôlé par sa sœur et s'était laissé faire par « solidarité Serpentard ». Edgar, avait juste suivi par curiosité.
La petite troupe ne tarda pas à rire aussi discrètement que possible quand les élèves se présentant pour les rôles se mirent à réciter leurs textes.
Il y avait, Alecto Carrow qui postulait pour le rôle de Amata, l'une des trois sorcières du conte, la belle éplorée après avoir été jetée par son bien-aimé.
L'armoire a glace au féminin ne parvenait à réciter son texte sans renifler dans un désagréable bruit qui ressemblait fortement à celui d'un cochon. Et la pauvre semblait incapable de parler sans montrer les dents.
Son frère, Amycus, sûrement venu pour jouer Sir Sanchances, n'en eu pas beaucoup plus que sa jumelle.
D'autres élèves vinrent très peu avaient la moindre once de talents alors la douce Aurora remporta un rôle assez facilement.
Elle jouerait Amata, la fameuse jeune sorcière rejetée par l'homme de sa vie.
Asha, la sorcière affublée d'une maladie incurable serait jouée par Paulina Greengrass, une beauté froide en troisième année à Serpentard et Altheda, la sorcière devenue pauvre après avoir été volée par un sorcier maléfique, serait jouée par Rebecca Howell-King, une Gryffondor qui ne semblait pas le moins du monde s'inquiéter pour ses buses.
Vint ensuite, le rôle de Sir Sanchances, un chevalier moldu.
Un Serdaigle de troisième année, Gilderoy Lockhart, réussit à convaincre le professeur Beery et une partie de l'assistance, que le rôle était fait pour lui.
Il était vrai qu'il était plutôt beau avec ses boucles blondes et son sourire digne d'une publicité de dentifrice, se dit Pétunia.
Une bonne partie des élèves et des professeurs se tenaient dans la grande salle ou, a la place de la table professorale, avait été érigée une vaste scène qui était pour le moment, dissimulée derrière des rideaux noirs.
Les Serdaigle de deuxièmes années s'étaient trouvés des place au centre, de telle façons qu'ils ne pourrait rien louper de la pièce.
Une musique commença alors à résonner dans la pièce, sûrement jouée par les membres du club de musique animé par le professeur Flitwick.
Les rideaux furent tirés et des décors de jardins luxuriants apparurent. Le professeur Dumbledore, jusqu'à présent absent, monta sur la scène, vétu d'une robe de sorcier orange et bleu avec des motifs de fontaines. Pétunia grimaça alors que la lumière se tamisait et que le directeur prenait la parole :
« Dans un jardin enchanté entouré de grands murs et protégé par de puissants sortilèges, jaillit une fontaine. Une fois par an, un seul et unique malheureux peut tenter d'atteindre celle-ci afin de s'y baigner et de recevoir à tout jamais la bonne fortune. »
Le jardin fut alors remplacé par de lourdes grilles, semblables à celles de Poudlard.
« Des centaines de personnes de toutes conditions, viennent le jour dit en espérant être celui ou celle qui parviendrait à entrer dans le jardin. »
À ces mots, les actrices principales montèrent sur scène. Le professeur Dumbledore, lui semblait s'amuser comme un enfant.
« Trois sorcières se rencontrèrent. La première, Asha, » Paulina s'avança et fit mine de souffrir atrocement, « est affectée d'une maladie qu'aucun guérisseur ne peux soulager et espère recouvrer la santé. Altheda, elle, à été volée par un sorcier malfaisant et espère se sortir de la pauvreté; » continua le professeur alors que Rebecca s'avançait à son tour, affichant un air déterminé.
« Et enfin, Amata, à été abandonnée par son bien aimé et espère apaiser son chagrin. »
Aurora prit alors place dans une robe d'un vert pale qui lui allait à ravir.
Se poursuivit la pièce.
Les trois sorcières firent mine d'entrer dans le jardin, les grilles se refermant sur leur passage et rencontrèrent Sir Sanchances, joué par Gilderoy qui passait plus de temps à sourire au public que de bien jouer son rôle, faisant pouffer de rire certains élèves.
Les quatre héros, entrèrent donc dans le jardin, les trois sorcière ayant demandé l'aide du chevalier pour atteindre la fontaine.
Chevalier qui se contenta à nouveau de sourire comme un idiot.
Mais alors qu'ils poursuivaient leur chemin dans le jardin, un immense ver apparut devant eux, orienté par le professeur Brûlopot. Il s'agissait d'une créature que Pétunia n'avait encore jamais vu en cours et elle fronça les sourcils, cette créature était elle aussi énorme normalement ? Se demanda t elle en voyant celle-ci, comme, fluctuer ?
Terence qui se trouvait devant eux, leur fit mine de se baisser d'un air catastrophé?
Ne comprenant pas pourquoi il leur disait cela, Pétunia ne se baissa pas à temps et se retrouva recouverte d'un liquide brunâtre alors que la créature venait d'exploser en plein milieu de la scène.
Déjà, des élèves hurlaient, couraient pour sortir de la salle, alors que la scène commençait à prendre feu.
Ils furent évacué hors de la salle par les professeurs.
- Ne bouge pas Pétunia, lui dit Edgar une fois à l'extérieur et la situation sous contrôle.
Le Poufsouffle pointa sa baguette dans sa direction et jeta un sort qui retira toute la matière visseuse qui la recouvrait encore. Une fois fait il se dirigea vers un autre groupe d'élèves qui s'étaient également pris de la créature dans la figure.
- Chers élèves, pas d'inquiétudes, s'exclama la professeur McGonagall, les cheveux défaits. Le feu à été éteint et la grande salle nettoyée, veuillez à présent rejoindre vos salles communes, ou vous sera servis votre repas. Et dans le calme ! Ajouta la sorcière, alors que déjà les préfets de chaque maison appelaient les leurs à les suivre.
Ce ne serait que le lendemain, au petit déjeuner et alors qu'une grosse partie du château se préparait à prendre le Poudlard express, qu'ils apprirent ce qui s'était passé par Arachne, la cousine de Jasmine et Terence, qui était préfète.
La créature, un serpencendre soumis à un sort d'empiffrement trop puissant avait explosé en milles morceaux. Les professeurs Beery et brûlopot étaient dévastés par leur échec.
Au moins le professeur Beery n'aurait-il plus l'idée d'organiser une pièce de théâtre à Poudlard, se prit à espérer Pétunia une fois dans le train
