Bonjour tout le monde. Prêt à suivre les aventures de Mandos et de sa sœur dans Poudlard ?

Reviews :

- lesaccrosdelamerceri : Angoisse, mon ami, Angoisse ^^. Merci pour la Reviews

- Lala : Ah ? Nous retrouvons la conjugaison Talarienne XD. Voici la suite

- Yuwine : Allons... Qui dit qu'il doit automatiquement rester en vie... Enfin si, il doit rester en vie, pour l'instant. Un petit report de son rendez vous avec la Grande Faucheuse.

Alors, les mondes sont issus des ouvrages de J.K. Rowling et de Andrzej Sapkowski !

/langue/ : Nordien

langue : Anglais

~langue~ : Hen Llingue

~~langue~~ : Fourchelangue


Chapitre 19 :

Peter tenait sa sœur, le dos contre le mur, menaçant cette dernière. Il se sentait en colère et tentait de faire se déplacer les ombres. Mais, serait-il assez rapide ? C'est là qu'il vit juste sur le côté, un mouvement rapide. Puis, la lueur rougeâtre partit, frappant avec violence la tête de Peter. Le traitre vola, lâchant alors Silarwen. Sirius ne perdit pas une minute, plongeant contre Peter pour le maintenir au sol alors que Rogue attrapa sa sœur, baguette tendue vers le traitre. Il se précipita vers elle, la saisissant contre lui et vérifiant qu'elle n'ait rien.

Celle-ci s'enfonça alors contre son épaule, en larme et tremblante. Il releva la tête vers le professeur de potions.

- … merci …

- Black, écarte-toi. Il est temps de le ligoter, indiqua le professeur de Potion.

Sirius hocha la tête et laissa alors le sort faire apparaitre de nombreuses cordes autours de Peter. Celui-ci se réveilla à peine du tir précis et violent. La professeure Chourave se pencha vers eux deux avec inquiétude. Elle eut un soupir de soulagement avant de regarder Cédric.

- Prenez notre jeune ami blessé. Monsieur Pucey ? Vous ouvrez la marche ?

- Bien professeure Chourave.

- Rogue ?

- Je me charge avec Lupin de cet extrait de véracrasse visqueux.

- … Sevy… tu peux mieux faire comme insulte.

Il ignora les pics sombres entre les deux. Il pouvait dire beaucoup de chose de Rogue mais là, il venait de sauver sa sœur. Qu'est-ce qu'aurait pu faire Peter avec sa petite sœur ? Beaucoup de chose. Et cela le rendait malade qu'elle est pu être à portée de main de cet être ignoble.

Cédric monta Ron sur son dos alors qu'il serrait dans ses bras Silarwen et la protégea à moitié avec sa propre cape. Adrian alluma sa baguette et ils redescendirent tous par le passage. Sirius était néanmoins à côté du professeur Chourave, tremblant et riant. Mais, les deux états étaient entrecoupés par les larmes. Le calvaire était bientôt terminé.

Rogue et Remus poussèrent Peter bien ligoté devant eux. Il regarda Ron sur le dos de Cédric.

- Désolé pour …

- Pattenrond devait … le savoir. Il détestait Crou … Peter Pettigrow. Maman va me …

- Non. Ta mère va le tuer. Fais la nuance. Pour ma part, j'ai en tête le sort de castration qu'affectionne maman. /Surtout après qu'il a posé ses mains répugnantes sur ma sœur. /

Il vit alors l'arrêt de chaque adulte masculin et Rogue lui-même se tourna vers lui avec un œil presque inquiet. Si ce n'est l'expression sans vie qu'il avait, il aurait pu jurer que le professeur de potion avait peur.

- Monsieur Roche … n'utilisez jamais ce sort sans une très bonne raison …

- Comme un gars qui a dormi dans le lit d'un mineur pendant douze ans. Ou qui allait dans les dortoirs des filles ? Ou, encore, que Ron a une petite sœur et …

- En fait, tire le sort, grogna Ron en comprenant alors sombrement ce à quoi il faisait référence.

- Non. Mandos, tu ne tires aucun sort, pour l'instant, commenta Cédric.

Il ne donna qu'un léger sourire sanglant. Il le ferait, à un moment. Et Cédric avait dit simplement, pour l'instant. Ce qui voulait dire que le Poufsouffle savait qu'il le ferait plus tard et ne l'empêcherait pas.

Ils descendirent les marches de la maison avant de passer par le passage secret. Ils devaient retourner à Poudlard. Pour sa part, il était soulagé que Peter soit arrêté. Ils ressortirent au parc, voyant alors les lueurs du château au loin. Le soleil s'était couché. Sa sœur descendit de sur son dos mais resta un pas derrière lui. Rogue poussa un peu fortement Peter dans le passage, le menaçant avec sa baguette. Madame Chourave eut un sourire en sa direction.

- Je suis contente que vous ayez pris la décision d'intervenir, Monsieur Cerbin. Peut être que nous aurions condamné un innocent.

- On est d'accord. Je suis quand même curieux du procès, Sirius. Tu ne m'as pas vraiment dit comment tu t'es retrouvé derrière les barreaux. J'pensais que vous avez une putain de potion pour aider.

L'ancien prisonnier eut un rire jaune à cette notion et fut regardé par tout le monde.

- … j'aurais bien pris le Veritaserum si j'avais eu un procès. J'étais tellement hystérique qu'ils m'ont envoyé directement dans ma petite cellule.

Le silence fut assez intéressant. Ça voulait tout dire. Et il ne parlait même pas de l'horreur de ceux présents chez les adultes. Ils passèrent les racines du passage du saule cogneur et commencèrent la traverser du parc en silence. On pouvait entendre juste parfois les gémissements de Peter. Cédric eut un rire en le regardant.

- Eh bien, on s'ennuie jamais avec toi, Roche.

- Yep.

Il sentit à cet instant la tension de la main de sa sœur. Il baissa la tête et la vit fixer le ciel. Il maudit alors en voyant la clarté de la lune apparaissant derrière les nuages et la brume du soir.

- Rogue ! Écartez vous du professeur Lupin ! Pucey ! Aussi !

Sirius voulut intervenir mais il le poussa fortement alors que Cédric et Adrian s'écartaient avec Ron. Il jura alors que la transformation commençait. Lupin était blafard, tremblant, la respiration courte. Déjà les premiers membres bougèrent.

- Mandos ! Pettigrow se barre !

Il tourna la tête à l'interpellation de Adrian. Le traitre avait attrapé la baguette de Remus et avait tiré sur Rogue un premier sort. Il jura, envoyant le sort de désarmement. Mais, le rat, comme son animagus le représentait, se changea et partit entre les hautes herbes. Mais, la priorité était le loup-garou dorénavant transformer. Il ne laissa pas l'occasion à Sirius d'intervenir. Il bougea les mains et le portail s'ouvrit sous le lycanthrope, l'emportant par la même occasion. Il roula sur le côté, évitant les premières attaques avant de se concentrer.

Il avait lu une chose sur les loup-garou. Si un sorcier était en animagus, la morsure ou griffure ne transmettrait pas la malédiction. Il termina de se transformer. Ses bras s'allongèrent sur le sol, devenant plus fin. Ses doigts se rassemblèrent pour former des pattes velues alors que son visage s'allongea sous la forme d'un museau et des poiles prenaient place à ses vêtements. Le pelage noir comme ses cheveux recouvrait à présent son corps.

Un jeune loup noir comme la nuit, et aux yeux vers avait pris sa place à présent. Le loup garou le regarda, sa colère comme s'apaisant un instant pour s'approcher. Il est vrai. L'animagus de James était peut être un cerf mais ils avaient certainement une odeur similaire. Il aboya, se baissant pour entrainer dans un jeu le loup garou loin des terrains. Il entendait les cris d'appels des autres alors que Poudlard se réveillait.

Il continua de courir, « jouant » à éviter les griffes ou les crocs. Le loup voulait jouer. Il n'était pas très à l'aise avec sa nouvelle forme pour l'instant. Sa priorité était d'écarter le professeur des autres.

Puis, il arriva au petit lac et ne perdit pas une seconde, prenant appuis et sautant vers l'un des arbres. Il se changea en court de saut et commença à gravir celui-ci rapidement. Il regarda le lycanthrope en dessous, hurlant à la lune. Il s'assit entre deux branches, soupirant et massant ses membres.

- Je sais absolument pas comment James et les autres faisaient pour te tenir occupé … j'ai même pas fait vingt minutes, mon loup.

Il sortit la baguette et envoya un patronus. La seule chose à faire, à présent, c'était de rester sur son perchoir le reste de la nuit. Il regarda Remus tenter de monter sur l'écorce avec ses griffes. Il devra faire attention car il pourrait réussir. Si seulement il n'avait pas usé un peu trop de puissance pour son portail, il pourrait être capable d'en faire un second.

- Besoin d'aide, Mandos ?

Il redressa la tête de surprise pour voir Cédric sur son balai. Il eut un rire.

- Alors, si je m'attendais. Cédric ? Je vais vraiment commencer à t'aimer sincèrement.

- Pourquoi ? Tu ne le faisais pas avant ?

- C'est une proposition ?

Son camarade balbutia un moment en rougissant alors que lui riait à gorge déployé et ajouter que non, Cédric n'était pas exactement son type. Il monta sur le balai, derrière son camarade qui grognait alors que Adrian arriva à coté et fixa le loup garou grognant en dessous.

- On devrait peut être y aller avant que …

Le souffle froid les fit se tendre. Cédric ne perdit pas une seconde dès qu'il fut derrière pour partir. Déjà les détraqueurs étaient là, descendant du ciel mais ne les ayant pas encore repérés. Adrian lança néanmoins un sort coloré vers le ciel.

- Dès que tu as sauté dans ton portail avec le professeur Lupin, Rogue nous a ordonné d'invoquer nos balais et d'aller te chercher.

- Il pouvait pas le faire lui-même ?

- Peter lui a collé un sort assez salaud, commenta Adrian. Il est actuellement à l'infirmerie, alité. Madame Chourave a fait appel aux autres professeurs pour aider.

- Et Sirius ?

Il détesta le silence des deux et grogna même. Ils arrivèrent rapidement dans la cour où les attendaient le professeur McGonagall qui vérifia plusieurs fois s'il n'avait rien avant de lui saisir l'oreille.

Il se tordit presque de douleur lorsqu'elle s'en saisit et la regarda avec la supplique qu'elle lâche celle-ci.

- Ne faites plus jamais une cascade pareille ! Vous auriez pu mourir ou …

- Lâchez l'oreille … c'est … très sensible. … s'il vous plait ?

Elle cligna des yeux et les deux autres le fixèrent étrangement. La main lâcha l'oreille et il rabattit rapidement sa capuche dessus pour les protéger. La sous directrice poussa un soupir.

- Vous avez eu de la chance. Mais ne retentez pas …

- Où est Sirius ?

- Le fugitif est actuellement …

- J'espère pour vous qu'il est dans l'infirmerie, grinça-t-il.

Le silence fut une très bonne réponse sur la question. Cependant, il entendit les vociférations de madame Chourave. Il fut amené à l'infirmerie et trouva bien le professeur Rogue dans le lit, grognant, sa sœur dans un coin avec une tasse de chocolat chaud. Ron était installé sur l'un des matelas avec la jambe surélevée. Madame Pomfresh se tourna vers lui, les poings sur les hanches.

- Qu'attendez-vous, monsieur Cerbin ? Asseyez-vous !

- Et Sirius ?

- Actuellement, les professeurs attendent les membres du ministère. Il est dans la salle d'enchantement.

- Il est putain d'innocent. On avait Peter Pettigrow jusqu'à … bref !

Il jura encore plus. Ils avaient réussi pourtant. Cédric posa la main sur son épaule.

- On leur a dit. Mais, le professeur Dumbledore a dit qu'il fallait être prudent aux professeurs. Madame Chourave est actuellement en train de défendre bec et ongles et le professeur Rogue a été assez cinglant.

Il tourna la tête vers le professeur qui ne lui adressa même pas un mot. Silarwen se blottit contre lui en reniflant et s'excusant. Ils auraient pu partir plus tôt si elle n'avait pas été inconsciente. Il lui frotta la tête en commentant que non. Ce n'était pas sa faute. Ils entendirent des bruits dans le couloir et virent alors le professeur McGonagall arriver avec le professeur Chourave, encadrant Sirius. L'infirmière regarda alors très étrangement le petit groupe alors que les portes furent à nouveau refermées.

Il pencha la tête sur le côté sans comprendre. Sirius eut un sourire ravi en le voyant sans blessure avec une tasse entre les mains de chocolat chaud.

Il fallut attendre à peine plusieurs minutes de plus pour que de nouveau arrivants ne passent la porte. Il reconnut l'homme au chapeau de son arriver. Le ministre de la magie. Celui-ci était entouré de plusieurs autres sorciers qui devait être des aurors.

- Arrêtez Black !

Il se dressa entre et gronda.

- Vous n'arrêterez pas un innocent.

- Monsieur Potter, commença le ministre. Vous devez comprendre que …

- Il a été envoyé en prison sans un procès ? Et que vous avez à présent six personnes qui peuvent attester sous véritaserum, serment et autres avoir vu Peter Petigrow ? Et pour la dernière fois, C'est Cerbin-Roche !

Il y eut un silence. Il croisa les bras et se tint assez droit.

- J'ai moi-même vu l'ancien Gryffondor. Indiqua madame Chourave. Il semblerait que le …

La professeure chercha les bons mots. Il décida alors de le dire pour tous avec les bonnes formes. Comme lorsqu'il devait parler à des nobles.

- Que le ministère ait fait une erreur par le passé … Mais, vous êtes venu pour mettre au clair cette affaire, non ? Rendre … justice pour ceux qui ont perdu la vie, non ?

Le ministre eut un rire gêné avant de dire.

- Oui, oui, Monsieur Potter. Nous ne pouvons avoir de … de doute sur la culpabilité de Sirius Black. Il serait fâcheux d'apprendre qu'il a passé onze …

- Douze, commenta le concerné avec son chocolat dans un coin.

- Douze ans à Azkaban. Ce serait une honte pour notre justice.

Il connaissait assez bien ce genre de personne et savait un peu comment les manipuler. Surtout lorsqu'il entendit des pas de personnes en plus qui étaient surement des journalistes. Et il avait raison lorsque le premier passa l'encadrement de la porte. Adrian eut un rire sombre avant de prendre à son tour la parole.

- Vous êtes un saint, monsieur le Ministre. Le doute d'un innocent envoyé en prison va à l'encontre de vos principes. On ne saurait que trop vous remercier pour donner un procès avec Véritaserum pour vérifier la véracité de nos propos. Surtout que nous sommes plusieurs à avoir vu un mort en vie. Je n'ai point connu Peter Pettigrow mais lorsque cet homme s'est présenté. Et que le professeur Rogue et le professeur Chourave l'ont parfaitement reconnu, nous ne pouvons que croire.

- Et puis, Sirius Black est mon parrain. Il ne peut me faire du mal, commenta-il avec la même voix. Un parrain sous serment magique, enregistré à Gringott ne peut faire du mal à son filleul.

Le Serpentard eut un sourire alors que les journalistes accablaient de question à présent le ministre. Sirius s'étouffa à moitié dans son rire alors qu'un des aurors se mit devant lui, indiquant qu'il serait emmené au ministère pour le procès. C'était une jeune femme aux cheveux roses. Sirius la regarda en clignant des yeux avant de sourire.

- Toi, tu es la fille de Andromèda ! Je te fais confiance. Bon … Mandos ? On se retrouve au procès.

- Toi aussi vieux chien.

- Rogue ? Merci.

- Black, allez crevez en enfer.


Il regarda l'entrée de la salle de défense contre les forces du mal. Il avait appris avec tristesse que Remus ne resterait pas. Enfin, il aimait bien le professeur et il savait que ce dernier était un ami de ses parents. Il passa la porte et marcha entre les tables. Il grognait après le journaliste qui avait creusé un peu trop pour le bien du sorcier. Et, à présent, une série de famille voulait le renvoi du lycanthrope.

Autre point, ce dernier avait évité de venir le voir à cause de ce qu'il s'était passé la nuit de pleine lune. Il ne s'était rien passé. Et puis, une attaque de monstre, ce n'était pas la première que lui et Silarwen vivaient. Il frappa à la porte et entendit l'invitation pour rentrer.

Lorsqu'il regarda le professeur en train de faire ses affaires, il nota le regard un peu triste et honteux.

- Professeur Lupin.

- Monsieur Cerbin-Roche.

- Donc … ? On fuit la queue entre les putain de jambes ?

- Si je ne savais pas que votre compréhension de la grammaire nécessitait l'utilisation du : sujet, verbe, insulte puis complément, je me sentirais offusqué.

Il ricana en offrant un salut extravagant en se baissant dans une révérence. Le professeur eut un rire néanmoins avant de revenir à ses affaires.

- Il faut bien éviter la multitude de plaintes qui découleront du journal.

- Bah. Ce qui me gêne, pour ma part, c'est plutôt que vous évitiez de me parler alors que vous en mourrez d'envie.

Les épaules maigres se tendirent et le regard remonta vers lui. Il s'assit à moitié avachi à la fenêtre, fixant le lycanthrope avec le même regard qu'il avait toujours regardé.

- Dois-je comprendre que vous … avez toujours su ?

- Yep … ma sœur a fait les yeux de chiens battus à un vatt'ghern pour des leçons sur les créatures et autres monstres. J'ai profité, à l'époque de la leçon et rencontrer un second pour le harceler de m'en apprendre plus. Ensuite, je suis guérisseur. J'ai pas mal de connaissances. Puis, pour terminer, votre odeur d'herbe et les phases de la lune.

- Et vous m'avez percé à jour.

- Yeah. Ça et maman qui nous l'a dit. Sinon, des nouvelles de Sirius ?

Il joua avec la dague qu'il avait sorti de sa tenue. Les professeurs cherchaient encore comment il arrivait à planquer des armes sur lui. C'était la grande bataille de McGonagall qui clamait que Poudlard était en sécurité et qu'il n'y avait pas besoin de rester armé. Mais, chez lui, fallait l'être. On ne perd pas une bonne habitude.

Le professeur eut un rire en sortant alors le journal montrant alors que les aurors avaient bien récupérer le fugitif mais celui-ci était actuellement détenu au ministère dans l'attente d'un procès. Et que le ministère ne s'avançait pas. Ce qui était bien, pour l'instant.

- Amelia Bones m'a envoyé une convocation pour parler de la nuit où …

- Vous avez décidé de faire pousser des poils et courir hurler à la lune ?

- C'est une façon de le dire …

- Je peux être pire. Un ami a comparé la lycanthropie à la mauvaise période d'une des officiers des stries Bleues. … Cyn l'a collé au lit pendant un mois. Et même avec la magie, j'ai eu du mal à le remettre en état.

Remus s'arrêta un long moment avant de rire. Silas avait juste proposé cela après qu'il est expliqué pour les lycanthropes. Cyn était passée malheureusement non loin à cet instant et son camarade avait subi les foudres.

- Que jamais Sirius n'entende cette comparaison, d'accord ?

- Pas de promesse. Je garde toujours sous le coude un avantage.

- Et en plus, vous êtes un garçon qui menace ? Où va le monde sorcier de nos jours ?

- Si les adultes prenaient leur putain de merdre au lieu d'attendre le Messie, ça irait mieux.

Le lycanthrope secoua la tête.

- Bon, si vous voulez qu'on continue de discuter, vous avez intérêt à m'envoyer des courriers. J'ai hâte de savoir l'ensemble des « aventures » de mes deux parents. Et de Sirius et vous.

- Je sais que vous voulez rentrer. Et j'aimerais vous aider. Mais, celui qui pourrait vous apporter des réponses est Dumbledore. Il est l'un des sorciers les plus …

- Je ne fais pas confiance en Dumbledore. Je ne fais pas confiance en beaucoup de personnes. Les rares actuels qui ont ma confiance se compte sur les doigts de la main, Remus Lupin.

Il regarda le professeur, surpris par sa coupure. Il garda les bras croisés et fixa le sorcier plus âgé dans les yeux. Si on venait d'ailleurs et qu'on n'avait pas vécu dans l'Angleterre avec la vénération des anciens sorciers, il avait un changement dans le point de vue. Il était étrange pour lui que Voldemort ait été si puissant comme cela.

Il était étrange, pour lui, que les sorciers n'aient pas tenté de l'arrêter en interrogeant en masse leur membres via le véritaserum pour éliminer les taupes puis, s'attaquer à la source de la gangrène. Les stries bleues commençaient toujours par attaques les points de ravitaillements avant de s'attaquer au problème. La technique de la terre Brulée. Mais, un point qui était différents aux autres unités de l'armée, il n'y avait pas de viol ni de massacres. Ils arrivaient à leur fin avec la force d'une bonne stratégie et d'un entrainement. Et puis, sa mère castrerait plus d'un si elle les voyait faire. Sans parler de son père qui était le fils d'une pute. Il savait plus que quiconque l'horreur d'être un enfant détesté pour sa naissance. Et l'enfant d'un viol n'était pas une bonne place.

Il salua une dernière fois le professeur avant de repartir en indiquant néanmoins que sans lettre, il partirait à la chasse au lycan. Hugin apparut des ombres pour se poser sur son épaule. Il caressa les plumes du Krebin. Celui-ci avait quelque chose entre les serres de la patte. Il attrapa celui-ci et fixa ce que c'était.

Il fut surpris en fixant le morceau d'une peau épaisse et écailleuse. Il pencha la tête sur le côté, sans comprendre et tourna la tête vers le Krebin. Celui-ci continuait de faire ses plumes. Parfois, il aimerait le comprendre un peu plus que jouer aux devinettes.

- Est-ce quelque chose dont je dois m'occuper maintenant ?

Le Krebin secoua la tête négativement. Mais, battit des ailes par la suite, comme lorsqu'il signifiait que c'était un danger.

- Un danger immédiat ? Ou, dois-je l'affronter obligatoirement ?

L'oiseau secoua à nouveau la tête. Ce n'était pas un danger immédiat ni l'affronter obligatoirement.

- Ça pourrait m'aider dans ce que je cherche ?

Le Krebin sautilla sur son épaule mais indiquait ne pas savoir. Il verrait plus tard peut être. Il regarda à nouveau le morceau d'écaille entre ses mains. Il fallait d'abord, peut-être, savoir ce que c'était avant de faire quoique ce soit de stupide. Il ne s'appelait pas Inferno qui joue avec le feu dans une poudrière.


Il se réveilla en marmonnant sur l'idiot qui venait de le réveiller. Il tourna la tête et vit Justin avec un sourire, assez loin, et un second oreiller. Il faut dire qu'il venait de se faire réveiller par l'impact de l'objet sur sa tête. Et l'oreiller avait à présent un trou.

- Quoi, Justin ? On est en repos aujourd'hui !

- Tu nous as demandé de te réveiller hier lorsque tu es revenu de la cuisine.

Il tourna la tête, cherchant à comprendre avant d'écarquiller les yeux et se dresser.

- Silarwen dort encore ?

- Oui. Les filles font en sorte qu'elle reste endormie encore un moment.

Il s'habilla et sortit du dortoir. Il vit alors la moitié de la salle commune en train de se faire décorer par les Poufsouffle. Il les fixa, assez surpris et même touché. Cédric se laissa alors tomber contre lui, le journal dans la main.

- Bon, je te donne les nouvelles du jour avant ou après la fête.

- Si c'est des mauvaises, tu peux te les foutre où je pense. Sinon, donne toujours ?

Le journal fut déplié et Cédric se tint comme à son habitude de capitaine de Quidditch se préparant à faire son discours pour encourager les troupes.

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Un innocent à Azkaban ? Le ministère en faute ?

Ce fut avec une profonde surprise lorsque le jugement tomba. Après une cavale de plusieurs mois, échappant aux aurors, Sirius Black a été arrêté sur les terres de Poudlard après s'être rendu. Mais, de nouvelles preuves ont bouleversé l'enquête des aurors. L'ancien membres des aurors, sous le règne de vous-savez-qui, et qui avait été arrêté et envoyé à Azkaban n'eut aucun procès. Comment s'est-il alors retrouvé derrière les barreaux ? Pourquoi une telle hâte par nos prédécesseur ? Notre ministre, Monsieur Fudge, voulut mettre au clair les incohérences du passé. Et c'est avec surprise que l'ancien fugitif accepta de prendre le véritaserum ainsi qu'un serment magique pour dire la vérité.

Et une vérité qui secoue jusqu'aux fondements. Sirius Black est innocent. Page 6

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Il eut un sourire assez vicieux. Mais, Cédric lui fit un signe inquiet en lui montrant alors les annexes de l'article alors qu'il faisait venir, grâce à Pax, le gâteau aux fruits. C'était l'anniversaire de Silarwen. Il voulait lui faire plaisir. Et les autres l'aidaient pour que cela se passe bien. Il attrapa le journal alors que les derniers préparatifs et décorations étaient fait. Les jumeaux étaient arrivés avec leurs cadets ainsi que ceux membres de son petit club d'apprentissage et de devoirs.

Il revint au journal et tiqua en voyant certaines choses. Plusieurs des articles traitaient des personnes en charge à l'époque. Et il était question que les responsables n'étaient pas des sans-purs. Il sentit le mouvement politique derrière. Ils imputaient la faute à une classe sociale en particulier. Puis, il vit du coin de l'œil une nouvelle information sur les lois contre les non-humains.

Il plia le journal rapidement lorsqu'il vit les lumières se faire baisser. Sa sœur se réveillait. Il attrapa le gâteau et se prépara à l'allumer. Sa sœur descendit avec les filles, un peu encore dans le pays des songes. Seulement, dès qu'elle trouva la salle dans le noir, elle se tendit.

- … Mandos ?

Il fit signe à ceux cacher avec lui et ils commencèrent à chanter alors qu'il alluma les bougies du gâteau.

- Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire, Silarwen ! Joyeux anniversaire !

Il réceptionna la flèche qui fondit sur lui en riant, manquant néanmoins de faire tomber le gâteau. Et sa sœur sautait de joie en le regardant, les larmes dans les yeux.

- Félicitation Pour tes neuf ans, petite canaille. …

Il remercia ses camarades et les membres de la maison pour l'avoir aidé. Sa sœur était excitée et riait à faire réchauffer le cœur de toute les personnes présentes. Lui avait demandé de l'aide au professeur Flitwick. Il y avait quelque chose qu'il voulait que sa sœur ait pour qu'elle se sente un peu mieux avec l'absence des parents. Le professeur lui avait donné la solution avec un petit enchantement et ses propres souvenirs.

Il attendit, voyant que certains avaient aussi préparer des cadeaux tout simple. Il eut un rire en voyant un pull qui avait été tricoté par les Weasley avec un S marqué dessus. Les jumeaux avaient dû le dire à leur mère. La femme était gentille d'avoir pensé à offrir un cadeau aussi simple. Draco roula des yeux mais il nota bien que ce n'était pas quelque chose qu'il avait le droit chez lui. Il y avait même une petite pointe de jalousie chez le blond. Ron l'avait vu aussi et il murmura quelque chose à ses frères et sœur. Brave Ron. Il faut dire que le Serpentard était venu occuper le Gryffondor alité dans une partie d'échec avant qu'ils ne lui prennent son jeu de gwent.

Hermione avait apporté des livres. Et avait lâché les cours en plus avant qu'elle ne s'effondre morte de fatigue. Les retourneurs de temps. Quelque chose de très dangereux à son avis. Il y a des forces avec lequel il ne faudrait absolument pas jouer.

Il nota un cadeau à moitié enveloppé dans un vieux journal et reconnut les cadeaux des elfes de maison. C'étaient des petits cadeaux faits à la main. Il reconnut même un cadeau fait en bois par Pax. Certains des sorciers avaient ri mais il trouvait cela bien plus vrai que des fanfreluches comme cadeau.

Ce fut son tour. Il sortit quelque chose de sa poche de petit. Sa sœur pencha la tête alors qu'il ouvrit l'objet. C'était une petite boite à musique qu'il avait acheté au pré-au-lard. Il avait réussi à donner à l'artisan la musique exacte de la berceuse. Mais, le cadeau en lui même avait autre chose. Ses camarades eurent un petit son de surprise lorsque le souvenir apparu. C'étaient leurs parents, dansant ensemble avant que le souvenir ne se termine sur eux deux qui venaient participer. Silarwen avait à peine 3 ans et il la portait sur ses épaules.

Il regarda sa sœur, les yeux grands ouverts avant que la lèvre inférieure ne tremble. Elle fondit ne larme pour ensuite sauter sur lui.

- / Merci ! merci ! merci ! /

- / Ainsi, tu les verras tous les jours. /

Il nota le sourire des autres alors que sa sœur dansait entre eux avec la boite à musique entre les mains. Il était sûr qu'elle mordrait quiconque la lui prendrait.

- … c'est quoi qu'il porte sur la tête ?

- Un chaperon. Pose pas de question.

- D'accord.

- On dirait réellement quelque chose datant du médiéval, commenta Hermione. Ça me rappelle les musées dans lesquels on est allé avec mes parents.

- … ils ont l'air heureux. Vous aviez l'air heureux, dit Pucey.

Il hocha la tête. Son sourire était triste à cet instant mais il resta heureux pour sa sœur. Surtout en ce jour. Il espérait sincèrement trouver un moyen de partir pour revenir à la maison. Il espérait que leurs parents aillent bien.

Il soupira. Ils étaient arrivés le 31 octobre. Ils étaient à présent le 19 mars. Cinq mois qu'ils étaient là, à peu près. Il aurait aimé trouver une solution pour revenir chez eux. Ne pas avoir cette impression d'être enfermé et surveillé par les murs.

Et sans oublier cette réputation qu'il trainait. Le héros du monde sorcier qui revenait. Il avait envie d'hurler à cause de cela. Et encore plus avec leur regard ou la question qu'il avait eu une fois. Pourquoi avait-il décidé de porter les oreilles pointues ? Il avait les oreilles pointues comme sa mère. Et sa partie humaine était morte le même soir que son premier père était mort. Ce qu'avait fait sa mère les avait peut-être sauvés. Ils avaient quitté l'Angleterre pour les royaumes du Nord. Et il avait eu toute sa vie là-bas.


Cyn grimaça en regardant l'ambiance dans la caserne. Elle marcha jusqu'à la porte avec les courriers qui venaient d'arriver et leva la main pour frapper.

- Cyn ? Ils sont pas là. Le commandant est … chez lui.

- Il n'est pas venu ?

- Si, et il a lâché sa fureur sur le dernier gars qu'on a arrêté. Tu sais ? Le violeur d'enfant qui avait fait accuser les non-humains de son patelin ?

Elle eut un léger sourire vicieux mais se rappela pourquoi son officier supérieur était actuellement en colère. Ou, plutôt, était plongé dans son travail.

- Et la doc ?

- Elle vient de réorganiser la réserve, l'infirmerie et l'armurerie. Ce sont ses putains de gosses qu'ont fait de la disparition sous notre nez.

- Je sais ! Tu ne m'apprends rien ! Bon, je vais aller les voir.

- Si tu trouves Silas, c'est son tour de garde.

Elle hocha la tête à Fenn alors que celui-ci reprit son combat contre le mannequin d'entrainement. Depuis la disparition, l'ambiance n'était pas pareille. Ils étaient toujours efficaces lorsqu'ils étaient sur le terrain mais, il y avait quelque chose dans les interactions en plus. Elle même sentait le petit vide de l'absence et du rire moqueur d'un adolescent.

Elle secoua la tête après avoir même imaginer l'ombre de l'elfe assis sur les tonneaux à l'écurie avec sa sœur sur les épaules. Actuellement, une magicienne et un sorceleur essayaient de comprendre ce qu'il se passait. Vernon Roche avait fait appel à la magicienne de la cour qui s'empressa d'aider. La docteur et son mari mirent ensuite une annonce avec un sorceleur. Elle fut surprise de voir débarquer un de l'école du Chat. Habituellement, ces gars-là étaient plus friand des contrats d'assassinats et de la chasse de monstre. Et il n'avait même pas demandé une avance, parait-il. Il les connaissait en fait.

Elle marcha, traversant le bois. C'était plus rapide pour atteindre le petit village. Elle entendit les pas derrière elle et se tendit. Mais, elle entendit le reniflement dans les buissons et vit sortir le loup gris qui la fixait. Lycaon regardait derrière elle, comme cherchant.

- Non, mon gros. Il n'est pas là.

- Une dh'oine qui prend le temps de parler à un animal, dit alors une voix.

Elle dégaina son arbalète pour la baisser ensuite en maugréant. Elle regarda l'elfe sortant des fourrés derrière l'animal. Elle nota néanmoins des cernes en plus sur le visage ancien de Faust. L'ancien elfe ne semblait pas non plus bien dormir.

- La forêt n'est pas sûre en ce moment …

- Parce que tu planques des Scoia'tael ?

- Non, bloede pest. Un Leshen a fait de son nid le coin. J'ai posé une annonce pour un sorceleur. Et j'évite à des idiots de mourir bêtement.

Elle grogna avant d'accepter de le suivre. Elle nota alors une étrange arme accrochée à la ceinture de l'elfe lorsqu'il se retourna. Ça ressemblait à une sorte de faux avec une chaine. Elle ne poserait pas de question. Même si ça lui rappelait une histoire sur un ancien officier Scoia'tael surnommé le Faucheur. Bien que l'elfe ne semblait pas en être un. Ils arrivèrent à la ferme et elle nota des échanges houleux. Elle grimaça et regarda l'elfe qui leva simplement la main pour dire que ce n'est rien.

- Rassure-toi, Wedd, nos deux amis ne sont pas en train de se battre. Une petite idiote a été insultante. Ton commandant lui fait comprendre son erreur.

- Vous venez de me traiter de gosse …

- Je suis plus vieux que tous les hommes de la caserne réunis. Bien, je retourne trouver ceux perdus dans les bois. Et mettre un panneau pour les idiots.

Elle le regarda partir et soupira avant de passer le pas de la maison. Elle regarda la femme dedans, l'air épuisée, énervée, prête à retourner le monde à feu et à sang. À cet instant, elle pouvait dire se sentir inquiète, voir terrifiée en regardant Leliana Cerbin dans ses grimoires. Et elle avait quitté la robe de médecin pour celle d'armure de cuir et de tissus. Si elle ne savait pas mieux, elle l'aurait pris pour une Scoia'tael sur le pied de guerre. Mais, la couleur de la tenue ne correspondait pas ni les emblèmes. Celle-ci tourna la tête vers elle, surprise.

- Cyn ? Vernon est dehors si …

- J'ai du courrier pour le commandant. … Leliana … vous avez des pistes ?

L'elfe pinça ses lèvres, laissant un rictus se graver dans ses traits de rage et tristesse.

- Malheureusement … une semble s'avancer …

- Où doit on aller pour les chercher ?

Les larmes dans les yeux en rage lui donnaient juste une réponse non verbale. Ils ne pouvaient pas aller les chercher. Une idée passa dans son esprit.

- Et savoir s'ils vont bien ? Vous pourriez ?

L'elfe la fixa avant de s'assoir et lui proposer de la rejoindre d'un mouvement de main vers la chaise. Elle prit place, acceptant le verre versé.

- … j'avais une amie qui avait ensorcelé un objet pour savoir comment vont ses enfants. S'ils sont en vie, s'ils sont en sécurité.

- Créez-le alors. Pour vous deux. Le commandant et vous souffrez assez. Vous êtes … Chaque strie est inquiet. On est tous inquiet. On veut les retrouver. Si c'est un besoin d'objets ou autres, on peut utiliser les missions pour les récupérer.

Vernon Roche passa la porte à cet instant et la vit. Il pinça ses lèvres avant de s'assoir à coté de sa femme. Celle-ci posa sa tête contre lui, les yeux encore rougis par les larmes. Elle ne dit rien, tendant le courrier. Le sceau du roi était présent sur l'enveloppe. Une nouvelle mission pour pacifier une des régions de la Téméria venait d'arriver.

- … Retourne au camp et prépare les hommes.

- Silas est …

- Il est dans le jardin, coupa le commandant. Dis-lui en passant.

- Bien. … mais ma proposition reste, Leliana. De quoi avez-vous besoin ?

La sorcière elfe eut un léger sourire. Le premier depuis des mois en sa présence. Elle vit son commandant sortir alors un papier avec une liste d'objets et ingrédients. Elle attrapa celle-ci avant de grogner.

- On est aussi de la famille. Et j'ai besoin de coller mon pied au cul de Mandos pour la dernière fois.

Elle sortit. En fermant la porte, elle vit son officier et sa femme s'enlacer. Elle marcha décidée et arriva dans le jardin. Son camarade était bien là. Il faut dire qu'il était le plus proche dans les âges de Mandos. Un peu comme son meilleur ami. Ce dernier lisait l'un des livres du petit guérisseur sur les premiers soins et les plantes utilisables.

- Silas ! Ramène ton cul et lâche ce truc, t'y comprendrais rien. On a du travail.

- Je …

- On sait une chose sur ce sale gosse. Mandos a été élevé par notre commandant, abandonner ne fait pas parti de son vocabulaire. Et le commandant travaille sur un truc avec la doc pour les retrouver. Et puis, je suis sûr qu'il trouvera un moyen de revenir même si ça lui prend trop de temps.

- J'te suis !


Et voilà ^^

n'oubliez pas la petite Reviews pour l'auteur. Et le pouce bleu !