Hey ! Nous revoilà avec les enfants Roche chez les sorciers.
Alors, les mondes sont issus des ouvrages de J.K. Rowling et de Andrzej Sapkowski !
/langue/ : Nordien
langue : Anglais
~langue~ : Hen Llingue
~~langue~~ : Fourchelangue
N'oubliez pas la petite Reviews pour l'auteur. Bonne lecture.
Chapitre 31 :
Il regarda l'immense bibliothèque en face de lui. Sa sœur regardait autant que lui la grande salle remplie d'ouvrages accessible pour les élèves ainsi que des personnes extérieures à l'université. Sirius leur fit un petit signe de la main pour leur dire de suivre. Il hocha la tête et indiqua alors à sa sœur de rester non loin. Ils avancèrent dans les couloirs de Harvard et arrivant devant plusieurs immenses bibliothèques. Sirius observa un instant autours puis posa sur deux livres sa baguette. Il regarda les bibliothèque s'ouvrirent comme le chemin de traverse dans une cascade pour former deux arches de livres.
Ils passèrent ensemble pour arriver dans un immense hall avec de nombreuses portes ainsi que des sorciers allant et venant. Il nota alors plusieurs elfes de maisons présents devant deux sorciers ainsi que des Goblins. Il tourna la tête vers Sirius pour comprendre et celui sourit.
- Les américains ont travaillé avec les Goblins dès qu'ils ont été mis dans la confidence. Il faut dire que pour de nombreuses raisons, les créatures magiques ont beaucoup plus de droits ici que sur le vieux continent.
- Et que font-ils avec les Aens ?
- Les libèrent. Ça ne plait, malheureusement pas à plusieurs Bigots. Plusieurs cas de mises à morts des elfes ont été recensé. Le Macusa a ordonné alors que chaque elfe de maisons du territoire soit amené ici ou à la charge des goblins. Malheureusement, on a, comme l'avait constaté la nation goblin, pas beaucoup. On doit compter peut-être, en réalité, une centaine d'individus.
Il grinça, lorsqu'il entendit parler des morts. Et il nota un elfe avec de clair marques de torture en train de se faire soigner par le médicomage. Mais, beaucoup des elfes présents levèrent les oreilles en le regardant passer. Ils arrivèrent devant un bureau où l'on pouvait entendre des éclats de voix. Sirius eut un rire amusé en les regardant.
- Vous allez rencontrer le vieux Jones. Il est un peu rude sur les bords mais pas un mauvais gars.
- Que peux-tu me dire sur lui ?
- Archéologue de renom spécialiser dans les légendes et artefacts magiques, son fils est membre du conseil international et il a des liens importants parmi le gouvernement américain sorcier comme non mage. Il a accepté de me rencontrer à cause des lettres. Je dois avouer que je les ai envoyés sur un coup de tête après sa beuglante. Il m'a alors dit de venir le rencontrer pour savoir où j'avais trouvé cela. Puis, je lui ai mis les infos sous le nez ainsi que notre grognon.
Kreature, qui se tenait un pas derrière plissa le nez en haussant un sourcil. Sirius offrit un sourire terrifiant qui fut répondu par l'elfe. Il émit juste un grognement qui calma les deux. Sa sœur se marrait à coté de lui puis frappa à la porte.
- Entrez !
Ils passèrent la porte pour tomber sur plusieurs personnes donc un qu'il était sûr que c'était un du macusa. Ils étaient allés d'abord au ministère pour ce qui était appelé "passeport". Une histoire indiquant d'où on venait et qui certifiait de leur identité.
- Ah ! Voilà donc notre jeune sorcier elfe qui a trouvé la faille dans un système fonctionnant depuis des siècles.
Il regarda l'homme assez ancien. Celui-ci avait le visage carré, l'air d'avoir passé sa vie sur les routes en fait au vu des traces de vieillesse. La tenue était un complet de trois pièces avec une veste assez ancienne mais qui était moins provocante que bien des robes de sorciers. L'homme montrait bien qu'il allait et venait entre les mages et les non-mages.
Et si on regardait son bureau autours, on pouvait voir des artefacts et des livres venant de tous les pays et de toutes les époques. Il vit alors un étrange objet du coin de l'œil, lui rappelant ce qui ressemblait à bâton mais avec les gravures en elfique dessus.
Sirius avança avec un sourire, saluant alors les personnes présentes et les présentant de la main.
- Professeur Jones ? voici mon filleul, Mandos Cerbin-Roche.
- Celui donc que les elfes de maisons le nomment Arglwydd Aen Seidhe, commenta avec une voix hautaine un homme dans un coin.
L'ancien tourna la tête vers ce dernier avec agacement.
- Si vous n'avez pas de meilleure chose à dire, Wolinski, la porte est par là. J'ai assez entendu votre voix et votre agaçant sermon sur la magie.
- Notre société avait un fondement que ce … cette chose a décidé de perturber. Les elfes étaient …
- Des êtres pensants, maudits et surtout que les sorciers ont presque amené à l'extinction. Alors, qu'un jeune sorcier ait deux doigts de neurones et d'honneur décide de foutre un coup de pied dans le château de cartes ? Soit ! Sortez ou je vous sors, Wolinski !
L'homme leva la main, prêt à argumenter mais la femme présente haussa juste un sourcil et pointa la porte.
- Nous vous avons entendu Wolinski, sortez maintenant et retourner à votre bureau. Nous rediscuterons plus tard de votre attitude.
Il regarda passer l'homme qui le fusilla du regard. Mais, Kreature eut juste un sourire vicieux vers et la sortie fut beaucoup plus rapide. il donna un sourire à son camarade ancien et se tourna vers les deux personnes en face de lui. L'ancien se dressa pour faire le tour de son bureau et lui présenter la main.
- Jeune homme. je suis le professeur Henri Jones, archéologue et conseillé de la confédération internationale de la magie.
- Mandos Cerbin Roche, guérisseur et éclaireur engagé par les forces spéciales de Téméria. Ma sœur.
- Silarwen Cerbin Roche, salua alors sa sœur avec une révérence.
L'homme lui serra la main sans hésiter et fit de même avec sa sœur par la suite. Il présenta alors la femme qui portait un tailleur ainsi qu'un chignon complexe.
- Voici Elisabeth Jane Spike. Représentante du président américain de la magie. L'équivalent de votre ministre.
- Madame, répondit-il.
- Monsieur Cerbin Roche. Ou dois-je vous nommer par le titre qui vous ait donné ?
- Cerbin ou Roche ira bien. Et pour le titre, ce sont les elfes qui me reconnaissent ainsi seulement parce que je suis libre et ils ne l'étaient pas. Pour eux, je devais être … un seigneur et non pas quelqu'un comme eux.
La femme eut un sourire étrange, un mélange entre l'amusement et la compassion. Le vieux sorcier lui, ne manqua pas de rire.
- Et bien, je pense que vous avez pris une position sans le vouloir dans cette situation. La société américaine a beaucoup d'accord ainsi que de créatures magiques. Aujourd'hui, ce que les goblins ont amené et ce qui a été recensé est un souci que les sorciers ont décidé d'ignorer depuis trop longtemps. Et, il faut aujourd'hui une voix. Malheureusement, vous êtes le seul ayant une reconnaissance parmi les sorciers comme être « libre ».
- Bordel m'en parlez pas, grogna-t-il. J'ai soigné des elfes de maison portant trop de traces de torture, sévisse et autres. et le pire, c'est que certains se les ont infligés à eux même car ils pensaient qu'ils étaient …
- Obligé de le faire ?
- C'est ça. C'est l'horreur de la malédiction. Winky, une des elfes que j'ai libérée personnellement a été presque à vouloir se suicider jusqu'à ce qu'on la libère.
La femme hocha la tête en indiquant qu'ils avaient eu des retours similaires. Mais, les elfes restaient actuellement sans statut. Et les discussions prendraient des années car beaucoup de sorciers étaient opposés à ce que l'on donne un statut à des elfes de maison. Pourquoi ? car si ils ont un statut, certain devrait répondre de leur acte.
Ça le mettait en colère. Mais, actuellement, il ne pouvait rien faire. à part faire une rébellion. Et c'était surement ce qu'il prévoyait prochainement avec certains.
Il nota du coin de l'œil le regard amusé du professeur alors que la femme repartait en indiquant qu'elle tiendrait au courant pour la suite mais lui souhaitait un bon séjour avec sa sœur sur les états unis. Il marmonna un salut avant de fixer l'ancien.
- Bien. Maintenant que ceci est dit. Je me suis penché avec votre fou d'oncle sur votre arrivé avec ce que vous avez trouvé. Et maintenant, c'est sur votre départ qu'il faut se pencher.
- Vous nous aideriez ? comme ça ? je peux comprendre des goblins mais vous ?
- Car vous avez mis un coup de vent sur un plateau qui aurait dû être fait depuis longtemps. Une seconde … Ulaz !
Il vit alors un elfe de maison apparaitre à cet instant. Mais, celui-ci était habillé un peu mieux que la tête d'oreiller. Il vit le regard entre lui et l'ancien professeur.
- Ulaz, voici le jeune Mandos Cerbin-Roche. Jeune homme, voici …
- Ulaz. C'est un honneur maitre Arglwydd Aen Seidhe.
- Ravie ?
- Ulaz est un de mes amis les plus sûrs.
Il vit l'elfe de maison avoir une expression un peu désabuser vers l'ancien et marmonner quelque chose sur plutôt le seul qui le suivait dans des lieux sordides pour le sortir des ennuis. Il ricana, notant parfaitement que l'elfe était libre de ses pensées. L'ancien eut un sourire très amusé en regardant son camarade aux grands yeux avant de présenter la table avec les chaises et que tout le monde s'y installe.
- Pourquoi m'appelez Arglwydd Aen Seidhe ?
- Parce que votre magie pue littéralement les anciens, commenta l'elfe debout sur la chaise. Comme votre jeune sœur. Vous êtes reconnu comme seigneur. Le premier depuis des années. Enfin, c'est mon avis. Et vous êtes aussi celui qui a ouvert les pots de sauces qui servent d'yeux aux sorciers.
- Je l'aime bien, celui-là, commenta Kreature.
- Ulaz est celui que j'ai envoyé distribuer les potions. J'ai de bonnes relations avec les goblins. Et je n'ai pas combattu Grindelwald et les allemands pour cautionner l'esclavage moderne.
- Il faut donc que les elfes sortent d'ici. Chez nous, ils se réfugient dans les forêts mais je ne pense pas que ce soit la meilleure idée. Par contre, ils peuvent s'installer dans les anciens manoirs abandonnés ou la chambre des secrets de Poudlard. C'est un exemple. Sans oublier d'organiser la sortie de chacun … Combien réellement d'elfe de maisons ont été recensé par les goblins. Et je sais qu'ils l'ont fait discrètement.
- Oui. Et seulement quelques-uns du macusa savent ce qu'il se passe. Et ce Wolinski en fait malheureusement partie. Pour le nombre d'individu, malheureusement, il ne reste que cinq cent elfes de maisons sur le monde entier. Alors qu'à une époque, j'ai pu retracer bien plus de dix mille elfes. La magie les a bouffés, génération après génération sans oublier les abus. Aujourd'hui, c'est peut être les dernières générations d'elfes du monde. Enfin c'était sans votre intervention.
Il resserra le poing. Et Sirius ajouta que les goblins n'avaient pu libérer même pas un dixième de ces elfes.
- Bien … nous allons discuter des possibilités de ce passage entre les mondes après le déjeuner. Je vous invite. Par contre … pour rendre une apparence … différentes, les goblins ont été silencieux mais je vois que votre ami à taille humaine.
- Oh ?
- Je peux le dire ! Demanda Silarwen en levant la main.
Il hocha la tête vers elle. Celle-ci eut un sourire, prête à réciter la leçon qu'elle avait acquis par l'observation des rituels ainsi que ce qui avait été fait dans la salle secrète sous Poudlard.
- Alors, la malédiction est purifiée par l'apport de magie dirigé par les runes de protection et de purification. Afin de rendre ce changement possible, le corps doit alors être prêt au changements. Cela est apporté par le venin magique de basilic et les flammes d'un phénix. Deux opposés de la magie. Le risque, néanmoins, est que le changement par le venin entraine la mort de la personne si mal exécutée ou si on tente d'utiliser une alternative.
- Eh bien. Votre jeune sœur semble au moins prête pour rentrer à l'école avec fracas. Mais je crois savoir que c'est chez vous que vous voudriez rentrer.
- Je vous le fais pas dire.
Le sorcier leur indiqua de le suivre et ils allèrent dans la rue sorcière, similaire à celle de Londres. Ils arrivèrent devant la terrasse d'un restaurant où le serveur leur indiqua le balcon où des tables avaient été réservés. Le professeur Jones leur présenta alors plusieurs de ses collègues qui les attendaient. Sirius et Silarwen disparurent néanmoins dans la rue pendant qu'il discutait avec ainsi qu'avec plusieurs elfes présents. Plusieurs demandaient pourquoi ils voulaient les libérer de leur servitude. Le souci, c'est que sa réponse semblait confirmer une volonté à prêter serment de le suivre. Son père allait le tuer. Il était en train de rassembler des elfes sous sa bannière sans le vouloir. Il voulait simplement être guérisseur et suivre la voie, lui.
Il parla alors des royaumes du nord et particulièrement le royaume elfique de Dol Blathanna. Plusieurs elfes de maisons semblaient intéressés et en parleraient aux autres.
- Mandos ! Joyeux anniversaire !
Il tourna la tête et regarda sa sœur avec un paquet empaqueté entre ses mains. il cligna des yeux et ouvrit celui-ci sous le regard de plusieurs des pontes sorciers en magie runique ou archéologique. Il trouva une besace sorcière avec un système de rangement magiques pour des potions ou des bandages ainsi que du matériel médical.
- Bordel … Sili… Merci.
- C'est avec l'idée de Sirius. Il avait vu l'artisan et on a travaillé ensemble. Et tu avais oublié que tu as 17 ans maintenant ! T'es majeur.
Il ricana sachant qu'il avait aussi passer son permis de transplanage durant la semaine. Le repas commença et il vit arriver aussi plusieurs autres personnes qui discutèrent avec lui. il revit la sorcière Spike qui s'installa à un coin de la table pour discuter politique. Kreature participa ainsi que Pax qui les avait rejoints. Au moins, ça le changeait des soucis anglais. Il apprécia les runes de traduction puisqu'en fait, Jones avait appelé des collègues des quatre coins du globe.
Mais, il avait d'autres problèmes plus urgents. À commencer par Voldemort qui était de retour mais qui jouait à un jeu tordu à cause du ministre. Dumbledore annonçant le retour du mage noir mettait des tensions existantes en lumières. Il avait dû poser une plainte contre la gazette du sorcier pour affabulation contre lui. Il accepta une interview pour dire qu'il avait juste déclaré ne pas savoir ce que les mages noirs avaient fait et qu'il n'avait reconnu que Petigrow. Lorsque Fudge entendit cela, il accepta de le laisser tranquille. Enfin, tranquille était pas le terme qu'il emploierait. Déjà lors de son permis de transplanage, un l'emmerda car son acte de naissance indiquait qu'il n'avait que 15 ans et non 17 ans. Et c'était un exemple parmi tant d'autre.
Il attrapa son verre pour le boire, souffrant de la chaleur en ce mois d'aout bien que la nuit montait petit à petit. Il commença à boire lorsqu'il sentit le froid commencer à bruler ses doigts. Il baissa le verre, surpris. Mais, il vit Sirius se tendre voire même s'accrocher à lui-même à cet instant.
Il leva la tête et dégaina la baguette juste à temps avec d'autres lorsqu'un flou sombre s'abattit sur lui dans ce début de soirée. Un détraqueur. Un détraqueur venait simplement de fondre sur lui comme un aigle sur sa proie. Il lança alors Cornedru qui illumina la rue et envoya le premier. Un second fit son apparition mais ce fut les patronus des autres sorciers qui envoyèrent au loin la créature.
La soirée en fut écourtée assez violement avec cet incident. Sirius dût être emmené à l'hôpital à cause des années à Azkaban. Mais, ce n'était rien avec la colère dévastatrice des personnes présentes dont des membres du gouvernement américain. On voulait des explications. Et le seul lieu où se trouvait des détraqueurs était sur le sol anglais. Surtout que les créatures étaient sous les ordres du ministère de la magie anglaise.
Il termina sa barre de chocolats, argumentant avec les aurors présents sur si il savait pourquoi des créatures de classes noir était apparu en plein milieu des états unis. Il ne savait pas et il voudrait bien savoir. Surtout que Kreature avait pointé que les deux avaient sciemment fondu vers lui et Silarwen. Ce qui voulait dire qu'ils avaient été ordonnés. Sa sœur hocha la tête. Il alla pour prendre un nouveau morceau de chocolat tendue par l'auror lorsqu'un oiseau déposa une lettre verte devant lui. Celle-ci s'ouvrit alors sous le regard des personnes présentes, surprise.
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Cher monsieur Potter,
Nous avons reçu des informations selon lesquelles vous auriez exécuté le sortilège du Patronus ce soir, à minuit quarante-trois, dans une zone habitée par des moldus et en présence de l'un d'eux.
La gravité de cette violation du décret sur la Restriction de l'usage de la magie chez les sorciers de premier cycle entraîne d'office votre expulsion de l'école de sorcellerie Poudlard. Des représentant du ministère se présenteront à votre domicile dans les plus bref délais afin de procédé à la desruction de votre baguette magique.
En raison de cette grave infraction à l'article 13 du Code du secret établi par la Confédération internationale des sorciers, nous avons le regret de vous informer que votre présence sera requise lors d'une audience disciplinaire qui aura lieu au ministère de la Magie le 12 août prochain à neuf heure précises.
Vous espérant une bonne santé, je vous prie d'agréer, cher Mr Potter, l'expression de mes sentiments distingués.
Mafalda Hopkrik
Service des usages abusifs de la magie
Ministère de la magie.
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Livide. Il était livide de colère. Mais, il entendit un chahut sur le coté de son esprit et tourna la tête en voyant une colère généralisée et l'impression d'être à la cour de Wyzima lors d'un des arguments sur la descendance du roi. Et encore, ça ne semblait rien à coté de la colère qui traversait le macusa.
- Quelqu'un pourrait m'expliquer qu'est-ce que c'était que cette connerie !? ordonna un des aurors présents.
Il attrapa la lettre et la tendit alors à l'homme avec un rictus sombre.
- Ministère anglais. Cachet sur l'enveloppe. Et des cons qui ont décidé que j'étais une bonne cible … et putain. Je ne suis plus mineur / Bordel de merde !/
- Ça dépasse les bornes. Et les soi-disant moldu présent étaient des parents de sorciers ! vous étiez dans la zone sorcière.
Il regarda les elfes de maisons qui observaient des ombres. Il plissa les lèvres avant de gronder et se tourner sciemment vers les elfes en laissant les autres argumenter. Il faut dire qu'à la table, il y avait des membres de la confédération internationale de la magie. Il se pencha vers les elfes.
- ~ vous comprenez lorsque je parle en langue ancienne ?~
- ~ Les goblins nous ont appris après nous avoir libéré, Arglwydd Mandos.~
- ~ Bien, allez foutre le bronx chez les anglais et trouvez qui a fait cette merde.~
- ~ ce sera avec plaisir, répondirent les deux avec un sourire.~
- ~ Je vais avec eux, indiqua Kreature. Il y a des limites à ne pas franchir. Pax prend la charge avec Ulaz de l'organisation des évacuations. ~
Il hocha juste de la tête avant de retourner vers les sorciers qui commençaient à préparer des réponses au ministère Anglais. Surtout que des représentants d'autres pays, dont des ambassadeurs, avaient été mis au courant de l'attaque contre des professeurs issus de leur pays et demandaient la tête des coupables. Il allait attendre pour lui-même frapper.
Une seconde chouette lui lâcha sur le visage une nouvelle lettre. il regarda celle-ci sombrement et était tenté de la bruler sur place. Surtout qu'il était question que des aurors débarquent chez lui, donc en Angleterre, pour détruire sa baguette. Grand bien leur en face, il n'en avait pas besoin réellement.
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Cher Mr Potter,
Suite à notre lettre d'il y a, approximativement vingt-deux minutes, le ministère de la Magie est revenu sur sa décision de procéder à la destruction immédiate de votre baguette magique. Vous pourrez donc conserver jusqu'à votre audience disciplinaire du 12 août à l'issue de laquelle une décision officielle sera prise.
À la suite d'un entretien avec le directeur de l'école de sorcellerie Poudlard, le ministère a bien voulu que la question de votre expulsion soit également examinée à cette date. Vous devrez, par conséquent vous considérer comme simplement suspendu jusqu'à plus ample informé.
Je vous prie d'agréer, cher Mr Potter, l'expression de mes sentiments distingués.
Mafalda Hopkrik
Service des usages abusifs de la magie
Ministère de la magie
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Et voilà que le professeur Dumbledore mette son grain de sel. Par contre, il nota la main du professeur Jones dans sa direction. il donna la lettre avec un sourire.
- Donc … que va faire le gouvernement américain ?
- Je suis d'avis de transparence.
Et transparence il fut lorsqu'il lut le lendemain avec un sourire montant aux oreilles le journal international avec les gros titres sur l'attaque dans un quartier sorcier par des détraqueurs. Surtout que l'attaque avait été contre plusieurs membres de la confédération internationale selon les gros titres. Il apprécia alors avoir envoyé une copie des informations au Chicaneur. Luna s'était donnée un plaisir de faire des éditions spéciale. Surtout qu'il avait envoyé des elfes de maisons récupérer les informations au ministère. Quelqu'un avait donné l'ordre aux détraqueurs de l'attaquer.
Fudge avait à présent à gérer une situation internationale compliquée. Cependant, il n'avait pas encore le nom de celui qui avait envoyé les créatures bien qu'il ait un doute. Sans oublier qu'un médiateur goblin avait été envoyé pour discuter de l'utilisation en tant que mineur. Ils avaient encore avancé son acte de naissance et voulaient retirer ses BUSES. Mais, il existait plusieurs cas d'accidents avec des retourneurs de temps et le vieux professeur Jones s'était grandement amusé à les ressortirent ainsi que les décisions de justice qui en ont découlé. Puisqu'il avait 17 ans, il était considéré majeur. Et, il avait usé de la magie sur une terre sorcière en présence de sorcier pour des raisons de défenses.
Il n'eut même pas à aller au procès réellement. Il s'était bien présenté le 12 août pour dire une bonne journée au ministre alors que trois agents de la confédération venaient en médiation face au Magenmagot.
À côté, Sirius avait été contacté par Dumbledore pour reformer l'ordre du Phénix. Mais, à la surprise de tous, Sirius refusa. D'un côté, il souffrait encore des séquelles des détraqueurs. Ensuite, il pointa au directeur que ce dernier n'avait même pas levé le petit doigt pour le sortir d'Azkaban alors qu'il avait surement su que James et sa mère avaient changé de gardien du secret.
Ils avaient eu la visite plusieurs fois des amis de Dumbledore ainsi que Maugrey pour les « convaincre » d'aller à l'abri des mangemorts. Sirius pointa la porte très souvent à part à Remus Lupin et sa cousine. Encore plus surprenant, à Rogue. Mais, ce fut seulement pour avoir des informations sur les mouvements. Dumbledore vint aussi, disant qu'il était en danger. Il gronda qu'il était en danger depuis le jour même où un idiot n'avait pas trouvé mieux que de le sortir de son monde. Si les anglais avaient des problèmes, qu'ils s'en occupent et ne fassent pas les autruches pendant des années. Le souci de Voldemort était juste la pointe de l'iceberg.
Ils eurent les Weasley plusieurs fois. Molly voulut, au début, les convaincre d'écouter les conseils de Dumbledore. Il ne fut pas très sympathique, il admettait. Mais, la femme s'était mise dans l'idée d'agir comme leur mère. Même Narcissa qui vivait avec Draco dans le manoir Black n'agissait pas ainsi avec eux. Ils avaient une mère, et celle-ci devait surement être désespérée de les retrouver. Ça allait faire bientôt deux ans au mois d'octobre.
La matriarche Weasley dut entendre raison après une très longue conversation lorsque tout le monde fut calme.
Mais, son principal problème fut l'ordre du phénix. Surtout lorsqu'il l'interpellait dans le monde des non-mages lorsqu'il allait faire des courses. Il indiqua sombrement à l'un des agents de Dumbledore que s'il sentait à nouveau un des suiveurs derrière lui, il faisait faire de la combustion spontanée et recommencerait surement à sortir une dague. Ça avait bien fonctionner sur Voldemort en la lui enfonçant dans la cuisse.
Par contre, il rejoignit un camarade qui lui avait donné rendez-vous à Sainte Mangouste. Il arriva dans l'hôpital magique et se dirigea alors vers un étage en suivant les instructions de la lettre. Il regarda l'heure, sachant que Silarwen faisait actuellement ses courses avec Narcissa, Andromeda et Draco pour son entrée à Poudlard. Il avait besoin de s'écarter des fouines qui n'avaient vraiment rien compris. Tonks venait néanmoins prendre le thé et des nouvelles ainsi qu'en donner.
- Mandos ! je suis là.
- /Bonjour Neville !/
- / bonjour ! merci d'être venu./
- / Tu as eu le courage de demander. Alors, je ne pouvais que venir voir. Mais, je voudrais être sûr que tu comprennes que je pourrais peut être ne rien pouvoir faire … /
- Je sais. mais … j'ai le droit d'espérer.
Il hocha la tête et suivit son camarades. Il regarda les personnes autour qui semblaient absent ou fou pour certains. C'était l'étage où les sorciers ayant perdu l'esprit se trouvaient. Et Neville avait ses parents là depuis maintenant plus de 14 ans.
Il rentra dans la salle et regardant les deux adultes dont lui avait parlé sa mère. Techniquement, Alice Londubat était sa marraine. Il regarda les yeux vide d'étincelles et juste les mouvements au début. Elle le fixa puis revint vers le vide sans le voir. Mais, elle donna un morceau de papier à Neville. Le jeune homme indiquait que c'était le seul moment où elle agissait réellement.
Il frotta son menton, lisant les informations du dossier qu'il était allé piquer discrètement. Neville paniquait car sa grand-mère devait bientôt revenir. Il regarda ce qui avait été tenté puis fixa les corps bougeant en face de lui.
il fit plusieurs tests qu'il connaissait sur les réflexes, la réponse neuronale, les mouvements involontaires, les voix et les sons. Il avait même vérifié via la magie la réaction lorsque Neville donnait un bonbon à sa mère et que celle-ci rendit à chaque fois comme un cadeau le papier.
- … j'ai pas vraiment de solution. Comme je t'ai dit, mon domaine sont les blessures physiques ou encore, les malédictions et empoisonnements. La seule chose que je pourrais faire est d'aider à la reconstruction des nerfs détruits. Et encore … par contre, ma mère ainsi qu'un des cercles des druides pourraient faire quelque chose.
- Mais, ce serait aller dans le monde où tu vis.
- Exacte. Bien que je pourrais essayer un truc. Mais, ce sera définitivement m'a plus mauvaise idée et je préfère ne pas utiliser cela.
- Quoi ?
- Axii. C'est un sort particulier qui contrôle la tête. Un peu comme l'impérium mais plus … simple. Ça influence l'esprit. Je serais tenté de l'utiliser pour dire de se réveiller mais ça pourrait faire beaucoup plus de dégâts qu'aider. Si ils se réveillent sans savoir qu'ils ne sont plus torturés, le réveil pourrait terminer en choc mortel. Tu sais, comme si tu coupais un membre sous anesthésie et tu retires l'anesthésie après avoir embrasé la blessure pour la cautériser.
- Le choc de la douleur pourrait les tuer … c'est ça ?
- Oui. Leur dernier souvenir conscient est ce putain de sort, Neville. Mais, définitivement, je pense que les druides ont pas mal à offrir. Mais de là à partir pour abandonné son monde et que ça peut être un échec ? Faut y putain de réfléchir. De même pour le Axii. Bien que vous avez la même version avec Imperium. Puisque l'on a l'impression de planer après avoir sniffé de la drogue, ça pourrait être le fil à suivre.
Le garçon hocha la tête en lui disant qu'il réfléchirait. Il pencha les mains vers les tempes de la mère de son jeune camarade en se concentrant et murmurant les sorts. Les lettres de magies apparurent une seconde sur la peau puis disparurent. Ça ne faisait rien à première vue mais c'était un sort qui travaillait petit à petit avec la magie de la personne. Les Londubat avaient leur magie encore présente et ne l'utilisaient pas. Elle allait donc les aider. Tout du moins, il l'espérait. C'était un caillou jeté dans la mare, cette tentative.
Ils ressortirent de la pièce sans que personne ne sache ce qu'il avait fait. Certaine chose ne devrait être gardé en silence pour l'instant. Sa mère avait dit que certains sorciers abuseraient des savoirs des sorciers des royaumes du Nord. Puis, il rencontra la grand-mère Londubat qui eut plaisir à le rencontrer. Il faut dire qu'il avait aidé Neville à s'affirmer un peu plus et prendre confiance en lui. Et lui avait appris avec les autres à avoir assez confiance en lui pour lancer ses sorts avec une baguette adaptée. Hermione avait parlé au professeur Mcgonagall et celle-ci s'était entretenu avec Augusta Londubat. Cependant, avant son départ, elle l'interpella.
- Mon garçon ? Je vous conseille de prendre garde à une personne. Plusieurs de mes amis m'ont parlé que Poudlard va avoir une membre du ministère comme professeur.
- Ce qui est à l'encontre du côté apolitique de l'école mais au point où en est le ministère, un peu plus ou moins de merde, pourquoi pas.
- Faites attention.
Il remercia avant de transplaner dans le chemin de traverse et rejoindre sa sœur qui récupérait sa baguette à cet instant. Il la vit avec la longue baguette dans la main, un sourire montant jusqu'aux oreilles.
- Regarde ! T'arrive juste pour la voir. C'est une baguette en bois de peuplier des terres des pierres dressée avec une plume d'oiseau tonnerre !
- Bordel de merde … Il fallait que tu ais une chose aussi dangereuse entre tes mains. Et on ne peut qu'accuser p'pa et m'man pour le coup. Je suis sûr que P'pa a un ancêtre elfe sans qu'il sache. Précision, tu fais sauter quelque chose, tu répares.
- Parole !
Il rentra chez le marchand de baguette qui retira la trace à sa demande ainsi que lui donna un nouveau kit d'entretiens. Il avait déjà fait ses courses précédemment mais avait été surpris par la liste des livres. Surtout le livres de défenses contre les forces du mal. C'était la théorie de la théorie. Il avait donc pris en plus, des livres avancés dans son sac et des livres de spécialisation en magie curative. En espérant que l'année ne commence pas avec des problèmes.
Il regarda les petits messages que venaient de lui glisser les elfes de maisons à présent libres au ministère de la magie Anglais. Plusieurs avaient sorti des informations des archives montrant qu'à la suite des agissements de Voldemort, plusieurs personnes avaient été envoyé en prison sans procès. et d'autres avaient échappé à la prison en utilisant leur argent. Ça le révoltait mais il connaissait le principe puisque ça arrivait aussi chez lui. Il ne pouvait compter le nombre de personne que leur père aurait voulu passer la corde autour du cou. Encore plus depuis qu'il avait fait la séparation entre les non-humains et les Scoia'tael. Ce qui était assez drôle lorsque des elfes rencontraient Vernon Roche, s'attendant à de la haine et trouvant juste une personne qui grognait que son travail était d'arrêter les Scoia'tael et rien d'autres.
Pour sa part, il était plutôt d'avis à ne pas se mêler de politique en tant que soigneur et chirurgien. Un patient est un patient, rien d'autres. Lorsqu'on lui demandait de pister quelqu'un, il le faisait sauf si c'était pour des raisons malsaines. Il se souvenait bien d'un coup où on lui avait demandé de pister une jeune fille. Il avait découvert en enquêtant alors que c'était une jeune fille qui avait été vendu par un voisin comme esclave sexuelle. Il l'avait bien retrouvé mais pour l'emmener ensuite avec un sac d'or piquer chez le maitre jusqu'au port pour rejoindre le Kovir.
- On arrive à la gare ! Tu prends ton rôle de préfet ?
- Pourquoi, bordel, chourave a pensé que c'était une joyeuse bonne idée de putain me mettre comme préfet ? J'en ai que foutre des piailleurs et merdiques problèmes …
- Parce que tu es responsable. Tu as la tête sur les épaules. Tu es franc et loyal. Et tu es l'un des meilleurs de la septième année. Elle aurait pu te proposer comme préfet en chef.
- Je me serais pendu à mes entrailles.
- Je demande à voir, ricana Draco à coté. Tu as bien réussi à faire hurler de rire un vampire.
- Je retiens Jones de nous avoir présenter. Mais, au moins, j'ai eu un bon adversaire en combat à l'épée.
Il frotta son bras où se trouvait à présent une petite cicatrice. Henri Jones avait présenté, lors de leur vacances aux usa, le roi vampire. Draco s'était étouffé avec les autres alors que lui avait demandé si le régime alimentaire était pas difficile avec la connerie actuelle. Ça avait fait rire le vampire qui avait indiqué qu'il pouvait très bien manger de la nourriture humaine. Puis, ils avaient fait un petit duel à l'épée. Il avait encore eu mal et surtout, le vampire n'avait pas mieux trouvé à dire qu'ils devaient se voir plus souvent pour passer des passes d'armes en échange de leçon de vocabulaire.
Il se tourna vers les premières années où sa sœur se trouvait. Il lui indiqua alors Hagrid avant d'appeler les Poufsouffles à se rassembler pour aller au château. Il en voudrait à Cédric d'avoir donné son nom comme remplacement. Il voulait se concentrer sur les aspic ainsi que trouver un moyen de quitter le fiasco anglais à la fin de sa scolarité. De ce qu'il avait vu, les anglais essayaient de faire taire le retour du mage noir en diffamant les deux témoins en plus de Dumbledore. Mais bon, Cédric avait déjà trouvé un maître d'apprentissage au Canada qui acceptait de le prendre. La condition était d'avoir les aspics avec des notes excellentes. D'où pourquoi il cédait sa place de préfet. Et cela se comprenait, dans un sens. Mandos arriva à coté de Cho Chang qui le salua.
- Alors ? Des nouvelles de 'Dric ? Je l'ai pas encore vu.
- oui. Il a rencontré un bon professeur qui dit qu'il avait déjà de très bonne base. Ce qui le surprend à cause du niveau de Poudlard. Il devrait arriver bientôt. Il devait envoyer un courrier.
- Le club de sport et duel va avoir donc de nouveau membre, c'est bien. Demande lui de ne pas trop te dire de poème à l'eau de rose car sinon, je vais me foutre de sa gueule jusqu'à la fin de ses jours.
Cela fit rire d'autres des préfets dont Hermione à coté qui le traita de crétin indécrotable. Ce qui n'était pas faux. Ils allèrent jusqu'à la grande salle et il nota une chose étrange à la table des professeurs après avoir récupéré les informations auprès de la sous-directrice. La chose portait du Rose. Il pencha la tête sur le coté, gardant sa capuche sur la tête. Il se tourna vers Justin en pointant du pouce.
- C'est quoi les nouvelles ? Surtout le truc Rose à la table.
- il semble que c'est le professeur de défense.
- Hn. Elle me dit quelque chose.
Il se mit à réfléchir pour savoir qui pouvait être la personne en rose. Celle-ci lui disait quelque chose. Il grimaça lorsqu'un souvenir remonta à sa mémoire. La femme de l'audience qui l'avait emmerdé sur son statut d'elfes.
- / Et Merde ... /
Et bonjour Enfer. Ombrage, on met un pronostique sur son espérance de vie. Elle va être courte.
