Bonjour tout le monde. C'est le retour de Mandos et sa soeur.

Les mondes sont issus des ouvrages de J.K. Rowling et de Andrzej Sapkowski !

/langue/ : Nordien

langue : Anglais

~langue~ : Hen Llingue

~~langue~~ : Fourchelangue

N'oubliez pas la petite Reviews pour l'auteur. Bonne lecture.


Chapitre 32 :

Il grogna en regardant la femme du coin de l'œil mais fut surtout surpris par l'avertissement du choixpeau. Certes, les maisons étaient divisées mais pas totalement en fait. Plusieurs, entre les maisons, avaient franchi le pas pour tous s'intégrer. C'était inquiétant que le choixpeau donne pareil avertissement avant la répartition. Le moine et Mimi expliquèrent qu'il ne l'avait fait que très rarement. Il le faisait lorsque le monde sorcier semblait bien troublé.

Il voyait, lui, quelque chose de troublant. Il n'y avait rien qu'à regarder la personne assise à la table des professeurs. Cependant, il regarda dans la liste des élèves sa sœur être appelée. Il pinça ses lèvres, appuyé contre son poing. Le choixpeau resta un instant sur la tête de sa sœur avant qu'il ne dise.

- Poufsouffle ! Aussi intéressante que le frère.

Il ricana sur le coté alors que les autres applaudissaient sa sœur qui sauta rapidement à une des places libres avec un sourire montant jusqu'aux oreilles. Justin se pencha vers lui.

- Ta sœur dans la maison, c'est quasiment chez elle depuis le temps.

- Sans blague. Bon … écoutons ce cher directeur pour son discours habituel de fin de repas.

Il attrapa le plat et se servit lorsque la répartition fut terminée. Sa sœur sympathisait avec les nouveaux et salua les anciens. Certains des jeunes enfants de non-mages eurent un soulagement d'avoir quelqu'un qui était prêt à leur donner des explications ou des aides.

Il nota néanmoins à un moment le regard dans sa direction plusieurs fois par Ombrage. Cependant, elle se tourna vers Dumbledore lorsque celui-ci commença à donner les règles de début d'année. Il commença alors à parler des essais pour la constitution des équipes lorsqu'on entendit un son très désagréable. La femme avait coupé le directeur comme si elle avait une mauvaise toux. Mais, elle avait à présent le regard tourner vers elle. Il était sûr que McGonagall était à deux doigts de donner une colle à la femme alors que plusieurs des élèves semblaient rire. La nouvelle professeure ne semblait pas connaitre les usages de Poudlard. Et il sentait à l'intérieur qu'elle allait s'en ficher royalement.

Sa sœur se rapprocha de lui et signa un instant de surprise en direction de la femme. Il donna alors l'ordre à ceux qui le fixaient de rester tranquille pour l'instant. Ils allaient voir sur le long terme. Blaise le vit depuis la table des Serpentards et transmit aux autres.

Dumbledore était, pour sa part, un peu pris au dépourvu. Il faut dire que personne n'avait jamais tenté de l'interrompre. Mais, il trouva la réponse intéressante puisque le directeur reprit sa place et commença à regarder la femme avec un grand sourire pour attendre qu'elle termine car il aimait l'écouter. Ça lui donnait juste envie de dormir, pour sa part.

La femme se leva alors et eut un sourire assez intéressant à fixer. Ça lui rappelait le sourire d'une guenaude. Et encore, en plus faux et vicieux. Et lorsqu'elle commença à parler avec sa voix trop aigue, il savait que ce qu'elle allait dire allait être assez faux. Silarwen maugréa à côté en langue ancienne.

- ~Même Treize arrive à mieux mentir et il est pas doué. ~

- ~Hn. Silarwen, je te demanderais d'être très prudente avec cette femme. Nous sommes d'accord ? ~

- ~Pourquoi ? ~

Il ne dit rien et lui fit signe d'écouter.

- Je dois dire que c'est un grand plaisir de revenir à Poudlard et de voir ces joyeux petits visages levés vers moi.

Il pinça sa lèvre en se demandant si la femme était payée aux mensonges à débiter. Justin leva la tête vers lui, demandant ce qu'il se passait. Il secoua la tête de ne pas poser de questions. Ce n'était vraiment pas le moment. Surtout que le regard de la femme commença à traverser la pièce et il se sentait clairement visé lorsque les yeux se déposèrent sur lui. Il garda une expression calme.

- Le ministère de la Magie a toujours accordé une importance primordiale à l'éducation des jeunes sorcières et des jeunes sorciers.

Il nota beaucoup de ses camarades se désintéresser du discours pour parler entre eux. Mais, lui, il grimaçait. Il sentait que ça n'allait pas lui plaire et les professeurs non plus. Il garda son attention sur la femme, décryptant au mieux le discours. C'était un peu comme écouter un sermon d'un des prédicateurs du feu éternel. Il y a toujours des informations dessous un discours pour savoir à quoi s'attendre.

- Chaque directeur, chaque directrice de Poudlard a apporté quelque chose de nouveau en accomplissant la lourde tâche de gouverner cette école historique et c'est ainsi qu'il doit en être car l'absence du progrès signifie la stagnation puis le déclin. Mais le progrès pour le progrès ne doit pas être encouragé pour autant.

Il renifla lourdement et regarda Hermione qui plissait autant que lui les yeux. Il nota un coup d'œil de la part d'Adrian depuis la table de Serpentard qui fit signe aux jumeaux qui ne l'avait pas encore noté. Le message entre eux fut clair, cette femme allait être un problème. Le progrès pour le progrès ne doit pas être encouragé ? C'était aussi simple de dire que la femme n'était pas là pour enseigner mais pour foutre son nez dans les affaires de l'école.

- Aussi, n'hésitons pas à entrer dans une ère nouvelle d'ouverture, d'efficacité, de responsabilité, avec la volonté de préserver ce qui doit être préservé, d'améliorer ce qui doit être améliorer, et de tailler dans le vif chaque fois que nous serons confrontés à des pratiques dont l'interdiction s'impose.

Sa sœur lui tira la manche et demanda alors si c'était une façon de dire qu'elle n'allait pas leur apprendre à se défendre. Il était d'accord. La femme était clairement là pour mettre des soucis dans l'école. Et ça n'allait pas être joyeux pour la suite. Il soupira avant de se lever et se tourner vers autres membres de la maison dès que le repas fut terminé.

- Bien ... je suis Mandos Cerbin, votre préfet. Première année, suivez-moi dans le calme jusqu'aux dortoirs. Si vous avez des questions, vous attendrez la salle commune pour les poser. Veuillez-vous mettre en rang et me suivre.

Plusieurs commencèrent à se déplacer rapidement derrière lui. Il tourna la tête pour regarder le reste rejoindre. Il tourna des talons et commença à avancer avec les premières années derrière lui.

À la salle commune, il donna les indications ainsi que l'organisation des dortoirs et où trouver les emplois du temps pour les heures de cours. Ce fut une succession d'informations et de gestions des élèves qui lui donnaient juste la migraine. Surtout avec les autres qui se marraient derrière. Il rappela à l'ordre Justin à un moment qui se tendit presque aux gardes à vous. Il ricana sombrement en fixant son camarade de classe.

- T'es sûr que tu ne veux pas qu'on t'appelle commandant ou capitaine, à présent ?

- / … Susan Bones … je sens que tu veux être parmi ceux participants au jogging du matin. Tu sais ? Celui de cinq heures du matin quel que soit le temps ? /

- … Qu'est-ce qu'il a dit ?

- Rien. Je donne des indications simples aussi concernant ma personne. Oui, j'ai porté le nom de Harry Potter. Non, je ne réponds pas à ce nom et j'emmerde ceux qui l'utilisent. Je suis un membre de cette maison comme tout le monde …

Il nota le rire de certains en fond de salle à cela et sa sœur qui souriait à pleine dents devant lui.

- Néanmoins, au besoin ou si vous avez un souci, vous pouvez venir me voir. Je suis celui en charge d'un club de sport et self défense. Ainsi qu'un club de recherches et devoirs. J'ai une règle assez simple, les putains de pensées parentales et sociétales arriérées sont laissées à l'extérieur de la salle. Quelqu'un a une question ?

Il vit plusieurs se regarder et un lever la main. Il le regarda, invitant alors à parler.

- ... Tout le monde jure comme vous ?

Il cligna des yeux plusieurs fois alors que les autres plus anciens, derrière se mirent à rire. Il esquissa un sourire très renard et frotta la tête du première année plus rouge qu'une tomate.

- Tu t'y f'ras. J'ai tendance à ne pas mettre de papier cadeau et de parfum à la merde s'il faut la dire.

- Mandos a un sacré franc parler. On s'y habitue, indiqua Justin. Mais, au moins, vous allez voir comment il peut remettre en place des idiots. Et on a aussi sa sœur ici présente.

- Au fait, Mandos … ça va faire trois galions …

- Je te hais.

Il posa les trois pièces dans la main de sa sœur alors qu'une des autres filles indiquaient chaleureusement que la sœur était en charge de corriger le trop franc parler. Malheureusement, plus d'un des élèves avait été contaminé par sa décision de ne pas mettre de gants dans certains cas. Madame chourave arriva par la suite et se présenta. La soirée se termina sur une bonne note lorsque la professeure l'appela avec la seconde préfète pour leur donner les prochaines réunions. Mais, avant qu'il ne sorte, la professeure lui demanda de rester un instant.

- Un souci, professeure ?

- Je voulais vous demander d'être extrêmement prudent avec Dolores Ombrage. Cette femme est notoirement connue pour détester les créatures magiques. Et je crains qu'elle ne s'attaque à vous et votre sœur. Elle a déjà été insistante sur votre présence avec les cinquièmes années à cause de votre date de naissance. Mais, j'ai pointé les retours de justices et que vous avez 17 ans malgré tout.

- Merci Professeure. Je prendrais des pincettes pour ne pas offusquer les chastes oreilles de cette femme. Et je préviendrais Sili de garder ses oreilles cachées.

- Merci. Et votre avancée sur votre retour ?

- je suis clairement pas un spécialiste des portails. Et coincé à Poudlard, il est compliqué de travailler sur un retour. Sirius Black travaille dessus après avoir pris contact avec le professeur Jones …

- L'historien ?

- Yep.

- Eh bien. Son nom est arrivé dans les discussions dans la salle des profs. Nous avons eu un souci avec le professeur Binns. Quelqu'un a semblerait il fait comprendre à ce cher professeur qu'il était mort depuis longtemps.

Il cligna des yeux un long moment et vit alors apparaitre derrière Chourave un des elfes de maisons avec l'air désolé et lever la main. Bon, les elfes de maisons de Poudlard commençaient aussi à avoir la potion. Ça allait être marrant en fait chez certains. Mais l'elfe sembla se désigner coupable de l'affaire avec le professeur Binns.

- Donc, la candidature pour le poste de professeur d'histoire de la magie a été pourvu par le professeur Jones. Mais, il ne pourra venir qu'à la fin de la semaine. Raison aussi pour laquelle les emplois du temps ont été revu puisqu'il est aussi professeur de conférence à l'université sorcière.

- Au moins, j'aurais plus de raisons de dormir durant le cours.

- Et dire que j'ai vanté que vous êtes un excellent élève et sérieux.

- Je suis sérieux … mais je dors lorsque je suis assommé par la matière. Ça ne m'empêche pas, à coté, de travailler pour avoir de bonnes notes. Je suis pas un balayeur de Novigrad. Et puis, de vous à moi, mon but est de rentrer, pas d'apprendre l'histoire d'un monde qui m'accueille pendant un temps.

Il nota le regard un peu perdu de la femme qui se mit à rire en commentant qu'il devrait revoir ses références. Ses expressions lui allaient très bien.

Par contre, il fit signe à l'elfe de partir, qu'il les rejoignait après que tout le monde soit couché. Il fallut attendre une bonne heure avant que sa sœur ne sorte aussi du dortoir en pantalon et tunique. Il regarda la carte et tiqua voyant bien Rusard arpenter les couloirs avec Ombrage qui faisait de même. Et cela, dès le premier jour ?

- On va pas y aller ?

- Si. Cape et portail. Faudra que j'achète une cape pour toi d'invisibilité.

- Chouette ! Et les autres ?

- J'ai fait passer le message qu'on se réunira que demain dans la chambre des secrets. J'espère que Adrian a des nouvelles de Marcus. Il a arrêté d'envoyer des lettres et je n'aime pas cela.

- … Tu penses qu'il va t'attaquer à nouveau ?

- Il l'a fait alors que j'étais un bambin. Je sais qu'il va le refaire à nouveau. Raison pour laquelle j'ai divisé les taches. Le vieux Jones a parlé du rituel pour me faire venir. Il pense pouvoir travailler sur quelque chose pour nous faire repartir.

- Tu vas pas laisser les elfes ici ?

- Si je n'ai pas le choix, je devrais les laisser. Tu restes ma priorité, petite sœur. Mais, pour l'instant, ce qui est prévu, c'est de les emmener. Et puis, même avec l'esprit libre, certains ont encore les stigmates de l'asservissement. Je suis sûr que m'man ou p'pa ainsi que Faust pourront réfléchir à quelque chose.

Il attrapa la cape dans son sac et l'enveloppa autours d'eux. Puis, il ouvrit le portail pour apparaitre dans la chambre des secrets. Il entendit un glapissement et tourna la tête vers deux elfes comme pris devant les torches du feu éternelle. Il vit alors arrivé Mystic et Duat qui avaient aussi accepter de briser l'apparence maudite de leur race. Mystic avait à présent les cheveux roux bouclées avec un sourire avenant alors que Duat avait les cheveux noirs. Cependant, il avait décidé de raser les côtés pour faire un Mohawk. Duat était en colère contre ses anciens propriétaires avant d'arriver à Poudlard, la famille Rosier, semblerait-il. Mystic, cependant, était le coté calme de son compagnon.

- Nouveau venu, Duat ?

- Oui, Maitre Mandos. Ils ont été amenés cette semaine par le petit Clock du ministère après les conseils de Arthur Weasley. Pas méchants mais facilement effrayés. On les a confortablement installés ici pour l'instant.

- Je suis quand même inquiète pour cette confiance avec cette famille qui suit pourtant Dumbledore avec Ferveur, parla simplement Mystic. Pax est aussi d'accord avec nous.

- Sirius leur a fait prendre un serment inviolable sous les conseils de Mandos, parla alors une voix.

Kreature avança tranquillement par un des couloirs. Il nota que la chambre avait des aménagements sur les couloirs de côtés, trouvant des lits ainsi que des rangements de vêtements. Néanmoins, Jörmundang avait toujours la place pour se déplacer tranquillement. Il trouva avec Silarwen une plus grande communauté auquel il s'attendait d'elfes de maisons. Et il entendait pas mal de langages. Il se tourna vers Kreature en haussant un sourcil.

- Rapport ?

- Les elfes ici présents sont d'origine de famille de sang-pur. Ceux qui sont restés chez leur maitres sont de familles qui respectaient leur travail. Mais, ils partiront si c'était possible pour eux.

- Les lois, continua-t-il en avançant dans l'allée, saluant certain de la tête. Qu'est-ce que le ministère nous sert à présent ?

- Nouvelles lois contre les hybrides ou les créatures magiques en réflexion selon nos espions dans les bâtiments. Et le responsable des elfes de Poudlard a été surpris par cette femme Ombrage qui est venue les voir plusieurs fois pour leur demander des informations sur des élèves. Toi, principalement en fait.

- Et qu'on-t-il répondu pour que je me prépare ?

- "maitre Mandos est un gentil garçon qui respecte beaucoup notre travail avec sa sœur. Je ne sais quoi d'autres vous dire à part qu'il aime le chocolat."

Il tourna les yeux vers Kreature avant qu'il ne se mette à rire avec l'ancien. Il arriva vers Jörmundang et celui-ci semblait mâcher quelque chose de plastique. Il soupira en sifflant alors le serpent géant qui tourna la tête vers lui.

- ~~petit parleur et sa sœur de couvée ! Vous êtes revenus ?~~

- ~~Oui mon pote. Comment s'est passé ton été ?~~

- ~~ Trop d'araignée dans la forêt et l'homme de la cabane a failli me voir. Mais les elfes ici sont assez gentil pour me gratter entre les écailles les saletés. Et j'ai trouvé un jeu dans le bassin.~~

Il cligna des yeux avant de recevoir dans les mains un morceau de textures étrange baveux à moitié mâchonné. C'étaient des morceaux de tissus emballés dans l'objet étrange. Ça ressemblait au plastique qu'il avait découvert chez les non-mages. Peut-être un de ses camarades l'avait oublié l'année précédente. Il rangea ce dernier dans une de caisses à côté.

- Bien. Je veux que nos nouveaux amis restent assez discrets pour l'instant. Kreature, commence à leur faire apprendre le langage des anciens avec les autres et faire des relèves avec ceux de Poudlard. J'ai l'impression que cette femme va abuser de son pouvoir sur eux et j'aimerais qu'ils aient une libre pensée avant que l'année ne soit trop avancée.

- Le souci est l'approvisionnement en potions. Les goblins ont des difficultés de se procurer certains ingrédients et manquent aussi de venin de basilic.

- Je verrais avec Jörmundang pour leur en fournir. Autre chose ?

- Des informations dérangeantes. Dobby est allé faire un tour dans son ancien manoir. Le nez écrasé s'y trouve comme si c'était chez lui. Une histoire de rassembler ses forces.

- Okay. Je veux au moins un qui reste en espionnage et se barre au moindre danger. Mais, qu'on est des informations. Ensuite ?

- Plusieurs informations sur le ministère ainsi que des sang-purs qui ont rejoint à nouveau leur seigneur.

- Putain de pas bonne nouvelle, marmonna-t-il. Silarwen ? On commence les entrainements de combats dès le début des cours. Lundi, on va commencer à nouveau les combats à la lame et les sorts de bases élémentaires.

Elle hocha la tête en comprenant pourquoi il était aussi décidé de l'entrainer. Il faut dire qu'elle pourrait être désigner comme cible.


Il regarda Adrian qui venait de l'attendre à l'entrée de la salle de classe. Et il nota le regard de son camarade devant la salle de défense contre les forces du mal. Celui-ci avait des cernes qui lui donnait l'air de n'avoir pas dormi depuis des jours. Et il semblait regarder les autres Serpentard de septième année avec distance.

- / Salut Adrian … un souci camarade ? /

- / Oh … Mandos … rien à part la merde familiale qui me tombe dessus. Et surtout, avec le retour de l'autre couillon, comme tu l'appelles. Cédric à de la chance de ne pas avoir les soucis que l'on a./

- / Il a ceux que lui ont fourni le ministère. Et je dois avouer que je ne suis pas chaud à rentrer dans cette salle./

Adrian regarda la salle de défense contre les forces du mal et eut un rire en la pointant du pouce.

- /On parie combien de temps avant qu'elle ne montre ses vraies couleurs ?/

- / Dès le premier cours à mon avis. Et surtout, selon mes sources d'informations, elle déteste les non humains et les hybrides./

La grimace du Serpentard fut le miroir de la sienne en fait. ils passèrent la porte et s'installèrent dans un coin cote à cote pour discuter sur ce qu'ils avaient fait durant l'été. Adrian continua à parler en Nordien malgré les erreurs et fixait les autres Serpentard du coin de l'œil, attendant d'être attaqué.

Si c'était le cas, il allait montrer l'erreur si quelqu'un s'y tentait. Et puis, il nota que son camarade avait une dague à la hanche.

- / Tu … t'es armé ? /

- / J'ai acheté cela à l'allée des embrumes durant l'été. Autant que tes cours servent. Surtout … avec ce qu'il se passait à la maison. j'ai préféré … me préparer. Tu m'as littéralement rendu Parano. Au fait, j'avais piqué des potions. Les elfes de la maisons Pucey sont libres. Je leur ai dit d'attendre que je parte pour qu'ils viennent à … /

Il s'arrêta lorsque la porte s'ouvrit. Il tourna la tête, faisant un simili grimace au catogan rose qui passa dans la salle. Surtout avec le sourire qu'affichait la femme, ça lui donnait simplement envie de fuir. Il avait l'impression d'être non loin d'une guenaude qui voulait vous inviter à manger.

Elle marcha dans la salle pour ensuite se tourner vers eux avec son sourire qui sonnait plus faux que celui d'un bourreau vous disant que votre exécution a été annulé juste avant de vous mettre la corde au cou. Dommage que les jumeaux n'étaient pas là avec eux dans les cours, ils auraient pu se faire une partie de carte discrètement. Il y avait néanmoins un silence parmi les élèves face à cette professeure. Il faut dire qu'on ne savait pas à quoi s'attendre après son discours le jour du banquet. Lui, il mettait la barre haut. Une barre allant dans la catégorie, femme dangereuse dont il faut se méfier.

- Bonjour, bonjour.

Il y eut peu de personnes qui répondirent à son bonjour.

- Allons … ça ne vas pas du tout. J'aimerais bien, s'il vous plaît, que vous dites « Bonjour Professeur Ombrage ».

Il marmonna à Adrian doucement « avec ceci, le café aussi ou la vodka ? ». Son camarade retint son rire en mordant ses lèvres. Les autres élèves répondirent à la demande comme de bons petits élèves. Et la femme sembla contente.

- Vous voyez que c'est bien mieux ainsi. Bien sortez vos plumes et rangez vos baguettes.

Il ouvrit son œil qui menaçait de se fermer à cause de l'ennui. Elle avait bien dit, « rangez les baguettes » ? Il redressa la tête en haussant ses sourcils. Il regarda alors Adrian qui leva les épaules pour dire qu'il ne savait pas et récupéra lui-même un parchemin et une plume. La femme sortit une baguette bien courte de sa robe rose et le tableau noir approcha. La craie se dressa alors pour écrire alors dessus : défense contre les forces du Mal. Retour au principe de Base.

Il sentait simplement une envie de prendre ses affaires et sortir. Mais, il avait promis à Chourave et McGonagall de se tenir tranquille et sage.

- En raison des années catastrophiques précédentes, votre enseignement de cette matière a été plutôt fragmentaire, n'est-ce pas ?

La voix presque enfantine lui donnait simplement mal aux oreilles. Il vit alors le regard sur lui. la femme le fixait mais continuait à parler à l'ensemble des personnes présentes dans la salle.

- Vue le nombre d'enseignants qui se sont succédés et qui n'ont pas respecté le programme approuvé par le ministère, vous a amené bien loin en dessous du niveau que l'on doit s'attendre pour passer ses ASPIC. Mais, vous serez satisfait d'apprendre que ces problèmes ne seront plus qu'une histoire ancienne car, en effet, nous allons suivre un programme de magie défensive centré sur la théorie.

Il manqua de s'étouffer sur la question. sa mère avait été claire sur la pratique de la magie. si on ne pratique pas un sort, le jour où on l'utilise, le rater serait sûr à chaque fois. On ne peut pas être sûr de savoir faire le mouvement du premier coup. Et, dans la panique, on pourrait se tuer si on n'a pas la pratique nécessaire. Pareil pour les combats à l'épée. Son père lui avait fait répéter des dizaines de fois les mouvementes avant qu'il ne passe au combat contre une personne. De même pour Faust qui lui avait fait tirer plus qu'il ne pouvait compter sur une cible. Il faisait de même avec sa sœur et ses camarades.

La femme leva à nouveau la baguette et le tableau noir se retrouva avec de nouvelles choses marquées dessus.

1) Comprendre les principes qui fondent la défense magique.

2) Apprendre à reconnaitre les situations dans lesquelles la défense magique se trouve légalement justifiée.

3) Replacer la défense magique dans un contexte ouvrant sur la pratique.

4) La défense en théorie et la sécurité de notre société.

Il ne recopia même pas ce qui était écris sur le tableau. C'était quoi cette connerie ? une nouvelle façon de se tuer ? autant aller mettre sa tête entre les dents de la goule tant que cette femme y était. Et elle le fixa à nouveau. Elle avança jusqu'à sa table et lui donna un sourire.

- Monsieur Potter ? Pourrais-je savoir ce que vous faites ici ?

- …

- J'aimerais une réponse, monsieur Potter.

- C'est marrant. Je me demandais à qui vous vous adressiez. C'est Cerbin Roche, Professeur. Et pour répondre à votre question. Je suis un cours … de défense contre les forces du mal.

- Attention mon garçon à votre ton.

Il y eut un léger rire en arrière-plan. Normal, il avait été « poli ». Il pouvait être pire. Elle regarda son bandana puis revint à lui, donnant un de ses sourires digne d'un prédicateur du feu éternel avant de vous débiter des mensonges.

- Je pense que vous avez eu un souci d'emploi du temps, alors, mon garçon …

Il tiqua du coin de l'œil. Selon les standards sorciers, il était adulte. Elle commençait à l'agacer. Il prit une respiration, comptant dans sa tête pour garder son calme.

- Vous devriez passer vos BUSE cette …

- Pardon de vous interrompre mais j'ai passé mes BUSE il y a plus d'un an. Et j'ai une décision de justice signé par le ministère indiquant que je n'ai pas 15 ans mais bien 17 ans depuis le 31 juillet cette année, madame.

- Cinq points en moins pour avoir coupé un professeur. Faites attention, monsieur Potter. Mais, si le ministère vous a fourni le document indiquant que vous êtes dans la bonne classe … eh bien, je ne vois pas de souci.

En fait, si. Elle en voyait un, ça se voyait. Elle se tourna vers les autres membres de la classe et demanda de sortir leur livre pour écrire ce qui était inscrit à une page précise. Le livre était la meilleure façon de se faire tuer en fait. Est ce que l'on demande à un lycanthrope de bien attendre avant de nous mordre qu'on puisse appeler les aurors ? De toute façon, vu le niveau de ces derniers, ça ne l'étonnait pas pourquoi les adeptes de Voldemort ne s'étaient pas fait tous arrêtés. Le seul potable, selon lui, c'est Tonks Et Foleye. Ce dernier, pour la seule raison qu'il a pris Tonks sous son aile afin de lui donner plus d'outils. Et qu'il a dit merde au ministère.

Il entendit alors un de ses camarades demander alors pourquoi avaient-ils pareil cours alors qu'ils avaient leur aspic à la fin de l'année avec de la pratique. Et ce qui le fit grogner fut les mots qu'elle prononça alors.

- … Je ne vois pas pourquoi il est nécessaire de recourir à des sortilèges dans ma classe allons. Qu'est ce qui pourrait arriver ? Vous ne craignez quand même pas qu'il y ait une attaque durant mes leçons ?

- Je pensais que les prérogatives des cours de défenses étaient de savoir lancer un sort. Donc, apprendre ce sort.

Il avait la main appuyée sur son poing en fixant la femme. Adrian avait donné un point intéressant. Mais, on pouvait sentir le souci avant même qu'il n'arrive. La femme avait une étrange attitude. Comme si elle attendait le respect de tous.

- On lève la main lorsqu'on doit s'exprimer, monsieur ?

- Pucey.

- Seriez-vous un expert formé par le ministère, monsieur Pucey ?

- Non. C'est pas la …

- Dans ce cas, vous n'êtes pas qualifié pour définir la raison d'être d'une matière.

Il souffla à coté, attirant l'œil vers lui de la femme qui repartit avec sa voix faussement enfantine.

- Un souci, monsieur Potter ?

- Eh bien, je suis en train de me demander ce que je mettrais sur mon épitaphe à cause de vous. Parce que, madame, les prérogatives du ministère sont les suivantes en rapport avec les cours de défenses contre les forces du mal pour le niveau ASPIC : les sorciers en fin de cycles devront savoir exécuter les sortilèges de défenses afin de répondre aux exigences des formations en cycle supérieurs et les corps de métiers. Plusieurs épreuves reprendront les sortilèges de défenses depuis la première année et un examen écrit sur les connaissances de bases des créatures et sortilèges nécessaire au sorcier.

Il regarda le visage perdre un instant son sourire. Il y a une chose qu'il avait appris et qui était utile partout et dans toutes les sociétés : Apprend les lois qui te concernent et usent les contres ceux qui t'attaquent. Une technique qui pouvait fonctionner lorsque les personnes usaient des lois contre lui ou les autres. Mais, ce n'était pas utile longtemps si une personne voulait vraiment vous abattre. Il souhaitait garder son calme néanmoins. On ne sait jamais, la femme pourrait devenir agressive avant l'heure. Elle reprit à cet instant la voix enfantine agaçante qui sifflait à son oreille comme une myriade de mensonge.

- Je répète ma question, avez-vous peur de subir une attaque durant mes cours, monsieur Potter ?

- Réfléchissons … Adrian, je commence par quoi ?

- La base, suivit le Serpentard à coté de lui. Violeur, assassins, agresseur en ruelle, …

- T'oublie acromantule, taré mentaux, psychopathe, sociopathe, mage noir, …

- Il n'y a pas de mage noir de retour !

il regarda la femme qui venait pour la première fois de hausser le ton réellement et le fixer avec colère. Il haussa un sourcil vers elle, la gardant dans son regard vert. Il y avait cette lueur dans le regard qui montrait bien qu'elle n'allait pas le laisser tranquille.

- Retirez votre bandana, monsieur Potter, ce n'est pas dans le code vestimentaire.

- Soit.

Il attrapa le tissu bleu et le retira. Elle le regarda alors avec une sorte d'expression étrange. il garda ses doigts sur le bureau mais les plia au cas où.

- Comme vous le savez, on vous a raconté qu'un certain mage noir est à nouveau en liberté. Il s'agit d'un mensonge.

- Et les autres ?

- Je vous demande pardon ?

- Les autres. Vous savez, ceux que les aurors pourchassent ou devraient pourchasser, bordel. Je sais pas dans quel trou du cul vous avez vécu mais le monde n'est pas tout rose aromatiser à la putain d'odeur de fleur.

- Langage monsieur Potter, je vous avertis. Il n'y a pas de mage noir. Et pour le prochain cours, veuillez retirer les fantaisies que vous avez sur la tête ou je le ferais.

- Mes oreilles vont très bien comme elles sont, bloede Dh'oine, marmonna-t-il assez bas pour que seul Adrian entende. Et je te laisse à tes illusions mais je vais définitivement sécher ton cours.

Le cours continua et elle tenta plusieurs fois de le faire réagir de façon subtile. Il dût se faire violence pour ne pas donner une raison à cette femme de le coller ou de monter dans les tours. Il ne put que bénir lorsque le cours se termina ainsi que l'expression agacée dans sa direction. Adrian gronda à la sortie avec lui alors que les Gryffondor de septième année arrivaient à leur tour. Il regarda les jumeaux.

- / faites attention, c'est une putain de salope. /

- / aye Commandant ! on fera attention avec Lee./

- / il a raison. Elle est dangereuse, commenta Adrian. Je n'ai pas aimé la façon dont elle te regardait. C'est comme si elle voulait te coller./

- / Je l'ai vu aussi. Et putain j'aurais voulu lui exploser à la gueule./

- Hum hum ! Veuillez rejoindre vos cours. Et il n'est pas très polie de parler dans une langue étrangère.

Il partit avec son camarade plus vite pour ne pas rester proche d'elle. Il sentit néanmoins un frisson étrange. Il tourna la tête au tournant pour voir le regard de la femme contre lui. Il arriva en cours de runes avec cette mauvaise impression. Il regarda le professeur Sinistra occuper et se baissa sur le coté dans l'ombre.

- ~ Camarade ? un de vous est là ?~

- ~Oui, maitre Cerbin. Je suis là.~

- ~ Bonjour Finny … va prévenir ma sœur … j'ai peur que Dolores Ombrage nous ait pris pour cible.~

L'elfe de maison caché dans l'ombre de la salle hocha la tête et disparut rapidement. Il passa le reste de la journée avec l'étrange impression que l'année allait être compliquée et que cette femme en était la principale actrice.


Il ricana au regard de Hermione et des autres lorsqu'ils descendirent dans la chambre des secrets. Surtout avec le nombre d'elfes bien plus important que les années précédentes. Et, ils entendaient les différentes langues avec encore plus de surprises à part Draco. Celui-ci déposa sa cape et se laissa tomber dans un des sièges présents.

- Eh bien, plus que je ne pensais. Comme quoi, les goblins sont très efficaces lorsqu'il est nécessaire de mettre des soucis chez les sorciers.

- Hn. et encore, on a le nombre réel des elfes de maisons aujourd'hui. Ils ont fini un recensement.

Ses camarades le fixèrent, terminant de prendre place à la table. Néanmoins, une personne n'était plus là à la différence de l'année précédente, Marcus Flint. La petite Gryffondor s'installa à la place non loin de lui. Elle avait encore dans son esprit la création de la S.A.L.E. et ce n'était pas une bonne idée. Encore plus dans la situation actuelle. il avait eu une réponse assez concrète de ce que pensait les sorciers avec la représentante.

- Alors … les elfes de maisons peuvent être considéré comme une « race » en voie d'extinction. Ils ont dénombré moins de deux milles elfes encore en vie répartit dans le monde. Principalement en Angleterre, actuellement puisqu'ils y converge. La théorie d'un professeur est que c'est à cause qu'ils viennent de là et ont plus de « maitres ». Dans d'autres parties du monde, la société a évolué assez pour les faire se « libérer ».

- Et, à cause de cela, reprit Draco. Les elfes ont dépéri. La malédiction est retorse dans ce sens. Les sorciers voulant bien faire les ont tués.

- C'est … horrible, s'horrifia Ginny.

- Et dire que maman en voulait un, marmonna Ron à côté. Donc, on est à combien d'elfes sur Poudlard à présents ?

- Cent soixante-quinze avec les elfes déjà présents dans les cuisines, dit alors Kreature en s'asseyant à côté de lui à la table.

Chacun salua l'ancien elfe avec plus ou moins d'entrain. Et celui-ci sembla un peu surpris par le salue. Il resta néanmoins de marbre avec sa mine renfrognée. Duat donna les informations à tous de ce qu'avait fait Dolores en arrivant sur Poudlard. Elle étudiait le terrain et ça se voyait.

Hermione s'énerva en parlant des incidents durant son cours avec Ron et les Serpentard. Blaise marmonna que la femme pourrait très bien vouloir les interdire de rester dans son cours à ceux ayant du sang de créatures. Et ils avaient les BUSE en fin d'année pour certain et les ASPIC pour les autres. Fred et George se préparaient avec entrain à l'ouverture de leur boutique. Il faut dire qu'après que Verpey dût payer aux jumeaux mais aussi qu'il leur ait donné la récompense du tournoi, ils avaient discuté avec Brakmar. Et le goblin eut un sourire vicieux en acceptant de faire fructifier leur argent.

- Bon … on reprend les entrainements puisqu'il semble clair que la dame Ombrage ne veut clairement pas que ce soit fait. j'ai un peu du mal à l'appeler Dame en fait. Vous êtes sûr que c'est une femme ?

- Mandos … commença les filles du groupe avant de réfléchir.

La réaction fit rire plus d'un dans la salle. Il mit par paire chacun et fit signe à plusieurs des elfes de maisons nouvellement libérer des deux malédictions de rejoindre le premier cours pour eux.

Ça continua un moment jusqu'il soit presque l'heure du repas. Il arrêta là, terminant de ranger les lames dans la malle. Néanmoins, il arrêta Hermione avant qu'elle ne parte. Mais, les autres restèrent à attendre leur camarade.

- Il y a un souci ?

- Tu as dû oublier quelque chose l'année dernière ici. Jörmundang l'a … mâchonné.

- Oh ? pitié que ce ne soit pas mon livre de l'histoire de Poudlard.

Il cligna des yeux et alla récupérer le morceau de plastique avec les pièces de tissus dedans. Hermione fronça les sourcils avant de remonter la tête vers lui.

- Ce n'est pas à moi.

- T'es sûre ? c'est clairement du plastique moldu et je dois dire que je n'ai pas exactement regarder ce que c'est.

- Eh bien regarde.

Il retira le plastique qui enveloppait les vêtements. C'était du tissu noir, plutôt taillé homme. mais, aucun de ses camarades ne portaient cela. Hermione, néanmoins, attrapa un bout de papier qui avait survécu aux dents du basilic en partit avec le bout de sa baguette.

- … c'est … des chiffres ? et du français.

- Ah ?

- Oui. Une seconde, je déchiffre. Mais, le plastique me fait surtout penser à un sac où … Où on réunit les affaires d'un cadavre.

Il grimaça à cela. Qu'est ce qu'avait trouvé Jörmundang et où ? cependant, quelque chose frappa le sol lorsqu'il dépliait ce qui était une chemise. Il baissa la tête et regarda alors. c'était un anneau de métal. Il se baissa et attrapa l'objet pour le regarder. c'était plutôt ancien et il s'agissait d'une chevalière. Il tourna celle-ci pour regarder l'emblème. Il ouvrit les yeux.

- Kreature ! Ramène-toi ici !

L'elfe de maison termina de donner les ordres pour ceux présents et approcha un peu curieux de ce qu'il se passait. il ne dit rien et se contenta de tendre alors la bague. L'elfe le fixa étrangement avec l'air de dire qu'il n'était pas vraiment dans le port de bijoux. Cependant, il attrapa l'objet et le regarda sans réel intérêt. C'est là que l'expression changea. Les yeux s'écarquillèrent et vinrent rencontrer les siens.

- C'est … c'est la bague de … Regulus … La bague de Regulus.

- Merde. J'avais envie d'avoir tort. Mais, pourquoi empaqueté ainsi ?

- C'est … un hôpital.

- Pardon, demandèrent ils, Kreature et lui en regardant vers Hermione.

- C'est un hôpital, cap'taine. Un hôpital qui est marqué sur le papier. Ce sont les effets personnels d'un patient appelé Monsieur X.

Il pencha la tête sans comprendre ce que cela voulait dire. Hermione poussa un soupir de frustration en laissant la feuille sur la table sans la toucher depuis le début.

- Monsieur X ou, on le connait sous le nom John Doe, qui veut dire, inconnu. Ce sont des personnes que l'on trouve et que l'on ne peut identifier. Je ne sais pas où est l'hôpital mais il est français. Si je me rappelle bien ce que tu as dit, vous étiez dans une grotte proche de la mer. Donc, une tempête a pu emporter le corps flottant à cause de la tempête … et des non-mages l'ont alors trouvé.

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Surprise !