Note de la Traductrice : Je suis vraiment désolée de poster ce chapitre avec autant de retard ! Je n'ai pas vraiment d'excuse à part un manque de motivation et deux semaines de vacances pendant lesquels je n'ai pas traduit un mot, je poste ce chapitre alors que je n'ai même pas finit de traduire le chapitre 34, j'en suis environ à la moitié pour l'instant !

C'est bizarre mais je trouve plus facile de me concentrer sur ma traduction pendant mes cours que lorsque je travaille ou que je suis en vacance xD

En tout cas j'espère que ce chapitre vous plaira !

Bêta: Rowena Cassandra Ravenclaw! Merci beaucoup!

Réponses aux Reviews Anonymes :

Babylon : Je suis contente que le chapitre précédent t'ai plût ! :D et oui la potion de vue est bien quelque chose d'inestimable puisqu'elle est très compliquée à préparer et que peu de personne en sont capables ! Il va falloir attendre pour le bisou malheureusement xD ce ne sera pas pour tout de suite !

Bonne lecture !

Chapitre 27 : Before The Storm

Le diner de Noël fut un évènement joyeux. Albus, Minerva et Hagrid les rejoignirent et Harry réalisa que toutes les personnes qu'il aimait dans ce monde étaient regroupées autour d'une table. Il ne pouvait penser à un meilleur cadeau que le fait d'être là, faisant partie de cette famille étrange. Il savait que la guerre planait toujours au-dessus de sa tête et que lorsqu'il retournerait à Poudlard, ses soucis reviendraient le hanter mais aujourd'hui il était heureux et déterminé à tout oublier.

Albus, bien sûr, voulait tout savoir sur les livres de Serpentard et il promit d'emmener le Directeur dans la Chambre des Secrets pour voir si les livres restants avaient une quelconque valeur. En vérité, il trouvait ça vraiment étrange qu'il ait accès à un endroit de Poudlard alors que le Directeur non.

Ils parlèrent jusque tard dans la nuit, jusqu'à ce que Hagrid, Albus, Minerva et Severus leur souhaitent bonne nuit avant de retourner à Poudlard pendant que les Granger se préparaient à utiliser le Portauloin que Severus leur avait ramené pour retourner chez eux. Avant de partir, Severus emmena Harry dehors pour lui parler en privé.

- Je voulais te remercier pour l'invitation Harry, lui dit-il. Je ne pensais pas m'amuser mais j'avais tort.

Harry lui sourit, sa vue nouvellement améliorée lui permettait de voir plus clairement la danse subtile des émotions dans les yeux de Snape. Si vous saviez quoi regarder, l'homme était en vérité plutôt expressif malgré le fait qu'il sourie rarement.

- Je suis content que tu sois venu.

- Est-ce que c'est ce que tu espérais ? demanda Snape, curieux, en se tournant vers la maison.

Harry sut immédiatement ce qu'il voulut dire, le souvenir de ce qu'il avait dit à Snape lorsqu'il lui avait proposé de venir lui revenant clairement en mémoire.

- Oui, dit-il en hochant la tête, juste comme j'imaginais qu'une famille devrait être.

Severus acquiesça avant de se tourner pour partir mais il s'arrêta pourtant un moment, une expression pensive sur le visage.

- Tu sais… malgré leur manque de pouvoir politique et de prestige ou de statut social, les Weasley sont des personnes rares.

C'était une extraordinaire déclaration en prenant en compte l'opinion de Severus au sujet des Gryffondors mais Harry comprenait exactement ce qu'il voulait dire. Il n'y a pas si longtemps, il avait dit à Harry que la haine était un thème commun dans les familles et que c'était même la colle qui leur permettait de rester ensemble. Il avouait ouvertement que ce n'était pas vrai pour la famille Weasley.

- Je suis d'accord, acquiesça Harry. En considérant d'où je viens, vous êtes tous des personnes rares.

Severus fronça les sourcils pensivement mais ne dit rien. A la place, il fit à Harry un demi-sourire avant d'hocher la tête dans sa direction et de transplaner. Harry, souriant toujours, retourna à l'intérieur pour rejoindre Sirius et Remus.

XxX

Albus s'arrangea pour que Harry, Hermione, Ron et Ginny retournent au château deux jours avant que les autres étudiant ne reviennent par le Poudlard Express. Severus se retrouva à attendre nerveusement le retour d'Harry, le jeune homme lui avait manqué plus qu'il ne s'y était attendu ; ses quartiers lui semblant vides sans lui. Et même s'il n'avait jamais touché Harry dans le lit qu'ils partageaient, les nuits lui semblaient plus froides sans son corps à côté de lui.

Il avait passé le reste des vacances à travailler sur le livre que Harry lui avait offert, il doutait que le Gryffondor ne comprenne vraiment ce que les notes personnelles de Salazar Serpentard représentaient pour quelqu'un comme lui : les connaissances contenues dans ce manuscrit comptaient parmi les secrets les plus recherchés au monde. Albus avait eu envie de lire aussi le livre, chose que Severus lui avait promise une fois qu'il aurait recopié lui-même le livre ; et même si le remède de la lycanthropie était affreusement compliqué, il était sûr que cela allait fonctionner. Cela requérait de grands efforts de sa part et de celle de Lupin mais il était prêt à se mettre au travail et il savait que Lupin aussi. Il anticipait déjà en jubilant le moment où il publierait ses résultats.

Quant à Harry, il se trouvait impatient de se retrouver en sa compagnie. La potion qu'il avait donnée au Gryffondor n'avait pas seulement amélioré sa vue, elle avait aussi fait disparaître la faible myopie de ses yeux verts. Sans ses énormes lunettes, le jeune homme était passé d'attirant à réellement magnifique. Il n'avait aucun doute quant au fait que les filles de Poudlard se pavaneraient devant lui à leur retour, peut-être aussi un certain nombre de garçons.

Etonnement, Lupin et Black avaient aussi remercié Severus individuellement pour la potion qu'il avait offerte à Harry, ils en étaient venus à la conclusion qu'Harry n'avait jamais vraiment reçu de soins ophtalmologiques en grandissant. Apparemment, les lunettes qu'il avait portées toutes ces années n'étaient même pas à sa vue, elles lui avaient été données par un voisin qui voulait les jeter. La correction était beaucoup trop faible pour Harry et c'était à se demander comment il avait fait pour s'en sortir en cours.

Severus pensa tout d'un coup que si Harry avait été imbattable au Quidditch avec ses problèmes de vue, sa propre maison n'avait plus aucune chance maintenant. Il semblerait que jusqu'à ce que Harry obtienne son diplôme, il n'avait aucune chance de remporter un pari contre Minerva. Il était aussi possible que la prédiction d'Harry quant au fait qu'il allait devenir joueur professionnel de Quidditch puisse se réaliser.

Harry revint dans leurs quartiers en fin de matinée, semblant heureux d'être de retour et étonnement joyeux de le revoir. Il prit seulement quelques instants pour défaire ses bagages avant de repartir aussi tôt pour emmener Albus dans la Chambre des Secrets expliqua-t-il. Anxieux de la voir lui-même, Severus les rejoignit quand même et, tous les trois avec Ron, Sirius et Remus en plus, ils partirent explorer le domaine de Salazar Sepentard. Ginny Weasley avait décidé de ne pas se joindre à eux, ayant vu suffisamment de choses la première fois.

Ecouter Harry parler fourchelangue fut une étrange expérience pour Severus. A part pendant son duel contre Draco durant la deuxième année d'Harry, aucun d'entre eux ne l'avait entendu le parler à nouveau. En plus de cela, Voldemort était la seule personne que Severus avait entendue parler Fourchelangue et alors que venant du Seigneur des Ténèbres, cette langue était l'incarnation du mal, sombre et terrifiante. L'entendre de la bouche de Harry était alarmant, les surprenant tous. Remus, Sirius et Albus ne l'avaient jamais entendue avant et ils fixèrent tous le jeune homme en silence alors qu'ils l'écoutaient siffler des ordres pour ouvrir les nombreuses portes de la Chambre.

Pour Severus, ce son était magique ; venant de la bouche d'Harry, cela le rendait étrangement sensuel. Il n'y avait pas de Serpentard qui n'aurait voulu d'un tel don. A son plus grand embarrât, il se retrouva excité par le son et fut reconnaissant envers les longues robes qu'ils portaient. Il reçut seulement un regard bizarre de la part de Remus toutefois il suspecta que les autres n'avait pas remarqué sa réaction.

Il était étrange d'explorer la Chambre des Secrets avec autant de Gryffondors. Cela sembla presque un sacrilège pour Severus mais ensuite il vit l'énorme carcasse du Basilic sur le sol, juste devant la statue de Serpentard et il comprit qu'encore une fois, il avait énormément sous-estimé le jeune homme auquel il était marié. Qu'un enfant de douze ans ait tué une telle créature était inimaginable, qu'il ait en plus survécu à la morsure de cette créature avec l'aide des larmes du Phénix défiait toute logique.

Les Gryffondors se rassemblèrent tous autour de la carcasse, poussés vers elle comme si c'était une attraction. Pendant qu'Albus se tenait simplement devant, une étrange lueur brillant dans son regard, Severus vit le vieil homme tourner son regard vers Harry qui était en train d'ignorer les remarques de son parrain et de ses meilleurs amis pour regarder la statue géante de Serpentard. Severus pouvait voir le chagrin et l'admiration dans les yeux du vieil homme et il le rejoignit.

- Albus ? dit-il doucement.

- Je n'avais pas réalisé que c'était une telle créature Severus, murmura tranquillement Albus.

- Il ne semble pas possible qu'il ait pu survivre à cela, ajouta Severus.

- Non, acquiesça Albus. Mais, après tout, Harry défie souvent l'impossible, n'est-ce pas ?

Severus fronça les sourcils en se demandant à quoi Albus faisait référence ; il avait évidemment fait des recherches sur La Voix du Roi qu'Harry avait utilisée à Pré-Au-Lard mais à part la traduction du sortilège et la mise en garde qu'il n'était plus d'aucune utilité parce qu'il ne semblait plus fonctionner, il n'avait rien appris d'important. Il avait lui-même, comme Hermione et Weasley, essayé de lancer le sort mais il avait échoué à le faire fonctionner. Comment Harry avait-il put être capable d'obliger un mangemort à se retourner contre ses compagnons avec ce sort était un mystère pour lui. Il suspectait Albus de le savoir ou d'avoir des présomptions qu'il ne voulait pas partager. Mais, après tout, Albus Dumbledore avait toujours eut des secrets.

Severus demanda la permission à Harry de dépecer le corps du basilic en ingrédients de potion et cela sembla surprendre le jeune homme.

- Pourquoi me le demandes-tu ? demanda-t-il.

- D'après les lois, il t'appartient, expliqua simplement Severus. Et il peut rapporter une fortune si tu veux savoir.

Harry sembla surpris de cela mais lui fit simplement un signe de la main.

- Et bien, je n'en ai aucune utilité, tu peux tout prendre.

Quand il fut certain que les Gryffondors avaient fini de s'extasier sur le monstre, il invoqua deux de ses elfes personnels et leur donna la tâche ardue de récupérer les restes.

- La bibliothèque est par là, expliqua Harry en pointant la bouche du serpent.

Ils avaient tous emmené leur balai et suivirent Harry à l'intérieur, ils passèrent une grande partie de la journée à feuilleter les livres qui étaient encore là. Remus, Albus, Severus et Hermione semblèrent au paradis face à leurs découvertes. Sirius, Ron et Harry jouèrent dans un coin aux cartes explosives.

Severus et Albus passèrent le jour suivant enfermés dans le bureau d'Albus, lisant les livres qu'ils avaient retirés de la Chambre des Secrets pendant que Sirius et Remus se rendaient dans la Forêt Noire pour récupérer une longue liste d'ingrédients donc Severus aurait besoin pour commencer ses expérimentations sur la potion de lycanthropie. Ils laissèrent les quatre jeunes Gryffondors passer la journée dehors, sur le terrain de Quidditch, à faire une bataille de boules de neige : les filles contre les garçons.

Albus et Severus descendirent pour le diner alors que Sirius et Remus revenaient de leur balade dans la forêt. Avant de s'asseoir pour manger, Severus lut la liste d'ingrédients, vérifiant qu'ils avaient bien trouvé tout ce qui lui serait nécessaire. Alors que Sirius n'avait jamais été un bon étudiant en Potion, Remus au moins savait ce qu'il faisait et avait tout étiqueté.

- Où sont les enfants ? demanda Minerva alors qu'elle les rejoignait dans la Grande Salle pour le diner.

Severus leva le regard à cela, remarquant pour la première fois qu'aucun des jeunes Gryffondors n'était rentré. La nuit était déjà tombée et il était inhabituel qu'ils ne soient pas déjà revenus. Il allait se lever pour aller les chercher lorsque les portes de la Grande Salle s'ouvrirent dans un grand bruit et, choqué, Severus regarda sa sœur Diana courir vers lui alors qu'Hagrid la suivait étroitement.

- Severus ! cria-t-elle, une lueur sauvage et désespérée dans le regard. Je n'ai pas pu l'arrêter !

Un froid glacial envahit le corps de Severus.

- Diana ? Il attrape les bras de sa sœur et la secoua violemment. De quoi parles-tu ? Arrêter qui ?

Si cela avait quelque chose à voir avec Julius…

- J'ai essayé de l'arrêter, insista-t-elle, son visage était pâle et elle semblait terrifiée. Mais je n'ai pas réussi ! Ils ont pris Harry !

Severus n'attendit pas d'en entendre plus, il se leva comme un ressort et courut à travers la Grande Salle, suivi de près par Sirius Black et Remus Lupin. Minerva et Albus étaient juste derrière eux alors qu'ils se rendaient vers le terrain de Quidditch où les jeunes Gryffondors avaient joué. Il faisait noir dehors, à cette heure-là, la lune ne faisait qu'un croissant dans le ciel. Albus envoya plusieurs lumières sorcières au-dessus d'eux qui les suivirent et illuminèrent leur chemin alors qu'ils courraient sur le sol enneigé près du terrain. Alors qu'ils approchaient, la respiration de Severus se coinça dans sa gorge. Au milieu de la neige, il pouvait voir trois corps allongés, immobiles dans la neige. Cela lui rappelait cette journée terrible où il était revenu à Poudlard pour voir ce même terrain couvert des cadavres des Mangemorts et des Aurors. Mais il n'y avait pas de trace de brûlure cette fois, pas de sang, juste ces trois forme immobiles dans la neige.

Severus se rendit compte immédiatement que Harry n'en faisait pas partie et lorsqu'il arriva au premier corps, il tomba à genou pour le retourner. Hermione Granger était pâle, son visage figé était froid au touché mais lorsqu'il pressa ses doigts contre sa gorge, il put sentir les battements lents et réguliers de son cœur.

- Elle est vivante, dit-il aux autres, soulagé, alors que Sirius et Remus faisaient de même avec les deux enfants Weasley.

- Eux aussi, annonça Sirius en regardant frénétiquement autour de lui à la recherche d'un signe d'Harry.

Il se transforma immédiatement en chien et commença à renifler les alentours, bougeant en cercle.

Severus se remit sur ses pieds et attrapa Diana.

- Qui a fait ça ? demanda-t-il. Qui l'a enlevé ? Est-ce que c'est Julius ?

Le sort de surveillance qu'il avait placé sur Julius n'avait pas sonné mais il supposait que son frère avait dût trouver une solution à cela.

Diana eut l'air confuse durant un bref instant avant de secouer rapidement la tête.

- Non Severus, c'est Alrik. Alrik l'a enlevé.

Pendant un moment, ses mots n'eurent aucun sens. Pourquoi, au nom de Merlin, Alrik avait-il enlevé Harry ? Ils ne s'entendaient peut-être pas lui et Severus mais il aurait pu jurer que Alrik n'était pas loyal au Seigneur des Ténèbres et ne le serait jamais. C'était le passé de Severus qui avait créé ce fossé entre lui et le mari de sa sœur.

- Pourquoi ferait-il cela ? Qu'est-ce que Harry lui a fait ?

- Rien, lui dit Diana. Cela n'a quasiment rien à voir avec Harry. Ils l'ont enlevé pour que le Ministère de Grande-Bretagne reconnaisse la dette de sang qu'elle doit aux Terres Gelées. Ils l'ont enlevé en tant qu'otage.

La dette de sang des Terres Gelées ? Severus ne se souvenait que vaguement de références à ce propos, lorsque Alrik s'était marié avec Diana. Mais Severus ne s'entendait pas vraiment avec sa famille à cette époque et n'avait jamais connu l'histoire entière, qu'Harry se retrouve mêlé à cette folie était inacceptable.

- Où l'emmènent-ils Diana ?

- Bifrost Hall, déclara Diana.

Le cœur de Severus rata un battement.

- C'est au cœur des Terres Gelées, s'exclama-t-il.

Ils ne pourraient pas y aller en volant ni en transplanant, leur seul moyen d'y aller était de prendre un bateau dans la Mer du Nord ; une entreprise bien dangereuse en plein milieu de l'hiver. Il se tourna, désespéré, vers Albus.

- Je vais essayer d'en apprendre plus auprès du Ministère, lui promit-il et il savait qu'Albus trouverait la raison de cette dette de sang. Vous trois, partez à sa recherche et ramenez-le à la maison.

Un rapide regard derrière lui lui apprit que les « trois » auxquels se référait Albus étaient lui, Black et Lupin. Le regard de pure rage sur le visage des deux Maraudeurs fut étrangement réconfortant pour Severus. Pour la première fois de sa vie, il était reconnaissant d'avoir les deux hommes de son côté. Il savait que pour cette mission il ne pouvait être en meilleure compagnie.

-TMS-

Note de l'Auteur: Beaucoup de personnes m'ont demandé « quand est-ce que tu vas écrire sur… » Et je pourrais faire une liste : le sexe, un baiser, une romance, un bébé/ héritier, la Voie du Roi, les autres livres de Serpentard, Voldemort, un divorce (ou la possibilité qu'il y en ait un) ect… Je ne vous ignore pas, je vous promets que l'on va y arriver. Même si j'ai seulement quelques chapitres d'écrit (j'en ai encore quelques-uns d'avance et j'ai écrit 5000 mots hier), j'ai toute l'histoire de planifiée. Normalement je devrais couvrir toutes les questions que vous vous posez. Rester avec moi et avec un peu d'espoir vous serez satisfait. Merci encore! (personne ne veut vraiment qu'ils se sépare j'espère ! J'aime vos suggestion sur qui va avoir la Conversation avec Harry. J'ai aimé l'idée que le loup-garou, qui n'est jamais vraiment sortit avec qui que ce soit puisse essayer de parler de cela à Harry. Je pense plutôt que Remus aurait besoin d'avoir cette conversation aussi.