Note de la Traductrice : Cela fait presque un an et je m'en excuse, il est très dur pour moi de me remettre sur cette fiction, parce que j'y ait déjà passer tellement de temps que je fais un espèce de blocage.

Je vais tenter de m'y remettre petit à petit, en postant un chapitre tous les mois ou toutes les trois semaine 😊

J'espère que ce chapitre vous plaira !

Bonne lecture !

Chapitre 31 : Drawing Closer

Cela leur prit plusieurs heures pour atteindre leur destination. Les sorts d'amortissement avaient permis de naviguer en douceur et les sorts de protection d'éloigner une partie du vent et des vagues qui s'échouaient sur le bateau. Pourtant ce n'était pas un voyage agréable, l'attente les rendant tous de plus en plus nerveux.

Ils vérifiaient la carte fréquemment, regardant la petite image de leur bateau se rapprocher encore et encore de la côte. Lorsqu'ils la virent finalement la nuit était largement avancée, et le ciel à l'Est commencé déjà à s'éclaircir avec l'aube. Harry avait disparu depuis des heures, il ne pouvait pas savoir ce qui lui était arrivé durant cette période.

Ils tirèrent le bateau sur la rive, sur le sol rocailleux remarquant immédiatement plusieurs longs bateaux de Viking attaché solidement à la rive. Remus se rendit à l'un d'entre eux, attrapant la proue pour sauter à l'intérieur. Il en descendit un moment plus tard, ses yeux brillant d'une lueur prédatrice.

-Harry était dans celui-ci, annonça-t-il, son odeur est encore forte.

Sirius sourit, ces sens de loup-garou les emmèneraient droit sur Harry maintenant qu'il connaissait son odeur.

Ils attrapèrent leurs affaires, Sirius et Severus attachant leur épée à leur dos alors que Remus soulever la masse par-dessus son épaule. Il pouvait voir des arbres aux loin et l'étendue d'une sombre forêt.

-Déplacez-vous aussi silencieusement que vous le pourrez, leur dit Severus, je me souviens avoir lu à propos d'une créature ressemblant à un chat appelé un Grendlings, je n'ai pas envie qu'ils nous tombent dessus.

Après cela les trois hommes avancèrent vers la forêt, Remus prenant la tête puisqu'il suivait la trace d'Harry dans la forêt.

Sirius estima qu'ils avaient marché sur environ cinq miles lorsque Remus s'arrêta soudainement levant sa main. Sachant que le loup-garou pouvait sentir et entendre des choses qu'ils ne pouvaient pas Sirius et Severus se tendirent attendant qu'il leur donne une explication sur ce qui avait attiré son attention. Il renifla l'air, son visage pâlissant à la lumière du jour. Il les rejoignit ensuite rapidement et parla doucement.

-Je peux sentir du sang plus loin, les informa-t-il, et il y a quelque chose qui se déplace dans les bois vers le sud. C'est encore loin mais ils ne font pas de bruit comme s'ils ne voulaient pas attirer l'attention.

Les deux hommes hochèrent la tête et ils suivirent Remus, se déplaçant avec précaution à travers les arbres. Ils avaient marché pendant plusieurs minutes dans un silence absolu lorsqu'ils atteignirent la source du sang que Remus avait mentionné. Devant eux dans une petite clairière ce trouvait le corps d'animaux. Ils étaient énormes, des créatures à la fourrure noire avec un corps musclé et de longue griffe. Il y avait quelque chose qui faisait penser aux chats chez eux mais l'arrière de leur corps avait une forme étrange comme s'ils pouvaient aussi bien se déplacer sur deux pattes que sur quatre. Le sol autour d'eux était noir de sang et ils pouvaient voir que les animaux portaient des blessures infligées par des épées.

Les trois hommes avancèrent prudemment, scannant le sol et évitant les flaques de sang. Remus siffla soudainement, choqué, et se baissa pour ramasser quelque chose. Sirius fixa malade d'horreur lorsqu'il réalisa que l'objet qu'il tenait était en réalité une main humaine.

Cela leur fit fouiller le sol de manière plus approfondie, chacun d'entre eux redoutant que l'un des membres noirs sur le sol appartiennent à un humain. Remus, pourtant, arrêta ses recherches soudainement et se déplaça rapidement vers eux, attrapant Sirius par le bras et l'emmenant vers Severus, faisant signe à celui-ci pour qu'il s'éloigne du sang. Aucun des hommes ne lui posa de question, se fiant à son jugement mais ils attendaient tous les deux une explication. Le visage de Remus était affreusement pâle.

-Nous devons continuer à avancer, il y a une barrière magique autour de la clairière, chuchota-t-il alors qu'il marchait, j'ai traversé l'un de ses plus forts résidus. J'ai reconnu cette sensation, c'est celui du Patronus d'Harry. Il laisse une vibration très distinctive derrière lui.

Sirius sentit son cœur cogner dans sa poitrine alors qu'une panique froide le gagnait. Cela voulait dire bien sûr qu'Harry était vivant et en possession de sa baguette lorsque cela était arrivé, cela voulait aussi dire que Harry avait été au milieu du conflit qui avait évidemment pris des vies humaines. Mais surtout cela signifiait qu'il y avait des Détraqueurs ici. Il n'y avait aucune autre raison pour laquelle Harry aurait lancé un Patronus.

Ils se déplacèrent rapidement et silencieusement à travers les bois, Remus menant la marche. Mais après presque deux kilomètres Remus leur fit signe de s'arrêter et il resta débout la tête levée écoutant intensément les bruits qui les entouraient. Sirius devait s'obliger à ne pas se transformer en Patmol, comme le chien avait un nez et des oreilles plus sensible il pouvait entendre les sons et odeurs qui perturbaient le loup-garou. Mais il savait que même si Patmol était capable de courir plus vite que sous sa forme humaine, celle-ci était beaucoup plus utile en combat.

Remus se dirigea vers eux, le visage grave.

-Ils savent que nous sommes là, leur dit-il, nous sommes coincés. Ils ont avancé en parallèle par rapport à nous mais maintenant ils nous ont dépassé et ils se déplacent pour bloquer notre avancée.

Ses mots firent bondir le cœur de Sirius une nouvelle fois. Toutes ces années à parcourir la Forêt Interdite avec Remus lui avait permis de comprendre la nature de la chasse. Et après des années à être chassé par les Détraqueurs il savait ce que voulait dire le fait d'être une proie.

-Es-tu sûr qu'ils nous chasse ? demanda Snape.

Remus hocha la tête.

-Je sais quand nous devenons les proies.

-Combien ? demanda Sirius. Et peux-tu nous dire où ils sont ?

-Dix au moins, répondit Remus, et je paris que ce sont les Grendlings dont tu as parlé. Ils sentent vaguement comme des chats. Il y a aussi l'odeur du sang sur eux donc c'est probablement le reste de la meute qui a attaqué le groupe d'Harry.

-Et les Détraqueurs ? demanda Sirius, savait parfaitement à quel point ils pouvaient être mortel dans un combat. Leurs pouvoirs résidaient dans la distraction qu'ils apportaient, la capacité d'accabler complètement un adversaire pour que sa garde ne soit plus aussi efficace.

Mais Remus secoua la tête.

-Le Patronus d'Harry les a envoyés très loin. Ils mettront au moins une journée avant de revenir dans cette zone. Je pense que nous aurons juste à nous contenter des Grendlings. Il se tourna ensuite et frémis. Ils arrivent.

Ils n'eurent pas longtemps à attendre. Au milieu des bruits de branches qui s'écrasent sous les pas, de large corps poilu se jetèrent sur eux, leurs yeux rouges brûlant dans les ombres de la forêt. Et ensuite les bêtes furent sur eux, leurs dents et griffes brillants mortellement dans la lueur du matin.

Les trois hommes savaient qu'ils devaient utiliser les sorts les plus mortels dans un combat comme celui-ci, Sirius lança un sort de feu qui explosa sur la poitrine des premiers assaillant, les soulevant hors du sol. Il les projeta avec force contre un arbre, brisant leur os. Il projeta son épée contre le prochain Grendling qui approcha vers lui, bloquant l'attaque visant son estomac avant de lancer à nouveau une explosion avec sa baguette. Derrière lui il pouvait entendre Snape et Remus criant leur propre sorts et les bois brillaient d'une lumière rouge provenant du feu et des éclairs qu'ils jetaient. Les hurlements des Grendlings et les bruits écœurant produits par la masse de Remus fracassant les corps des créatures étaient omniprésent. Sirius était vaguement conscient de la gerbe de sang qui atteignit son visage alors que son épée tailladé la gorge de l'une des créatures. Il en arrêta encore une avant de rester pétrifié en se rendant compte que plus rien ne venait. Se tournant rapidement il lança un regard à Remus pour s'assurer que l'homme n'était pas blessé. Il était aussi recouvert de sang mais il semblerait que ce ne fut pas le sien.

-Est-ce qu'on les a tous eut ? demanda Severus, son épée dégoulinant de sang.

-Oui, leur assura Remus, est-ce que l'un d'entre vous est blessé ?

Sirius pris un moment pour évaluer ses blessures. Quelque chose avait réussis à frapper sa jambe gauche mais la coupure n'avait fait qu'entailler le cuir de dragon et n'avait pas atteint la peau.

-Quelques bleus mais je suis toujours en un seul morceau.

-Je vais bien, confirma Severus alors qu'ils regardaient les créatures mortes autour d'eux.

Il y en avait neuf au total et Sirius ne put s'empêcher de penser que s'il y en avait eut plus ils ne s'en serait pas sortit sans blessure. Aucuns d'entre eux n'étaient habitué à ce genre de combat. Sirius ne voulait pas penser à ce que cela aurait été d'avoir des Détraqueurs rejoignant cette bataille. Harry avait déjà vu tellement d'horreur dans sa jeune vie, l'imaginer au milieu de tout cela lui brisé le cœur.

-Continuons à avancer, les pressa Severus.

Remus qui secouait sa masse pour tenter d'en déloger les morceaux de Grendling qui y était coincé hocha la tête pour montrer son accord avant de reprendre la tête du groupe. Sirius admirait le courage de l'homme. Rien ne décourageait Remus. Sa capacité à endurer tout ce que la vie mettait sur son passage était l'une des raisons pour lequel Sirius l'aimait tant.

-TMS—

Alrik et Asgeir rassemblèrent un large groupe de guerrier dans la Salle Principale du Château. Le plus vieux avait les cheveux gris et des cicatrices, le plus jeune devait avoir environ trois ou quatre ans de plus qu'Harry. Il y avait une hiérarchie chez ces hommes qu'Harry pouvait voir se dessiner en fonction de qui s'avançait vers Asgeir pour étudier la carte sur la table. Les plus jeunes guerriers étaient obligés de rester debout au fond, se fiant aux hommes plus expérimentés. Harry se sentit mal à l'aise lorsqu'il se rendit compte que malgré son jeune âge se referait à lui. Il était debout entre Alrik et Asgeir et tous les hommes le regardait, plus d'une fois il entendit quelqu'un murmurer l'habituel « Le Garçon qui A Survéçut ». Les plus jeunes guerriers tentaient de jeter un coup d'œil à sa fameuse cicatrice.

Ils pointèrent l'endroit où se tenait le Puit et la pierre à Harry sur une large carte et lui expliquèrent en détail ce qu'ils pourraient rencontrer sur ces terres. Les Grendlings attaqueraient en masse, entendit-il, ils emmèneraient donc un grand groupe d'archers et d'épéiste pour s'occuper d'eux. Il y avait aussi à prendre en compte la potentielle attaque de Wyrms Noires qui pourraient descendre des montagnes. Cela prit quelques minutes à Harry avant qu'il ne se rende compte que les Wyrms dont ils parlaient était une espèce de dragon.

Malgré ce qu'on lui avait dit sur les armes moldus il ne pouvait s'empêcher de penser que des grenades et des armes à feux auraient put s'avérer utiles. Elles feraient certainement plus de dégâts que des épées, mais il se retint de dire quoi que ce soit pour une fois, se sentant bien trop en dehors de sa zone de comfort pour prendre la parole. De ce qu'il pouvait voir il n'y avait aucun signe de technologies moldus dans cette société. A la place ils parlèrent de quelque chose nommé l'Acier Sorcier et il se retrouva à se demander si peut-être il n'y avait pas des sortilèges sur les épées pour les rendre plus efficace.

Ils lui montrèrent le point le plus défendable autour du Puit puisqu'apparemment il ne devrait pas seulement remettre la pierre en place mais la déplacer d'une dizaine de mètre vers le Puit lui-même.

-Au moment où nous approcheront le Puit, les Détraqueurs seront là, lui dit Alrik, combien de Détraqueurs ton Patronus peut-il gérer ?

Harry fronça les sourcils. Il y avait eu au moins cinquante Détraqueurs cette nuit-là en troisième année lorsqu'il avait vu Sirius être attaqué. Il supposait que son Patronus pouvait en gérer autant qu'il y en aurait mais il voyait là un autre problème.

-Je suis sûr qu'il peut tous les repousser, dit-il à Alrik, mais il y a un autre problème. Le Patronus a sa forme propre mais c'est un sort que je dois diriger, le sort de Lévitation est un sortilège continu.

-Cela veut dire qu'une fois que tu commenceras à déplacer la pierre, tu ne seras plus capable de commander ton Patronus ? devina Asgeir.

Harry hocha la tête.

-Je peux lui dire d'attaquer les Détraqueurs, mais je n'ai aucune garantit qu'il s'occupera de tout ceux qui nous encercleront ou seulement d'un seul qu'il repoussera au maximum. Y-a-t-il quelqu'un d'autre capable de lancer ce sort ?

-A part ceux que tu as vu tout à l'heure, non, l'informa Alrik.

Harry lança un regard à Bjorn et Gudrik, à sa surprise, aucuns des hommes ne semblaient insulté. Même si cela semblait inconcevable, Harry suspecté que le Patronus était si loin de leur portée qu'il pourrait aussi bien leur demander de voler jusqu'à la lune.

-Nous connaissons les risques, dit l'un des hommes à Harry une expression déterminée sur le visage. Chacun d'entre nous a perdu un proche aux mains des Détraqueurs. Si vous pouvez sceller ce trou infernal, nous sommes prêts à prendre le risque.

-Sceller ce puit ne vous débarrasseras pas des deux cents Détraqueurs qui sont déjà là, leur dis Harry.

Son estomac se serrait face à la pensée de ce que ces hommes allaient affronter. Et tout cela pour une si petite récompense. Il allait mener ces hommes à la bataille et il devra les regarder mourir, les regarder perdre leur âme aux mains des Détraqueurs. Et malgré toute sa magie il ne pouvait rien faire pour empêcher cela.

-Nous nous occuperont de ce problème plus tard, l'informa Asgeir, nous nous inquiétons plus du problème dont nous pouvons pour l'instant nous occuper.

Il comprenait la logique de ces mots, mais c'était contre sa nature de faire face à une telle défaite et d'appeler cela une victoire. Cela lui rappelait beaucoup trop l'Oeil d'Odin. Le Monde Magique avait appelé cela une victoire mais Harry ne pouvait s'empêcher de penser à toutes ces femmes et ces hommes allongé sur le champ de bataille à la fin.

Ils passèrent encore du temps sur leur stratégie de bataille, Harry resta silencieux pendant une grande partie. La stratégie avait toujours été le point fort de Ron, pas le sien, et il supposait que ces hommes qui avaient combattu toute leur vie savaient mieux que lui ce qu'ils faisaient. Mais il le regardait quand même en quête de son accord, comme s'il était un dirigeant comme Asgeir. Le poids de leur espoir était si lourd sur ses épaules, et il ne pouvait se souvenir d'un moment où il c'était sentit aussi seul.

Quand tout fut fini, les hommes partirent pour préparer leurs armures et leurs armes et sans aucun doute pour passer une dernière nuit avec leur famille. Ils partiraient aux premières lueurs du jours et Harry savait que beaucoup ne reviendrait pas. Il se retrouva à maudire le Ministère pour permettre à de tels choses de se produire.

Sa propre famille étant en sécurité à High Hill, Alrik n'avait pas de tels distraction et proposa à Harry de lui faire faire un tour de Bifrost Hall. Heureux de cette distraction, Harry le suivit, il était déterminé à apprendre comment le reste de la population du Monde Sorcier vivaient.

Il ne vit aucuns signe d'influence moldu dans la communauté de Bifrost Hall à tel point que même son jean semblait être décalé. Ces gens vivaient de la même façon que leur ancêtre l'avait fait et cela devait être le cas depuis des siècles.

Et pourtant il ne voyait aucun signe de stagnation. Malgré leur manque de pouvoir magique, la magie était présente dans chaque aspect de leur vie et améliorait leur vie de la même façon que la technologie améliorée celle des moldus. Il semblait que la magie au sein de cette communauté était beaucoup plus spécialisée que celle de Poudlard, les gens étaient doué pour un type de magie et s'appuyaient dessus, comptant sur les gens autour d'eux pour d'autres choses. Et il y avait des objets magiques aussi, des balais et des outils, même s'il semblait que le voyage en balais soit quelques peut réglementé. Il supposait qu'avec la menace constante des Détraqueurs il n'était pas sûr de voyager au-delà des murs de la Forteresse.

Durant son rapide tour de Bifrost Hall, Harry c'était rendu compte à quel point le château était immense, toutes les familles et fermiers locaux habitaient dans les murs de la forteresse, à l'abris des Détraqueurs et des Grendlings. Les remparts empêchaient les Grendlings d'entrer et les sorts de protections gardaient les Détraqueurs à distance. Mais les hommes prenaient des risques tous les jours en quittant les murs pour aller s'occuper de leur ferme. Ils étaient confiants dans le fait qu'ils pouvaient la menace des Grendlings mais ils étaient sans défenses contre les Détraqueurs qui devenaient de plus en plus audacieux au fur et à mesure que leur nombre augmenté.

Finalement, Harry retrouva son chemin jusqu'à la grande salle où il se retrouva rapidement entouré de personnes anxieuses de lui adresser la parole. Ils avaient tous grandit en entendant les histoires sur le Garçon-Qui-A-Survécut et ils avaient des centaines de questions auxquels il répondit avec autant de patience qu'il le put. Malgré le fait qu'Harry était une partie de leur histoire, il se sentit encore plus isolé alors qu'il se rendait compte à quel point il ne savait rien de son monde.

Il écoutait un groupe de guerriers discuter de la meilleure façon de combattre une meute de Grendlings lorsque l'alarme sonna, le bruit d'une corne résonna dans la Forteresse.

-Harry ! L'appela Alrik en entrant rapidement dans la salle. Harry se mis immédiatement debout en pensant que peut-être les Détraqueurs étaient en train de les attaquer. Viens vite, le pressa Alrik. Ils vont nous détruire si tu ne les arrêtes pas !

Harry le suivit à l'extérieur.