Les personnages appartiennent à SM.

L'histoire appartient à Theadosia57, elle est parue sous le titre : '' Decisions, decisions ! '' Lien sur mon profil.

L'histoire comprend 10 chapitres elle est classée M pour le langage le sexe et la violence. En clair, elle est interdite aux – de 18 ans.

Chapitre 1 : Je ne serais plus jamais contrôlé.

POV Jasper

Ils m'ont contacté, me demandant de l'aide, à moi plus que quiconque. Pourquoi eux ? Pourquoi moi ? Techniquement, je ne les connaissais pas le moins du monde ! Était-ce une autre de ses tentatives ? J'en avais réellement ras le bol de Mary-Alice, hé bien, Alice Cullen à présent. Quand je repense à nouveau à ce qui aurait pu se passer, j'étais foutrement furieux...

Quand Peter et Charlotte étaient revenus dans le camp de Maria pour moi, j'étais une épave, je le savais et eux également. J'étais à un pas de me jeter dans le feu et brûler vif. Mais ils m'ont sauvé des griffes de l'oubli, m'ont aidé à me redresser psychologiquement et c'était bien au début, mais même la liberté ne pouvait pas stopper la souffrance de ressentir les émotions de ma proie. J'ai essayé de moins me nourrir et de rester autant que possible à l'écart des humains, mais cela a été une mauvaise période pour moi. Je suis resté quelques années avec eux, mais leur amour l'un pour l'autre m'a finalement fait fuir. Je voulais cela ! Je voulais être aimé comme n'importe quel autre homme, mais je n'étais pas comme les autres hommes, ou vampires d'ailleurs, j'étais un tueur entraîné, j'étais le « Dieu de la guerre ». Le vampire le plus redouté, une machine à tuer impitoyable, pour ceux qui ne me connaissaient pas.

J'errais sans but, essayant de trouver Dieu seul sait quoi, quand elle avait fait sa première tentative. Peter était simplement apparu de nulle part, alors que j'atteignais les faubourgs de Philadelphie. Pour une fois, il n'était pas devenu totalement énigmatique pour moi. Immédiatement, il m'avait simplement dit qu'un vampire m'attendait à Philadelphie. J'avais ri alors, lui disant que je n'avais pas peur de combattre qui que ce soit. Ensuite, il s'était assis avec moi et m'avait raconté l'histoire de Mary-Alice, une salope intrigante, folle et égoïste, si jamais il y en avait eue une. Elle attendait de me piéger pour ses propres fins, mais pas pour m'aider, oh non ! Ce n'était en aucun cas pour m'aider, elle voulait m'enchaîner à elle, maîtriser et posséder le major incontrôlable, comme un animal domestique. Peter a un don, il a toujours nié cela en disant : « Je sais juste des conneries, mon frère ! » mais il ne s'était jamais trompé, quoi qu'il ait vu, c'était gravé dans la pierre, c'était l'avenir.

Elle, d'un autre côté, devait faire face aux décisions prises, mais elles changeaient tout le temps. Comment quelqu'un pouvait-il compter sur un don aussi faible que celui-là ? Il y avait trop de chances que cela déraille, putain, même des humains prenant une décision de dernière minute, pouvaient le contourner. Puis il m'a informé qu'elle allait me dire qu'elle était ma compagne, sachant que c'était la seule chose que je voulais par-dessus tout.

'' - Et si elle l'était, Peter ? '' J'avais demandé, réellement effrayé que ma compagne puisse être une autre salope dominante comme Maria ?

'' - Elle ne l'est pas parce que ta compagne n'est même pas encore née, Major. '' M'avait-il dit et je l'avais cru. Il ne m'avait jamais trompé, ni menti auparavant.

'' - Mary-Alice a un agenda, je ne sais pas encore trop ce qu'il est, tu es seulement un outil qu'elle veut pour l'obtenir. Elle ne peut pas l'avoir sans toi ! '' Peter a ensuite dit : '' - Mais j'ai trouvé quelque chose qui sera bénéfique pour toi, Jasper ! '' Il m'a alors parlé des Cullen et de leur mode de vie. Les animaux. Ils se nourrissent d'animaux. Bon sang, à l'époque, j'avais pensé, putain, c'était tellement foutrement évident !

J'ai alors su que c'était cela, la réponse à mon plus grand problème. J'ai alors pris la décision de me diriger vers le sud, jusqu'au Mississippi, seulement pour la faire chier. Peter savait qu'elle venait de là-bas, mais pas grand-chose d'autre. Mais je me suis dirigé vers l'ouest, en direction du Colorado. Il y avait beaucoup de zones boisés là-bas et cela signifiait des animaux. J'étais certain que je ne me nourrirais pas de cerfs et autres merdes, j'avais besoin de prédateurs, comme moi. Si je faisais cela, je pourrais tout aussi bien profiter du frisson de la poursuite. Au moins, nous avions découvert l'idée de me nourrir sans douleur grâce à elle, probablement le meilleur putain de cadeau qu'elle n'avait jamais voulu me faire et sans qu'elle soit là pour agir comme mon putain de sauveur.

Nous avons ensuite fait notre priorité de découvrir tout ce que nous pouvions sur les Cullen, du moins, Peter l'a fait pour que je n'ai pas besoin de prendre de décisions qu'elle puisse voir. Elle n'était pas encore avec eux, d'après ce que nous savions, nous avons également découvert que nous avions des amis en commun avec eux. Par chance, Garrett connaissait Carlisle Cullen depuis un moment. Même si sa façon de se nourrir lui semblait étrange, il aimait l'homme qu'il avait rencontré pendant la Guerre d'Indépendance. Grâce à lui, nous avons tout appris sur son clan qu'il avait commencé en 1918, quand il avait transformé un jeune homme nommé Edward, un télépathe, mais seulement les pensées superficielles, toutefois. Suivi par la compagne de Carlisle, Esmé, en 1921. Ensuite une autre femme, Rosalie, en 1933 et son compagnon, Emmett, en 1935. Bien qu'il n'ait aucun don, il n'avait jamais perdu sa force de nouveau-né.

Puis nous avons appris que Carlisle connaissait Éléazar et Carmen et donc, également les sœurs Denali. Elles étaient notoirement célèbres pour leur amour de tout ce qui était masculin. Nous les avions rencontrés à Dallas, il y avait environ trois ans. Elles étaient insatiables, pas non plus contre le partage, et j'avais passé une semaine de passion et de sexe, qui aurait été épuisante si j'avais été humain, mais comme je ne l'étais pas, cela avait été un intermède très agréable. J'aurais été plus qu'heureux de le répéter si l'occasion se présentait. Après les révélations de Peter, j'ai délibérément passé mon temps à décider de tuer des humains pour me nourrir et à penser à toutes les femmes vampires avec qui j'avais eu le plaisir de coucher. Je ne voulais pas qu'elle sache que j'avais changé mon régime et cela ne me gênait pas d'être mesquin et de la laisser voir ce qu'elle avait perdu.

Cela a continué pendant approximativement soixante ans. De temps en temps, Peter apparaissait et me disait qu'elle était à proximité où qu'elle arrivait dans la région dans laquelle nous nous trouvions, où seulement moi. Je rejoignais souvent Peter et Char pendant quelques mois, voire plus longtemps, à présent que je me nourrissais d'animaux. Je trouvais que c'était nettement plus facile d'être autour d'eux pendant plus longtemps maintenant. J'attendais jusqu'à la toute dernière minute pour prendre la décision de passer à autre chose avant qu'elle ne puisse m'arrêter, une fois même, le faisant trente minutes avant qu'elle ne soit dans le même secteur où je vivais à l'époque, pour chasser avec les Cullen. Cette stupide salope essayait de me battre. C'était un planificateur et un maître tacticien qu'elle essayait de tromper. J'adorais savoir que j'avais de nouveau contrecarré ses plans, quels qu'ils soient, et elle n'avait aucune idée que je connaissais son jeu.

J'avais également maîtrisé le fait de ne pas prendre de décisions directes sur quoi que ce soit, quand je le faisais. C'était prémédité et très soudain. Non pas que je passais tout mon temps à garder une longueur d'avance sur Alice Cullen, oh non. J'avais voyagé à l'étranger, écrit quelques livres, amassée une grande collection de souvenirs sur la guerre Civile, et même fait fortune. Cette dernière lui étant totalement due. À mesure que Peter était devenue plus à l'écoute d'elle, il avait également obtenu des informations supplémentaires, comme les fois où elle achetait des titres et des valeurs mobilières de petites compagnies et autres, les deux meilleurs étant ''Microsoft'' en 1975 et ''Apple'' en 1976, même s'il y en a eu beaucoup d'autres et donc, sans avoir affaire à elle, j'avais réussi à utiliser ses connaissances à mon avantage.

Bon sang, j'avais même passé du temps à Volterra, ce qui avait instillé une peur de tous les diable en elle, avait dit Peter, mais nous n'avions jamais su pourquoi ! Les frères voulaient que je rejoigne la garde, j'ai refusé, mais je leur ai dit que s'ils avaient besoin de mon aide dans les États-Unis, je ne serais que trop disposé à les aider, mais j'en avais par-dessus la tête des combats pour l'instant. Ils avaient fait appel à moi à plusieurs reprises, pour régler divers problèmes, et j'avais été heureux d'arranger cela pour eux. Cela m'amène donc à l'appel de Carlisle Cullen, il y a cinq minutes. Ils avaient besoin d'aide pour un nouveau-né totalement incontrôlable.

Il semblerait que le télépathe, Edward, avait perdu les pédales et avait essayé d'attaquer sa chanteuse, alors qu'elle n'était pas seule. Putain de crétin. Son amie l'avait gênée et il l'avait pratiquement vidée. Son père avait réussi à l'arrêter et avait transformé la fille, mais elle était tellement furieuse chaque fois qu'Edward s'approchait d'elle, qu'elle l'attaquait tandis que la chanteuse menaçait de les exposer tous pour les monstres qu'ils étaient, et ils ne pouvaient pas l'arrêter parce qu'elle était détenue par les métamorphes locaux qui se préparaient à tous les tuer, y compris le nouveau-né, pour avoir rompu un vieux traité qu'ils avaient entre eux. Les Volturi leur avaient dit de me demander de résoudre le problème avec le nouveau-né à leur place pendant qu'ils essayeraient de régler eux-mêmes l'autre gâchis, sinon ils viendraient le faire pour eux, ce qui signifierait un génocide.

'' - Alors, pourquoi diable le télépathe est-il toujours là ? '' J'avais demandé et on m'avait dit que, malheureusement, la fille qu'il avait mordue s'était révélée être sa compagne, qu'il n'allait pas la quitter et qu'il ne cesserait jamais d'essayer de s'excuser. Ce qui me faisait remettre en cause cette affirmation, cela me semblait peu probable, mais j'ai tenu ma langue pour l'instant. Chienne de vie ! Si ce n'était pas pour les frères qui leur avaient suggéré mon aide, je leur aurais dit d'aller se faire foutre. Je lui avais dit que je le rappellerais dans une heure, j'avais ensuite appuyé sur mon numéro en abrégé et j'avais mis la main sur Peter qui a éclaté de rire quand il a décroché. '' - Putain, Jazzman, soixante ans et ils t'appellent à l'aide via les Volturi ! C'est tout simplement merdique, frangin ! '' Il a gloussé.

'' - Ouais ! Ouais, connard ! Fait tes bagages, je vais avoir besoin de vous deux, tout bien réfléchi, appelle le ''Patriote'', il pourra jouer le médiateur entre les Cullen et nous ! '' Je lui ai dit, ce qui l'a fait taire immédiatement.

J'ai fait mes bagages et je suis sorti, sans vraiment prendre de décision, trente minutes plus tard. Peter organisait tout, j'ai donc simplement appelé Carlisle Cullen pour lui dire que je serais là demain et que je me dirigeais vers Washington. J'aimais ma Ducati, elle était rapide et ronronnait comme un gros chat, à part un cheval, c'était le meilleur moyen de transport pour moi, l'éternel Cow-boy. Douze heures plus tard, j'étais assis à califourchon sur mon bébé, en train de regarder la maison Cullen. Après avoir changé mon régime et avoir retrouvé mon estime de soi, j'avais recommencé à porter ma tenue signature comprenant un Stetson, un jean et des bottes de Cow-boy, le tout en noir. Bien sûr, en ajoutant quelques nuances à l'ensemble. Je suis un frimeur, poursuivez-moi ! J'écoutais tout ce qui se passait dans la grande maison blanche, putain, ils étaient très bruyants et pas très prudents. J'étais assis là depuis trois heures, quatorze minutes et vingt-cinq secondes, ni cachés, ni rien, juste à la lisière de la forêt, en pleine lumière.

Donc, quand la porte d'entrée s'est ouverte et qu'une femme est sortie, je n'ai pas bougé et j'ai attendu, elle a automatiquement scanné les environs et a crié quand son regard s'est posé sur moi. Putain, elle était un vampire, mais elle a crié quand elle en a vue un autre ! Cela les a tous fait courir et brusquement, le porche a été rempli de vampires grognants, y compris le nouveau-né. Seigneur Dieu, est-ce qu'ils sont correctement câblés ? Je les ai tout simplement fait tomber là où ils se trouvaient avec un cocktail de peur, de répulsion et d'insécurité.

'' - Hé bien, vous êtes tous morts ! Comment diable avez-vous réussi à vivre aussi longtemps ? '' J'ai parlé d'une voix traînante, appuyant volontairement sur mon accent épais. Tout en faisant rouler ma moto d'un noir d'ébène vers eux, j'ai commencé à alléger les sensations que je leur envoyais alors que j'atteignais l'allée. '' - C'est quoi ce bordel, mec ? Depuis combien de temps es-tu là ? '' Le plus grand gars du clan a demandé. J'ai haussé les sourcils et je lui ai envoyé une vague de terreur. Il a reculé. '' - Désolé, mec ! Désolé ! '' Il a marmonné.

Le chef regardait entre le garçon aux cheveux roux et la petite fille aux allures de garçon, parlant manifestement dans son esprit et s'attendant que l'autre voie sa question. Ils ont tous les deux secoué la tête, tandis qu'il tenait le nouveau-né fermement contre son corps.

'' - À haute voix, s'il vous plaît, Dr Cullen ! Pour les non-initiés parmi nous ! '' J'ai dit, une pointe de dédain colorant mes paroles. Il s'est raclé la gorge d'une manière très humaine et m'a regardé. '' - Excusez-moi, Major Whitlock ! Je me demandais comment ils ne vous avaient ni vu, ni entendu. '' A-t-il dit, seulement légèrement désolé.

'' - Hé bien, putain, je peux répondre à cela. Je ne pensais à rien et je n'ai pris aucune décision, ce qui a donc rendu leurs très maigres talents inutiles ! '' Je lui ai dit. Sous le choc, tout le monde a laissé échapper un hoquet, comme si je venais de renverser le chien en arrivant.

'' - Quant à savoir depuis combien de temps je suis resté assis à vous écouter tous vous chamailler et vous disputer ! Quand votre télépathe est venu vous demander : '' - Où exactement le monstre assoiffé de sang va-t-il rester ? Parce qu'il ne va pas vivre dans la maison avec des gens civilisés ! '' Je leur ai dit en imitant exactement sa voix pompeuse. Il a au moins eu la décence de baisser la tête de honte, mais plus parce qu'il avait été pris avec ce qu'il avait dit. Son chef a soupiré : '' - Je présente mes excuses au nom d'Edward, Major. Il ne réfléchit pas toujours avant de parler ! '' J'ai ri puis j'ai fait un signe de tête au nouveau-né en disant. '' - C'est clair ! Il semble être plus d'ennuis qu'il n'en vaut la peine ! '' Cela a fait rire le grand type. '' - Tu n'en as aucune idée, mec ! '' Il a claironné et Edward lui a grogné dessus, mais c'était tout sauf intimidant. La seule chose qui s'est passée fut que le nouveau-né s'est jeté sur lui et lui a mordu les bras tandis qu'il essayait de la repousser et échouait.

Bonne semaine à tous.