WARNING :
Ce chapitre contient des moments torrides avec consentement ^^. Cela commence un peu avant la moitié du chapitre avant de monter en température. Vous voilà prévenu.
Chapitre 10 : Assumer ses désirs
[POV Ariel]
Je me dirige vers un premier magasin de vêtements.
Il y avait que des tenues estivales, logique vue le climat de l'île.
J'étais attirée par les robes en soie colorée et fleuris, c'était parfait pour supporter la température ambiante. Je pris une robe dans les tons violets, roses et bleus.
La coupe semblait être la même, bon j'allais essayer en cabine pour voir quelle teinte m'irait.
Elles avaient toutes un dos nu et se nouaient au niveau de la nuque. Et elles s'arrêtaient au niveau des genoux, c'était un vrai bonheur à porter, c'est léger et doux au toucher. Je me contemple avant d'écarter le rideau de la cabine d'essayage.
J'avais revêtu la robe violette et Crocodile me regarde de la tête aux pieds :
- Tu es magnifique.
- Merci.
Il se lève, je le regarde avec un air interrogateur, il prend ma main avant de me faire tournoyer :
- Splendide, me dit-il en me collant contre lui.
Je rougis avant de me défaire de Crocodile pour poursuivre les essayages.
Finalement je prends les trois robes, deux shorts en jean qui vont jusqu'à mi-cuisse et trois tops qui sont fluides de couleur turquoise, rose et blanc.
C'est bien j'ai de quoi tenir un petit moment, même si je compte m'acheter d'autres vêtements plus tard.
Je me dirige vers un magasin de chaussure, je prends une paire d'escarpin uni rose pâle et une autre noire classique. Ainsi qu'une paire de chausson pour l'intérieur.
Quand on sort, je vais au magasin suivant, en évitant la lingerie avec un soin particulier :
- Tu ne pourras pas y échapper indéfiniment tu sais, me souffle t'il.
Oui je sais ! Car j'ai besoin de sous-vêtements, mais bon je préfère finir sur ça.
Pour l'instant je me concentre sur mon prochain achat, je prends un sac à dos de voyage ça pourra me servir si je veux me balader sur l'île. Je prends un peigne, des pics à chignon, crabes, ainsi que des soins pour l'hygiène et le corps. Je paie et on repart.
Il me manque à ce stade que la lingerie…
Nous voilà devant une autre boutique, j'évite avec soin le regard de Crocodile qui se fait plus caressant et insistant.
Je suis certaine qu'il va me regarder attentivement pour savoir si tel ou tel ensemble m'irait.
J'attrape la vendeuse et lui fait part du fait que je ne connais pas vraiment mes mensurations, avec mon nouveau corps je suis perdue. On prend quelques minutes avant de trouver les tailles qui me vont, ensuite elle en profite pour me montrer toute sa gamme de produits.
Je lui demande plus des tons clairs comme j'ai acheté plus des vêtements clairs.
Les ensembles sont beaux, il y a de la dentelle et beaucoup de travail de broderie c'est magnifique. Et il y a aussi des articles assez sexy et osé. Je suspecte la boutique être un lieu où mes amies de la résidence aiment s'approvisionner.
[POV Crocodile]
Enfin !
Il faut que je trouve quelque chose qui lui ira à merveille.
Pendant qu'Ariel s'affaire avec une vendeuse, je fais signe à une autre de venir. J'avais besoin d'elle pour qu'elle aille voir sa collègue et lui demander la taille d'Ariel.
Je regardais ce qu'il avait en attendant et beaucoup de chose irait à Ariel, mais je cherchai l'ensemble qui la rendrait charmante et sexy à mes yeux. J'avais une idée assez précise de ce que je voulais et ce que je cherchais était plus en retrait dans la boutique, un peu caché.
Ah voilà qui serait parfait ! Et voilà ma vendeuse qui revient avec les mensurations d'Ariel.
- Je vous prends tout l'ensemble, faites-moi un paquet.
Je zieute, elle essaye des choses que la vendeuse lui ramène, ça ne devrait pas prendre trop de temps, Ariel est assez rapide aux essayages et à se décider, mais c'est logique si elle n'a rien :
- Et voilà pour vous Monsieur, fit ma vendeuse.
- Merci, voilà de quoi payer, gardez la monnaie.
- Merci beaucoup.
Je me retourne mon paquet sous le bras et je me dirige vers les cabines d'essayages. J'avais assez peu de chance de la voir ouvrir le rideau en petite tenue, mais sait-on jamais.
J'attends une bonne quinzaine de minutes et je n'ai pas de chance, je n'ai pas pu la voir dans une de ses ensembles… quoi que quand on se retrouvera seuls, ça n'en sera que meilleur.
Je souris et j'attends qu'elle finisse de payer, avant de sortir avec elle :
- Veux-tu que je te porte quelque chose, tu commences à être chargée.
- Non ce n'est pas lourd, mais je te remercie de me l'avoir proposé Crocodile.
- Comme tu veux… bon je te donne ma sélection, je veux que tu l'ouvres maintenant.
- Mais y'a du monde ! Souffle-t-elle.
Je regarde autour de nous, il n'y a pas tant de monde que ça, la plupart sont en contrebas au niveau du marché :
- Je ne te demande pas de retirer l'ensemble de sa boite, juste d'entrouvrir, je veux voir ta réaction maintenant.
Je la vois qui hésite, elle finit par poser ses achats au sol, avant d'ouvrir un peu la boite et de la refermer aussi sec, en rougissant. Je sens que j'allais adorer la voir dedans.
- Crocodile… est-ce… tu peux me rendre un service ?
- Dis toujours.
- J'aimerai que tu m'achètes quelque chose.
Elle tient un papier, j'allais lui prendre, mais elle l'écarte bien vite :
- Je te propose que j'avance, tu pourras me retrouver dans ma chambre, là où tu m'as espionné hier soir.
- Espionné est un bien grand mot, je dirais plutôt que j'ai découvert une enchanteresse danser sous le clair de lune.
Je la vois qui est déstabilisée, elle est trop craquante, c'est trop facile de la taquiner :
- Bon que veux-tu que j'achète ?
- Tu le sauras après, je pars devant, on se retrouve dans ma chambre, me dit-elle en étant rouge coquelicot.
Elle me donne à toute hâte son papier, avant de se mettre à courir avec ses sacs d'achats, mais qu'a-t-elle écrit pour qu'elle fuit comme ça ?
Je déplie son papier, qui est plié en je ne sais combien de fois, puis je m'arrête net en lisant ce qu'elle a écrit. Je relève mes yeux vers elle qui continue de courir au loin et je relis plusieurs fois le papier.
Puis je me mets à sourire en tapotant le papier sur mes lèvres, avant de le réduire en sable, ça promet d'être très intéressant. Je sais où aller, je me hâte, je dois la rattraper au plus vite.
[POV Ariel]
J'arrive sur la partie de la plage qui est sous mon balcon, je grimpe les marches, ouvre ma chambre et je pose tous mes achats en âge :
- Je n'y crois pas j'ai osé lui écrire ça !
Je ne sais pas si j'étais plus choquée par ma témérité ou par ma folie.
Je file dans ma salle de bain que je verrouille, j'ai chaud à avoir couru comme une dératée. J'espère avoir le temps de revêtir ce qu'il m'a acheté, il serait bien capable d'arriver pendant que je me change, tellement il se sera pressé.
J'ouvre la boite et déplie tout, oh bordel j'ai vraiment l'intégral.
J'enfile rapidement, je n'ai pas envie qu'il me trouve en petite tenue, j'aimerai avoir ma robe sur moi avant qu'on commence les hostilités.
Je finis de mettre l'ensemble avant de remettre ma robe et là je me tends, j'entends des bruits de pas dans ma chambre, c'était tout juste.
Je défroisse les plis imaginaires de ma robe et me recoiffe rapidement, avant d'oser ouvrir, il m'attend assis sur le bord de mon lit, avant qu'il se relève pour s'avancer vers moi :
- Tu sais que tu es plus audacieuse que tu en as l'air ?
- C'est possible, bégayai-je.
- Je peux te poser une question ?
- Oui…
- Pourquoi t'être enfuit ?
- Ben…
Je reste silencieuse, il se met à genoux pour être à ma hauteur et me prend dans ses bras avant de me murmurer à l'oreille :
- Ce n'est pas parce que tu exprimes une envie que ça te rend moins respectable, me dit-il tout doucement. Veux-tu vraiment que j'utilise ce que tu m'as fait acheter ?
Mais bien sûr que oui, mais… je n'assume pas pleinement et puis :
- Je crains que tu te moques de moi…
- Balivernes, réfute-t-il immédiatement, je vais être au pire amusé, car tu me divertis beaucoup par tes réactions, mais ce n'est en rien de la moquerie. Je suis plutôt ravi de découvrir une autre facette de toi, ça en dit long sur nos possibilités, tu ne crois pas ?
- …
- Veux-tu que j'utilise ce que tu m'as fait acheter ?
Je me mords les lèvres et j'hoche la tête, rouge de gêne :
- Bon je vais accepter ce oui silencieux, je ne tiens pas à te mettre plus dans l'embarras. Que veux-tu que je ne fasse pas ? Qu'as-tu en tête ?
- Juste… pas d'insulte comme je t'ai dit, continue de m'appeler Ariel et… utilise ça… comme d'un accessoire, expliquai-je.
- Je vois. Il t'est plus facile de dire ce que tu ne veux pas que ce que tu veux.
Il se relève et me contourne pour me masser ma nuque :
- Détends-toi, je n'accepterai que tu sois tendue qu'à cause du plaisir, pas à cause de stress.
Je réfléchis à tout ce qu'il m'a dit et ce qu'il dit est vrai…
- C'est tellement nouveau pour moi… de faire part de mes envies et de les tester…
- Et c'est très courageux.
Je me tends en sentant ses lèvres embrasser ma nuque :
- Tu n'as aucune crainte à avoir. Je ne veux qu'une chose, passer du bon temps à tes côtés.
Il a une voix terriblement calme depuis qu'il m'a enlacé, je me sens plus apaisée et moins stressée. Ses lèvres se posent sur mon épaule gauche qu'il taquine de baisers :
- Puis-je t'ôter cette robe ?
- On devrait fermer ma chambre….
- Je l'ai verrouillé côté plage et côté résidence, susurre t'il. Et j'ai même tiré les rideaux comme tu peux le constater.
Ah oui :
- Je ne suis pas du genre prêteur, me dit-il.
Il reprend ses taquineries, effleurant de ses lèvres la peau de mon épaule droite :
- Du coup, je peux te défaire cette robe ? Demanda-t-il à voix basse.
- Oui.
Il place sa main droite légèrement au-dessus du creux de ma hanche droite avant de la remonter, je sens sa chaleur, même s'il ne me touche pas encore. Puis il défait ma robe qui tombe par terre, il s'écarte de moi avant de se poster devant moi, je me sens tellement mise à nue :
- Tu es vraiment… splendide.
Je m'étais attendue à ce qu'il me fasse porter quelque chose de plus… dévêtu et pourtant, il m'avait acheté une guêpière, sans bretelle, d'un noir intense avec culotte ouverte, la seule pièce osée, avec porte-jarretelles et bas.
La dentelle était fleurie, légèrement transparente, mais pas tant que ça par rapport à d'autres, c'était plus du suggestif.
Sur les côtés de la partie corset de la guêpière, j'avais des nœuds en satin qui trônaient. Et un autre plus petit se trouvait entre mes deux seins.
Je sursaute en entendant le bruit sourd de son crochet tomber au sol, cela a le don de sortir de ma torpeur.
Crocodile reforme sa main gauche de sable, avant de poser ses mains sur le creux de mes hanches. Il m'attire à lui et m'effleure de ses doigts délicatement :
- Vraiment ça souligne à la perfection ton corps menu, tu es magnifique.
Il me prend dans ses bras, m'enlaçant, me faisant légèrement pencher en arrière, une main large posée sur mon dos pour me soutenir.
Sa main gauche effleure ma joue avant qu'il m'embrasse, je gémis doucement.
Je me sens flottée dans les airs grâce à ses pouvoirs, avant de me retrouver allongée sur mon lit, Crocodile au-dessus de moi et tout habillé. Le fait que je sois en petite tenue et lui pas, je trouvais que ça rajoutait un certain charme, alors que plus tôt ça m'avait intimidé, là je ne sais pas ça me plaisait et puis j'étais clairement moins intimidée par rapport à tout à l'heure.
Il se collait délibérément contre moi, caressant ma peau au travers de la guêpière et ça me mettait en émoi ce contact indirect.
Crocodile se saisit de ma main droite, il me fixe de son regard de braise plein de retenu avant d'embrasser ma paume et de glisser ses lèvres au creux de mon poignet.
Je vois autour de nous beaucoup de sable, qui commence à tournoyer, pendant que Crocodile et moi nous nous embrassons, avant qu'il stoppe notre échange, il se redresse :
- Bon… entre cette lingerie et…
Il me tire à lui et je me retrouve plaquée contre son torse :
- … la laisse, tu es vraiment… irrésistible, ça te va très bien…
Je rougis de nouveau. Je vois qu'il me l'a mise grâce à son pouvoir. Je le vois en train de jouer avec la longueur de la laisse qu'il m'a mise au cou.
- Ma chère demoiselle, j'espère que vous serez bien obéissante et gentille.
Me dit-il à l'oreille de sa voix chaude et sucrée, il a bien compris qu'il me faisait de l'effet avec sa voix grave :
- Oui, répondis-je timidement mais avec un peu d'assurance dans la voix.
- Parfait.
Crocodile resserre son emprise sur la laisse, et tire dessus avant de m'embrasser, mais ne s'attarde pas sur notre échange, il change de position.
Il est derrière moi, et me tire en arrière, je tombe dans ses bras, contre lui.
Il est allongé sur le côté et je me retrouve à avoir la même position quasiment dans ma chute. Sa main gauche se pose sur mon aine gauche et sa main droite qui tient toujours la laisse est à côté de mon sein droit.
Je pousse un cri de plaisir quand je sens sa main s'occuper de mon entrejambe. Je baisse mon regard et constate qu'il n'utilise pas ses mains sur mon intimité, c'est son sable qui s'occupe de me donner du plaisir.
Et de ce que je vois il agite ses doigts avec des mouvements circulaires certainement pour me rendre dingue grâce à son pouvoir.
Il me maintient contre lui et ses mains vagabondent sur mon corps, tandis qu'il colle sa bouche contre mon oreille. J'entends parfaitement ses soupirs, ça m'électrise.
Je décide de glisser mes deux mains dans ses cheveux et le gémissement de satisfaction qu'il produit m'indique que cela lui plait.
J'ai chaud et je suis trempée entre mes jambes.
Je sens mon visage être relevé :
- Regarde-toi…
Je redresse mes yeux, c'est vrai qu'il y a un grand miroir à la tête de mon lit.
Je déglutis, le regard qu'il a est juste… brûlant, pendant qu'il me regarde à travers notre reflet, je le vois respirer mes cheveux :
- Je pense qu'il est temps qu'on s'occupe de votre corps ma chère.
Ah oui ? Mais tu le fais déjà très bien… pensai-je en rougissant de plus belle.
Je sens la tension de la laisse se relâcher :
- Allongez-vous ma chère et sur le ventre.
Je m'exécute :
- Vos mains.
Je les glisse dans mon dos et dans le miroir je le vois sortir de sa poche un ruban en satin rouge et je le vois m'attacher les poignets.
Je le vois s'approcher de moi et me surplomber, Crocodile pose ses mains de part et d'autre de ma tête avant de me souffler dans mon oreille :
- Si tu te sens mal tu claques des doigts, murmura-t-il d'une voix douce. Compris ?
- Oui, soufflai-je.
Je le sens se retirer, j'en ai presque froid, mine de rien son corps irradie de chaleur même quand il n'est pas collé à moi.
Je le vois dans le miroir prendre mes cheveux entre ses doigts, il les rassemble délicatement sur les côtés avant de caresser mon dos à travers la lingerie.
Crocodile se saisit de mes hanches, je vois son crochet fuser vers sa main gauche et dans un geste, aussi vif que maitrisé, il glisse son crochet dans les différents tours de ruban de mes poignets. L'instant d'après il me pénètre, je pousse un cri de plaisir, surprise.
Je sens qu'il tire vivement sur son crochet, je me sens décollée du matelas, cela me force à me mettre à genoux pour gagner en stabilité et il tire aussi sur la laisse pour me forcer à me cambrer. Une fois dans cette position, il débute des vas et vient fermes et rythmés.
Bon sang, ça n'a rien à voir avec ce matin ! Je le sens beaucoup plus, je n'arrive pas à lutter, mes cris de plaisir s'enchainent. Je sens mon cœur palpiter à un rythme endiablé. Et j'ai chaud dans cette tenue ! Je le fixe le rouge aux joues dans le miroir, comment fait-il pour ne pas transpirer alors qu'il me prend tout habillé ! Alors que moi je n'ai pas son costard trois pièces, je suis qu'en lingerie.
Je sens des gouttes de sueur perler de mon visage, je pousse un cri de surprise, quand il tire avec force sur la laisse et son crochet. Je me retrouve debout, dos contre son torse.
Crocodile sourit, d'un sourire aussi pervers, dominateur qu'amusé.
Sa main droite se plaque contre ma gorge pour me garder contre lui.
Il dépose des baisers sur mon visage et lèche mes gouttes de sueur, cette vision m'excite et m'électrise. Et bien sûr il fait ça en me fixant intensément sur le miroir :
- En veux-tu plus ? Me demande-t-il d'une voix chargée d'envie et de luxure.
- Oui ! Gémis-je.
Il libère avec adresse mes seins de la guêpière, il se saisit de celui de droite avec sa main et capture l'autre avec ses lèvres. Ses gestes se font si possessifs et précis aussi :
- Crocodile je t'en prie ! Haletai-je.
Le plaisir montait si puissamment :
- Cesse donc de lutter ma belle.
Sa main droite fuse vers mon clitoris qu'il taquine sans aucune pitié. Il capture mes lèvres des siennes avec férocité, pendant qu'il s'active sur mon entrejambe.
Je gémis de plus en plus, me contorsionnant dans ses bras forts, avant de me sentir partir, je me tendis et je jouis en fontaine en m'arquant contre lui avant de m'effondrer.
Il me soutenait et m'allongea doucement, je pu souffler un instant.
Crocodile se retire de moi et je soupire cette perte, avant qu'il s'écarte complètement de moi.
Je sens soudain ses lèvres derrière ma cuisse droite, limite sous mes fesses. Il glisse ses lèvres avant de se saisir de mon bas droit et de le faire glisser, je me tends de sentir l'air frais sur ma peau légèrement moite.
Il retire ma chaussure droite, puis celle de gauche, avant de défaire le premier bas. Ensuite il embrasse l'arrière de ma jambe du bas jusqu'en haut. Forcément je m'agite et je l'entends rire doucement.
Quand il arrive en haut de ma jambe, il s'occupe de la gauche de la même manière que celle de droite.
Quand Crocodile a fini, il continue mon effeuillage, il fait glisser ma culotte le long de mes jambes. Il ne me reste que ma guêpière et je sens qu'il s'attarde sur les attaches au dos qu'il prend un malin plaisir à défaire un par un.
Il tire légèrement sur son crochet, me tractant pour défaire la guêpière qu'il se saisit de sa main droite avant de la jeter derrière lui.
- Ma chère… je veux que vous ne bougiez pas… sous aucun prétexte, me dit Crocodile d'une voix chaude et langoureuse.
Je crie de surprise il pose la partie arquée de son crochet contre mon dos, et plus précisément, ma colonne vertébrale, et il fait glisser son crochet le long de mon dos.
- C'est froid ! M'exclamai-je en m'agitant.
- Je crois vous avoir dit de pas bouger ma chère.
Il recommença à caresser mon dos avec son crochet froid !
- Je répéterai l'opération autant de fois que nécessaire, tant que vous bougerez je continuerai, me dit-il d'une voix amusée et sadique.
J'essaye de ne pas bouger, mais le moindre tremblement ou sursaut de ma part, il redémarre sa torture.
- Bon je vais vous faciliter la tâche, m'annonça Crocodile.
Je ne le sens pas ! Ah !
Il pivote son crochet, qui maintenant est perpendiculaire à ma colonne vertébrale, en d'autres termes, il y a plus de surface froide qui m'effleure !
- Ah mais cessez donc de trembler, il ne vous arrivera rien, me dit-il avec un sourire sadique ravi au possible de me torturer ainsi.
- Ah… pitié… c'est froid !
En soit ce n'était pas déplaisant, mais il m'était juste impossible de ne pas bouger et c'était tout le but de la manœuvre.
Crocodile cesse enfin… ou pas !
- Non ! M'exclamai-je en sentant son crochet effleurer mon côté gauche.
Je l'esquive et évidemment je bouge et donc il recommence :
- Je croyais vous avoir demandé de m'obéir ma chère, il va falloir que je vous punisse, me dit-il contre mon oreille droite.
Cette fois je me tends en sentant sa main chaude effleurer mon dos. Il veut me rendre dingue !
Et il continue d'user d'un toucher très délicat, car il a compris que c'était ce genre de caresses qui me rendait folle.
Je m'arquais, me tendais de plaisir, je n'arrivais pas à rester immobile :
- Vous êtes vraiment… une très vilaine fille !
Je me sens partir en arrière, il tire sur mes liens avec son crochet, je me retrouve collée contre son torse, il me plaque avec autorité, en posant sa main droite contre ma gorge. Puis je vois son crochet dans mon champ de vision, je n'ose plus bouger par peur d'être blessée, je déglutis et Crocodile emprisonne ma gorge dans le creux de son crochet et me tire contre lui :
- Voilà, comme ça c'est mieux… votre place est contre moi…, me dit-il de sa plus belle des voix grave en plongeant son visage dans mes cheveux.
Il veut me mettre à bout et je ne peux quasiment plus bouger prisonnière de la sorte :
- Maintenant vous allez arrêter de bouger, c'est mon dernier avertissement.
J'écarquille les yeux, car sa main fuse vers mon entrejambe, je crie de bonheur. Je secoue la tête, c'est trop de sensations ! Je me contorsionne, me collant désespérément contre lui :
- Vous ne savez vraiment pas obéir….
Je le sens glisser un doigt en moi, tout en continuant de titiller mon clitoris. J'hoquète et je tremble, je me sens venir :
- Pitié….
- Je ne peux pas faire preuve de clémence envers une vilaine fille désobéissante voyons.
Il glisse un deuxième doigt en moi et agite ses doigts avec une telle dextérité. Comment fait-il ? Même moi je n'avais pas autant de plaisir avec mes doigts.
Je tourne mon visage vers le sien, il me regarde avec un plaisir non dissimulé et redresse légèrement son crochet pour faire basculer mon visage en arrière :
- Crocodile…
- Oui ? Me demande t'il en arquant un sourcil amusé.
- Pitié… punissez-moi…
Il sourit et m'embrasse avec fougue avant de provoquer en moi une jouissance. Je gémis entre ses lèvres, traversée par une violente secousse de plaisir tant il accentue ses caresses taquines. Je me sens me tendre de tout mon être avant de sentir chacun de mes muscles se détendre.
Je ne reste contre Crocodile qu'à cause du crochet autour de ma gorge, autrement je me serais effondrée contre le matelas, incapable de bouger.
Crocodile me libère et m'allonge, je suis à bout de souffle, en âge, pour autant je sens les lèvres de Crocodile sur mon dos :
- Hum…, gémis-je.
- J'aime ta peau… elle est douce… et ton parfum est enivrant… ça donne envie de l'embrasser à loisir, me confie-t-il en liant le geste à la parole.
Je m'arque contre lui, ses lèvres chaudes ne se décollent pas de ma peau qu'il embrasse avec délice.
- Crocodile….
- Hum… j'aime comment tu prononces mon nom…
- S'il te plait… laisse-moi… te toucher…, suppliai-je.
- Cela voudrait dire te libérer… mais j'adore que tu sois à ma merci.
Il parcourt de sa main droite mon côté, avant de commencer à défaire mes liens :
- Mais je dois aussi avouer que demander avec une si belle voix suppliante, ça devient compliqué pour un homme comme moi.
Crocodile fini de me libérer et là je me retourne sous lui afin de lui faire face.
Il n'y a pas à dire quand il a des mèches qui tombent devant ça le rend encore plus sexy et attirant, mais aussi je ne sais pas ça lui adoucit ses traits je dirais. Il me parait moins dur, moins inaccessible.
Je prends son visage entre mes mains et cette fois il ne m'arrête pas, il sourit même :
- Tu peux, m'autorise t'il.
Je lui souris avant d'avoir le plaisir de caresser son visage, il ferme les yeux, pour mieux profiter de mes caresses. Et j'ai le malheur de passer mes doigts près de ses lèvres, alors il se saisit avec rapidité de mon poignet et se met à sucer mes doigts avec un regard indécent et remplit de luxure. Je rougis fascinée par une telle vision, cet homme est clairement la définition même de la passion la plus brûlante :
- Alors ? Tu es redevenue toute timide ? Cela me va, ronronne t'il.
Je souris, lâchant un petit rire :
- Non, pas vraiment, je suis juste… émerveillé de voir un homme si torride.
- Hum… vas-y continue, tu m'intéresses…
Il s'allonge contre moi, et moi je l'enserre de mes jambes.
- Dominateur…
- Et fier de l'être…
Je l'enlace de mes bras, glissant mes doigts dans ses cheveux en bataille après nos ébats :
- Et qui sait comment me tenter…
- Si facile…
Nos visages se rapprochent l'un de l'autre :
- Et quoi d'autre ? Me demande t'il avare de compliments.
- Tu es beaucoup trop bel homme pour mon propre bien.
- Vil flatteuse !
- Que tu adores.
Pour toute réponse il m'embrasse et je réponds à son baiser remplit de fougue.
Je sais que beaucoup de fanarts de Crocodile trainent où il est en couple avec Doflamingo et où il est celui qui est soumis. Mais j'arrive pas à voir Crocodile autrement que dominateur XD (Cet homme a trop de charisme je trouve, mais bon ce n'est que mon humble avis ^x^)
Cela étant je vous souhaite une bonne année et de belles fêtes ! RDV en 2024 ;D
