Sanji était un cuisinier qui se respectait, et il aimait qu'on soit courtois avec la nourriture. Et pour cause, c'était un bien précieux, même un trésor pour un capitaine qui adorait les mets les plus raffinés. Avec des mains aux ongles parfaitement manucurés, il préparait ses plats avec amour.

Aussi, quand on osait entrer dans son garde-manger sans y être autorisé, cela provoquait des réactions colériques impressionnantes. Autant dire qu'il ne fallait pas être dans les parages à ce moment-là. Et c'était plus spectaculaire depuis son retour de Kedétrav. Il avait développé des manies de diva selon Zoro.

D'ailleurs, c'était l'épéiste qu'il retrouva dans son cellier soigneusement rangé. Il était en train de voire son vin le plus exquis.

-Dehors !

Le bretteur eut un sourire carnassier.

-Allez, fais pas ta maligne, la soubrette.

L'homme aux cheveux verts se leva, et Sanji put apprécier sa taille, Zoro le dépassait d'une bonne tête depuis leur retour sur le navire.

-Tu sais bien que t'es l'aliment le plus convoité du bateau.

Ah ? Depuis quand ? Le dos de Sanji heurta un mur décoré d'une étagère à épices raffinées.

-J'ai envie de te goûter, tu sais, poupée ?

Sanji ne pouvait pas nier qu'il en avait eu envie depuis des mois, que Zoro le prenne, sans trop oser y croire. Et maintenant, c'était un espoir qui devenait réalité !

-Laisse-te prendre dans les bras.

Zoro s'empara d'un pot de crème glacée et badigeonna Sanji de parfum au chocolat. Zoro dévora la glace sur la peau frissonnante de Sanji.

-Tu es sale maintenant.

Le bretteur déchira la veste et la chemise du cuistot qui fut assaisonné de miel et de chantilly. Zoro lécha consciencieusement le torse de l'objet de son désir.

-Et là aussi.

Le pantalon et la petite culotte en dentelle secrète de Sanji suivirent le même destin. Zoro agrippa le sexe tendu et l'enduisit de caramel.

-Qu'est-ce que t'es bon.

Sanji fut forcé de s'asseoir à terre pendant que Zoro engloutissait sa saucisse dans sa bouche. Le cuisinier éjacula dans sa bouche. Zoro avala le sperme de son cuistot.

-Mais c'est pas la fin.

Zoro retira ses propres vêtements, et s'inclina sur le corps de Sanji, enduit de chocolat, de vanille et de sucre.

-T'es la plus belle friandise, tu le sais ?

Zoro s'empara de son dû, l'antre chaud de Sanji et enfourna son pénis impressionnant à l'intérieur.

-C'est ça le travail de boulanger ?

Les doigts de Zoro se glissèrent dans l'or éclatant des cheveux de Sanji, qui rugit de plaisir. Les travestis d'Ivankov lui avait donné un cours sur la sexualité, et comment satisfaire un compagnon. Le blond était ravi d'avoir reçu un cours d'éducation sexuelle avant sa défloration.

-Oui !

Zoro éjacula une crème blanche dans l'antre de Sanji.

-T'es une bonne pâtisserie.

Son membre était encore enfourné.