Un paninny pour se mettre en bouche avec amuuuur !
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Jour 9_Perte de virginité
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Ginny renversa Pansy sur son petit sofa, ses lèvres papillonnaient sur sa gorge. Elle traça un sillon en direction de son décolleté, embrassa le galbe d'un de ses seins à travers son chemisier en soie. Une main rejoignit sa bouche et explora ses côtes puis son ventre.
Elle découvrit sa peau et s'arrêta sur son nombril en creux et la chair de poule qui envahissait son épiderme. Elle parsema son corps de baisers, jusqu'à rejoindre la ceinture de sa jupe.
Ginny leva les yeux vers elle et lui adressa un sourire coquin avant de poser ses lèvres directement sur son pubis. Pansy glapit, surprise, et tenta de repousser sa tête. Elle ne voulait pas que sa bouche approche de son intimité.
Ginny releva la jupe de Pansy et glissa son nez le long de sa cuisse.
— Laisse-moi faire.
— Non. Non c'est… sale.
Ginny ne devait pas faire ce genre de chose. Pansy avait appris qu'être touchée à cet endroit, de cette manière, était indigne. Indigne et dégradant.
Ginny pencha la tête sur le côté et vint lui voler un baiser au coin de sa bouche. Elle taquina ses lèvres puis posa sa main à plat sur le bas-ventre de Pansy.
— Je peux ?
— Je. Je ne sais pas.
— Dis-moi quand m'arrêter, murmura encore Ginny.
Elle franchit la barrière de sa culotte et glissa son pouce sur sa toison brune, s'attirant un soupir impatient.
— Ferme les yeux.
Ginny s'empara de la main de Pansy et guida son index vers sa vulve. Elle l'invita à découvrir ses lèvres. Les grandes et les petites. Elle lui décrivit son anatomie et s'enthousiasma de son humidité.
La voix de Pansy s'était éteinte, elle, et les yeux fermés, elle serrait fortement ses paupières, le rouge aux joues. Elle restait infiniment gênée, mais la honte s'échappait déjà.
Lorsque Pansy commença à gémir, Ginny l'informa, de sa voix enjouée, qu'elle ne rêvait que de la goûter jusqu'à ce qu'elle se sente rassasiée. Elle l'aida, au même instant, à insérer son index en elle, et la respiration de Pansy s'accéléra.
Elle l'invita à ajouter son majeur et le froid la saisit.
Ginny l'avait abandonné, juste une seconde mais, avant même que Pansy n'ouvre les yeux, la pointe de la langue de Ginny se mêlait à leurs doigts.
Elle écarta la main de Pansy et lui demanda.
— Tu es prête ?
Pansy ramena son bras sur son visage, tenta d'ignorer l'odeur de sa cyprine qui envahissait l'espace, et ainsi cachée, hocha la tête. Ginny malaxa ses cuisses, souffla avec douceur sur ses chairs offertes et laissa sa langue découvrir les moindres recoins de son sexe.
Des sons indécents s'échappaient de la gorge de Pansy qui agrippa les cheveux de Ginny sans être bien certaine de savoir si elle cherchait à la repousser ou à la guider.
Sans prévenir, Ginny simula une pénétration, insinua puissamment sa langue en elle tandis que son pouce vint stimuler son clitoris. Elle la fit crier et, satisfaite, la taquina.
— Alors ? T'es sûre que tu n'voudras jamais recommencer ?