Avertissement : scène très proche du viol !
Prendre les transports en commun était en général risqué pour les âmes innocentes et inattentives. Surtout quand on rentrait du travail, qu'on portait des sacs de courses, et qu'on ne rêvait que d'une chose: retrouver son lit adoré.
Sanji avait veillé tard dans le restaurant qui était le fief de son père adoptif. Ils avaient accueilli la réception d'un mariage. Mais après la fête, il était temps de se reposer. Le jeune homme avait le menton ballant, et menaçait de se coller contre la vitre.
Bon sang! Ce n'était pas le moment de fermer les yeux! Son corps était un véritable traitre! Et ce fut le moment que choisit une main étrangère et audacieuse pour s'infiltrer sur ses cuisses. Le cuisinier couina de surprise.
Il tourna la tête et s'aperçut avec horreur que son attaquant n'était autre qu'un individu aux cheveux verts. Le cuistot voulut gifler l'autre, cependant, il fut plaqué contre la vitre de la porte du métro. Le malotru glissa son membre dans sa ceinture et Sanji tenta de le repousser, une seconde fois, sans succès.
-Au secours!
Néanmoins, la rame était presque vide, et les caméras de surveillance ne semblaient pas tenir compte de sa détresse.
-Personne viendra te sauver, poulette.
Zoro plaqua son autre paume sur la bouche de sa victime, et il s'empara durement du pénis du blond innocent.
-T'es bon à sucer, tu sais?
Sanji ferma les yeux, c'était un affreux cauchemar, et dire qu'il avait passé une merveilleuse soirée! Le mariage avait été une très belle réussite!
-Mais je vais pas le faire.
Malgré son dégoût de la situation, la verge de Sanji grossit entre les paluches encombrantes de l'autre, et son extrémité s'humidifia.
-Tu vois? T'aimes ça!
En voulant se retirer de ce monstre, Sanji fut plaqué davantage contre la paroi métallique et vitrée. Zoro n'avait pas encore fini sa besogne.
-Tiens-toi tranquille!
Les cris de Sanji devinrent suraigus, et des larmes coulèrent sur ses joues pâles. Jamais encore quelqu'un ne l'avait touché là!
-Voyons! C'est pas si terrible!
Et le blond éjacula, et il poussa un sanglot pitoyable. Zoro jeta le blond à terre, qui demeura prostré jusqu'à la prochaine gare.
-T'étais une bonne pâte, tu sais?
Le lendemain, Sanji fila chez un de ses amis, Luffy, dont le grand-père était commandant de police, lui saurait quoi faire.
