Je vous salue !

Aujourd'hui je publie le chapitre 2.

Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout appartient à la merveilleuse J K Rowling, sauf l'histoire.

Makoto

Tome 3

Résumé : Sirius Black échappé. Des Détraqueurs. Un Épouvantard. De l'amour. Un vieux schnock toujours aussi manipulateur. Bref une troisième année bien remplie pour les jumeaux Matsushita.

Réponses aux Reviews :

Holybleu

Hey ! Merci pour ta Review. Voilà la suite. Bonne lecture. Biz.

Stormtrooper2

Coucou ! Merci pour ta Review. Et non ! Sirius est inutile dans cette histoire. Personne ne sait que Harry Potter est vivant, ils le croient soit mort, soit disparu, donc Sirius ne restera pas longtemps. Concernant les Détraqueurs, tu découvriras cela dans ce chapitre. Voilà donc la suite. Bonne lecture. Biz.

Nda : Des mots japonais seront utilisés. Je mettrais la traduction avant chaque chapitre.

Matsushita : Sous le pin, au pied du pin.

Ayaka : Fleurs colorées.

Makoto : Sincérité.

Takehiko : Avisé.

Rin : Honoré, sévère.

Aniki : Frère.

Aneki : Sœur.

Isha : Docteur.

Kon'nitchiwa ; Bonjour.

Arigato : Merci.

Haï : Oui.

Arigato gozaimasu : Merci beaucoup.

Tosan : Papa.

Kasan : Maman.

Chikusho : Merde.

Baka : Idiot.

Kudasai : S'il te plaît.

Itadakimasu : Bon appétit.

Voilà fin du blabla

On se retrouve en bas.


Bonne Lecture

Chapitre 2 :

Ayaka se leva de très bonne humeur ce matin-là, tout en sachant qu'elle allait retrouver ses amis dans le Poudlard-Express. Elle alla tranquillement se laver, puis s'habilla d'une chemise bleue roi, d'une jupe plissée noire, portant des longues chaussettes de la même couleur que sa jupe.

Elle était très fière de cette chemise, c'était elle qui l'avait fabriquée de ses mains, elle en avait également confectionnée une pour son Aniki. Durant ses achats sur le Chemin de Traverse, elle avait acheté divers tissus à Madame Guipure, et durant le temps qui lui restait avant la rentrée scolaire, elle avait travaillé sur ces deux vêtements.

Prenant l'habit destiné à son jumeau, elle se dirigea vers sa chambre, toquant quelques coups à la porte avant d'entrer.

« Makoto ? » Appela-t-elle doucement.

Cependant, elle n'obtint aucune réponse. Elle prit donc l'initiative d'entrer, trouvant son jumeau encore endormi sous ses draps. Durant les deux derniers mois, son Aniki n'avait fait que trois cauchemars. Bien sûr, les Malefoy avaient immédiatement fait appel au isha. Mais maintenant qu'il maîtrisait l'Occlumecie, les mauvais rêves étaient moins fréquents.

S'avançant dans la pièce, la jeune fille toucha doucement l'épaule de son jumeau, le secouant légèrement en l'appelant pour le réveiller.

« Kon'nitchiwa Makoto. » Sourit-elle, alors qu'il ouvrait les yeux.

« Kon'nitchiwa Ayaka... »

Il se redressa lentement, son œil valide observant tranquillement sa jumelle.

« Ta chemise est magnifique ma puce, tu l'as achetée cet été ? »

« Non, j'ai seulement acheté le tissu. »

Un grand sourire éclaira le visage de son jumeau.

« Waouh tu l'as faite cet été ! C'est tellement magnifique. Tu es très belle ma puce. »

« Arigato Makoto. »

Elle lui tendit le vêtement. Il l'observa un instant perplexe, le toucha du bout des doigts, puis haussa un sourcil.

« C'est pour moi ? » Demanda-t-il.

« Haï. »

Elle déplia soigneusement la chemise, pour la lui montrer.

« Alors c'était pour ça les mesures. Oh Ayaka... »

Le sourire de la jeune fille se fana. Et si son Aniki n'aimait pas sa création ? Et s'il n'aimait pas la couleur ? Peut-être qu'il préférait porter un kimono ?

Mais Makoto la surprit, en la prenant dans ses bras, la faisant tournoyer dans les airs, le bonheur lisible dans ses perles vertes.

« Arigato ! Arigato Ayaka ! J'adore. Arigato gozaimasu ma puce ! Tu es tellement gentille d'avoir pensé à moi. Je vais être la première personne à porter tes créations. Tu n'imagines pas à quel point ça me fait plaisir. »

Alors finalement il appréciait... le sourire revint sur les lèvres de la jeune fille. Elle était soulagée. Elle avait eu peur qu'il n'en veuille pas. Oh, elle était si heureuse qu'il accepte de porter un habit qu'elle avait créé de ses mains.

Son jumeau attrapa doucement le vêtement, ainsi qu'un pantalon et le nécessaire dans sa malle, puis il fila dans la salle de bain pour prendre une douche, et en ressortit au bout d'une dizaine de minutes, vêtu de la chemise qu'elle lui avait confectionnée. Elle lui allait si bien. Ayaka était très fière. Sa première création était un succès.

Makoto se plaça face au miroir, observant sous toutes les coutures la chemise que sa Aneki lui avait fait.

« Waouh j'adore. Arigato ma puce. » Sourit-il.

« Tu crois que tosan et kasan auraient aimé ? »

« Ils auraient été très fier de toi Aya. »

Quelques larmes de joie perlèrent sur les joues de la jeune fille et Makoto la prit dans ses bras, la serrant tendrement contre lui.

« Je suis fier de toi ma puce, tu vas pouvoir réaliser ton rêve. » Lui souffla-t-il, déposant un baiser dans ses cheveux.

Il la guida jusqu'au lit, la fit s'asseoir, puis attrapa sa brosse pour pouvoir lui coiffer ses beaux et longs cheveux.

« Que dirais-tu de les laisser lâcher aujourd'hui ? » S'enquit Makoto.

« C'est une bonne idée. »

Ayaka le laissa brosser ses longs cheveux noirs de jais, réfléchissant à une remarque que son Aniki lui avait fait.

Makoto avait dit qu'il était heureux qu'elle puisse réaliser son rêve. Oh bien sûr, là n'était pas le problème. Mais la japonaise se demandait bien ce que pouvait être le rêve de son jumeau. Que pouvait-il bien désirer dans la vie ? Être avec Théodore-Kun ? La voir heureuse ? Ou alors avait-il une ambition qu'elle ne connaissait pas ? Serait-il gêné si elle lui posait la question ? Et si au final il n'avait pas de rêve et qu'elle le perturbait ?

« J'ai une question Makoto-San. » Se décida-t-elle enfin.

« Haï. »

« C'est quoi ton rêve ? »

« Mon rêve ? » Il pencha la tête sur le côté. « Je ne sais pas. Je n'y ai jamais réfléchi. Tu sais, te voir heureuse me suffit. Mais je dois t'avouer qu'avoir une famille avec Théodore-Kun, non oublie... je ne sais pas si ce sera possible de toute façon. »

Oh... alors Maioto n'avait pas de rêve... ou du moins, il refusait d'en avoir un... une pointe de tristesse serra le cœur de la jeune fille.

Elle se leva, échangeant les rôles, ses doigts fins passant dans la tignasse de Makoto. La brosse passa en douceur. Narcissa-San leur avait coupé quelques centimètres. Ils aimaient bien les avoir longs, mais pas trop long non plus. Désormais, leur chevelure arrivait au milieu de leur dos. Ce n'était pas plus mal.

Continuant son travail, elle songea à l'accès de colère de son Aniki. Il avait crié sur Lucius-San. Elle n'avait entendu que la fin de la conversation, mais elle avait rapidement fait le lien. Lucius-San était responsable de la réouverture de la Chambre des Secrets. Et Makoto s'était énervé, parce qu'il avait eu peur de la perdre. Alors, bien sûr, sa magie avait répondu à ses émotions et Ayaka avait eu un aperçu de l'évènement survenu à Poudlard, lorsqu'elle s'était retrouvée pétrifiée. Mais ce qui avait choqué le plus la japonaise, c'était l'insulte qu'avait utilisé son jumeau.

Chikusho. Cette insulte signifiait merde. Takehiko avait toujours refusé d'entendre une insulte. Baka faisait exception, ce n'était pas vraiment une insulte et entre eux, c'était affectif. Mais là... peut-être était-ce simplement sous l'effet de la colère. Elle décida de laisser passer, repoussant cela au fond de son esprit.

« Makoto ? » Lança-t-elle, alors qu'elle avait terminé.

Il se tourna vers elle, ses perles vertes affichaient une profonde réflexion. Ah... il réfléchissait sans doute à son rêve...

« Pourrais-tu m'apprendre l'Occlumencie, kudasai. Je ne voudrais pas que Dumbledore-Sama puisse découvrir tes secrets en entrant dans mon esprit. »

« Bien sûr ma puce. Mais d'abord, on va manger. Aujourd'hui, on rentre à Poudlard. »

Elle lui accorda un sourire, puis lui prit la main, le guidant jusqu'à la salle à manger.

« Bonjour, Ayaka-San, Makoto-San. Votre chemise est magnifique. » Salua Narcissa-San.

« Bonjour. Arigato gozaimasu Narcissa-San. » Répondirent les jumeaux d'une même voix.

Ils s'installèrent autour de la table.

« Itadakimasu. »

Les Matsushita entamèrent leur repas.

« J'aimerai vous proposer quelque chose. » Commença Lucius-San, s'attirant les regards des japonais. « Que pensez-vous de passer Noël chez votre père et l'été ici ? »

Ayaka et Makoto échangèrent un regard. C'était une bonne idée. Une tradition qui semblait cool. De plus, Ayaka n'avait pas remis les pieds chez elle depuis leur entrée en première année à Poudlard. Alors y aller une fois par an... Cela lui ferait plaisir et la rapprocherait de ses parents.

« C'est mon idée. » Ajouta Drago-Kun.

« Arigato gozaimasu. » Sourit Ayaka, son cœur battant un peu plus fort face au beau blond.

« C'est une bonne idée. Cela nous convient. » Accorda Makoto.

« Parfait. Nous ferons comme cela dans ce cas là. » Déclara Narcissa-San.

Terminant leur repas, les jumeaux allèrent chercher leurs affaires pour rejoindre Drago-Kun dans le hall. Prêts pour aller à la gare de King's Cross.

Finalement, ils montèrent dans le Poudlard-Express, se trouvant un compartiment, rapidement rejoints par Zabini-San et Greengrasse-San.

Ayaka remarqua que Makoto fixait la porte avec attention. Il attendait Théodore-Kun. Il était impatient. Comme en manque de drogue. Alors c'était ça, être âme sœur ?

La jeune fille avait parcouru quelques livres qu'elle avait trouvé dans la bibliothèque des Malefoy. Chacun décrivait une manière différente, un lien différent. Et elle avait trouvé un passage, qui concernait un lien qui semblait être le même que celui qui unissait son jumeau à Nott-Kun. Un lien qui s'était déclaré après un baiser. Un lien qui avait pour couleur les pupilles des deux sorciers. Exactement le même phénomène décrit par Drago-Kun. Et plus les âmes sœurs se rapprochaient, plus le lien se renforçait. Ils pouvaient ressentir les sentiments de l'un et de l'autre. Mais... elle n'avait rien trouvé au sujet de la mort d'un âme sœur et la douleur ressentit par l'autre. Peut-être que cela n'était jamais arrivé...

Finalement, la porte s'ouvrit, brisant le fil des pensées de la jeune fille. Théodore-Kun entra tranquillement, toujours aussi calme qu'avant.

Ayaka tourna immédiatement ses perles vers son Aniki, voyant un grand sourire s'étaler sur les lèvres du brun.

« Bonjour. » Souffla Théodore-Kun, se penchant pour voler un baiser au japonais. « Très belle chemise. »

« Arigato Théo-Kun, c'est Aya qui l'a créée. » Répondit Makoto.

« Sublime création. Théo-Kun ? »

« Arigato gozaimasu Théodore-Kun. » La jeune fille s'inclina.

« Haï, tu es mon compagnon. »

Ayaka jeta un coup d'œil à Drago-Kun, souhaitant également déposer ses lèvres sur celles parfaites du blondinet. Immédiatement, elle sentit ses joues s'enflammer et elle se tourna vers la fenêtre pour cacher son rougissement.

Le train démarra et Théodore-Kun s'installa près de Makoto.

« Vous êtes au courant pour le prisonnier ? » Demanda Zabini-San, pour engager la conversation.

« Oui, on a lu les journaux. » Répondit Drago-Kun.

« Je pense que Poudlard va prendre des mesures de protections. » Affirma Ayaka.

« Si le directeur protège l'école, comme il protège la pierre philosophale, on est mal. » Marmonna Makoto.

Théodore-Kun lâcha un petit rire.

« Et si le Ministère imposait quelque chose ? » Lança Greengrasse-San.

« On verra bien. » Répliqua Drago-Kun.

« Daphné ta sœur fait son entrée cette année, non ? » S'enquit Théodore-Kun.

« Oui, mais elle ne veut pas traîner avec moi. Vous la rencontrerez vite, c'est une pure Serpentard. »

« Une Greengrasse quoi. » Déclara Zabini-San.

Le voyage se poursuivit tranquillement. Ayaka était appuyée contre la vitre, observant les paysages qui défilaient, pour éviter de dévisager Drago-Kun. Elle ne voulait pas rougir sans cesse ou s'imaginer des choses. Parce qu'elle ne savait pas si le blondinet ressentait les mêmes sentiments qu'elle. Peut-être qu'il la considérait juste comme sa meilleure amie... ?

Elle frissonna alors que le train s'arrêtait brusquement. Pourtant... ils n'étaient pas arrivé à destination...

Le train fut comme parcouru d'une secousse. Comme si quelque chose l'avait percuté. Et la vitre fut rapidement couverte de givre. Du givre ? Que se passait-il ?

« Le train a un problème ? » Lança Zabini-San.

Il se leva, ouvrant la porte de leur compartiment. Mais il sursauta et la referma bien vite. Qu'avait-il pu voir ? Ayaka ne l'avait jamais vu aussi effrayé.

Elle s'apprêtait à se lever pour voir ce qu'il se passait dehors, lorsqu'une ombre se profila derrière la porte. Cette dernière s'ouvrit sur une créature hideuse. Elle amenait le froid avec elle. Toute noire, on ne voyait pas son visage. Elle portait comme une sorte de capuchon qui masquait sa tête. Portant une grande cape noire, elle volait, mais une main apparut. Une main couverte de croûtes...

Ayaka n'eut pas le temps de se poser des questions. Toute sa joie de vivre se volatilisa. Un grand vide l'entoura, lui donnant l'impression d'être seule au monde.

« Ayaka ! »

La brune connaissait cette voix. Kasan... pourquoi l'entendait-elle ?

« Fuis Ayaka ! »

Pourquoi sa mère lui demandait-elle de fuir ?

« Ayaka ! Makoto ! »

La jeune fille se réveilla, quelqu'un lui tapotant les joues. Oh... Drago-Kun... que s'était-il passé ?

Elle ouvrit lentement les yeux, réalisant qu'elle était affalée contre la vitre, seul le soutien de Drago-Kun lui permettait de ne pas tomber.

« Makoto ! » Cria Théodore-Kun.

« Ça va Ayaka ? » Souffla Greengrasse-San.

La japonaise ne répondit pas, son regard glissant vers Théodore-Kun qui se trouvait au sol. Makoto... il allait mal... lui aussi il avait vu quelque chose...

Les yeux de son jumeau s'ouvrirent brusquement, mais il ne bougea pas d'un pouce.

« Hey, ça va ? » S'inquiéta Nott-Kun.

Makoto semblait perdu. Qu'avait-il pu voir ou entendre ? Ayaka essaya de se lever, mais elle était vidée de ses forces et pas que à cause du lien. Quelle était cette créature ?

« Mangez ça. » Ordonna la vox d'un homme.

Ayaka tourna lentement ses perles vers l'entrée du compartiment. Un homme brun aux yeux d'ors, habillé de robes de sorciers rapiécées se tenait face à eux, leur proposant du chocolat.

« Ça vous aidera à aller mieux. »

« Il a raison. J'ai confiance en lui. » Murmura Ayaka, tendant la main pour saisir le morceau qu'il lui tendait.

Elle le mâcha avec lenteur, sentant son corps se réchauffer. Elle se sentait bien mieux, mais son Aniki était toujours mal.

Elle se leva, s'inclinant deux fois, remerciant l'homme. Puis, elle s'agenouilla au sol, saisissant son jumeau, le redressant pour le plaquer contre sa poitrine naissante. Ah... la puberté...

« Je suis là Makoto. Tout va bien, ce n'était pas réel. » Souffla Ayaka.

Après quelques minutes, rassurant son Aniki en lui murmurant des mots doux, Makoto se redressa lentement avec l'aide de sa Aneki, acceptant le chocolat de l'homme.

« Je vais aller voir le conducteur. » Déclara l'adulte, quittant le compartiment.

Lorsque la porte fut refermée, Ayaka aida son jumeau à se réinstaller sur la banquette. Théodore-Kun l'attrapa, le plaçant sur ses genoux et Makoto n'objecta pas. La brune alla se caler contre Drago-Kun.

« Que s'est-il passé ? » Demanda Makoto.

« La créature qui est entrée dans le compartiment, c'était un Détraqueur. On s'est senti tout bizarre. Comme vidé de notre joie. » Commença Zabini-San.

« C'est tout ce qu'on a ressenti, mais vous deux... le Détraqueur s'est approché de Makoto et il s'est évanoui. Tout comme toi 'Yaka. C'est peut-être à cause de votre lien. » Poursuivit Drago-Kun.

« Je... j'ai juste entendu la voix de kasan... ma mère. » Expliqua Ayaka.

Elle haussa un sourcil. Sa mère lui avait dit de fuir. Pourquoi ? C'était un souvenir ? Une hallucination ?

« J'ai... j'ai revu notre père mourir... » Souffla Makoto.

Ayaka sursauta. Son Aniki... il avait revu leur père mourir... alors c'était des souvenirs... mais, Ayaka ne se souvenait pas de sa mère. Oh, bien sûr, elle se souvenait de son sourire, de sa voix, Halloween parce que son père en parlait, mais à part ça... le rappel de son physique n'était dû qu'aux photos que son père avait gardées. Alors pourquoi sa mère lui aurait-elle dit de fuir ?

Elle se mordit la lèvre, se pencha et attrapa la main de Makoto.

« Je suis là. » Souffla la japonaise.

« Arigato. »

Le train redémarra, ne s'arrêtant que lorsqu'il fut arrivé à Pré-au-Lard.


Un nouveau chapitre fini.

C'était plus long !

Qu'avez-vous pensé de ce chapitre ?

Dans le prochain chapitre :

Arrivée à Poudlard.

Makoto est convoqué par notre cher Bubus.

À la semaine prochaine.

Biz

Gin' pour vous servir