Ou comment vous comprenez que Ron a un vrai problème avec les culottes, quel que soit l'univers...
(Ron/Daphné, CQAS)
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Jour 17 : Breeding
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Daphné s'échappa de la cuisine et se réfugia dans le bureau de Bill. La Chaumière aux coquillages fourmillait de monde venus fêter l'anniversaire de mariage de Molly et Arthur Weasley.
La moitié des invités étaient ivres morts sur la plage, l'autre moitié se tenait entre le jardin et la cuisine et seul l'étage était encore vide. Daphné s'adossa au bureau avec un soupir las.
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— Ah ! Je savais bien que tu t'étais réfugiée là !
Ron la rejoignit en deux pas et l'enlaça avec douceur.
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— Tu satures ?
— Un peu.
— Je peux t'aider ?
— Sûrement.
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Daphné agrippa ses bras et les força dans son dos. Elle s'installa plus confortablement sur le bureau et encercla sa taille de ses jambes. Ron se précipita sur sa gorge qu'il embrassa avec férocité, jusqu'à ce que la porte s'ouvre avec fracas.
Daphné relâcha son étroite étreinte, s'excusa et s'éclipsa, frustrée, à la recherche de la salle de bain. A peine en franchit-elle le pas qu'une main repoussait ses cheveux lâchés, et qu'une bouche se posait sur sa nuque.
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— Tu croyais pouvoir t'enfuir ?
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Ron plaqua Daphné durement à la porte et agrippa ses poignets dans son dos. Elle se débattit, avec force, sa poitrine écrasée sur la porte, amusée de sentir l'érection de Ron contre ses fesses.
A chaque pression qu'il exerçait, elle se cambrait davantage, gémissait et lui promettait mille vengeances. Indifférent aux menaces, il embrassa son dos entièrement dénudé et, à l'aide de son pied, l'obligea à écarter les jambes.
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Daphné n'avait aucune raison de résister et obtempéra. Il relâcha ses poignets et flatta, du bout des doigts, ses épaules, sa poitrine puis son ventre avant de se diriger droit vers son sexe qu'il caressa à travers sa robe.
Ron multipliait les mouvements de hanches et, à chaque coup de butoir simulé, Daphné retenait ses gémissements, bouche entrouverte, lascive. Il remonta une main jusqu'à sa gorge dont il s'empara avec fermeté.
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Ron fit glisser deux doigts dans sa bouche qu'elle suça comme si sa vie en dépendait. Il ne résista pas plus longtemps. Il libéra Daphné, s'écarta une seconde, juste le temps de baisser sa culotte au bas de ses cuisses, de remonter sa robe sur ses fesses et, d'un souffle satisfait, s'enfonça en elle jusqu'à la garde.
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Daphné sentait son sexe pris de contractions incontrôlables sans même que Ron n'entame le moindre mouvement. Pourtant, il raffermit sa prise sur son bas ventre et s'évertua à s'enfoncer en elle le plus profondément possible. Quand il claqua ses fesses en mordant son oreille, Daphné vit des étoiles et Ron fut obligé de plaquer sa main sur sa bouche pour l'empêcher de crier.
Il se répandit en elle dans d'ultimes coups de reins.
Vidé, il resta immobile quelques instants. Le temps de faire courir ses mains sur son corps à nouveau. Il se retira, réajusta sa robe, et s'échappa rejoindre les autres invités.
Daphné sentit le sperme de Ron glisser le long de ses cuisses et s'écraser au sol. Son sourire s'agrandit encore. Il était parti avec sa culotte.