Chapitre plein de rebondissements... avec un final inattendu XD
Chapitre 414 : Passé et présent
Dans les vestiaires :
"Hey, Umi Ebi !..." posant la paume sur l'épaule nue de Jamil.
Ce dernier se dérobe. "Je déteste être touché, Floyd."
"Ouais enfin ça dépend par qui, hein !..." lui donnant un coup d'épaule, clin d'oeil.
Le match commence. Floyd compte donner tout ce qu'il a - il faut bien montrer qu'il est le seul mâle alpha dans l'équipe, le seul digne de copuler et se reproduire !
Soudain, une présence familière s'installe à mes côtés, paquet de popcorn à la main, m'en proposant.
La présence, même si elle s'est pacifiée, me donne des frissons lorsque je songe à ce futur chaotique dans lequel elle est parvenue à plonger le monde.
Surpuissant, immortel.
Je glisse les doigts à l'intérieur du paquet. "Hey." souriante. Voilà qui est plus à mon goût que ce qui se démène, avec une belle énergie, sur le terrain.
Nous avons vécu tant de choses.
Même s'il a abandonné le holster garni de son automatique, la menace juvénile n'en demeure pas moins palpable.
Soudain, en plein match, Floyd bondit par-dessus le garde-corps des gradins et monte les rangs à grandes enjambées, véritablement enragé !
Il chope 17 par les cheveux. "TOUCHE PAS MA MEUF, TOI !"
"FLOYD ! STOP !" attrapant son avant-bras, paniquée.
La façon dont 17 a abattu Gero me revient à l'esprit ! Sa décapitation en guise de mise à mort.
"15. Sois gentille et dit au grand lourdaud de lâcher ma tignasse."
C'est dit d'une voix régulière, presque basse. Mais ce qui couve à l'intérieur du pulsateur nucléaire proclame clairement sa rage.
"FLOYD, ARRÊTE !"
Les gradins entiers commencent à s'agiter, s'éloignant de la zone de turbulences.
17 attrape le poignet de Floyd et y exerce une pression suffisante pour le faire lâcher, tout en grimaçant de douleur. Quelque chose cède à l'intérieur du poignet de Floyd.
17 se lève - la différence de taille est notable.
D'un souffle énergétique, 17 propulse le corps de Floyd contre le garde-corps, en contrebas.
Jamil et Ace se précipitent à son secours. "FLOYD !"
17 se rassoit, poursuivant sa dégustation comme si rien ne venait de se jouer.
Floyd me dévisage malgré la douleur, tout bon sentiment envolé. "DÉGAGE ! HORS DE MA VUE !"
Petit sourire de 17, saluant la colère de Floyd par un mouvement de sourcils.
"Tu vas bouder encore longtemps ?" marchant à mes côtés.
"Je ne t'ai rien demandé, 17 !" fulminante.
Il hausse les épaules.
"Tu ne m'as pas laissé piloter ma rupture de façon adéquate !"
"Je te dirai bien que j'en suis désolé... mais hey !..." amusé.
Son éternelle désinvolture...
"Sale gosse." finissant par sourire de la même façon, main allant fourrager ses cheveux sombres.
"Hey, moi je viens juste de te débarrasser d'un boulet." terminant son paquet de popcorn.
"Compte pas sur moi pour t'en remercier." taquine.
Nous nous connaissons si bien !...
"Je suppose que tu es fier de toi ?"
"Assez." s'arrêtant pour se payer une boisson. "En même temps, tu avoueras qu'il était un peu lourd, nan ?"
"Nous nous sommes beaucoup aimés, 17. Ne piétine pas ça."
"OK." d'un ton parfaitement neutre, sirotant à la paille.
Tout ce que nous ingérons est immédiatement converti en énergie disponible.
"Quel est ton but en venant ainsi me trouver, 17 ? Besoin de compagnie ?"
Petit sourire, libérant la paille, doigts venant jouer avec une mèche de mes cheveux. "Peut-être."
"Oui enfin... débarquer comme ça sans prévenir..." reniflant.
"Quoi ? Il faut prendre un ticket maintenant et patienter derrière les autres ?" amusé.
"T'es vraiment insupportable, hein !..." lui rendant son sourire.
Je m'arrête devant la barrière, envisageant l'orée des bois. "Rook ?..."
Il finit par m'apparaître, venant non de la forêt mais du chemin menant au centre équestre - ce qui veut dire qu'il vient du château de Vil - et pas dans n'importe quelle tenue !... Il porte en effet l'uniforme de Night Raven College.
Je l'aborde, laissant mon regard le parcourir. "Huhuhuhu ! Dis-moi, Chasseur."
Petit sourire flatté qui flotte sur ses lèvres. "Dois-je comprendre que je demeure à ton goût, Princesse ?"
"Toujours, Rook. Toujours." l'accompagnant dans le large sentier forestier.
Le costume lui est extrêmement seyant, porté sur des bottines couleur miel Caterpillar, chapeau clair à plume blanche.
Il conservera secret qu'il a passé plusieurs nuits pour le moins passionnées avec Vil. Rook ne mélange guère ces deux relations.
"J'ai très envie de toi, Chasseur." quittant mon étrier pour caresser sa jambe.
Il rit. "On ne m'avait encore jamais fait du pied à cheval, Princesse !..." follement amusé par mes façons. "Tu es si vivifiante !..." réjoui.
"Attends un peu que nous soyons arrivés à destination."
"Tout ce que tu voudras, Princesse." regard brillant, habité par un désir montant.
Devant la cabane, nous quittons nos montures pour nous engouffrer rapidement à l'intérieur.
Là, je l'accule contre la porte, bouche allant prendre possession de la sienne, outrancière, langue assaillant derechef sa cavité. J'y rencontre immédiatement la sienne en réponse.
J'attrape ses poignets pour les plaquer contre le bois, à hauteur de sa tête, corps pressé contre le sien. Quelque part, je sens bien que Vil a repris possession de lui et cela me déplaît autant que cela me dope !
"Prin... Princesse..." follement amusé, entre deux empressements vifs.
Cela ne dérange guère Rook de devenir ma chose. Mais peu s'en faut !...
Il inverse la tendance, me plaquant à mon tour contre la porte, dans un fracas de bois, récupérant ma jambe, paume passée sous ma cuisse pour m'ouvrir à lui, entrejambe commençant à renfler.
Je plonge Rook dans un état indescriptible !
Son chapeau vient de chuter au sol.
"Libère-moi, Rook... je veux... te dévêtir."
Il relâche mes poignets et nous dirige devant le lit.
Je commence par le blason mobile qui garnit son bras gauche, portant l'emblème de Pomefiore. Puis je fais glisser sa veste de ses épaules, la déposant sur le lit.
Il se laisse monter, désir tel qu'il commence à lui donner le vertige !...
Il m'embrasse dans le cou, joueur, avide.
J'ouvre le gilet pour l'en débarrasser puis défais le nœud de cravate avant d'attaquer les boutons de sa chemise blanche.
Bientôt torse nu. Je le parcours des paumes, doigts jouant avec les boutons sensibles, érigés par l'appétit, de ses mamelons pales.
Puis la ceinture avant de m'occuper de l'attache du pantalon, y glissant les mains du côté de ses hanches, pouces sur le devant, caressant son bas-ventre agité.
Sa belle énergique semble vouloir s'échapper du large élastique ruban de son boxer sombre.
"Quelle impatiente, celle-là..." riais-je.
"Tu la mets... dans des états impossibles, Princesse." amusé, ciblant ma bouche pour un baiser étourdissant.
Il me défait en un tour de main puis s'installe sur le lit pour quitter ses bottines, libérant boxer et pantalon pour m'inviter, nus, sur le couvre-lit passé en patchwork.
Ses paupières papillonnent vitesse rapide lorsque le contact s'établit entre nos peaux brûlantes et nos sexes éveillés.
"Prin... Princesse !..." paumes partout sur moi, sens à la dérive.
J'écarte les jambes, glissant vers le bas, l'insérant tant je suis déjà prête.
Il en laisse éclater sa voix dans un élan vocal spectaculaire, corps se tendant d'un seul tenant tant cela lui est délicieux, finissant par rire de lui.
Je caresse son visage et ses cheveux, contractant autour de lui. "Tu es magnifique, Rook." l'admirant.
Nous deux, c'est vraiment quelque chose !
"Ça... va ?..."
"Tu me fais... réellement... imploser, Princesse !..." régalé jusqu'à l'extrémité renflée du sexe profondément engoncé en moi.
Je viens cueillir son cou, pouce glissant le long de ses lèvres. "Tu veux... que je nous termine ?..."
"Je ne... tiendrai pas... très longtemps à ce rythme de toute manière..." sourit, pupilles partant vers le haut, sensations lui prenant tout le corps.
"Mon merveilleux, magnifique poète..." commençant à bouger lentement, langoureusement.
Il s'en pince les lèvres à se les faire violemment rosir, laissant passer une exclamation de pure extase au moment où il leur permet de se réouvrir.
Ses mains enserrent ma taille.
Une poussée vive vers le bas, jambes écartées, l'invite plus loin encore. Son exclamation de voix s'éteint dans un râle profond. Il est proche du non-retour.
Je le fais sortir, m'en saisissant à l'aveugle pour le frotter contre mon sexe et la naissance de mes fesses. Il est suintant.
Sa voix ne régule plus. Il en palpite furieusement, tâchant de reprendre un semblant de contrôle. C'est le geste de trop !... Une première, vigoureuse giclée lui échappe suivie de plusieurs autres, maculant mes fesses, me faisant jouir dans la foulée.
"Cha... sseur... tu peux te préparer... nous n'en sommes qu'à la première... manche..." en souriant de bonheur.
Il vient d'alimenter le poêle et me rejoint sous la couverture. La saison demeure encore fraîche malgré un printemps triomphant.
Je jette la couverture sur ses cuisses et bascule en bas, sexe contre sa cuisse, m'intéressant à la jolie toison fine et dorée qui lui grimpe, délicate - celle de Rhadamanthys demeurait beaucoup plus vivace - jusqu'au nombril.
"Mon premier homme... était blond..."
"Vraiment ?..." en souriant, paupières fermées pour mieux savourer ce qui va suivre, conservant le contact avec ma chevelure.
"Hmm mmm. Un russo-japonais."
Il siffle, amusé. "Tu avais déjà des goûts fort exotiques, Princesse."
"Mais il ne rivalisait en rien avec... mon joli Danois..."
"Me voilà rassuré..." appréciant mes doigts et le jeu de mes lèvres dans sa fine toison claire.
Je fais grimper mon désir en me gâtant contre sa cuisse dont le muscle demeure marqué par la pratique de la monte et de la chasse, montant et descendant dans un rythme lent, plus ou moins appuyé.
Ma langue tournoie dans ses délicats frisottis.
"Comment était-ce ?..."
Il m'interroge du regard.
"... de jouir hors de moi. Etait-ce tout aussi bon qu'à l'intérieur ?"
Petit rire. "Nous, les hommes, apprécions beaucoup nous trouver au chaud et à l'abri à ce moment-là... mais... j'étais tant prêt que tout m'eut été bon." souriant, regard fixé au plafond. "Avec toi, chaque instant, chaque jouissance a un goût incomparable, Princesse."
"Tu es... mon bel amour, Rook..." traçant des cercles de la pointe de la langue sur son pubis, remontant sur son bas-ventre frissonnant.
Nous prenons une petite collation. "Comment se fait-il que tu me sois venu ainsi vêtu, Rook ?"
"Oh, nous avions une petite commémoration sur le campus que nous fréquentions."
"Oh !... Floyd y était ?"
"Mais oui. Nous ne manquons jamais un tel rendez-vous." en français dans le texte.
"Je me demande... ce qui se serait passé si nous avions fréquenté cette école en même temps ?"
"Oh, je pense que... je me serai très vite intéressé à toi... je t'aurai stalké... comme je l'ai fait avec certains étudiants qui suscitaient mon intérêt." se tartinant de confiture une tranche de pain.
"Ah ? Lesquels ?" curieuse.
"Oh... Kingscholar et sa clique, les Leech..."
"Les carnassiers, uh ?"
"Des sujets fascinants." regard brillant, instinct de chasseur éveillé.
Mais me voici rappelée en haut lieu pour une mission importante.
Les Enfers renferment toujours le même goût extrêmement âcre.
Je m'y présente, surplis revêtu, ployant le genou devant sa Seigneurie.
"Léviathan."
"Seigneur Hadès."
"Il y a là une âme qui m'appelle. Qui me prie. Qui me supplie d'intervenir en sa faveur."
"Dois-je aller la cueillir pour vous, Seigneur Hadès ?"
"Oui, Léviathan. Fais-le aux yeux de tous. Qu'ils soient conscients de nous, ces rampants voués à Athéna."
"Bien, Seigneur."
A ma sortie du palais, je suis abordée par Minos en personne.
"Léviathan." me harponnant, faisant chanceler mon pas - Minos n'a jamais prétendu faire dans la dentelle !
"Juge Minos." lui tenant tête.
"Je ne comprends pas pourquoi notre Seigneur s'obstine à te garder dans nos rangs."
"Peut-être parce que je fais convenablement le job. Contrairement à ce que tu peux penser."
"T'entends-tu, Léviathan ? Il s'agit d'un sacerdoce, non d'un... vulgaire job." méprisant.
"Daigne ne pas m'encombrer, Minos, j'ai une mission à remplir."
"Comme te voilà diligente, Léviathan ! C'en est presque risible. Lorsque je te regarde, je me demande comment j'ai pu m'enticher de toi !"
"Tu ressasses trop le passé, Minos." l'écartant de mon chemin.
Il s'y replace derechef, ailes ouvertes.
Je hausse le sourcil. "Souhaiterais-tu m'affronter ?"
Il renifle. "T'imagines-tu à la hauteur, Léviathan ? Dois-je te rappeler ma position de Juge et la tienne de simple Spectre ?"
"Chercherais-tu à te rassurer, Juge Minos ?"
"Effrontée. Comme à ton ordinaire !"
"On ne se refait plus, Juge Minos."
"Tu devrais ramper, Léviathan." mauvais. "Sais-tu à quel point je regrette de t'avoir présenté à notre Seigneur ?!"
"Il ne semble pas du même avis que le tien, Minos, puisqu'il me fait mander régulièrement pour des missions, me préférant à tes frères et toi." sourire de guerre.
"Léviathan, je vais tant t'écarteler que les cieux des Enfers se souviendront à tout jamais de tes cris !" se mettant en position d'attaque, prêt à libérer ses fils les plus meurtriers sur moi.
"MINOS ! Assez." lui ordonne Aiacos.
"Je t'interdis de prendre sa défense, Cos !"
"Oserais-tu offenser notre Seigneur et lui présenter le corps disloqué de Léviathan en lieu et place de l'âme qu'il vient de réclamer ?! Raisonne-toi, Minos !"
Griffon en frémit violemment, rage le consumant sur place. Ses doigts spasment sous l'envie meurtrière de me démembrer !
Je déploie mes ailes.
"Maudite sois-tu, Léviathan !" grimace Minos, artères parfaitement saillantes de chaque côté de sa gorge.
Voilà la cible. Je demeure tapie dans l'ombre. Chaque jour, il lève les bras au ciel et implore notre Seigneur de mettre fin à sa pathétique vie, lui offrant son âme, appelant la délivrance à grands cris.
Dans cet asile, il demeure l'un des seuls à entrevoir la véritable noirceur !
On a beau lui administrer tous les sédatifs et les neuroleptiques disponibles sur le marché de la pharmacie, rien n'y fait. Il s'obstine, tenu par une puissante foi.
Là, au beau milieu de la cour, il réclame une nouvelle fois l'intervention d'Hadès.
Et j'apparais derrière lui, passant mes bras sous les siens, le soulevant du sol d'un bond qui nous propulse dans les cieux, le tout sous des manifestations peu ordinaires pour un phénomène météorologique !
Mes ailes s'ouvrent. Je le laisse glisser de mes bras au sol. La chute lui est vertigineuse. Le corps ? Nul n'en a besoin dans le Royaume d'Hadès. Seule l'âme possède de la vertu !
Minos demeure allongé, goûtant un nectar sucré et fruité qui étanche momentanément son courroux. Il est vêtu d'une toge à longs pans, dont l'un d'eux est ramené sur l'avant-bras, poignets de force en cuir et or, somptueux, sandales de cuir d'agneau lui grimpant jusqu'aux mollets. A n'en point douter, Minos était bel et bien cet ancien et prestigieux roi de Crête ! Dans son labyrinthe sommeillait cet être mi-animal, mi-dieu nommé Minotaure.
Minos a toujours été fin stratège. Un analyste. Voilà pourquoi il est le premier Juge par lequel les âmes passent. Son jugement est d'une justesse effroyable. Mais Minos fait également preuve d'un immense orgueil. Et c'est justement cet orgueil que j'ai blessé. Profondément. Viscéralement.
Je me présente à lui.
Il se redresse. "Hors de mon palais !" m'indiquant la sortie en pointant l'index.
"Je demande une trêve." m'avançant.
"Ton humour est affligeant, Léviathan." grimacé.
"Pour le bien commun."
"Un bien dont tu n'as cure, Léviathan !"
Les servantes en noir se pressent toutes contre le mur, terrifiée par la colère qui vient de s'emparer de l'ancien monarque.
Minos n'est capable de manipuler ses fils qu'une fois son surplis revêtu. Ses doigts l'en démangent tant qu'il pense basculer dans la folie !
"Nous nous sommes aimés, Minos, t'en rappelles-tu ?" arrêtée devant lui.
Dressé sur un coude, il plisse les yeux. "Peu. Et que tu aies la profonde audace de l'évoquer me met hors de moi, Lév..."
Je viens de le chevaucher. "Ordonne à tes servantes de quitter la scène."
Il me fixe, totalement incrédule, avant que son regard bascule sur les concernées.
Elles filent telles des ombres.
Je me saisis de son visage, expression radoucie. "Mon magnifique et intransigeant Roi de Crête."
"Ton premier faux-pas, Léviathan, a été de frayer avec cette crapule de Crevan." pincé. "Notre Seigneur aurait dû te bannir immédiatement de notre Royaume."
"Tu as plaidé en ce sens, j'imagine. Avec la force de persuasion que je te connais, Minos." le dévorant de tous mes yeux.
Il est, il a toujours été le plus magnifique parmi ses frères !
Il se redresse totalement, assis, attrapant mes poignets pour lever mes bras au-dessus de nos têtes.
"Nous ne sommes que passion, Minos."
"Mon désir oscille entre... l'envie de te disjoindre, membre après membre et celui... de rendre gloire à ce que nous étions... jadis."
"Comme bon te plaira."
"C'est un crime que mon Seigneur jamais ne me pardonnerait... alors je consens à te laisser la vie sauve pour le moment, vile créature." bouche se tordant, regard louchant sur mes lèvres, sens férocement éveillés. "Et tu peux te féliciter, Lév', d'être demeurée dans les bonnes grâces de notre Seigneur."
