Alors les aminches, voila une série d'OS semi longs intitulée (la série) "les amis, y'a que ça de vrai". Les couples seront divers, surtout des Drarry, des Snarry et tout ce qui est mâle et a envie de jouer au tétris humain... humhum...
En fait elle était finie, j'avais oubliée de la mettre sur FFN... wala!
ah oui c'est vrai
Disclaimer : Rien est à moi et JKR voulait deux paquetes de pépito pour Draco, mais les pépitos c'est trop bon, alors il est toujours pas à moi, ni les autres, d'ailleurs.
Pairing : HP/DM HG/BZ RW/PP (ouais!)
Warning : relations homosexuelles (nan mais franchement pourquoi vous avez cliqué sur "harry P. et draco M. dans le pairing sinon?) vous êtes considérés comme prévenus.
Rating : K+ (pour UNE fois je fait pas de M)
Type : OS (One Shot)
ENJOY!!
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Les amis y'a que ça de vrai.
Part 1 Le sorcier du placard à balais.
(comprendront les lecteurs des contes de la rue broca)
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POV Harry.
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La poisse est mon amie. Je suis dans un cinq mètres carrés, assis disons en mangeant mes genoux, et face à moi, mon ennemi de toujours, j'ai nommé Draco je-suis-un-chieur-et-je-le-vaut-bien Malefoy.
En plus j'ai faim.
Comment je me suis retrouvé là? Oui parce que forcément faut en avoir de la veine pour se retrouver dans une situation pareille.
Figurez vous que je partait à une heure raisonnable (oui vingt trois heures, c'est raisonnable) vers la tour d'astronomie, pour m'aérer le cerveau, gentiment mis en bouillie par les devoirs de ce pouilleux de Snape.
Je demandais RIEN à personne, moi, tranquille à me balader sans ma cape d'invisibilité (Ron me l'a empruntée pour une raison encore obscure), quand j'entends cette cochonnerie (pour rester poli) de Miss Teigne qui s'approche.
Ni une ni deux, je prend mon courage à deux mains, et je saute dans le placard à dix mètres de moi. Ouf, elle passe sans m'avoir vu.
J'allais sortir quand j'entends Rusard qui se pointe, apparemment le « gentil » matou à quand même flairé quelque chose. Je reste donc bien tranquille dans mon placard éclairé par une ampoule au plafond (je dois avoir une affinité avec eux, vu le temps que je passe dedans depuis mon enfance) et la, c'est le drame.
Je me reçoit un corps en plein dedans, et une main plaque ma bouche (tiens elle sent la cannelle). J'ouvre donc quand même les yeux pour voir... Un Malefoy aussi écœuré que moi de se trouver à une distance aussi proche de sa Némésis.
Jusque là pas de problème, il suffira d'attendre deux minutes que cet [BIP] de Rusard veuille bien bouger son [BIP] de derrière de devant le placard et chacun partira comme si rien ne s'était passé... Mais non.
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- Alors ma beauté, tu as trouvé quelque chose? Un étudiant en faute?
- Mmmwwwreowww.
- Oui ma douce, je vais attendre. Tu as un flair que je n'oserais contredire.
- Mrow.
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Manque plus qu'à trouver de l'eau et creuser des latrines.
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POV Draco.
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Bon elle m'a dit tour d'astronomie à vingt trois heures. J'ai intérêt à faire vite, j'ai perdu mon statut de préfet pour une semaine.
Comme si faire accidentellement tomber le sort de flatula sur Mc Go était un délit VRAIMENT grave.
Bref, me voilà déjà au septième étage. Un couloir, et je prend le grand escalier. Ce serait pas Miss carpette-râpeuse-sournoise Teigne que je vois au tournant?
Elle me tourne le dos, mais elle va vite me flairer! Vite, se cacher! Ha voilà un placard, Merlin merci! Je ferme la porte alors que la caricature de félin se retourne.
PAF.
Ça, c'est le bruit de mon magnifique torse contre le « chose » déjà dans le placard, j'ai nommé Harry je-suis-un-couillon-et-j'en-suis-fier Potter.
Oh non, ce crétin va crier. Pardon chère main.
Je touche donc l'immondice qui me fait face pour éviter que des sons sortent de l'antre à nourriture qu'il ose nommer bouche.
Et la, on se regarde en chiens de faïence.
Rusard ne décolle pas ses fesses de devant le placard, et je ne l'avouerais que devant Voldy qui me ferait des avances en guise de menaces, mais c'est un peu ma faute.
Je savais pourtant bien que cette journée clocherait, d'une manière ou d'une autre.
Mon petit-déjeuné était parfait, thé au miel, une tranche de pain demie nature et deux carrés de chocolat noir. Impeccable. Les cours se sont bien passés, j'ai même pu coller un « je suis un imbécile » dans le dos de la belette.
Repas du midi sans faute, viande maigre et haricots beurre. Oui, je fais attention à ma ligne, pas comme certains qui engloutissent tout ce qu'ils voient à la moindre occasion. Et puis re-cours, bien sûr j'ai brisé la potion de Potty-les-yeux-verts et Snape à fait semblant de ne pas voir.
Et puis dîner. Un potage, cela me suffit amplement. En revanche, Pansy m'a demandé de venir à la tour d'astronomie, paraitrait qu'il y à un truc monstre à voir. Elle doit m'attendre.
Tant pis, elle à l'habitude, je pense.
En attendant, je suis coincé avec ce Tartempion qui à fini de me reluquer avec ses yeux bizarres.
Oui quand c'est aussi vert, c'est forcément bizarre. Bon asseyons nous, il semblerait que ce qui nous sert de concierge ait sortit son coussin, et se soit assit tout contre la porte.
Je jette un sort de silence, qui nous permettra de respirer sans être surpris par matou-la-terreur.
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- Alors, Potty, on traîne dans les couloirs?
- Et alors? Toi aussi, et t'est même plus préfet.
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Potter 1 Malefoy 0. Ça commence bien.
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- Bon alors on à le choix, soit on sort et on subit Rusard, soit on attend.
- Quel choix.
- Crois moi, Potter je préférerais encore me taper un troll plutôt que rester avec toi, mais si je me prend encore une punition, je peux dire adieux à mes avantages avec Snape.
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1 partout. Le balafré s'assoit, c'est à dire recouvre la surface du sol de son « corps ». C'est le quidditch qui le sculpte comme ça?
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- Et moi, je fait le pied de grue?
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Il ramène ses genoux contre lui, je peux poser mon illustre derrière sur le sol fort heureusement propre.
Bon c'est pas la joie, on a mal au dos, alors on décide de croiser nos jambes. J'ai donc un genou entre ceux de Potter, lui de même. Tiens, j'aurais juré qu'il avait tout plein de défauts physiques, mais même pas.
Je remonte mes yeux, sinon je vais me faire griller à reluquer comme ça.
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- Tu allais faire quoi?
- Ça te regarde pas, le balafré.
- Oh ça va, hein! Je voulais juste entamer la conversation.
- Je ne parle pas aux déchets.
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Là, j'ai vu ma vie défiler. Je pense que seuls ces messieurs me comprendront, mais quand on vous donne un coup dans les valseuses et que vous ne pouvez même pas reculer pour amortir, croyez moi, vous voyez des étoiles, et tous les signes du zodiaque défiler.
Seulement, je suis un Malefoy et même si ma seule envie était de me plonger le service trois pièces dans un bain glacé, je rendit immédiatement sa pareil à mon voisin.
Cela dit en passant, j'ai sûrement rendu service à l'humanité.
Nous étions donc comme deux... enfin deux à se tenir l'entre-jambes. Pathétique.
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POV Harry.
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Une heure plus tard.
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Bon maintenant vous savez pourquoi je suis enfermé avec Malefoy, et pourquoi je n'aurais jamais d'enfants.
Je souffre. Vraiment. (je vire ceux qui rigolent).
Après ce malheureux incident (et un bon moment à souffrir en silence), il me propose une trêve, parce que sinon on finira forcément castrés, ou du moins bien amochés.
Faut le dire, c'est marrant de se battre avec lui, de lui fendre la poire, mais dans un couloir normal on peux reculer, esquiver, et se séparer quand on a trop mal.
La on va juste encaisser à fond, se faire bien mal, et après se regarder dans le blanc de l'œil. Youpi. Donc, fair-play, j'accepte.
Du coup on est passés directement à la phase « se regarder dans le blanc de l'oeil » (yeux qu'il à très beaux, cela dit en passant).
Et j'ai toujours faim. Une demi heure passe précédé d'un angelot et toute sa clique.
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- J'ai faim.
- Oublie ta faim, pense à autre chose.
- Comment tu fais pour pas avoir faim? Tu mange rien.
- Je ne mange pas RIEN, Potter, je mange sain.
- Trois salsifis c'est rien pour moi. Ça te dit rien quand tu vois une belle tarte au chocolat, avec des fraises fraîches dessus, et des copeaux de macaron pistache tout par dessus? Nan?
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On entend un gargouillis. Par contre je saurais pas dire si c'était vraiment moi.
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- Oublie Potter, l'invocation de nourriture est infaisable, et on est dans un placard.
- Oui, mais si on transforme une planche en poulet et qu'on le fait rôtir?
- Non seulement je refuse d'éviscérer un poulet ou tout autre animal quel qu'il soit, mais en plus tu ne ferais que manger du bois, Potter. Rôti, certes, mais du bois.
- Bon alors on fait quoi?
- On attend.
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Une demi-heure passe. J'ai mal au dos. J'en ai marre. J'ai écoulé mon stock de « toussotements » différents. Donc je me lance (remarquez que LUI est toujours droit les vêtements bien repassés, et qu'il à pas bougé d'un micromètre depuis tout à l'heure)
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- Tu ressemble à Snape. Aucune imagination, un vrai robot.
- Robot?
- Un truc moldu qui fait les choses à ta place, qui n'a aucun sentiment.
- Bon.. Propose, alors. (il soupire... Nan mais oh!)
- Ah! Je te tiens, tu me tiens!
- Pardon?
- Ouais, c'est un jeu moldu, totalement marrant! Alors on se prend le menton entre deux doigts, on chante « Je te tiens, tu me tiens par la barbichetteuh, le premier de nous deux qui rira aura une tapette! » t la on se regarde droit dans les yeux le premier qui rit se prend une baffe.
- C'est stupide.
- T'as peur de perdre?
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Remarque vu son visage fermé, je doute qu'il rie face à moi. Bon tentons quand même.
Je lui répète la chanson, et on doit se pencher pour se prendre le menton. Il râle pendant un quart d'heure, refuse de se « ridiculiser » tout ça mais au final il s'emmerde autant que moi, et actions vérités c'est bien deux minutes mais notre vie commune on s'en fout alors... Il me prend donc le menton.
Tiens, encore cette odeur cannelle. C'est étrange comme lorsqu'il prend doucement mon visage, pour une raison autre que me frapper, je suis content!
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POV Draco
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Bon, c'est pas que je m'ennuie, mais tant qu'à faire autant passer le temps avec ses jeux de débiles. J'approche ma main, je « chante » ce truc infâme (Si mon père me voyait) et on se regarde.
Une seconde trois douzièmes.
C'est le temps qu'il à fallut à ce crétin pour gonfler ses joues et émettre une sorte de rire étouffé, me couvrant de postillons au passage avant de se gausser comme pas permis.
J'essuie mon visage. (Mais j'évite l'endroit où il m'a prit, je ne sais pas pourquoi).
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- Et donc là, je te baffe? Intéressant ce jeu, au final.
- Oui, mais une petite hein, c'est pas un coup de poing non plus.
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Il ferme les yeux et je prend mon élan (assez court, on est quand même dans un placard). Et la, pif. Je sais pas pourquoi, j'ai pas pu le claquer comme il se doit. Et bizarrement, quand on sent pas le claquement caractéristique, on sent la peau, et il a la peau douce.
Il ne se démonte pas.
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- On recommence? Disons en trois manches pour savoir qui a gagné!
- ok... dis-je las.
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On se reprend le menton, mais la il à un air déterminé.
Je suis perdu dans la sensation chaude sur mon visage. On chante comme deux crétins, et on se regarde.
Ha, j'avais pas prévu ça... Il à descendu ses paupières inférieures de deux doigts, et d'un doigt de l'autre main à remonté son nez... Le tout en tirant la langue.
Je tousse pour ne pas montrer qu'il est bidonnant. Et la, il bouge ses oreilles, je me marre comme un faible que je suis.
Et merde.
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- Ouaiiiis c'est à moi de te baffer!!
- Calme toi Potty, et si tu me fais mal, tu le regretteras...
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J'ai cru qu'il m'avait caressé la joue.
Incroyable, il serait donc capable d'autre chose avec ses main que me frapper, par exemple me caresser... Je retire.
Troisième manche, j'ai juste à loucher pour qu'il se marre (et se cogne la tête au passage). Et la, re-pif. Je crois même que j'ai tâté sa joue. J'ai du rêver.
Non, cauchemarder.
Sur ce, disons qu'on s'entend pas trop mal. Encore un silence lourd et pesant.
Le manque d'air entre en compte et il me propose un autre jeu. À croire qu'il à pas quitté la cour du primaire. Enfin.
Apparemment ça s'appelle « Maya l'abeille » et on doit se claquer les main en rythme sur la chanson. Impossible que je joue à ce truc de gamine. Je refuse, et silence pendant trente nouvelles minutes.
Oui je suis chiant.
Il me regarde à la façon « épagneul abandonné au bord de la route un jour de pluie ».
Bon alors je me fait expliquer les règles. Et là aussi, gage à la fin, au dernier mot, c'est au premier qui pincera l'autre.
C'est complètement débile, mais je voudrais vous y voir dans un placard ridicule éclairé par une ampoule et contorsionnés. On a rien à se dire en plus, dans la logique des choses, sachant que rien ne sortirait d'ici sous peine de mort, j'accepte.
Étrange. Pourquoi il me fixe de ces yeux verts? À regarder je n'avais jamais remarqué qu'il fusse beau. Non je ne lui courrait pas après dans les couloirs, juste pour avoir ma dose de Potter journalière, c'est ridicule.
Et pourquoi j'ai chaud au tibia, mon pied est carrément sous ses fesses. Fermes dites donc! Bon il faut que je me calme, il va m'apprendre la chanson.
De toutes façons, rien ne sortira de ce placard n'est-ce pas? Et Rusard qui se sert un café de l'autre côté!
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POV Harry.
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J'ai glissé pour le baffer, et mon pied est venu sous sa robe, comme le sien masse mes fesses, bougeant dès qu'il se replace. C'est... agréable même si j'ai honte de l'avouer. En plus il à la peau douce et chaude.
C'est bizarre, j'avais toujours pensé qu'elle serait froide comme la glace. Comme le métal de ses yeux.
Je m'égare.
N'empêche, c'est la première fois que je le regarde vraiment, et oui, son visage peux exprimer autre chose que du mépris.
Je peux vous dire que j'ai été choqué de le voir rire, et surtout loucher!! Bon arrêtons de penser à ce pied plus que coupable, et chantons! (déjà une demi heure que je négocie l'affaire, moi!)
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- Bon alors met tes mains en opposées aux miennes. Voilà. On claque une fois comme ça, une autre dans le sens inverse, et deux fois dans nos main.
- C'est débile.
- T'a autre chose?
- ...
- Bon ensuite la chanson, c'est « Maya!! Maya l'abeille!! Winny!! Winny l'ourson!! Attention! Au bout de trois, une abeille, te piquera!! Un, deux trois!! »
- Franchement, Potter c'est vraiment débile.
- Je sais, mais c'est marrant! Roh, me dis pas que t'a jamais joué avec les balais miniatures juste pour déconner?
- ... Je... C'était juste pour voir si...
- Bon c'est partit alors!
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Il à du mal à imprimer les mouvements, mais je m'en fiche. Il à des mains à frisson. Quand je les touches, j'ai une petite bille qui fait la fiesta dans mon ventre. Étrange.
Avant c'était quand je l'apercevait au détour d'un couloir, au moment ou il posait ses yeux anthracites sur moi. Sensation bizarre. Comme si je l'attendais!
Enfin, au bout de trois essais, il comprend, et... Je me fait pincer en premier.
Au téton, le traître. Seconde manche. Cette fois, ma vivacité d'attrapeur fait son office et je chope... son flanc. Je crois qu'il va être marqué car je l'ai bien attrapé! Mais ça à peu d'importance, vu comme il se marre, et moi aussi d'ailleurs.
Pour le coup il me rend mon pincement, et comme je me recule pour éviter, il se jette carrément sur moi, et ça finit en pincements/chatouilles. C'est que je suis sensible, moi!
Par contre, fort heureusement, je peux attribuer ma rougeur aux joues pour le rire. Pas pour sa tête penchée sur moi, les cheveux en pagaille, le visage heureux. Merlin qu'il est beau comme ça!
Il demande le pouce.
Alors je lui accorde, sauf qu'il est allongé sur moi, son visage à deux centimètres du mien. J'ai mes mains sur ses flancs (oui avec la proximité c'est dur de les mettre autre part) et lui s'appuie des deux côtés de ma tête sur ses paumes.
Et ses yeux, ses yeux de foudre son dans les miens.
Je ne vous parle même pas de la position de sa cuisse entre les miennes.
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- Euh Potter, c'est quoi ÇA?
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Il appuie sa hanche contre mon érection, mais n'a pas l'air en colère. Juste interrogatif.
Mon érection? Merlin mais quand est-ce que... OH MON DIEU! Honte à moi. Minute. Et lui, je le sens bien aussi, le petit saligaud.
Sa hanche est contre la mienne, mais à moins qu'il soit monté comme un cheval, c'est bien une bosse que j'ai contre ma hanche!
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- Je crois que... Hum, même chose que toi...
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Il rougit. Draco Malefoy Rougit! C'est si mignon.
Je n'ai pas le temps de le détailler vraiment, puisque son visage se rapproche définitivement, et il m'embrasse. Approfondit.
Je ne me fais pas attendre. Depuis le temps que j'avais envie de le toucher autrement, ce beau démon. Je pense que c'était un peu la même chose pour lui.
Faut avouer que quand on se cherchait dans tout Poudlard pour se dire « Ouais Potter t'es... T'es nul! » « Ouais, eh ben moi Malefoy je... Je te chie! » c'était pas grandement littéraire.
Et on repars dans notre direction, rassurés, et franchement contents d'avoir pu « discuter ».
Mais passons, il a commencé à soulever mon T-shirt et Oh Merlin c'est délicieux comme il caresse bien. Bon rendons lui la pareille à ce petit ange, voyons voir du bout des doigts comment se porte cette entre-jambe. Il à le gémissement le plus excitant que je connaisse...
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Devant la porte.
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- Alléluia.
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Hermione, le visage fermé, déterminé, et surtout très fatigué des joutes verbales entre son meilleur ami et son « pire ennemi » se tenait d'un côté de la porte du placard, adossée, un pied contre le mur.
Elle tend le poing à l'horizontale sans tourner la tête, et la, Blaise, le visage tout aussi fermé que celui de sa voisine, tapote le sien de dessus, et de dessous. Check. Juste devant la porte, Ron, entouré des bras de Pansy tenait sa baguette contre sa gorge pour imiter la voix de Rusard.
C'était pas de la tarte.
Et voilà!! j'éspère que vous avez aimé!!
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Review? (MERCI)
