Luna
Je suis une adolescente à l'orphelinat. J'ai rencontré des amies et amis et j'ai une petite
sœur. Elle est adorable avec moi. Elle était si douée pour le dessin.
Un jour alors que nous étions dans les ruelles de Lausanne, un homme vint proche de nous.
~ Déesse Athéna, je me nomme Keho, je vous ai enfin trouvé.
~ Monsieur, je pense que vous vous trompez. Je ne peux être la déesse de la guerre.
~ Vous l'êtes, vous êtes celle que nous attendons.
Il s'effondra.
Je suis à son chevet. Avec moi il y avait mes amis et ma sœur. J'ai pu demander à un adulte
de confiance de nous permettre de le faire monter dans notre chambre.
Je me suis adressé à Anthony, qui a accepté sans hésitation. Je le considérais comme mon
père.
Puis je m'installe pour être au chevet de ce Keho. Je me suis mise à prier pour lui. Cela
faisait plusieurs heures qu'il était inconscient.
~ Athéna, vous avez veillez sur moi ?
Je fus prise de surprise.
~ Je m'appelle Luna, j'ai veillé sur votre état, vous avez besoin de boire et manger.
~ Il faut que je vous amène au sanctuaire, une guerre sainte approche.
~ Eh si nous faisions un compromis, nous partons demain au sanctuaire, en attendant
reposez-vous monsieur.
~ Merci Athéna.
Je le voyais manger avec appétit et boire, comme si cela faisait longtemps qu'il n'avait plus
bu. Je lui laisse mon lit pour la nuit, il est si mal en point. Je me suis couchée à même le sol.
Pourtant Keho sort du lit et me mets à sa place, il me couvre d'une couverture et se plaça
en se faisant le plus petit possible.
Keho m'avais laissé la matinée pour me préparer, j'allais changer de vie. Je suis sur le point
de m'en aller avec ma petite sœur quand j'entends une voix si familière.
~ Luna, tu crois quand même que tu vas te débarrasser de nous ! On vient avec toi ! Peut
importe ce que l'on va endurer
Je me retourne et trouve devant l'entrée, Sierra, Terrence, Élisa et Anthony.
Je regarde Keho qui sourit.
~ Venez si vous le souhaitez, mais je vous préviens que la vie au sanctuaire c'est pas
toujours amusant.
~ On suivra Luna où qu'elle aille.
~ Bien, le sanctuaire sera heureux d'accueillir de nouveaux chevaliers.
Nos compagnons nous rejoignent et nous partons pour la Grèce. Il ouvrit un portail et tout
devient flou.
À l'atterrissage je me cogne la tête si fort que je perds connaissance.
—
Keho
Lorsque je me retourne je retrouve Athéna et les ses amis par terre inconscients. Ils se sont
frappés si fort la tête.
Je commence à les ramener au temple d'Athéna. Sysyphe vient m'aider à les porter. Il ne
restait que notre déesse. Sisyphe la prend et il s'assure aussitôt qu'elle aille bien. Il regarda,
il sourit aussitôt.
—
Sisyphe
Je regarde notre déesse, elle est magnifique. Mon cœur a commencé à battre à cent à
l'heure. Non, je ne peux avoir de sentiments affectueux pour notre déesse, je suis son
chevalier, rien de plus.
~ Sisyphe ? Tout va bien ?
~ Oh oui oui, je m'assurais juste qu'elle aille bien.
~ Tu la trouve jolie ?
~ Oui, un peu.
~ Plus qu'un peu.
~ Ok oui bon plus qu'un peu.
~ Tu l'aime ?
~ Je ne peux, mais j'aimerai beaucoup.
~ Tu ne peux à cause de cette règle stupide qui nous empêche d'avoir autre relation qu'une
relation amicale avec elle.
~ Oui, mais elle est si jolie et elle a l'air si bienveillante et douce.
~ Dès que tu te sens prêt, dis lui, je suis sûr que ce sera réciproque.
~ Merci Keho.
—
Alia
Je rouvre les yeux après je ne sais combien de temps. Je me précipite dans les bras de ma
sœur, elle qui était encore inconsciente.
Je remarque un homme qui nous regardait. Je ne voyais que Luna, j'en déduis que nous
avons été séparées des autres. Le jeune homme se rapproche de nous. Il nous regarde et
sourit. Il me tend une main que j'accepte avec méfiance.
~ N'ait pas peur, je suis Sisyphe du Sagittaire. Comment est-ce que tu te sens ?
~ J'ai mal à la tête, j'ai l'impression d'avoir une migraine.
~ C'est rien, ne t'inquiète pas.
Il voyait bien que je voulais retourner dans les bras de ma sœur. Il me laisse. Il s'approcha
de nous pose ses mains sur nos têtes. Je peux sentir une douceur nous envelopper. Je
retrouve les bras de Morphée, confortablement installée, avec ma sœur.
—
À suivre
