Et voilà un nouveau chapitre
Il arrive un peu tard, j'ai eu quelques soucis technique avec la plateforme.
Impossible de charger le chapitre.
Mais bref le voici !
WARNING : LEMON
Chapitre 21 : Passion libératrice
[PDV Ariel]
Shanks taquinait ma gorge de coup de langues.
Je sentais les doigts de mes deux pirates s'attacher sur mon soutien-gorge qu'ils défirent avec facilité, Benn ne libéra qu'un de mes poignets à la fois pour défaire mon soutien-gorge. Il aurait été trop dommage que je réussisse à « m'enfuir ».
C'est ainsi que je me retrouvai la poitrine nue et offerte à leur vue.
- Je vous en prie…, soufflé-je.
Chacun prend un sein et le malaxa doucement avant de taquiner mes tétons de leurs doigts. Je fermai fébrilement mes yeux, me mordant les lèvres, leurs caresses chargées d'haki étaient bien trop efficaces ! Jamais je n'avais ressenti de telles sensations, surtout qu'ils s'y mettaient à deux. Je poussais un autre cri en sentant leurs bouches sur mes tétons, je devenais fébrile, c'était si bon… ma respiration se fait sourde, non pas déjà…. Je sens venir un orgasme et il me frappe avec violence, j'ai la tête qui tourne et je peine pendant quelques secondes à retrouver mes esprits.
Quand je reprends plus ou moins conscience de ce qui se passe, je peux sentir leurs doigts se diriger vers mes hanches et faire glisser ma culotte afin de libérer mon intimité. Ils la défirent avec facilité et je retiens mon souffle :
- Voulez-vous continuer ? Exigez doucement la voix de Benn Beckman contre mon oreille.
- Oui…, répondis-je sans hésiter. Continuez… de prendre soin… de moi… s'il vous plait.
J'avais un peu le souffle court, pas encore complètement remise de ma jouissance.
- Bien entendu, souffla Benn.
- Juste…
Je les sens se tendre et se stopper dans leurs mouvements, tournant leurs regards vers moi :
- Je ne suis… pas prête pour être prise par deux hommes en même temps.
- Très bien, c'est noté, sourit Shanks de manière avenante en caressant mon visage qui perlait de sueur.
- Merci, soufflé-je en souriant faiblement.
Ils m'embrassèrent tous deux sur mes joues, me surprenant :
- Vous êtes si mignonne, souffla Benn tendrement.
- N'est-ce pas… c'est pour mieux m'enfuir.
J'essaye de me redresser et évidemment ils me bloquent et me plaquent contre le lit, non sans rire avec moi de la reprise de notre jeu :
- Ne baissons pas notre garde Shanks, cette petite est très futée, s'exclama Benn en tirant ses lèvres dans un sourire.
- Oui… je crois que nous devrions reprendre notre torture ce n'était pas suffisant, admet Shanks amusé.
- Non pas ça ! M'exclamai-je de façon peu concluante à cause des rires que je lâchai sur la fin de mon supplice.
Shanks pose ses doigts sur mon clitoris et je sens les doigts de Benn s'infiltrer dans mon intimité, oh ce n'est pas vrai qu'ils se coordonnent avant de libérer leur haki sur moi.
Ils libèrent le fluide perceptif et ils agitent leurs doigts habiles, je me tortille, je ne lutte pas et je crie mon plaisir. Je sens les lèvres de Benn dans mon cou, pendant que Shanks embrasse ma poitrine.
Ah j'ai chaud ! Je tente de me libérer, mais Benn me tient bien mes poignets :
- C'est inutile de lutter, susurra Benn contre mon oreille de sa voix grave et chaude.
- Libérez-moi ! Gémis-je en me tordant de plaisir.
- On va vous libérer de la passion qui brûle votre corps, on vous le promet, rétorqua Shanks faisant fi de ne pas comprendre tout en parsemant ma peau de baisers fiévreux.
- Non… libérez-moi mes bras…, haletai-je.
- Pourquoi faire ? Vos bras ne vous sont pas utiles, sourit Shanks avec un regard enflammé.
Il se rapproche de mon visage et se penche vers moi, ses yeux regardent alternativement mes lèvres, puis mes yeux. Oh je comprends, il me demande silencieusement s'il peut m'embrasser :
- N'y pense même pas, je vous interdis de m'embrasser, rétorquai-je de façon la plus hautaine possible.
Je les entends briller, ce jeu les amuse énormément et moi aussi je dois dire, car je peine pour ne pas rire avec eux :
- Oh que si, vous dites bien trop de bêtise je dois vous faire taire, répliqua Shanks qui se voulait menaçant alors que son regard n'était qu'amusement et remplit de complicité.
Il capture mes lèvres, je gémis faiblement, je me sens bien à cet instant, aussi je réponds à son baiser, enfin j'essaye, car je n'ai que peu d'expérience pour embrasser. Mais les soupirs de Shanks semblent m'indiquer que cela lui plait. Moi en tout cas je trouve qu'il embrasse vraiment bien.
Hum… je sens que la main de Benn qui tenait mes poignets glisser sur la peau de mes bras, dans des effleurements particulièrement délicats qui me font défaillir. Je gémis de plus belle entre les lèvres de Shanks.
Je laisse mes bras au-dessus de ma tête, je veux que m'offrir à ces deux hommes et ils le comprennent parfaitement. Je m'arque contre leurs corps chauds et musclés.
Shanks se sépare de mes lèvres, j'ai le souffle court et je suis toute fébrile, Benn tourne mon visage vers lui et il se penche vers moi, j'entre mes lèvres et me laisse aller à son baiser. Hum il est tellement plus doux et tendre que Shanks, qui déjà était doux. C'est un baiser qui me parait presque amoureux, en même temps venant d'un homme qui aime les femmes ce n'est pas si étonnant j'imagine.
Je sens des doigts dans mes cheveux, Benn me les papouille c'est tellement agréable. Mon cœur bat en rythme et les sensations de plaisir que j'ai dans tout le corps… c'est si bon… si divin…
- Ah…, gémis-je.
Benn et Shanks embrassent un côté de ma gorge que j'offre quand je penche ma tête en arrière. Oh c'est de la torture ! Surtout qu'ils sont très actifs sur mon bas ventre qui est en feu ! Je n'en peux plus :
- Je vous en prie…, suppliai-je réellement cette fois.
J'en veux plus, je les veux en moi :
- Je vous en prie… j'ai… j'ai besoin… de vous…, haletai-je en les regardant avec mes yeux qui je l'imagine sont chargés de désir.
Je les sens s'écarter de moi, Benn s'allonge sur le dos, à côté de moi :
- Venez me rejoindre, me souffle t'il.
Je me relève doucement, Benn me prend par les hanches et me soulève avec facilité pour me poser sur lui, je le surplombe et je sens ses doigts glisser sur mon dos :
- Venez, répéta t'il.
Avec ses mains il appui sur mon dos et m'invite à m'allonger sur lui, je sens ses doigts titiller la peau de mon dos, ce qui me procure des frissons de plaisir. Il pose une de ses mains sur ma tête et me colle contre son torse chaud. Je sens que Shanks prend appui contre moi :
- Vous êtes prête ? J'exige Shanks.
- Oui, soufflai-je en lui jetant un coup d'œil, est-ce que vous pouvez ne pas utiliser de haki, au moins au début, j'aimerai ressentir les choses normalement.
- Bien sûr, tout ce que vous voudrez, vous êtes ici notre reine, souffla Benn en embrassant mes cheveux.
- Merci.
Je sens d'un coup qu'ils cessent d'utiliser du haki sur moi.
Benn me masse ma tête d'une main et caresse mon dos de l'autre, je ferme les yeux pour m'abandonner pleinement aux sensations de plaisir. Et c'est agréable de sentir leurs grandes mains chaudes sans artifices.
Je sens mon cœur s'emballer quand je sens le pénis de Shanks aux portes de mon intimité, je le sens me pénétrer avec lenteur et douceur. Je me mordille les lèvres en rougissant de plaisir.
Je vois la main de Shanks qui prend appui sur le matelas, aussi je glisse ma main droite sous la sienne, il comprend et entremêle nos doigts avant de serrer ma main doucement et fermement.
Ma main gauche par contre, je la glisse dans celle de Benn avant de pousser un cri de plaisir en sentant le premier coup de reins de Shanks.
Shanks dépose ses lèvres sur mon dos qu'il me taquine à coup de baisers ou de coup de langue bien placé, tandis que Benn l'effleure de sa main de libre. Je resserre fébrilement mes doigts sur leurs mains, pendant qu'ils prennent soin de moi. Je sens qu'eux répondent aussi et serrent leurs mains autour des miennes.
Je pousse de ces vocalises, on n'entend que moi ou presque car je sens les souffles lourds de Shanks qui va et vient en moi, Benn lui n'est pas autant en peine.
Je sue à grosses gouttes, je colle mon front contre le torse de Benn, et d'un coup je crie plus fort, Shanks use de son haki sur moi. Je ne vais jamais survivre, je me tends en sentant la langue de Shanks glisser tout le long de ma colonne vertébrale :
- Shanks ! Criai-je incapable de me retenir.
Il lâche ma main et je sens qu'il s'infiltre sa main vers mon intimité avant de me plaquer contre le torse de Benn avec force en s'allongeant pleinement contre mon dos :
- Vous avez vraiment de belles vocalises, susurre Shanks.
Il me dit ça juste avant de m'achever en titillant mon clitoris, je suis bloquée coincée entre eux deux, j'attrape les draps de ma main de libre et je jouis sans retenu. Shanks continue de me donner des coups de rein m'arrachant je ne sais combien de cris. En tout cas il arrive à moi faire jouir une nouvelle fois, puis une troisième fois avant qu'il finisse enfin par s'écrouler sur mon dos dans un orgasme qui lui arrache un cri rauque.
Je me sens écrasée par le poids de Shanks, ce qui est loin d'être désagréable, tout comme sa respiration frénétique qui résonne dans mes oreilles.
Je glisse ma main de libre dans les cheveux de Shanks et je masse doucement sa tête, pour le remerciement de ces instants de bonheur.
Je suis encore un peu sonnée quand Shanks s'écarte de moi et je gémis plaintif quand il se retire de moi, ce qui provoque un léger rire de sa part.
- Ne vous en faites pas nous n'avons pas fini de prendre soin de vous, murmura Shanks amusé.
- J'espère bien…, haletai-je.
Je me redresse et je me sens vaciller sur ma gauche, mais Benn me retient avec fermeté et douceur :
- Doucement, ne soyez pas pressée charmante enfant, nous avons tout notre temps, me lance Benn en souriant.
- Hum… votre faute… devait pas être si bons amants, rétorquai-je en souriant.
- Hum… vous savez parler aux hommes, rit Benn en dessinant mes lèvres de son pouce.
- Allez venez me faire un câlin, s'exclama Shanks.
Il s'était installé comme Benn tout à l'heure, je comprenais qu'on allait adopter la même position, juste que ces messieurs allaient inverser leur place.
- Oh… je ne refuse jamais un câlin, j'adore ça, avouai-je.
Je l'enjambe et le surplombe l'admirant un instant avant de m'allonger contre lui :
- J'adore les femmes câlines, dit-il en déposant un baiser sur mes cheveux.
Je souris et fermai les yeux. J'entends Benn qui fait son dernier vêtement dans un froissement de tissu, avant qu'il s'installe contre moi :
- Si vous le permettez je préfère changer légèrement la position, lancement Benn, vous voulez bien vous mettre sur les côtés ?
Je crois qu'il veut la position des cuillères, cela ne me dérange pas, c'est une position que je trouve très intime, pleine de proximité et de sensualité.
Je me mets sur le côté, Shanks en fait de même et me fait face, puis Benn se glisse contre mon dos :
- C'est parfait, lance Benn ravi.
Je vis ses grands bras forts surgir de mon dos, il m'enlaça, prenant un sein d'une main et de l'autre il taquina mon clitoris. Le regard de Shanks se chargea de désir, à la vue d'une telle vision où il me voit être caressé par un autre.
Je pousse un cri de surprise et de plaisir mêlé quand Been me pénètre, même si ce dernier est étouffé par le baiser de Benn, qui vient tout juste de capturer mes lèvres.
Benn est clairement plus tendre et délicat, ses va et vient sont remplit de douceur et de passion retenue. J'enveloppe son cou de mes bras, caressant sa nuque et le haut de son dos :
- Votre corps est vraiment fait pour recevoir la douceur et la passion, susurra Benn en stoppant un instant notre baiser.
- Alors embrassez-moi, ne vous arrêtez pas…, soufflai-je.
- Vos désirs sont des ordres belle Ariel.
Il capture mes lèvres et mène ce délicieux ballet, tout en caressant mon visage du bout de ses doigts. Je jette un léger coup d'œil à Shanks, il doit se sentir un peu seul, mais je rougis quand je le vois se masturber tout en nous regardant. Et vue le regard et le sourire qu'il me lance il est clairement en train de prendre son pied. J'imagine que ça a un côté très grisant de n'être que spectateur.
Je ferme les yeux et je profite, me laissant aller à ce moment plus tendre et calme, bien qu'intense, car Benn commence à devenir très insistant sur mon entrejambe. Je me crispe, serrant ses cheveux entre mes doigts.
Benn se sépare de mes lèvres et me regarde, j'ai le souffle court. Il tend une principale, je la suis du regard, il fait signe à Shanks de s'approcher. Je sens ce dernier venir vers nous, je pose une de mes mains sur le visage de Shanks qui l'embrasse du coin de ses lèvres :
- Vous avez de petites mains toutes douces, sourit Shanks.
- C'est pour procurer des caresses plus délicates, rétorquai-je d'une voix chargée de désir.
Mes deux amants rient de ma réponse et je glosse avec eux :
- Vous avez bien raison, la tendresse et la douceur d'une femme n'ont pas d'égal, chuchota Benn au creux de mon oreille.
Un doux frisson me caressant parcourt quand j'entends sa voix grave résonner :
- Cela étant… que préférez-vous ? La douceur et la tendresse d'un homme ou bien la passion et l'ardeur d'un homme ? J'exige Benn.
- Hum… j'aime les deux…
- Cela je m'en doutais, je vous demande comment voulez-vous que je continue de vous faire du bien.
- Oh, fis-je simplement en rougissant comprenant. C'est pour utiliser le haki ?
- Précisément, répondit Benn en souriant.
- Alors… soyez tout en douceur et au fils du temps rajoutez de la passion, répondis-je faiblement.
- J'aurai dû me douter d'une réponse comme ça, très bien ma Reine, je vais vous faire vibrer de bonheur comme vous le désirez.
Je sens la deuxième main de Benn prendre mon second sein, il pétrit avec précaution ma poitrine, ça en est relaxant. Je gémis en sentant la main de Shanks taquiner mon entrejambe.
Je regarde Shanks, laissant mes doigts le parcourir avec hésitation, ne sachant trop comment m'y prendre :
- Dites-moi… je ne veux pas faire que recevoir, soufflé-je, quel genre de caresses vous aimez recevoir ? Exigez-je timidement.
- Hum… vous êtes mignonne, sourit Shanks. Vous pouvez disposer de nous comme bon vous semble, faites ce qui vous tresse.
- Je préfèrerai être guidé, j'ai peu d'expérience, avouai-je un peu honteusement.
- Oh… vous vous débrouillez très bien mademoiselle, au contraire, me rassura Shanks.
- Je suis du même avis, ne vous mettez pas la pression, allez-y à votre rythme, vous pouvez faire ce qu'il vous plait avec nous, renchérit Benn.
- Il sera très facile de nous séduire, donc on préfère ne pas vous guider, on aurait trop peur de vous mettre une pression, sauf si vraiment vous insistez. Juste laissez-vous guider par vos envies et vous saurez assez vite nos préférences au vue des réactions qu'on aura.
Je vois, bon en un sens c'est vrai que ce n'est pas plus mal d'avoir le contrôle sur ça. Ce n'était pas une mauvaise chose, mais j'avais juste peur qu'ils soient en manque d'attention à cause de mon inexpérience.
Mais c'était le moment ou jamais de tester des choses, comme avec Crocodile ça avait été assez pauvre.
Cependant j'avais un peu de mal à gérer deux hommes, c'était si compliqué d'avoir deux mains qui s'occupent de deux personnes différentes. Je décide de me concentrer sur une personne à la fois pour l'instant. Mais me sentais obligée de préciser cet état de fait, je ne voulais pas qu'il pense que je snobais l'un d'eux :
- Ne m'en veuillez pas si… si je me focalise sur une personne à la fois.
- Oh Benn cette petite est trop chou ! Il va falloir qu'on redouble d'effort pour rassurer cette petite. Ma chère Ariel, ne vous at-on pas dit que vous disposez de nous comme bon vous semblez ? Me dit doucement Shanks contre mon oreille de sa voix caressante.
- Au risque de nous répéter, allez-y à votre rythme ma belle Ariel, faites comme vous le ressentir et de la manière qui vous parait la plus simple. En tout cas, votre façon si délicate de faire attention à notre ressentit est juste adorable et charmant. En d'autres termes juste cela nous provoque beaucoup de plaisir, pas physique, mais cérébral, c'est grisant et délectable, continue Benn.
Je rougis, avec un sourire gêné, je ne pensais pas qu'ils apprécieraient au point d'éprouver un plaisir cérébral. Mais clairement je ne pouvais nier le fait qu'ils avaient l'air tout sauf frustré, ils appréciaient chaque seconde avec moi, cela me mit vraiment en confiance.
Je décide donc de me lancer et de passer mes deux soutiens-gorge autour de la taille de Shanks, l'attirant un peu plus à moi. Je le vis étirer ses lèvres dans un sourire, ravi que je vois plus de proximité avec lui. Je plongeai timidement mon regard dans ses yeux tout en caressant son grand dos, l'explorant, dessinant chacun de ses muscles du bout des doigts. Shanks me regarda avec des yeux empreint de désir et je le sentis coller son front contre le mien, se penchant vers moi, ses cheveux effleurèrent mon visage et je sentis son nez effleurer le mien. Quant à nos lèvres, elles étaient sur le point de se toucher.
Alors je ne réfléchis plus, je remontai mes mains vers sa nue et pressa sa tête pour sceller nos lèvres. Pour toute réponse Shanks taquina plus intensément mon entrejambe, m'arrachant des gémissements. Je l'enserrai dans mes bras, le caressant de manière plus insistante, possessive et désordonnée à cause du plaisir qui montait.
Benn se fit plus entreprenant sur ma poitrine et je l'entendais soupirer contre mon oreille, est-ce que me voir agir ainsi l'excitait lui aussi ? J'avais envie d'y croire.
Benn m'attira fermement contre lui et Shanks se colla à moi, je gémis de contentement de les sentir si près de moi, d'être complètement serrée contre eux. Je bascule ma tête en arrière, la reposant contre le torse de Benn, Shanks baisa ma gorge offerte et je pressai sa tête contre moi :
- Ne t'arrêtes pas… Shanks… Benn…, soupirai-je.
Je sens Benn taquiner mon oreille gauche de sa langue, m'arrachant un hoquet de surprise, je commençai à avoir chaud, ils faisaient monter la température comme promis. Je glissai une de mes mains dans les cheveux de Benn et doucement je pressai sa tête et pencha ma nue, le guidant vers mon épaule gauche. Il l'embrassa d'une pluie de baisers chauds et tendres, pinçant doucement ma peau, je m'empouperai de plaisir et dans le même temps j'attirai Shanks à moi. Je pose mes lèvres sur le cou de Shanks, que j'embrassai doucement, je crois sentir sa peau se tendre à mon contact, l'idée même que je sois à l'origine de cette réaction m'excitai et me motivai plus encore.
L'odeur de la peau de Shanks m'enivrait et j'avais bien envie de la savourer, alors j'ouvris doucement la bouche et donna de petits coups de langue. Pour toute réponse je sens Shanks se tendre et user de haki sur mon bas ventre, j'ouvre les yeux en grand, les écarquillant, je m'arquai et je criai mon plaisir.
Benn relève ma jambe gauche d'une de ses mains et me la caresse de toute la longueur, je sens mon corps tressauter sous ses taquineries. Bientôt je sens mon corps trembler quand Benn joua lui aussi avec mon clitoris du bout de ses doigts chargés de haki. Ils se coordonnaient tous les deux sur mon entrejambe. Je ne savais pas comment ils faisaient ça, mais le résultat était que j'étouffai, je gesticulai contre eux en criant mon bonheur. Benn me bloqua de son bras de libre en m'enserrant contre leurs corps brûlants.
Comme si ça ne suffisait pas, leurs bouches affamées capturèrent un des tétons pour augmenter ma charge de plaisir. Mon corps devenait dangereusement un vrai brasier, sous les coups de rênes de Benn qui devenaient de plus en plus délicieux et puissants. Je n'arrive plus à réfléchir et à penser, tout ce que j'arrive à faire, c'était de répéter leurs noms et des mariées de mots :
- Benn… Shanks… hum… pi… pitié… c'est si bon…
J'essayai de lutter, avec peine pour retenir ma jouissance, mais c'était tellement difficile :
- Benn… Shanks… venez… pitié… venez, m'écriai-je les appelants toute fébrile et tremblante.
Les coups de reins de Benn se firent plus intenses, tout comme la décharge de Haki qui exacerba mes sens, je poussai un long et délicieux cri de jouissance, j'entendis des cris de mes amants. J'étais au bord de l'évanouissement, complètement sonnée, incapable de bouger, chaque effleurement me provoquait des décharges de plaisirs. Je crois que j'étais à fleur de peau face à l'exposition prolongée du fluide.
Mes deux amants en profitèrent, ils ne faisaient que me caresser mon corps devenu si sensible, je me débattais mollement contre eux, tant j'étais sans force. Je criai faiblement, je n'avais plus de voix, je n'étais plus que plaisir et volupté, ce moment de pure plénitude est merveilleux.
Lentement leurs caresses s'espacèrent et peu à peu, je commençai à retrouver un peu de vigueur :
- Comment te sens-tu belle Ariel ? J'exige Benn.
- Vidée…, soufflé-je euphorique.
- C'est une bonne fatigue, rit Shanks.
- Vous avez retenu la raison, les pirates n'ont aucun moral. Vous êtes si méchants….
Ils rient et je rigolai avec eux un petit moment.
J'essaye de me redresser pour me mettre dans une position plus confortable, mais mes soutiens-gorge sont cotonneux comme ce n'est pas permis, je m'effondre contre mon lit.
- Bande de vicieux, vous avez dit que vous me rendriez incapable d'utiliser mes jambes pour courir, pas mes bras.
- Comme tu l'as dit plus tôt nous sommes sans aucune morale, a répondu Shanks en riant aux éclats.
Ils m'aidèrent à m'allonger sur le dos, entourée de ces deux hommes qui restèrent sur le côté à me regarder le sourire aux lèvres. Benn captura entre ses doigts une de mes mèches rousses et l'embrassa, cette vision me rend toute chose.
On ne disait rien, juste on se regardait tous les trois, c'était silencieux, mais un silence calme, apaisant, enveloppant. Je pouvais lire dans leurs yeux toute la douceur, l'amusement et la bienveillance qu'ils n'avaient eu de cesser de me transmettre. Mais je voyais aussi des salutations, appréciateurs quand leurs yeux contemplèrent mon corps nu, me faisant sentir belle et désirable.
Je sens Benn taquiner mes cheveux avant de se pencher vers moi, je le regarde interrogateur, il ralentit avant de poser ses lèvres sur les miennes, je fermai les yeux et on s'embrassait pendant de longues secondes avant de se séparer. Shanks prit le relais et m'embrassa à son tour, c'était bon et doux… c'était parfait. Il se sépare de moi en me caressant le visage….
- Vous êtes… tellement beaux…, soufflé-je.
Ilsnt sourient et se firent encore plus tendre et amoureux dans leurs caresses :
- C'est dit avec tant de sincérité, merci belle Ariel. Laisse-moi te dire que tu es une femme magnifique, me chuchota Benn.
- Oh ça oui, magnifique… et délicieusement sublime aussi, a ajouté Shanks.
Chacun m'enlaça par la taille et leurs têtes reposèrent doucement de part et d'autre de mon cou. J'étais aux anges. Je glissais mes mains dans leurs cheveux les taquinant, pendant qu'ils s'amusaient à caresser mes bras ou mon ventre.
On resta ainsi sans rien dire, c'était un silence plaisant, mais soudain une, non deux questions s'emparèrent de moi :
- Je…, soufflé-je.
- Oui ? Exigez Benn.
- J'ai… enfin… je…, commençai-je en bégayant.
Je rougis confondre, sous les regards attentifs et amusés de mes deux amants qui se redressèrent légèrement sur leurs coudes.
- Que souhaites-tu dire ? Souffla Shanks calmement non sans sourire.
- J'ai… deux… questions, arrivai-je enfin à formuler.
- Dis-nous, nous t'écoutons, m'encouragea Shanks en caressant ma joue tendrement.
- Et bien… est-ce que… est-ce que… demain… je vais me réveiller seule… ou bien… vous… vous…
Je n'osais finir ma phrase.
- Il serait peu galant et délicat de partir comme des voleurs, à moins d'une urgence, nous ne partirons pas à la sauvette, maintenant si tu souhaites qu'on parte nous pouvons partir, me répondit Benn avec calme et sans la moindre once de jugement.
- Non ! Je… enfin… je préfère… que vous… restiez… enfin… si possible… si vous le voulez… bien sûr, bégayai-je en me sentant devenir écarlate devant mon aveu.
- Alors compte sur nous pour être là à ton réveil Princesse, rétorqua Shanks bien trop heureux. D'ailleurs quel genre de réveil préfère-tu ? Tu préfères qu'on te laisse dormir ? Ou bien préfères-tu être réveillée par des baisers ?
- Ou bien des caresses ? Cela peut être aussi… de te sortir de ta léthargie par des vas et vient lents et langoureux, continue Benn avec une voix plus chaude et sulfureuse.
Je rougis vivement face à ces propositions et invitations assez explicites :
- Heu… je ne sais pas vraiment…, je crois… que j'apprécierai toutes les options….
Je rougis car j'avouai suggère que je n'étais pas opposée à un réveil où je les sentirai se mouvoir en moi, l'idée me plaisait même, mais j'étais un peu trop pudique pour le dire ouvertement :
- En tout cas… j'ai apprécié une fois être réveillée par un massage et des affections, continuai-je en butant sur les mots.
- Massage hein ? Hum ça sonne comme une délicieuse invitation à s'occuper de ton corps, susurra Shanks.
- Peut-être, begayai-je de plus belle.
- Pour moi aussi ça sonne comme une douce invitation à te cajoler. Mais tu avais une deuxième question qu'elle est-elle ?
- Ah… oui… je… comment dire, commençai confondre et nerveux.
- Ariel, chut… détends-toi, dis-nous sans crainte ta question, chuchota Benn.
Il caresse mon visage et je me sens me détendre, je ne sais pas si ce geste me rassure ou si c'est le fluide. Dans tous les cas j'ai moins peur :
- Vous… vous souvenez quand… quand… je vous ai fuis à la fête ?
Ils hochèrent la tête, mais je voyais à leurs regards qu'ils étaient interrogateurs, ayant du mal à comprendre où je voulais en venir :
- J'ai fuis… car… je… je n'assumai pas… mes désirs… je me sentais… comme une fille facile… est-ce que… vous pensez cela de moi ? Demandai-je d'une petite voix anxieuse.
J'osais à peine confronter leurs salutations, mais quand je croisais leurs yeux, je lus l'étonnement le plus absolu et ils me prirent dans leurs bras tendrement, comme pour me réconforter :
- Jamaïs. A aucun moment ce terme nous a traversé l'esprit. Tu n'es pas une fille facile. Tu es une femme avec des désirs, comme Shanks, comme moi, et comme un tas d'autres personnes. Dis-moi qui a osé dire ça de toi que je lui refasse le portrait, traiter ainsi une femme est impardonnable en soi, mais quand elle est aussi adorable que toi, c'est intolérable.
- Personne, c'est moi qui m'inquiétais, qui me sentait comme telle, répondis-je précipitamment en voyant Benn s'irriter en pensant que quelqu'un m'avait qualifié de la sorte.
- Prends confiance en toi Ariel, soit aussi douce et gentille avec toi que tu l'es avec les autres. Tu es juste une femme avec des désirs. Et si toi tu es une fille facile, alors nous sommes des hommes sacrément faciles. A mes yeux tu es juste une belle femme que j'ai envie de choyer et de faire crier de plaisir, pas une personne que je veux bénir et dénigrer, poursuivit Shanks.
- Quelle tristesse de t'entendre parler de toi en ces termes. Tu es belle Ariel et pas que physiquement, tu es une belle personne, sois en certaine, continue Benn en plantant son regard dans le mien.
- Mer… merci, articulai-je en tortillant mes doigts nerveux.
- Hum… mets-toi sur le ventre Ariel, m'ordonna Benn.
-Pourquoi ? Exigez-je.
- Faut que je te détende de toute urgence, tu es de nature anxieuse et stressée, nous avons posé tes questions t'a rendu toute raide, donc mets-toi sur le ventre qu'on puisse te procurer un massage relaxant, me réponds Benn d'une voix chaude et rassurante.
- Cela me parait nécessaire, allez nous laisser-nous occuper de toi beauté fatale, renchérit Shanks en me lançant un clin d'œil.
Je rougis, j'essayai de m'habituer à ces qualificatifs, mais j'avais toujours le souvenir de mon corps d'origine, de tout le dégoût, la peur et les moqueries que ça provoquait. Cela me faisait plaisir de les entendre me dire des termes si élogieux, même si j'avais l'impression aussi de pas être honnête avec les gens autour de moi en ne révélant pas que je m'étais réincarnée dans un corps différent. Je me sentais comme une menteuse et aussi… j'avais l'impression de ne pas mériter ces termes, par moment j'étais partagé entre le bonheur et la tristesse :
- Qu'est-ce qui te rend si triste ? Exigez Shanks. Avons-nous fait quelque chose de mal ?
- Non, pas du tout, c'est tout le contraire, répondis-je à toute haine.
- Tu as dû beaucoup souffrir, quelque chose te hante, j'ignore quoi exactement, mais avec nous tu peux te détendre, il ne t'arrivera rien de fâcheux, me rassura Shanks avec un regard particulièrement protecteur.
- Merci de me dire ça… oui des choses me hantent… mais je ne me sens pas prête d'en parler.
- J'espère qu'un jour cela ne te tourmentera plus. Pour l'heure laissez-nous vous faire penser à autre chose, insista Benn.
Je les regarde un instant et je me retourne, oui j'allais m'abandonner à leurs bons soins encore un peu, je ne devais pas laisser mes tourments prendre le dessus. Il fallait que je lâche prise, que j'arrive à tourner la page, qu'importe le temps que cela mettrait je ferai un pas après l'autre. Un jour j'espère pouvoir rire et sourire sans repenser à ces traces comme maintenant, qui viennent me polluer mon esprit.
Je réprime ces sombres pensées pour me concentrer sur les mains de mes amants qui prennent un plaisir non dissimulé de taquiner ma peau. Leurs doigts sont fermes, tendus et appuyés, même insistants sur certaines zones :
- Tu es toute tendue, tu as de sacrés points de tensions, révéla Benn.
J'imagine qu'entre mon passé, ma réincarnation, le fait d'être prisonnière de Barbe Blanche, la tempête, la contrariété suite au départ de Crocodile et le stress que j'ai eu pour danser, puis quand Benn et Shanks m' ont courtisé n'ont pas dû franchement aider. C'est vrai qu'au final c'est un cocktail parfait pour que je sois contrariée avec un dos raide.
- T'en fais pas Benn, on va démêler tout ça, point par point pour le plus grand plaisir de la demoiselle, chantonna presque Shanks.
J'ai l'impression que Shanks s'amuse avec un rien, ça me fait sourire et ça me détend aussi.
Je ferme les yeux et je savoure leurs mains sur moi, je comprends parfaitement pourquoi les filles ici reçoivent ces deux hommes, ce sont les amants parfaits, je n'ai rien à redire :
- As-tu une crème ou une huile ? Chuchota Benn contre mon oreille d'une voix douce.
- Hum…, oui sur la commode là-bas le flacon bleu, répondis-je doucement.
Je le sentis s'éloigner, laissant une place froide là où il était, mais cela ne dura pas longtemps, Benn revient à sa place, ce qui me permet de profiter de nouveau de sa chaleur :
- J'aime bien quand c'est froid, fis-je doucement légèrement somnolente.
- Tu ne veux pas qu'on chauffe l'huile ? Exigez Shanks.
- Non, ça chauffera après… quand vous masserez, confirmai-je.
- Dans ce cas…, fit Benn.
Je me tendis en sentant l'huile froide couler le long de mon dos :
- C'est froid ! Me plaignis-je en riant.
- C'est toi qui l'as voulu, s'esclaffa Benn.
- Mais je sais… car je veux que vous me réchauffiez, rétorquai-je en lui lançant un coup d'œil.
- Tu es vraiment une femme bien plus audacieuse et séductrice que tu ne le laisses paraitre, susurra Shanks.
- Et c'est une mauvaise chose ? Demandai-je en tournant mon regard vers l'Empereur.
- Oh que oui ! Pour des hommes comme nous, tu nous fous mal, tu ne te rends pas compte, une belle femme comme toi, qui s'offre, qui nous tend des perches, nous taquine, nous invite à continuer à lui faire du bien, nous complimente et nous dit ce qu'elle veut… c'est dangereusement excitant.
- Vous osez vous plaindre ? Mais que devrais-je dire ! M'exclamai-je en riant devant la tirade de Shanks.
- Oh taisez-vous ma chère enfant ou bien je risque de vous kidnapper sur la Force Rouge.
- Benn dis-moi que tu ne laisseras pas Shanks me kidnapper, minaudai-je.
- Pff vous êtes qu'une bande de gamin, rit Benn, mais je te promets de te protéger belle Ariel.
- Tu ne m'aides pas Benn, s'injurie Shanks avec humour.
- C'est toi qui ne m'aides pas, aide-moi à la masser, coupa Benn en se marrant.
Je pouffe de rire, on n'a pas l'air ridicule, mais j'aime bien cette ambiance légère et taquine :
- Vous êtes des hommes merveilleux, lâchai-je trop heureux.
Je les vis avoir un grand sourire :
- Il faut dire que notre amante est une femme des plus adorables, retorqua Benn.
- Oui et délicieusement entrepreneure, a ajouté Shanks. Fait attention belle demoiselle, la nuit risque d'être très longue si tu continue de nous chauffer.
- Tu veux dire très courte, taquinai-je.
- Ne nous provoque pas, jura Shanks.
- Qu'est-ce que je risque ? Si ce n'est de délicieux moments passionnels ?
- Ariel, ne nous provoque pas, insiste Benn.
Je me marre et je me mords les lèvres, mais bon je cesse juste pour avoir la fin de mon délicieux massage. Ces hommes ont vraiment beaucoup de talent, je comprends tellement pourquoi Lila et les autres n'en ont fait que des éloges.
- Hum… c'était beaucoup trop bon…, lâchai-je en soupirant comme une bien heureuse quand ils finissent leur massage, je veux que cette nuit ne s'arrête jamais….
- Ne recommence pas belle Ariel, c'est dangereux ce que tu dis, souffla Benn.
- Pourquoi avez-vous peur de ne pas tenir la nuit ? Provoquai-je.
- Oh mais… c'est que tu prends la confiance, fait attention avec nous, c'est toi qui risques de ne pas tenir la nuit, coupa Shanks avec un sourire en coin.
- Parfaitement, donc cesse tes petites provocations, car tu es à deux doigts de te faire dévorer toute crue.
Mais c'est bien là tout mon objectif ! Je me redresse et je me jette sur Benn le basculant pour le dominateur de ma taille et j'attire Shanks à moi :
- Désolée je suis loin d'être une femme docile et obéissante, rétorquai-je en leur lançant un regard de défi avec un grand sourire ravageur. Moi je te veux encore ! Que vous le vouliez ou non je continuerai de clamer que je ne veux pas que cette nuit s'achève !
Benn afficha pour le coup un regard plus pervers, plus dominateur, cela me provoqua un frisson d'excitation :
- Ah oui ? Tu veux jouer à être une petite teigne, on t'avait prévenu de ne pas nous provoquer. Shanks…, appela t'il lentement d'une voix qui laissait présager que le « pire » était à venir.
Je vis Shanks me plaquer contre lui de son bras et user de ses jambes pour bloquer les miennes, Benn se leva et prit sa ceinture et me captura mes poignets pour les ligoter avec :
- Crois-nous tu ne vas pas beaucoup dormir, souffla Shanks avec un sourire aussi pervers que son second.
Je me mordis les lèvres, beaucoup trop heureusement et on démarra un nouveau rond plus piquant, plus dominant et plus intense.
Ils virent mon grand sourire, trop ravie de mon coup et ils sourirent amusés :
- On va te faire regretter de nous avoir provoqué, fit Benn en se rapprochant.
- C'est une menace ? Demandai-je en me retenant de rire.
- Oui, dit-il sur un ton langoureux.
- Et si je suis très gentille… vous serez moins méchants avec moi ?
- Alors il va falloir être vraiment très gentille, rétorqua Benn en se penchant vers mon visage.
- Non, tu devras être très, très gentille, susurra Shanks en tournant ma tête vers lui.
- Je promets d'être très, très, très, très, très gentille, gloussai-je.
Ils rient avec moi avant de fondre leurs lèvres sur mon cou, m'arrachant des rires.
C'est tout pour aujourd'hui.
Encore 4 chapitres et le premier vrai arc aventure commence !
