L'équilibre précaire est rompu en 2028. Les troupes russes, soutenues par la Biélorussie, mènent une attaque coordonnée contre la Pologne, testant les défenses européennes et l'efficacité de ce nouveau mur. La tension atteint son apogée. Les pays de l'OTAN et l'armée européenne, constituée en 2025, déclarent qu'ils sont prêts à répondre par la force pour repousser l'agresseur et, peut-être, libérer l'Ukraine occupée. La décision semble unanime, mais un pays se démarque par son silence : les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, déclarent que cette guerre n'est pas la leur. "America First", proclame Trump, convaincu que l'Europe doit se défendre seule.

Les nations européennes se sentent trahies, mais l'urgence de la situation ne leur laisse pas le temps de douter. Elles lancent une offensive terrestre en Ukraine, déterminées à reprendre le contrôle de ce territoire perdu