Résumé: Sirius Severus et Harry fuient en catastrophe à Forks, là où les attendes leur nouvelle maison, pas toute à fait restaurée, la faute au Directeur de Poudlard et ses sombres desseins concernant le "Sauveur". Protégés par le MACUSA et par la Meute de la Push, ils espèrent être enfin à l'abri, mais rien n'est moins sur

Couple: FANFICTION SLASH! Mais j'ai envie de vous laisser la surprise pour les couples^^

Rating: Le plus haut parce que oui je ne suis pas une tendre et on va, comme toujours aborder des thèmes qui sont pas toujours joyeux et aussi des passages citronnés donc vous voilà prévenu

Disclaimers: les oeuvres originales ne m'appartiennent pas, je ne fais que m'amuser avec les personnages et l'univers comme tant d'autre

amusez vous bien!

Star light

Chapitre 14 :

« -NON ! JE VEUX PAS ! … JE VEUX PAS QU'ON M'ENFERME ! JE … JE SUIS PAS FOU !

-Harry ! Calmes toi, je t'en pries... Il n'est pas question de t'enfermer, comme tu dis... Jamais de la vie !

-Je le ref'rais plus c'est promis, chouina le sorcier. S'il te plait, je veux pas... Je serais sage... »

Julia s'attendait à une réaction violente, mais pas à ce point. Evan avait les yeux dans le vague et se balançait d'avant en arrière. Le ton de sa voix comme sa posture indiquait que ce n'était pas vraiment à elle qu'il s'adressait, mais à son oncle. Il suppliait pour ne pas retourner dans le placard sous l'escalier.

La psychomage respira un grand coup pour empêcher les larmes de monter et fit de son mieux pour rester calme. Mais elle était plus chamboulée que d'ordinaire et elle s'en voulait. Evan n'avait pas besoin de ça.

« -Mon chat ? »

Elle s'approcha doucement de lui et effleura sa main. Evan sursauta et leva ses prunelles noyées de larmes vers elle. Il mit un instant pour fixer son regard et papillonna des yeux. Enfin il la voyait !

« -Je ne dis pas ça pour te punir... Tu es le plus merveilleux des enfants. »

Elle pressa un peu plus sa main, pour l'aider à s'ancrer d'avantage.

« -On en a déjà discuté, tu te souviens ? Si on estime que ta magie devient incontrôlable et que tu as besoin de soins plus appropriés, tu dois accepter de venir avec moi à Marseille... Là où il y a d'autres enfants comme toi. Qui on besoin d'un coup de pouce pour aller mieux... Personne ne va t'enfermer... Tu n'as rien fait de mal. »

Elle appuya bien sur chaque mots, pour qu'il comprenne à quel point cette notion était primordiale.

« -Pour le moment, ta magie est comme prête au combat. Ce qui la rend difficile à maîtriser. Encore plus avec ta puissance... Tes barrières mentales ont été mises à mal également... Il va falloir du temps pour les rebâtir correctement... Si j'estime que la situation devient hors de contrôle, si ta magie devient dangereuse, autant pour toi que pour les autres...

-Comme l'été dernier...

-Oui, c'est ça... Tu devras accepter de venir avec moi. »

Evan laissa échapper un couinement désespéré.

« -Pour le moment, tu restes à Forks... Tu es bien ici... Mais si je l'estime nécessaire, tu viendras avec moi... Tu me l'avais promis. »

Evan hocha la tête en signe d'assentiment, les joues encore toutes humides. Il se sentait au fond du trou, comme jamais auparavant et il n'aurait pas cru cela possible. Il voulait s'en sortir. Aller mieux. Mais certaines blessures, certaines pertes sont si familières, qu'on préfère les garder avec soit, parce que c'est si bon d'avoir mal. Pour mieux nous rappeler le passé, celui qui était si doux et qui n'est plus, s'en chercher à souffrir plus fort, durant un court instant, pour se transformer et accueillir l'avenir.

C'est ce qu'il avait fait avec le souvenir de Cédric. Il l'avait gardé dans le creux de son cœur et dans le secret de son âme. Refusant de le laisser aller, parce qu'alors, qui se souviendrait qu'il y avait eu un « nous ». Personne d'autre que lui n'avait ses souvenirs. Maintenant, il allait falloir et cet obstacle vers la guérison lui semblait insurmontable...

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L'incident du lycée avait fait grand bruit. Nombre d'élèves avaient été blessés et n'étaient pas venus en cours durant plusieurs jours. Aussi, personne ne prêta attention à l'absence d'Evan. Mais lorsque tout le monde revint, sauf lui, Forks ne cessa de piailler à tout va. C'était pire qu'avant son arrivée.

Personne ne l'avait vu a l'hôpital, ni ou que ce soit. C'était un de ses tuteurs qui s'était rendu chez le vétérinaire avec son faon, ce qui n'avait pas été le cas les fois précédentes. Peu avait la raison de cette absence, et encore moins le vraie raison... Pour ce qui était de la première, Gladys avait passé le message au directeur de l'établissement et au corps enseignant. Evan James avait attrapé une pneumonie était étroitement surveillé. Ses tuteurs les préviendraient lorsqu'il serait de nouveau capable d'aller en cours. Gladys proposa de lui faire envoyer les cours d'Evan pour qu'il n'accumule pas trop de retard. Sebastian accepta distraitement.

Pour cette mission, il n'y la secrétaire engagea Eric Yorkie, dont la serviabilité n'était plus à démontrer. Celui ci accepta sans réserve, tout du moins les premières secondes. Evan et lui s'étaient bien entendu sans plus, mais de là à dire que le jeune homme accepterait de le voir débarquer chez lui, fusse pour lui donner ses devoirs... ?

C'est dans cette optique qu'il vint trouver Rosalie, qui vit une chance de revoir Evan.

Le Geek de service lui fit un sourire resplendissant lorsqu'elle accepta, avant de lui tendre les polycopiés qu'il avait dans la main. Mais lorsqu'elle voulu les lui prendre, elle nota la crispation dans les doigts maigres et soupira.

« -Autre chose ? Demanda-t-elle sèchement.

-Tu pourras lui passer le bonjour de ma part? »

Si elle n'avait pas été une vampire, pas sûr qu'elle l'aurait entendu. Seigneur, il avait des airs de chiot abandonné à fixer ses ongles...

« -Je ne devrais pas lui passer ton numéro plutôt ?

-Tu ferais ça ! »

La blonde sursauta légèrement. Comment pouvait-il y avoir autant d'enthousiasme dans un si petit corps ?

« -Evan t'aime bien ?

-Je crois... Peut être...

-Il t'a parlé ?

-Un peu...

-Alors note ton numéro, je lui donnerais. »

Son sourire se fit encore plus grand que tout à l'heure, ce qu'elle n'aurait pas cru possible, et la mis mal à l'aise, peu habiter à ce genre d'effusion. Même si elle ne montra rien.

Le geek repartit presque en sautillant sous son regard circonspect et le ricanement d'Emmett qui n'en avait pas perdu une miette.

« -Je crois que tu viens de gagner son adoration éternelle, ma Rosie jolie.

-J'ai fait ma B-A... Ça ne se reproduira plus ! »

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Rosalie aurait voulut trouver Evan avec pour seul but de lui donner ses devoirs et voir comment il allait, mais c'était loin d'être le cas. Comme tout un chacun, elle voulait comprendre ce qui c'était passé ce fameux jour, mémoriser chaque micro seconde pour mieux les rapporter à Edward. Son petit manège n'était pas très honnête et elle s'en voulait, mais avait-elle le choix, si elle voulait réunir deux âmes en peine ?

Elle fit taire ses atermoiements et sonna à l'interphone. Le temps qu'on lui ouvre, elle admira le manoir qu'elle apercevait aux travers de l'immense portail. Si ce dernier était d'un goût à la fois douteux et ostentatoire, le manoir victorien avait beaucoup de cachet et rénové avec un sens esthétique certain.

La voix basse et suave d'un homme la sortit de sa contemplation.

« -Oui?

-Bonjour. Je suis Rosalie Cullen. Je viens apporter ses devoirs à Evan. »

Il y eut un temps d'hésitation qui lui fit se demander si l'homme au bout de la ligne n'allait pas la laisser dehors.

« -Je vous ouvre. »

Soulagée, elle traversa la longue allée de gravier. Son interlocuteur l'attendait sur le pas du perron. C'était un homme grand, sombre et svelte, à l'air un peu sévère. Ses cheveux noirs attaché en catogan lui donnaient un de professeur d'université qui lui allait plutôt bien. Quant à son odeur, elle était aussi entêtante que celle de son pupille, quoique leurs notes différaient. Si celles d'Evan étaient douces et piquantes comme avant un orage estival, les siennes étaient similaire à l'automne. Feu de bois et carrot cake. Réconfort et caractère.

« -Bonjour, Mademoiselle Cullen. Je suis Sebastian, le parrain par alliance d'Evan.

-Enchanté.

-Entrez, je vous en prie. »

Il la débarrassa galamment de son manteau, qu'il accrocha à une patère de l'entrée, décorée d'une console, surmontée d'un miroir avec différents vide poche en argent ciselés. Sur le côté, il y avait un porte parapluie affublé d'un hibou en plein vol.

« -J'avais cru comprendre qu'un certain Eric Yorkie devait s'acquitter de cette tâche. Aurais-je mal compris ?

-Il m'a cédé sa place. Il avait peur qu'Evan ne se sente pas aussi à l'aise avec lui qu'avec moi.

-Tiens donc... »

La voix du sorcier était un timbre plus bas que précédemment, et il la fixait intensément, comme s'il cherchait à lire en elle. Evan avait repoussé Edward hors de son esprit, peut être que ce Monsieur était capable de s'y aventurer ? Elle ignorait tellement de chose sur les sorciers. Mais qu'importe après tout, elle n'avait rien à cacher...

« - Je ne vous ferais pas l'affront d'ignorer votre nature, ni celle de votre famille, Mademoiselle Cullen, énonça-t-il après son inspection, d'une voix qui n'admettait aucune réplique. Aussi irais-je droit au but. Vous ne devez votre entrée dans ce manoir qu'à Evan. S'il n'avait tenu qu'à moi ou mon conjoint, vous seriez restée dehors. Vous n'êtes pas responsable de ce qu'il s'est passé, mais un des membres de votre famille si. Bien qu'indirectement... Evan est vulnérable et si jamais vous deviez, vous ou n'importe qui, mettre sa santé, physique ou mental, en péril, vous constaterez que ce qu'on dit sur les sorciers est vrai. Nous sommes bien plus dangereux que vous... »

Sans plus de commentaire, il tourna les talons et d'un geste, l'invita à le suivre.

Ils passèrent l'alcôve, habillée de rideaux de velours anthracite, qui encadrait l'entrée pour pénétrer dans un vestibule de belle taille. A sa gauche, on pouvait se rendre dans le salon, immense, aux couleurs chaleureuses et à la cheminée suffisamment grande pour que trois personnes tiennent debout dans l'âtre. Plus loin, elle devina une enfilade de pièces. A sa droite, il y avait une salle à manger de bonne proportion qui desservait un vaisselier, puis la cuisine, à en juger par l'odeur. Au fond du vestibule encore des couloirs, encore des pièces, dont elle ne pouvait juger que la taille, vu celle du manoir.

Ils prirent l'escalier qui parcourait les trois étages de la maison. Au dernier, Sebastian parcourut un long couloir qui devait s'ouvrir sur des chambres. Il poussa un pan de mur qui cachait un dernier escalier. Il menait aux combles. La cachette secrète d'Evan. Son royaume.

A l'intérieur, il y avait un bruit étouffer assez étrange, qu'elle ne saisit pas, en plus d'une légère odeur d'électricité. Est ce qu'elle sentait la magie ?

Sebastian toqua à la porte. Un boum s'en suivit, puis un bruit de course, un autre boum...

« -Paddy ! T'as faillit m'faire tomber !

-Ce chien... marmonna Sebastian en se pinçant l'arrête du nez. Je vais le mettre dans le four un jour... »

Rosalie eut un gloussement amusé, pas plus fort qu'un murmure, ce qui pour elle, était déjà beaucoup, à voir le sourire attendrit qui pointait au des lèvres du sorcier, malgré sa menace.

Evan ouvrit la porte à la volée, en se débattant toujours avec l'immense chien noir qui courait dans ses jambes. Pour éviter que quelqu'un finisse avec une jambe cassée, Sebastian attrapa la bête fauve par la peau du cou.

« -Assis ! »

L'ordre claqua, le chien couina et obéit en une demie fraction de seconde.

« -Descends ! On va vous laisser tranquille... Amber ? Biberon ? »

Un bellement de contentement suivit la question et le petit faon passa entre les jambes d'Evan pour se précipiter à la suite de la petite troupe.

« -Désolé... On ne s'ennuie jamais ici...

-Chez moi non plus. »

Le jeune homme leva enfin les yeux vers elle et elle eut un pincement au cœur. Il avait les joues creuses, des cernes immenses qui lui mangeaient le visage et soulignaient des yeux qu'elle avait connus lumineux et pétillants, à présent ternes et infiniment tristes. Leur couleur avait été délavée par les larmes. Le bord de ses paupières étaient encore gonflées et pourvut de mouchetures rougeâtres.

Sa rencontre avec Edward ne lui avait vraiment pas réussit. Il semblait éteint, presque désincarné. Pourtant, il lui souriait chaleureusement.

« -Je t'en pries entre. »

Elle mit à peine un pied dans la pièce, qu'elle vit des livres et du matériel de dessin se ranger tout seul dans différents coins de la pièce. Elle resta un instant statufiée. A la fois sidérée et émerveillée.

« -Tu as rangé... avec la...magie ?

-Y avait besoin, baragouina le sorcier.

-Tu n'étais pas obligé... Le bazar ne me gène pas. J'ai l'habitude entre Emmett et Alice...

-Certes mais tu n'aurais pas pu t'asseoir... J'ai tendance à m'étaler, surtout lorsque je peins...

-Tu me laisserais regarder ? Demanda-t-elle doucement. »

Evan hocha la tête pour répondre et se dirigea vers les cadres qui reposaient prêt de la cheminée. Le premier était un portrait en devenir. Le buste esquissé d'une jeune femme, était entouré d'un bosquet de lys blanche, on ne distinguait d'elle que la couleur de ses yeux, si semblable à celle du peintre. Sur un autre, immense, il faisait presque la taille du mur, des ombres étranges et décharnés digne d'un cauchemar, fuyaient dans un ciel noir et sans lune ni étoile, un immense cerf fait de brume bleuté. Un autre mettait en scène un groupe d'adolescent sous un arbre, dont une version plus jeune de Sebastian. Un dernier représetnait une plage brumeuse, non loin on distinguait des baleines.

« -C'est la plage de la Push ? Demanda-t-elle.

-Oui c'est le seul endroit où on peut les voir d'aussi prêt dans le coin. Jacob m'a emmené.

-Il a bien fait. C'est magnifique. Tu es très doué. »

Evan se mit aussitôt à rougir et replaça ses cadres.

« -J'ai beaucoup de lacunes, murmura-t-il.

-Lesquelles ? Qu'est ce que tu aimerais améliorer ?

-J'ai du mal avec les proportions du corps. Un ami m'a conseil de prendre un modèle... Nu de préférence. Ce sont ses termes... Mais même sans ça, je ne connais pas beaucoup de gens capables de rester sans bouger durant de heures. Les membres de la meute sont assez remuants dans leur genre, rit-il.

-Les vampires n'ont pas ce genre de problèmes. On sait se tenir, contrairement aux loups... »

Oh oui ! Définitivement Dray l'adorerait. Elle se voulait à la fois grinçante et spirituelle, tout en laissant en suspend l'idée qu'il pouvait lui demander de poser pour lui. Evan l'observa intensément, à l'instar de son tuteur quelques minutes plutôt. Le coin droit de sa lèvre se souleva légèrement.

« -Tu me laisserais te croquer ? »

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Les jours passèrent et Julia félicitait Evan pour ses progrès. S'il n'allait pas parfaitement bien, tout du moins allait-il mieux. Il commençait à parler de Cédric et avait sortit sa photo préférée de la malle pour la mettre avec celle de ses parents, de Ron et Hermione et de la famille Weasley. Il était capable de tenir debout la journée, reprenant ses vieilles habitudes de se garder occupé jusqu'à l'épuisement, carburant aux potions de nutritions, de sommeil sans rêves et autres, pour gérer ses émotions parfois trop fortes.

La nuit, lorsqu'il arrivait à fermer l'oeil, il faisait d'horrible cauchemar, comme après l'épisode de la coupe de feu. Heureusement, contrairement à ce qui c'était passé à l'époque, il ne se réveillait pas seul et terrifié dans sa chambre. Shawn et Sebastian se relayaient pour l'aider à évacuer les ombres, les suppliques et les flashs de lumières vertes, et se rendormir pour quelques heures.

Julia se voulait rassurante. Son subconscient faisait le tri, l'aidait à passer à autre chose. Cela pouvait être éprouvant pour tout le monde. Il fallait faire preuve de patience et continuer d'être vigilant et à l'écoute.

Ses tuteurs passaient donc leur temps à vérifier qu'il avait mangé, l'emmenèrent se promener lorsqu'il devait s'aérer, le conduire à la Push, pour passer la journée avec Jacob et jouer aux jeux vidéos, activités nouvelles et riches pour un jeune homme qui avait toujours vu les autres faire, sans qu'il puisse participer.

Rosalie venait régulièrement pour se faire « croquer » et de multiples pages, feuillets et toiles d'elle, ornaient la chambre d'Evan. Lorsqu'un des membres de la meute passait après elle, il ne pouvait s'empêcher de froncer le nez. Les sorciers avaient alors utilisé des sortilèges semblables à ceux dont Sebastian se servait dans son laboratoire pour évacuer les émanations de potions. Pourtant, cela n'empêchait pas Jacob de grogner lorsqu'il devinait la présence de la blonde dans la pièce quelques heures plutôt. Mais il ne répondait jamais lorsqu'Evan, ou Leah lui demandait ce qu'il y avait.

Il ne s'expliquait pas ce sentiment à la limite de la possessivité pour le sorcier. Il avait pourtant certifié que cela ne le dérangeait pas qu'il côtoie les vampires végé du coin ? Mais la vérité semblait plus complexe et il s'en voulait. Etait ce de l'inquiétude ? De la méfiance ? Le sorcier n'avait pas fait de crise à cause de la blonde, alors pourquoi ne pouvait-il se débarrasser de se sentiment, aux airs de grondement, qui habitait son estomac ?

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Hello !

Ca tourne fort dans la tête de tout le monde comme vous voyez^^

La suite j'espère très vite, mais je suis sur d'autre trucs en ce moment, donc prions pour que ce ne soit pas trop tar^^

N'hésitez pas à me faire des retours, oui même toi qui like et follow ^^ Je ne mords pas promis^^

A tres vite

Angel