Akeubonjour ! :D

*Rire nerveux* Euuuh. Je reviens avec un chapitre tout neuf, puisque comme vous l'avez vus, je n'ai pas posté l'OS sur les gladiatrices. Bon, tout ça pour dire que je le posterais bientôt, mais que la Faberry Week m'a empêché de me consacrer pleinement à la bête. Donc, le prochain truc que je posterais, ça sera certainement les gladiatrices (prêts à voir Santana en faire baver à Quinn ? Muahahah !)

Ahem. *Recommence à faire des notes trops longues*

Sinon, je crois que j'ai répondu à toutes les reviews identifiées via des mp. Si j'ai oublié quelqu'un n'hésitez pas à me frapper à coup de fouet, ô grands lecteurs !

Je répond aux reviews "anon" :

FlowwRivers: Eh eh, dans le premier chapitre, mais pas seulement ! :D Explications plus bas, tu vas voir, et merki d'avoir commenté ^^

Naze: Heureuse que ça t'ait plu alors ! En espérant revoir un de tes commentaires bientôt ^^

Bon, je ne sais pas vous, mais j'aime écouter un truc en lisant/écrivant. J'ai eu une énorme difficulté à trouver la musique pour écrire ce chapitre, mais finalement... Souffrance, d'Orange Blossom, m'a inspirée.

On se retrouve en bas !


Chapitre II

Contact

"Permettez-moi de vous présenter mon ennemi intime..."

Jules Verne

-x-x-x-

-Tu veux dire que l'égorgeur de New York est… Une… Une gamine ?

-Pas une gamine San', et passe moi le sel

La brune tendit un petit récipient à la jeune femme assise en face d'elle.

-Ouais enfin vus ta description, ça reste proche de l'enfant. Voir du leprechaun.

La blonde lança un regard blasé à la latina. Cette fille avait une capacité étrange dans le domaine de la comparaison. L'humeur influençant grandement les adjectifs, cela pouvait passer de « babouin orange » à « primate aussi stupide que son bronzage raté ». Tout cela avec une intonation vulgaire et/ou violente. Quant à l'autre blonde assise à sa droite, eh bien… Ce n'était pas comparable pour tout dire. Pas le moins du monde. Brittany, « Britt' » pour les intimes, était une personnalité disposée à la douceur, voir à la tendresse. Sous un tempérament parfois impulsif, la grande blonde proposait aussi l'air de raison nécessaire à la cohabitation. Il pouvait être difficile de vivre avec cette brune à l'énergie indéfinissable, mais Quinn s'accommodait largement de sa présence. À vrai dire, l'équilibre radical qu'instaurait Brittany entre elle et Santana était la seule chose qui les retenait de s'entre-tuer.

Elle pouffa de rire. Cette phrase aurait pu porter à confusion, dès l'instant où l'ont savait ce que les deux jeunes femmes pouvaient faire durant leurs temps libre.

-Tu vas faire quoi aujourd'hui ?

-'sais pas Britt'… Mouarf, sûrement trainer à regarder un film ou deux.

-Oh, aller Fabray. La latina lui lança un sourire espiègle. Prendre une semaine de vacance, toi, pour regarder des films ? Tu te fous de ma gueule ?

Brittany suivait l'échange calmement, mâchant lentement son toast trop grillé.

-J'ai le droit d'avoir une vie privée, non ?

-Non.

La brune sourit de toute ses dents, et réussie à se faire se fissurer le masque impassible de Quinn.

-Rooh, ça va ! Je voulais vérifier si le… Elle hésita sur le mot. Le leprechaun revenait sur Holfy.

-Tu penses qu'elle revient vraiment ?

Brittany avait planté ses yeux océans dans ceux or de la blonde.

-Peut-être. Je ne sais pas. Je ne pense pas.

La brune lâcha sa fourchette, le morceau de pancake encore accroché au bout chutant sur l'assiette.

-Me dit pas que… Que tu vas te faire le leprechaun !

La blonde leva les yeux au ciel, définitivement blasée.

-Non. Elle coupa la brune qui allait dire autre chose. Et non, dans tout les sens du terme. Elle croqua dans un bout de bacon. En revanche, je suis preschque sûre d'avoir vus un flash, quand je suis retournée à la voiture.

-Ooooh, le leprechaun v-

-NON ! Arrête, avec tes allusions morbido-sexuelle Santana !

La brune afficha une moue boudeuse digne d'un enfant de 5 ans, et trancha violemment le pancake innocent.

-Bon, eh bien. Au final, tu vas faire quoi ? Brittany et son éternelle voix douce.

-Vraiment retourner sur la scène d'Holfy. Il y a quelque chose qui cloche.

-Tu penses qu'ils vont remonter jusqu'à elle ?

-Non, aucune chance. Elle est trop... Méthodique. Ça frise le maniaque.

-Alors qu'est-ce qui cloche ?

La grande blonde semblait vraiment interpellée. Quinn se perdit quelques instant dans les yeux bleus. Brittany était toujours comme ça. Un souci perpétuel, même pour les choses ne la concernant pas directement, était quasiment palpable chez elle. Une étrange sensation fit son chemin le long de la colonne vertébral de Quinn, laissant une trainé de frisson derrière elle. C'était presque… Inquiétant.

-Je ne sais pas Britt'. Peut-être la répétition.

-Répétition ?

Cette fois, c'était la brune qui avait parlé.

-Oui. Elle avala un autre morceau de bacon, trempé du jaune d'un œuf. Je ne sais. Toujours un brun, grand. Je veux juste éclaircir quelques petites choses.

La brune fixa minutieusement l'expression de la blonde, tandis qu'un dialogue banal avait lieu entre celle-ci et Brittany. Quinn lui cachait quelque chose, mais cet air contrarié, seulement visible par la mâchoire crispée de la blonde, inspira à Santana de garder le silence.

-Et toi, Britt', tu vais faire quoi de ta journée ?

-Ah ah ! … En fait, non, c'est pas si joyeux que ça. Nous avons entrainement ce matin, en vus des nationales.

-Et cette aprèm' ? La brune englouti un morceau de pancake. Le sirop d'érable, sucré et parfumé lui fit fermer les yeux de plaisir.

-Je fais mon service au Breadstix. Rien de passionnant, je le crains…

La blonde sourit néanmoins, croquant la dernière bouchée de son toast.

-Mouais. Et toi San' ?

-Je vais… Roulement de tambours… Manger. Ma journée va gravitée autour du déjeuner. Encore un stupide avocat.

-Encore ?

-Ouais. On dirait qu'ils n'ont pas assez bien écouté la tragique histoire des Lopez. Elle afficha un air sarcastique, teinté de mépris. Tout ça pour dire que, mon programme du jour visant à trouver un nouveau job tombe à l'eau.

-Tu devrais apprendre à contrôler ton excès d'agressivité tu sais. Si tu le faisais, tu n'aurais pas besoin de te défouler sur les gens après ce déjeuner, et tu ne te ferais pas virer de ton travail.

-Merci, Brittany, mais je ne vois pas comment je pourrais contrôler ça.

-Tu-

Stop. Déconnexion. Quinn n'écoutait plus. L'éternel débat sur le contrôle du tempérament de San' était de retour, et la blonde n'était pas d'humeur. En plus, elle venait de finir son petit déjeuner. À quoi bon rester ici ? Elle regarda, appuyée sur le bord de l'évier où elle venait de déposer son assiette, les deux jeunes femmes. Malgré des débats parfois sans fin, elles s'entendaient superbement bien. De manière impressionnante, la blonde avait un effet anesthésiant sur la brune, et la brune, avait un effet apaisant sur la blonde. Le mot « apaisant », était la juste définition, à l'avis de Quinn, pour définir ce que recevait Brittany de la part de Santana. En effet, malgré une attitude douce et joviale, la grande jeune femme n'était pas vraiment ce que l'ont aurait pu appeler « calme ». Le passé trouble et tourmenté de la blonde, ajouté à une hypersensibilité, avait amené son lot de nuits sans sommeil. Ou alors, de ce sommeil roublard digne des terreurs nocturnes. Brittany n'était alors apaisée, que par la main de la latina qui traçait des cercles paisible dans son dos.

Quant à Santana… Eh bien, dans ses envols de colère, la présence de la blonde réussissait à la calmer. Viscéralement brutale, la brune avait une personnalité non pas « forte », mais plutôt « carnassière ». Il n'y avait pas vraiment de contrôle sur ses impulsions violentes, mais Brittany, par une simple demande, réussissait à anesthésier la colère de l'hispanique. Bien sûr, tout n'était pas redevenu calme, et la brune ne faisait que baisser légèrement de ton. Mais cet effet anesthésiant était suffisant, pour que, en général, la situation revienne à la normal.

Complémentaires, donc.

Quinn secoua finalement doucement sa tête, revenant à la réalité. Elle avait quelqu'un... D'audacieux, à rencontrer.

-x-x-x-

Elle s'assit sur un banc, après avoir poussé la neige accumulée sur celui-ci. Un soupir lui échappa. Elle était en face du bureau de son « père ». Il y avait des hommes en train de travailler sur l'enseigne. Elle n'arrivait pas à croire qu'ils enlevaient déjà Holfy. Mais la morale mis de côté, la logique voulait que cela se passe ainsi. Un cabinet d'avocat portant le nom d'un mort assassiné, serait un peu trop satyrique.

-Pourquoi…

Elle se murmurait à elle même cette question qui revenait sans cesse à son esprit. La première fois où elle avait vus –enfin, « revus » serait plus juste- cette Rachel, un électrochoc c'était produit. Une sensation amputable à l'excitation de rencontrer quelqu'un d'autre de ce « genre ». Mais, Quinn avait surtout revus certaines images du passé. Une adolescence brouillée, des brides de souvenirs plus qu'une mémoire lisse. Il y avait quelque chose d'agréable et d'à la fois insupportable, à ce souvenir de tout ça.

Elle fixa l'enseigne au nom solitaire de manière amère.

Une descente aux Enfer pour certains.

Finalement, elle laissa son regard se perdre sur les passants anonymes.

Une... Libération, pour d'autre.

Se reconcentrant sur la petite brune, Quinn essaya de se souvenir plus exactement. Respirant doucement, les images défilaient devant les paupières closes de la blonde. Elle travaillait à l'époque dans un starbuck. Un job d'étudiant, visant à combler trop de temps libre. Et un compte en banque totalement vide. Il y avait une bande d'amis qui venait là, quasiment tout les jours d'ouverture. Le starbuck était proche du campus, et il n'était pas rare que les étudiants viennent-y faire une pause. Elle fronça les sourcils.

La sensation. La sensation revenait.

Il y avait un homme, un gars à la chevelure coloré de blond. Elle poussa plus profondément son esprit à se souvenir. Il y avait aussi un type qui venait avec une guitare. Il en avait joué une fois. Il était doué. Une femme, elle avait un nom qui faisait pensé au sucre, puisque Quinn se souvenait d'une blague stupide qu'avait faite le patron. Il y avait Rachel. Elle portait toujours de jupes presque trop courtes. Elle s'en souvenait, parce que la longueur des jambes de la brune était étonnamment longue par rapport à sa taille. Elle venait toujours au bras d'un garçon, un gran-

-C'est mon banc.

La blonde avait ouvert les yeux brusquement, choquée par la voix, ainsi que par ce qu'elle venait de comprendre plus clairement. Au bout de quelques secondes, reconnectée à la réalité, elle tourna la tête en direction du son.

-Il n'y a pas de nom écrit dessus.

Elles se fixèrent quelques secondes. Même plus que quelques secondes, mais, à l'instant, il n'y avait pas grand chose d'autre autour d'elles que cette, encore une fois, compréhension silencieuse. C'était comme si, par leur simple regard, elles pouvaient se dire « je sais qui tu es ». Ce qui était, à bien y réfléchir, totalement logique. La brune savait où le béret était tombé, et par conséquent que la blonde l'avait trouvé. Et ramené. Alors qu'elle était de la police, après toute conclusion. Et qu'elle avait donc vus le cadavre. Rachel avait épinglé la photo prise après la sortie de la blonde. Elle était sur le mur, débarrassé des photos d'Holfy qui était soigneusement rangées dans un album.

-Je ne me lèverais pas.

Quinn détourna son regard d'elle, et Rachel se perdit quelque seconde dans l'observation du profil de la jeune femme. Bon sang, ce visage lui disait vraiment quelque chose. Pourquoi tout cela était-il flou ? Ces moments où elle croyait voir ou comprendre que ce visage harmonieux était présent dans ses souvenirs ? Elle souffla péniblement. Elle n'aimait pas cette frustration. La blonde lui jeta un regard distant, et retourna à l'observation silencieuse du cabinet. Rachel finit par pousser la neige au sol, débarrassant complètement le banc de l'accumulation blanche. Elle s'assit doucement, se crispant à la sensation froide et presque humide. La blonde à sa droite semblait totalement ailleurs. La petite brune n'était pas sûre que l'expression stoïque de sa voisine fût volontaire, ou simplement présente naturellement sur son visage. Elle devait avoir la vingtaine. L'odeur entêtante de la blonde, légère et mêlée à la brise hivernal, avait quelque chose d'irréel. Son visage, comme taillé à la serpe, était fait de lignes distinctes et nettes, conférant à l'ensemble une symétrie quasiment parfaite. Rachel se retint de sortir son appareil photo, la furieuse sensation du besoin de mémoriser cette vision était lancinante et sourde.

-C'était l'associé de mon père.

La brune tourna brusquement son regard sur l'enseigne. Il n'y avait plus qu'un nom. Fabray. Maintenant seules, les capitales formant le nom étaient devenues invraisemblablement impressionnantes.

-Si tu compte me suivre, fait-le discrètement. Trop d'audace se paye, Rachel.

La blonde se leva, et marcha calmement en direction de la scène du meurtre. Ses pas crissaient sur la neige non retirée des trottoirs. La brune la fixa, sans vraiment réagir. Elle avait déjà entendu ce nom. Bien sûr, elle s'appelait ainsi, alors, forcément. Mais. Cette façon de le prononcer, cette voix particulière.

L'université.

Sam.

Sugar.

Puck, porté disparu depuis tout ce temps.

Finn.

Elle se dirigea droit sur le dos de la blonde.

-x-x-x-

-Écoutez, Lopez, je suis envoyé par la tonne de proches de votre père. Croyez moi, ils vous en veulent beaucoup.

-Et j'en suis ravie ! Sachez que cet héritage est à moi, et qu'il faudra me tuer pour me le reprendre !

Cela faisait quelque temps, déjà, qu'ils étaient attablés à cette table hideuse, dans ce restaurant hideux. Avec cet avocat hideux. Et ce serveur hideux. Santana en avait marre, le dessert était une déception, et elle en avait plus qu'assez.

-Ne tentait pas le diable. Vous savez tout aussi bien que moi que ces « proches » en seraient capables.

L'avocat aux cheveux quasi inexistants essayait de calmer le jeu. Il suinté la peur.

-Et vous savez aussi que mon père les tenait en laisse, et que je suis sa fille !

-Mada-

-NON ! Ça suffit ! Les procédures ont toutes abouties à la même conclusion : Ils n'auront rien. Cousins ou dealer, je m'en tape, qu'ils aillent tous se faire foutre !

Elle se leva brusquement, faisant chuter son verre de vin.

-Et si je vous revois, je vous jure que je vous tue.

Elle quitta la pièce sous les yeux des clients, l'avocat tétanisé sur place. Les Lopez était une famille respecté, et crainte, de Lima. Il n'y avait rien de pire que les foudres de Lopez-père, mais sa fille était une digne héritière. Il était vraiment suicidaire de se lancé dans cette histoire. Mais l'appât du gain était énorme, si il réussissait à faire tomber cette Santana. L'héritage, bâtit sur des années de sauvegarde « d'argenterie » en tout genre, par Monsieur Lopez, était immense. Médecin de profession, il avait amassé une grande quantité de prime au long de sa carrière. L'aspect illégal était entré en compte en parallèle, alors qu'il dirigeait le gang le plus puissant de l'Ohio. Dealers, proxénètes, pot de vins, etc, était de mise pour rapporter encore plus d'argent aux Lopez. Mais un tragique destin les fit finalement basculé vers la mort, et laisser un héritage considérable à leur unique fille. Qui se révélait des plus coriace.

Il n'y avait pas grand chose à dire sur cette jeune femme. Après une étude de son profil fait sur de longue année par des confrère s'étant tous cassé les dents sur l'affaire, une seule conclusion s'était faite, qu'elle avait elle même donné : Il faudra la tuer pour le prendre.

Il soupira, attrapa sa petite valise de travail, et laissa un pourboire en plus de l'addition. Il était épuisé.

-x-x-x-

-Mais pour qui il se prend, ce crevard, autant de neurones que de cheveux !

La latina était énervée. Ce n'était pas son maximum, bien sûr, mais, elle était quand même énervée. Décidée à se relaxer, elle se dirigea au Breadstix, et l'atteint rapidement. Il était 13h largement passé, et avec de la chance, une certaine blonde aurait pris son service. Elle passa la porte avec turbulence, bousculant quelques personnes sur son passage vers une table libre.

-San' !

Bingo. Elle regarda en direction des deux yeux bleus se rapprochant. Ils étaient inquiets. Comme toujours.

-Est-ce que ça va ?

-Oui, je suis juste remonté contre-

-Cet idiot d'avocat. Oui, je sais.

La blonde passa une main réconfortante sur l'avant bras de Santana, un sourire tendre aux lèvres.

-Tu veux quelque chose ?

-Pas vraiment. De l'eau plate, s'il te plait. Rien d'autre ne passera

La jeune femme acquiesça et se dirigea derrière le bar.

-H ! Je prends ma pause tout de suite.

-'k !

Le patron était en arrière boutique. Mais la blonde pouvait presque voir le sourire habituel de l'imposant monsieur. Il s'était fait une raison. Pas la peine de demander quelque chose à la jeune femme si cette hispanique était dans les parages. Alors, autant lui laissé prendre sa pause tout de suite plutôt que tout à l'heure.

-Voilà.

La brune attrapa le verre, et commença à le faire tourné nerveusement entre ses mains. Brittany observa la manœuvre pendant quelques secondes, sachant que si la latina ne disait rien face à elle, l'intérieur de la jeune femme brûlait littéralement de rage. Et ce tic de manipuler quelque chose en était la preuve.

-San', tu-

-Hey !

-Quinn ?

Les deux jeunes femmes s'étaient retournées au même moment.

-Me dit pas qu-

-Chut San'. Laisse la expliquer.

La blonde s'avança calmement jusqu'à ses deux amies.

-Les filles, voici Rachel. Rachel, Santana et Brittany.

La petite brune afficha un sourire étincelant.


Je vais rééditer les premier chapitres, avec une mise en page différente, comme celle-ci. *Aime parler pour rien dire*

Sinon : ... Bah, je sais pas quoi dire. J'espère que cela était à votre goût. Nous en apprenons plus sur le passé de nos quatre tueuses, et, comme nous le constatons, le prochain chapitre s'annonce... Mystérieux. (Avec de la fumée et un éclairage mystique et tout et tout.)

À la prochaine !