Bonjour !

Alors, je ne me souviens plus si j'ai répondu en mp ou gens ou nan, et vus que je supprime à chaque fois mes mps... Bref, pas douée, je reviendrais à l'ancien système de réponse. Je remercie cependant tout le monde, c'est agréable de voir qu'il y en a encore quelques uns lisant cette histoire... Encore désolée de ne pas vous répondre personnellement.

Début de l'aperçut du Brittana ici !

On se retrouve en bas.


Chapitre III

Surveillance

« Avant de faire la guerre, on la joue. »

Monique Corriveau

-x-x-x-

-Une semaine Fabray, une semaine que tu traine avec elle. Qu'est-ce qui se passe bordel ?

La blonde se mordillait sa lèvre inférieure. Signe inhabituel de nervosité.

-Est-ce que tu la vises comme cible ? reprit la brune. Si c'est le cas, éloigne toi tout de suite, si jamais elle parle de toi à son travail ou-

-Elle a était virée, coupa Quinn.

La brune la regarda avec intensité, attendant une explication.

-Elle… La fille, de l'autre nuit. C'était sa patronne.

-Putain Q !

Santana n'était jamais vraiment du genre à paniquer sur ce genre de chose, trop sûre d'elle, persuadé d'avoir un coup d'avance sur les possibles « justiciers du bien ». Elle en avait un en face d'elle après tout. Mais là, quelque chose lui retournait l'estomac, lui indiquait de se méfier. Une crainte naissait, démesurée, de la jeune femme vue au Breadstix il y a maintenant de cela une semaine. D'abord Quinn qui se comportait bizarrement, maintenant le rapprochement étrange ayant lieu entre les deux femmes, et la blonde qui pourrait être prise au piège en un mot de Rachel. Non. Trop de coïncidences en peu de temps.

-J'la sens pas. La brune fixa l'expression sévère de la jeune femme en face d'elle. Quinn, elle… Elle entre dans ta vie comme ça ? Elle tue l'associer de ton père, et toi tu tue quelque temps après sa patronne ? Putain, on est a Manhattan bordel, pas dans une ville de 10 personnes !

Le silence retomba. Quinn ne tuerait pas avant ce week-end, au vue de ses habitudes. Elle pouvait même ne pas tuer du mois entier, si Santana prenait compte des deux victimes, et non pas une, annoncées dans le journal télévisé.

-C'est plus compliqué que ça. La blonde se détourna de la latina, retournant à son livre.

-Quand David vas te poser des questions sur l'affaire, qu'est-ce que tu vas faire ? Bizarrement, Santana sentait presque Rachel comme une intrusion sur son territoire.

-Je ne sais pas. Une affaire à elle était sur les lieu du crime, mais je l'ai ramenée. Je… Quinn semblait perdue dans ses pensée, elle si habituée à réfléchir froidement et poser un avis stricte.

- Fabray, si tu chutes, tout le monde chute.

Santana était crispée. Si elle partait loin d'ici, elle attirerait l'attention. Elle était foutue. Elles étaient toutes les trois foutues. Putain mais qu'elle idée de vivre toutes ensembles.

-Je ne chuterais pas.

Le ton de la blonde se fit glacial, envoyant un électrochoc à la jeune femme. Ce ton, la brune le connaissait trop bien. Quinn serait prête à tuer pour ne pas chuter. Au sens propre du terme. Elle l'avait déjà fait par le passé, signifiant que cette fois-ci, si l'événement devait se reproduire, le meurtre ne serait pas isoler, mais de masse. Elle frissonna. La blonde tatouée était innarêtable dans ces instants. Le regard dur et stoïque qu'elle lui envoya confirma ses pensées. Elle soupira, lasse de réfléchir à cette relation étrange et tout ce qu'elle pourrait entrainer.

-Qu'est-ce que tu vas faire aujourd'hui ?

-Rien.

-La naine ?

-Je ne sais pas où elle est, si c'est ce que tu veux savoir.

La brune souffla d'agacement. C'était idiot, mais ce sentiment ce faisait encore plus grand, oppressant. A l'évocation de Rachel, elle sentait presque une lame froide se glisser sous sa gorge, tranchante, et un souffle tiède naitre dans son dos.

-x-x-x-

-Bonjour ! Je suis Rachel Berry, j'ai rendez-vous avec monsieur Newton, Junior ?

L'assistante pianota sur son clavier après un regard vaseux sur la petite brune.

-Tout droit, étage 5, la porte au bout du couloir.

Rachel leva un sourcil interloqué par la voix de la secrétaire, mais ne porta pas plus d'attention au ton monotone, presque dépressif, et s'avança vers les portes de l'ascenseur. Soudain, elles s'ouvrirent devant un couloir agité, des bureaux ouvert dont des personnes allait et venait rapidement se trouvant de chaque côtés. Elle sembla retenir son souffle quelque seconde face à toute cette agitation, mais marcha d'un pas déterminée jusqu'au bureau droit devant elle. Un homme la bouscula plutôt violemment alors qu'elle s'apprêtait à ouvrir la porte, mais il sortit du bureau avant qu'elle ne puisse le faire. Il s'excusa brièvement, et retourna à son propre bureau.

-Entrez. Veuillez excuser David, il est assez impliqué dans les enquêtes en cours, et sa courtoisie en prend un coup.

L'homme, immense, ne faisait pas vraiment penser à « Junior ». Rachel hocha la tête, un sourire magnifique aux lèvres.

-Les meurtres récents ?

Intérieurement, le sourire continuait de s'afficher sur son visage, mais quand l'homme releva son regard vers elle, il ne vus qu'une expression concernée et sérieuse.

-Oui. Cet avocat, Holfy, il était l'associer du père de sa partenaire.

Le sourire de la brune réapparut.

-x-x-x-

Tu ne peux pas t'échapper, économise ta salive et arrête de hurler.

Les cris devinrent sourds alors qu'un clou énorme s'enfonçait dans la chaire, emportant le tissu avec lui alors qu'il se plantait dans le bois. Le sang commençait déjà à perler abondamment dans la paume de la main victime. Les doigts se contractaient bêtement, les nerfs touchés.

-C'est la première fois, reprit la voix, affreusement calme. Un silence tomba remplis de suffocation, avec que la phrase ne se termine. Avec de la chance, Dieu te sauvera.

La voix n'était maintenant plus que marmonnements incompréhensibles, la douleur suffocante d'un autre clou se plantant dans sa main l'aveuglant complètement. Il n'y avait même plus d'espoir de s'enfuir, tout ce qui restait à espérer était de sombrer dans l'inconscience. Ses oreilles crurent entendre les paroles d'une prière vague, murmuré rapidement et de manière spasmodique. Sa bouche état entravé par un cuir épais l'empêchant d'articuler la moindre supplique. Une structure de bois impossible à visualisé reposait sous son corps. La pièce ne filtrait guère de lumière, des bâches plastifiée tombant en rideaux tout autour, transparentes mais si épaisses qu'elles en semblaient lourdes.

Soudain, ses deux pieds, alors attaché en entrave, laissèrent ressentir le long de sa colonne un éclair de froideur. Du métal. C'était plus gros qu'un clou, au vus de la sensation contre sa peau. Et alors qu'un grands coup enfonçait l'objet à l'intérieur de la chaire, la voix se fit plus claire.

« L'agneau qui a était immolé est digne- » Sombrant dans l'inconscience, son cerveau ne put identifier les derniers mots.

-x-x-x-

-GO BRITTANY, GO !

La brune essayait de se faire entendre entre les cris des supporters. C'était impressionnant, la foule tout autour d'elle. Brittany, superbe athlète, c'était spécialisé dans le sprint. Après avoir commencé des études en fac de sport, la blonde c'était déjà vus proposé une carrière éblouissante. Elle était une coureuse rapide, aux foulées redoutables. Sélectionnée en équipe, elle représenterait avec ses partenaire leur école, alors que la compétition se rapprochait de plus en plus, la blonde avait déjà des fans. Principalement de son entourage, amis plus ou moins proche, qui savait voir en elle tout le potentiel possible. Pour la première fois depuis longtemps, l'université avait une chance de gagner. Un autre athlète en herbe attirait l'attention des coach, un homme à l'allure magnifique, digne des magazines. Sauteur à la perche, sa musculature c'était travaillée finement. Il avait les cheveux coupé cours, d'un noir d'encre, et au vus des cris des filles, il était déjà assuré d'avoir une armée de groupies. Mais qu'importe, aujourd'hui était le jour de Brittany, le petit stade de l'école entièrement réservé aux coureurs pour la matinée. Santana applaudit alors que la blonde franchissait la ligne d'arrivée en tête. Une pause était prise, avant de reprendre l'endurance des «poulains » de l'école. La brune en profita pour descendre voir son amie.

-Tu as réussie, comme toujours.

La blonde lui adressa un sourire épuisée. La sueur perlait sur son visage, et elle s'essuya d'une serviette.

-J'espère que ça se terminera ainsi aux nationales. Si on perds, c'est foutu pour moi.

La brune se mordit légèrement la lèvre de contrariété. Elle était certaine que Brittany allait réussir. La plus grande compétition se jouait sur les coureurs, et de toute évidence, la blonde ne laissait aucune chance aux autres. Non. Ce qui chiffonnait la latina, c'était cet idiot de sauteur qui se rapprochait d'elles.

-Brittany ! il se passa une main dans ses cheveux, réajustant sa veste par la même occasion. Félicitation, tu vas tous les massacrer !

La brune leva les yeux au ciel. Si il savait.

-Merci Math' !

-Euh, dit moi… Il hésita quelque peut. Il était venu l'encourager exprès pour mettre toutes ses chances de son côté. Tu voudrais venir boire un verre avec moi, après tout ça ?

La blonde semblant choquée, la gourde fraiche encore accroché à ses lèvres.

-Elle boit déjà là.

Santana n'avait pas pu s'en empêcher. Possessive, en amour comme en amitié, elle voyait l'intrusion de cet idiot comme gênante. D'ailleurs il ne sut même pas quoi répondre. Sur le stade, il était confiant et gonflé d'orgueil, mais en face d'elles, il semblait aussi apeuré qu'un chiot. Ridicule.

-Ne fait pas attention à elle, elle est toujours ronchon, sourit la blonde. Le garçon sembla reprendre un peu d'assurance. Je viendrais avec plaisir Mathew, mais je ne peux pas garantir l'heure.

La brune resta sans voix, ses bras précédemment croisés tombant d'effarement.

-Ce n'est pas grave, je reste ici t'encourager, de toute façon.

Le ton joyeux du jeune homme donna une fulgurante envie de le frapper à Santana. Elle se retint de justesse, et fixa l'expression de son amie. Bien sûr, qu'elle était tombé sous son charme. Un nœud se forma dans sa gorge. Elle n'était pas vraiment sûr de pourquoi, mais une sensation brûlante lui lancinait la poitrine. Elle tourna les talons, sans même un mot.

-x-x-x-

-Fabray, où t'as foutue cette glace ?

La tatouée releva un regard blasé vers la brune. Elle n'avait pas quitté son canapé, absolument confortable, ni son livre, de toute la journée. Comment diable pourrait-elle savoir où est la crème glacée ?

-J'ai trouvé, c'est bon.

La brune lançant la cuillère à l'attaque du pauvre pot, s'affala à côté de l'autre femme. Quinn lui jeta un regard étrange, et hésita. Elle n'était pas du genre à discuter des sentiments des autres, mais de toute évidence, Santana était énervée, voir même déprimée. La frontière était souvent mince entre les deux. Et en général, elle l'extériorisé de la même manière.

-Qu'est-ce qui s'passe ?

La blonde replongea aussitôt son attention sur son livre. Elle n'avait pas besoin de la regarder pour l'écouter et assimiler les informations, et elle voulait absolument savoir la fin de son livre. Dieu merci, Santana n'était pas idiote et le comprenait.

-Rien.

Quinn donna un léger coup de pieds à sa voisine tout en tournant la page du livre.

-Brittany a accepter de sortir avec un crétin de beau gosse !

La brune avala rageusement sa bouché de glace. Le sucre avait tendance à la calmer. Quinn esquissa un sourire. Bien sûr que le problème était Brttany. Avec la latina, le problème était toujours l'autre blonde. Quinn se demandait même comment elles n'avaient encore pas détruit le lit de la latina.

-Tu sais, ça ne peut être que pour un verre.

-Croit moi, il louchait plus sur ses fesses que ses lèvres.

La blonde pouffa de rire. Comme si la brune n'en faisait pas autant. Mais elle préféra ne rien dire, pas du tout d'humeur à débattre.

-Tu sais, si tu lui avait parlé, elle aurait pu refuser.

-Et qu'est-ce que je devais dire ? « Oh, désolée Britt', mais tu peux pas, parce que ça me fout en rogne et que je suis incapable de dire s'il te plait » ?

-En quelque sorte, oui.

Santana soupira. Elle n'était pas stupide. Elle était consciente de son attirance pour la blonde, mais elles vivait toutes les trois ensemble, et Brittany n'avait plus personne. Si, dans l'optique où la blonde lui retournait ses sentiments, la relation s'avérait battre de l'aile ou pire, elle ne voulait pas que la jolie blonde parte pour se retrouver nulle part. C'était un risque stupide qu'elle ne voulait pas prendre. De plus, Brittany avait beaucoup plus besoin de son amitié que d'une relation compliqué, faite de douleurs et de rares plaisirs. Son envie était jusqu'à maintenant trop égoïste pour l'afficher.

-Mange, et calme toi.

-Toujours de bon conseils Quinnie.

-Appelle encore comme ça et c'est le livre que je te fais bouffer.

La brune pouffa de rire.

-x-x-x-

-Merde merde merde merde merde

-Attends, je crois que t'en a oublié un

Santana regarda moqueuse sa colocataire s'insulter elle-même, très copieusement. Quinn, ce qui n'était pas nouveau, était du genre maniaque. Et arriver en retard était quasiment une peur chez elle. Alors, bien sûr, Santana, complètement ennuyée à l'idée de ne pas voir Brittany rentrer de la nuit, c'était décidé à créer une « diversion » pour son esprit. Débrancher le réveil de la blonde fut une très bonne idée.

-Je te jure Santana, je me vengerais le jour où tu n'y penseras plus.

Quinn claqua la porte violemment, et la brune éclata de rire.

-x-x-x-

-Quinn !

-David, dit moi que le patron ne sait pas que je ne suis pas là.

-Techniquement, tu es là, rit le jeune homme.

-Très drôle.

-Merci merci. Il lui donna un café serré. Il ne sait pas que tu n'es pas là parce qu'il prépare un communiqué avec la nouvelle.

-La nouvelle ? La blonde avala une gorgé du liquide chaud. Dieux qu'elle en avait besoin.

-Ouais, avec tous ces crimes, la presse le presse. La blonde leva les yeux au ciel devant la blague. Donc, il a engagé une fille en porte parole.

-Comme si on avait besoin d'un avocat sur les bras, qui vient piqué son nez partout.

Ils marchaient rapidement en direction de la salle de conférence. C'était une habitude, à chaque nouveaux membres de « l'équipe », le chef faisait une petite présentation. Il n'avait même plus besoin de l'annoncer maintenant, que déjà tout le monde se pressait à la salle.

-C'est là le coup de génie ! Attends, comment il a dit déjà… Le brun sembla réfléchir. Ah oui ! « Pour parler à la presse, il faut engager la presse. » L'homme avait imité la voix bourrue de leur patron.

Quinn s'arrêta brusquement, les pièces commençant à s'assembler dangereusement dans son esprit.

-La presse pour la presse ? Il a engager une journaliste ?

-Ouais, il la prit par le bras, la trainant derrière lui alors qu'ils entrait dans la salle. Une jolie fille en plus ! Un sourire à la limite du pervers s'afficha sur son visage.

Quinn, livide, s'affala sur un siège. Elle posa le café au loin, ne pouvant même plus avaler sa salive.

Merde.

-Messieurs messieurs ! Et mesdames. Newton fit un signe de mains pour indiquer la fin des conversation. Comme vous le savez, les affaires récentes ont entrainé leurs lots de questions. Chez nous, comme chez les journalistes. Tout nos effectifs étant impliqué avec les meurtres, j'ai pris la décisions d'engager un porte parole. Comme vous le savez, le dernier avait causé beaucoup plus de problème qu'autre chose de par sa profession. De ce fait, après grande réflexion, je me suis orienté sur quelque chose de nouveau, ou presque. Il fit un signe à quelqu'un d'entrer, et une jeune femme s'avança, se plaçant à côté de lui, ridiculement petite face à l'homme. Je vous présente Rachel Berry, ancienne sous directrice du New New York. Clarisse, que vous connaissez tous, s'est faite assassinée récemment, et est un des meurtres sur lesquels nous travaillons actuellement. Rachel répondra ainsi aux questions possible de l'entourage de Clarisse, ainsi qu'aux questions des divers journaux, et ce au nom de la police. Ce sera un travail indépendant, et je vous prie, dans la mesure du raisonnable, de répondre aux potentielles questions qu'elle sera amené à vous poser pour fournir les siennes.

Quelques bonjour se firent entendre, et autre bienvenue de commodité. Déjà, plusieurs personnes commençait à se relever, mais le chef fit un signe de se rasseoir.

-Aussi, j'aimerais vous présenter monsieur Black. La voix du grand homme semblait presque énervée : personne n'aime le FBI. Enquêteur spécialisé dans les affaires non résolues, il nous aidera à retrouver le meurtrier.

-LES meurtriers, monsieur Newton.

Un homme un peu trop maigre entra dans la salle. Il était grand, presque autant que leur chef. Quinn se tendit encore plus si c'était possible à l'entrer de l'homme. C'était la première fois que quelqu'un avancer l'hypothèse de plusieurs personnes. Elle en avait plus qu'assez. Elle aurait dû écouter Santana.

-Comment ça ?

-Il s'agit de 2 personnes minimums, même si je pencherait pour plus.

-Qu'est-ce qui vous fait penser ça ?

-Quelqu'un couvre les traces de l'autre.

Un silence de plombs tomba dans la salle. Non pas qu'avant ça le bruit se faisait entendre, non. Mais l'atmosphère s'était alourdie subitement, alors que tout le monde réalisait ce que cela voulait dire. Le chef jeta un regard presque paniqué vers ses employés, tandis qu'une petite brune souriait intérieurement face à la mine complètement vide d'une certaine blonde.


Alors ? Qu'est-ce que vous pensez que Rachel mijote ? Et ce Black, est-ce qu'il est aussi dangereux qu'il semble l'être, ou bien Quinn s'en sortira ? Ce flash-back, qui était-ce ? Une victime, de toute évidence, mais qui, et quel/le tueur/euse ? (J'aime faire du suspense)

Bref ! Pour ceux suivant A Genoux, je posterais la suite je ne sais trop quand. Mais je vous rassure, elle viendra. Sauf si vous voulez un autre chapitre de nos quatre tueuses.

Vos messages sont important, et sont un soutient nécessaire à tout auteur, donc, un petit avis ne serait pas de refus...

See ya !