Nouveau chapitre !

Réponses aux reviews (je risque d'en oublier quelques unes, mais je suis vraiment navrée et vous remercie quand même, promis au chapitre suivant je n'oublierais personne) :

P'tit griffon : Encore de la patience demandée... En espérant que ça te plaise autant ^^ ET merci !

DameAjisai : Merciiii pour les mps et la review gratifiante. Il faut lancer une mode de fiction glauque ! Courage pour ton écriture, envoie moi un mp quand tu as terminé, j'accoure la lire ; )

FollowRivers : Hey ! Une revenante ! Je réserve quelque chose pour se "beau gosse", je pense que tu vas aimer ! Merci beaucoup !

Stealthily : Je termine cette histoire pour sûr avant de stop l'écriture blondasse : D J'ai ENCORE posté ce chap' sans t'avertir, mais bon, entre se faire mordre ou corriger, il faut choisir...

Ellerrina : (J'espère ne pas m'être trompée dans le pseudo) Wow ! Ca c'est de le review :D Merci beaucoup ! J'espère que les relations t'iront, on ne va pas tarder a en avoir un aperçu, avec le Faberry ! Pour le flash back, je ne peux pas te dire, ça serait pas du jeu hehe ! :D Merci beaucoup !

Petite précision IMPORTANTE : Ce chapitre ne devait pas avoir lieu, c'est une sorte de chapitre bonus, qui raccourcira un chapitre futur (mais pas de beaucoup, je vous rassure), j'avais prévu autre chose, mais l'annonce ce la mort de Cory m'a fait me dire "révise un peu tes plans". Donc voilà ! Ne m'en voulez pas si tout ça semble très flou et laisse beaucoup à penser, vous aurez plus d'explications dans quelques chapitres !

Bonne lecture, on s'retrouve en bas !


Chapitre IV

Naissance

« L'esprit humain est sans limite dans la férocité. »

Jean-Paul Lebourhis

-x-x-x-

-Il n'y aura jamais de choix, jamais d'avis, jamais de services, seulement des ordres, c'est compris ?

L'adolescente hocha la tête positivement à l'homme en face d'elle. Jamais elle 'n'oserait s'opposer à lui, et il lui demandait clairement de ne pas el faire. Le regard dur, elle lui ressemblait étrangement.

-Maintenant, explique moi ce que tu foutais avec ce type !

La voix de tonnerre raisonna dans l'immense maison, une gifle monmentale se répercutant elle aussi. Tout cela semblait grotesque. Une maison luxueuse, aux allures de villa romaine, plantée au milieu d'un quartier sordide, remplis de personnes encore plus sordides et effrayantes. L'intérieur était ridicule si on y pensait. IL aimait montrait sa richesse, durement acquise seulement en partie. La présence omnipotente des meubles, des tableaux et autres sculptures, rendait la maison suffocante et pathétique.

-Je.. Il, il avait dit qu'il voulait te tuer !

Elle n'haussait la voix, jeune fille calme, il était rare de la voir sortir de ses gonds, bien que son regard pouvait mettre mal à l'aise. Tout le monde layant fixé assez longuement s'attendait presque à voir ses pupilles se dilatée dans les orbes marrons, prédateur se préparant à s'abattre sur sa proie. Mais là, IL l'avait vraiment énervé, alors que tout ce qu'elle essayait de faire était de l'aider. Sans parler d'ELLE, toujours à la fixer derrière Son épaule. Elle l'avait engendrée, et pourtant, ne semblait même pas capable de la protéger à juste titre de progéniture.

-Comment oses-tu me parler sur ce ton ? il gronda, son guttural faisant vibrer les tympans de l'adolescente. Et comment oses-tu te mêler de nos affaire ?

-Je t'ai aidé !

-TU L'AS TUÉ !

Le silence tomba brusquement, aussi lourd que Son cri.

-Tu.. Tu ne peux pas faire ça comme ça.

-Mais-

-Il n'y a pas de mais !

Il soupira, et couvrit sa main de son front, quand son téléphone sonna. Regardant le numéro, il jeta un coup d'œil par delà son épaule, ELLE le regardait, paniquée. Il abaissa son regard vers le téléphone une nouvelle fois, et décrocha finalement.

-Je ne peux pas… Je ne peux pas te fournir tout ça je te dis !... JE suis en charge de ce quartier, si tu t'avises de vouloir le remettre en doute, je te tue.

Il raccrocha au téléphone, alors que des insultes en espagnols fusait par celui-ci. La jeune fille regarda derrière LUI, les bruits des talons d'ELLE partant au loin. Il posa sa main sur son épaule, et la fixa longuement. Si longtemps qu'elle cru que ses jambes aller lâcher, la pression qu'IL lui infligé de plus en plus forte.

-Est-ce que c'est la première fois ?

Elle hésita.

-Non.

-Qui ?

-Gustavo.

Son regard sembla changer imperceptiblement.

-Animaux ?

-Oui.

Elle baissa le regard. Mais une large main se posa sous son menton, relevant doucement son visage, la forçant à Le regarder.

-Mi hija… Il sourit, si tendrement que ses yeux s'écarquillère.

-Est-ce que tu pourrais rendre un service à ton vieux père, Santana ?

-x-x-x-

-Hello ! Je suis Santana Lopez, j'ai rendez-vous avec Monsieur, euh. La brune fouilla dans son sac, sortant une carte. Monsieur Cortez ?

- Dios ! Santana, que tu as grandit !

La brune se retourna, surprise quelque instant, mais reconnaissant rapidement le vieille homme, et se jetant dans ses bras alors que celui-ci lui rendit son embrasse.

-Et toi, tu as grossis !

Un rire profond raisonna, et Santana se joignit à lui. Ils marchèrent lentement vers le bureau de l'homme, après avoir fait signe à la secrétaire de s'apaiser.

-Que me vaut la venue de l'héritière des grands Lopez ? Mh ?

La voix du vieil homme était si chaleureuse que la jeune femme pris un certain plaisir à se lover dans le grand fauteuil, appréciant l'instant. C'était un ami de sa famille, et aussi loin qu'elle se souvienne, le bras droit de son père, et de son père avant lui. Les… Affaire de son paternel nécessitant beaucoup de temps, et n'ayant lui-même pas toujours la possibilité de l'accorder, Cortez faisait office de gérant en son absence. Elle avait grandit avec lui, jusqu'à l'accident. Elle le considérait comme la figure masculine si particulière d'un père, qui manquait à son tableau. Il avait était un des rare à la considérer comme enfant, même après tout ce temps. Mais quand l'accident avait eu lieu, il n'était jamais venu. Santana ne lui en voulait pas particulièrement, après tout il avait perdu un ami très cher, garder le silence relevait simplement de al formalité, et apparemment, pour Cortez aussi. Une simple visite et tout redevenez comme avant. Elle s'attendait presque à ce qu'il la soulève et la fasse sauter en l'air.

-Je cherche du travail padre.

Il s'affala derrière son bureau, et laissa trainer son regard autour de lui. La pièce rappelait ces anciennes pièces réservé à la lecture, pas tout à fait bibliothèque, mais pas tout à fait bureau. Les étagères formant les murs était remplit de livre ne tout genre, principalement de droit. Le marquer au sol était si brillant qu'il auait pu refléter quelqu'un se regardant, mais rien ne le rendait plus fier que son bureau. Trois longues branches larges et pourtant si ondulantes qu'elles en semblaient fines, portaient une pièce massive de chêne faisant office de soutient à ses bras, pendant les heures de travail inlassable qui l'avait conduit à construire cet empire. Son seul rival officiel était ce foutu blanc richard et pourriture hautaine, un certain Fabray. Mais au vus des dernière nouvelles, il venait de perdre son associé, et peut-être qu'enfin il pourrait reprendre sa revanche. Malgré toute cette puissance, battit depuis bien des années, amassé sur le dos de plusieurs employé, requins acharnés et mortels, défendant des accusés de plus en plus nombreux devant les cours de Manhattan, il n'égalait pas la férocité avec laquelle les Lopez avait pu battir un empire tout aussi monstrueux de que la ville elle-même.

De loin, de façade, l'aspect était idyllique, médecin chef de chirurgie, embellissait le tableau d'une famille parfaite. Mais dès que l'ont regardait de plus près, la pollution des drogues, le dégueulis des gangs, prostituées et autres magnifiques choses de ce genre, rendait quiconque remettant en doute la position des Lopez, un homme mort. Le père de cette fille frêle en face de lui avait était un véritable prédateur, défendant férocement son territoire, et l'agrandissait à chaque occasions, amassant encore et encore plus d'argents.

Alors pourquoi diable sa fille, unique héritière, avait-elle besoin d'un travail ?

-Je sais ce que tu penses, mais je dois travailler, tourner en rond dans une si grande maison va me rendre folle, tu le sais très bien.

Cortez remua mal à l'aise sur sa chaise. Et voilà que cette stupide gamine remettait le couvert avec ce regard à vous donner l'envie de quitter la pièce. Il soupira d'exaspération, et jura quelque seconde que les deux pupilles de la brune s'étaient rétrécies soudainement.

-Très bien ! Mais tu n'es pas qualifier. Tu peux travailler sur le ménage, la classification, ou même el secrétaria.

Santana repensa à l'idée qui lui était venue en tête ce matin.

-Je ferais de la classification, mais… Est-ce que, enfin, tu peux, me.. Me former ?

Il resta abasourdit.

-Je ne peux pas. Tout ce que je peux faire, c'est te préparer pour l'université, ou un test en avancé. Mais je te préviens, c'est difficile par el chemin de l'université, mais un test de ce genre… Tu as 90% de chance de te casser les dents.

-J'avais 100% de chance de n'hériter de rien à la première naissance d'un petit frère, et pourtant…

La brune laissa un sourire carnassier apparaitre sur ses lèvres, choquant l'homme en face d'elle.

-x-x-x-

-Santana ? Hija ?

-Attends.

La jeune fille se concentra pour finir L'art de la Guerre, d'un certain Tzu. Elle claqua finalement le livre, et redressa son regard vers son père. Plusieurs années c'était écoulées, depuis ce « service », et voyant à quel point elle était douée, son père avait finit par lui demander d'autres « services », le nombre ne faisant qu'augmenter, au fur et à mesure que sa propre passion s'enflammait. Et, en toute connaissance de cause, son père ne faisait que l'attiser, promettant puissance et grandeur, un vent ardent qu'elle savait pourtant faux, surtout au vus du ventre de sa mère depuis quelques jours.

-Nous voulions te dire… Il toucha le ventre auquel elle ne cessait de penser, plus affectueux que jamais, sa mère souriant béatement. Ta mère est enceinte. C'est un garçon !

Il sembla s'étrangler dans sa propre joie. Elle se retint de justesse de lever les yeux au ciel.

Elle aller être relayée au titre de seconde zone. Tout aller s'anéantir sous ses yeux, juste pour un être masculin qui n'était même pas formé.

Non.


Je me posais une question : Est-ce que vous voudriez quelques musiques/chansons d'ambiance pour accompagner la lecture ? J'écoute une certaine playlist dans un certain ordre selon le chapitre, pour m'aider à retranscrire une certaine atmosphère, donc si ça intéresse quelqu'un...

Chapitre trèèèès court je sais, désolée, l'inspiration n'était pas vraiment là, surtout que j'ai dû le retaper puisque coupé à cet autre chapitre...

Sinon, vous pensez quoi de ce petit frère mystérieux, et en route ?

Je ne suis pas contre une review d'encouragement, je suis du genre à avoir besoin de coup de pieds dans les fesses malheureusement : /