Hello les gens !
Donc, je n'ai pas pondu de chap' depuis un moment pour cette histoire, parce qu'il faut du temps pour mon esprit pour se mettre dans la peau de tueuses en série, et j'étais occupée à penser aux traitement médical que je subissais, brefle, j'avais pas le temps psychologique pour ça. Désolée du retard, j'irai plus vite la prochaine fois, promis.
Réponses aux reviews :
P'tit Griffon : Hey ! Ahah en plus une fois que c'est lu tu peux pas vraiment effacer ta mémoire.. Mais merci du compliment ! Et avec ce surnom tu vas me faire rougir à force : ' ) Je ne me suis pas trop grouillé à cause des raison cité plus haut, désolée ! En espérant te relire ; )
Nezumichii : Si je pouvais la poster sans couper l'histoire... Je risque de créer un tumblr dédié à l'histoire pour poster justement es version non censurée, si les gens ont des questions etc, donc peut-être à une prochaine fois (je posterais ici si je le créer) ! Quand a Finn, j'ai essayé de faire jouer le doute, donc ça a marché eheh : D Merci d'avoir pris le temps de commenter, ça fait plaisir !
Isendrina : Ahah oui ça doit faire un sacré choc d'entendre ça ! Vivement oui, même si je redoute un peu de l'écrire je dois t'avouer :D Et voilà le prochain chap !
Gleekimous : Hello ! Je crois qu'effectivement tu as un côté maso refoulé... Mais c'est pas grave, c'est même tant mieux pour moi *rire diabolique* Tu sais qu'au début je voulais faire un truc avec un engin type pelleteuse, mais après je me suis dit que ça collerait pas au déroulement. Quand a Rachel, une sacralisation qui s'effondre, ça va prendre du temps. Et oui tu es géniale (je peux pas dire meilleure parce que chaque review est unique) :D Merci encore !
Stealthily : Contente de savoir que du monde lit. Thanks.
Naze : Hey une revenante ! C'est cool de savoir qu'en te remettant à la bête tu n'as pas été déçue, et d'avoir pris le temps de commenter ne plus ? Merci beaucoup ! J'espère que ce chap' ne te décevra pas !
Pour la musique, n'oubliez pas que le lien est dans mon profil, vous n'avez qu'à cliquer.
Allez, place au spectacle. On se retrouve en bas.
Chapitre X
Échec...
« Les survivants ont des cicatrices. Les victimes ont des tombes. »
-x-x-x-
-David, David Haran. Je suis le coéquipier de Quinn Fabray. Le jeune homme s'avança légèrement, regardant autour de lui d'un air perdu. Je souhaiterais la voir s'il vous plait.
L'infirmière ne se gêna pas pour el reluquer de haut en bas, un sourcil arqué en signe d'appréciation, et, alors qu'à l'habitude il aurait trouvé ce geste flatteur, il ne put empêcher une appréhension et gêne de grandir en lui, desserrant légèrement sa cravate.
-La dernière chambre, tout au bout du couloir. Elle pointa un doigt fourchu en direction d'un couloir éclairé de cette lumière affreuse. Il détestait les hôpitaux. Faite attention, elle a déjà deux amies là-bas, il ne faut pas trop la fatiguer.
Il hocha la tête dans sa direction, et se dirigea finalement vers la chambre de la blonde. Il hésita presque à toquer, une peur lancinante de la discussion à venir le paralysant sur place. Rassemblant tout son courage, et se persuadant qu'il n'avait rien à craindre de cette femme avec qui il travaillait tout les jours, sa main frappa contre le bois, et il n'attendit pas d'invitation pour entrer. Trois paires d'yeux se tournèrent dans sa direction, et il avala difficilement sa salive.
-Quinn… Il s'avança d'un pas... Comment vas-tu ?
La blonde jeta un regard en direction de ses deux colocataire et amis, puis laissa un sourire s'étirer sur son visage.
-Beaucoup mieux David, merci.
-Bien, bien….
Sa main passa dans ses cheveux en ce geste que Quinn savait nerveux. Il ne l'utiliser qu'en deux occasion de toute façon : Nervosité ou pour faire son charmeur, et il était évident pour la blonde qu'il n'essayait absolument pas de charmer les trois femmes présente dans la pièce. Le silence était pesant, et la latina se décida à prendre la parole.
-On devrait y aller Fabray. Elle ne lâchait pas David des yeux, et le garçon se sentait de plus en plus mal sous le regard perçant de la brune. Nous reviendrons plus tard.
Mais le regard que lui lança la blonde la fit s'arrêter brusquement, et Brittany manqua de lui rentrer dedans. Santana devenait folle ou Quinn l'implorer de rester ? Son regard se reporta sur le jeune inspecteur, et elle haussa un sourcil. Il fallait qu'elles soient présente toute les trois pour pouvoir être crédible si des interrogatoires venait à se produire. Raconter une version ne serait-ce que infimement différente avec ce Black au commande serait comme signer un arrêt de mort.
-Tout compte fait on va rester là, gamin.
David se retourna subitement vers la brune et la regarda de haut ne bas d'un air encre plus ahurit que celui avec lequel il était arrivé. Elle est plus jeune que lui. Il secoua sa tête de droite à gauche, plus pour lui-même que pour une négation quelconque à la latina, et se retourna enfin vers la blonde. Celle-ci se redressa difficilement dans son lit, et porta une main se voulant calmante à son abdomen. Elle mourrait d'envie de s'envoyer une dose de morphine comme lui avait spécifié les infirmières, mais elle savait que pour la discussion à venir être sous l'influence du médicament serait une trop grande faiblesse. Quinn avait appris à respecter ses adversaires, dans un jeu intellectuel encore plus. Faire l'erreur stupide de croire son ennemi facile à battre était le premier pas vers la défaite. Il fallait qu'elle mette David de son côté, et elle voyait au regard perdu du jeune homme que cela pourrait s'avérer difficile : Des années de partenariat ne suffiront pas à excuser un meurtre, et même si l'homme ne lui voulait aucun mal, sa conscience lui criait de tout révéler, quitte à révéler sa partenaire avec la vérité. Quinn n'avait plus qu'à tourner et manipuler cette vérité en sa faveur. Un coin de son esprit se renfermer déjà face aux prochaines paroles qu'elle devrait échanger avec l'inspecteur.
-Ecoute Q, je sais que…
-Non, tu ne sais pas David. C'est bien ça le problème. La blonde inspira un grand coup, se mordit l'intérieur des joue sous la douleur que sa respiration lui envoya. Je lai tuée. Elle planta son regard ans les yeux de son coéquipier, homme si tendre malgré son côté dragueur. Je l'ai tuée alors qu'elle était innocente. Derrière David, Santana se dirigeait vers la porte, faisant muraille entre David et celle-ci.
-Pou-pourquoi Q ? Servir et protéger, tu… Tu es flic bordel !
La blonde essaya de rendre son visage le plus doux possible, et laissa la douleur de son abdomen l'inonder. Brittany sembla s'en rendre compte et se porta à sa droite pour envoyer une dose de morphine, mais la blonde la retint de justesse. La brune quand a elle cherchait désespérément un objet tranchant. Elle ne pouvait pas le laisser sortir de cette pièce après la bombe que venait de lâcher cette idiote de Fabray pas vrai ? Que diable qu'ils soient dans un hôpital public, elle n'irait pas en prison parce qu'un flic a eu un excès de conscience et que sa colocataire ait perdue la raison. Lentement, elle ferma la porte à clé en essayant de ne pas faire claquer la serrure en procédant. Mais la blonde entendit, et lui jeta un regard noir.
-Je suis flic oui, mais j'étais autre chose avant de l'être David ! Quinn ravala difficilement sa salive sous la douleur de son abdomen. Elle le toucha pensivement. Ce n'est pas la première cicatrice que j'ai ici Haran. Elle dirigea son regard vers lui avec un léger sourire. Je pense que tu as pu le constater dans els vestiaire. Il rougit légèrement et détourne els yeux. J'ai… J'ai était violé quand j'avais 17 ans. Elle eut un rire amer. Enfin, j'allais avoir 18 ans quelque mois plus tard, mais qu'est-ce qu'on s'en fiche pas vrai ?
-Quinn, je...
Il semblait si désolé. Se rapprochant d'elle il hésita cependant à la toucher. Elle eut envie de poser sa main contre sa joue pour le rassurer, mais la douleur se faisait de plus en plus extraordinaire, et elle ravala ses larmes. Parfait. Derrière eux, Santana commençait à imbriquer les pièces du puzzle que la blonde était en train de créer. Elle resta quand même plantée contre la porte, terrifiée à l'idée que la conscience de cet idiot ne prenne le dessus sur sa pitié.
-Il n'y a rien à dire. C'est fait David, et personne ne peut le défaire. Je m'en suis déjà chargé. Quinn chassa cette pensée d'un geste de tête, remettant ses cheveux rebelle un peu plus en ordre se faisant. Mon père… Je pense que tu le connais. Tout le monde le connait. Un sourire se dessina sur son visage, vide de toute joie. Il m'avait demandé de revenir juste avant… J'ai dit non. Et pour tout te dire, c'est même le preux chevalier qui a tenu tête à mon si terrifiant papa, qui m'a violé quelques heures plus tard. Elle se retint de rire devant l'ironie de la situation, et se concentra sur son abdomen brûlant. Le fait est que, je n'ai rien pu faire. Et quand mon père m'a vue revenir en sang, il n'a rien trouvé de mieux à faire que me dire que je l'avais cherché. Et que je le méritais.
-Mon dieu…
David se laissa tomber sur la chaise à côté du lit de la blonde, et se passa la main dans ses cheveux. Quel genre de père dirait ça à sa fille ? Lui qui affiche une image du parfait chrétien et père de famille ? Il eut un haut le cœur, et n'osait plus porter son regard sur la jeune femme. Celle-ci laissa échapper un rire.
-Oh crois moi, je l'ai prié ce Dieu… Un soupir lui échappa. Mon père était abusif. Dans tout les sens du terme, aussi ragoûtant qu'ils soient. Il.. Il m'a punie ce soir là, avec sa chère ceinture. Quinn laissa sa phrase trainer se concentra un peu plus sur sa douleur, se redressant volontairement, amenant des larmes à ses yeux.
-x-x-x-
-Sale trainée !
Il attrapa son bras si violemment qu'elle cru qu'il aller se disloquer.
-Monstre ! Va prendre une douche tout de suite, je ne veux pas de tes horreurs dans ma maison, tu es déjà bien assez.
Quinn se dirigea lentement vers la salle de bain de l'étage, et regretta presque d'être revenue. Naïvement, la blonde avait cru que la chaleur d'un foyer maternel l'aurait aidé à oublier ces souvenir affreux qui hantai son esprit et son corps, mais à chaque marche quelle grimper, son envie de s'arracher la peau ne faisait qu'empirer, et une nausée qu'elle avait grâce à la brune réussie à oublier revint la frapper de plein fouet, lui ordonnant de presser le pas. Arriver devant les toilette, elle se laissa enfin aller et laissa son maigre déjeuner sortir d'elle. A chaque contraction que son estomac lui infligeait dans la régurgitation, elle sembla ressentir les coups de reins violents du jeune garçon, et elle n'eut que plus envie de vomir. Elle n'arrivait même plus à pleurer, et pour tout dire elle n'était même pas sûre que cela l'aiderait d'une quelconque façon. Pourquoi Lui faisait-il ça ? Pourquoi dans Son grand amour envers Ses enfants lui infligeait-il ça ? Ses yeux la brûler et elle se décida à se relever, difficilement, en se dirigeant vers la baignoire. Elle ne prit même pas la peine d'enlever ses vêtements, et se recroquevilla juste dans un coin après avoir allumé l'eau. Le liquide chaud l'aida à se détendre, et rinça le sang et autre saleté qui s'était accumulée sur elle. Son regard se perdit dans les filés rouges qui se mêlaient à l'eau à ses pieds, et elle se retint difficilement de vomir une nouvelle fois. Levant la tête, elle avala un peau de l'eau coulant sur elle, et se rinça la bouche.
Tout pour oublier, pour laver tout ça. Recrachant, un sanglot lui échappa. Plus jamais sa vie ne serait pareille. Plus jamais elle n'aurait à l'esprit tranquille. A chaque instant de sa vie elle se rappellerait ce que cet homme lui avait fait, comment sa vie était laissée avec un trou béant en son milieu, impossible à oublier ou refermer. Elle avait prié pourtant, de toutes ses forces, et Il n'avait rien fait que lui envoyer ce garçon sordide. Pendant quelque instant son esprit fut satisfait de ne pas lui avoir accordé un enterrement propre, mais la culpabilité qu'Il pourrait entendre ceci la fit éclater en sanglot. Pourquoi ? Pourquoi ?
-Sort de là tout de suite !
Quinn se redressa si vite qu'elle crut glisser, et elle commença à retirer ses vêtement.
-J'ai presque finit père.
Il ne répondit pas, et la blonde attrapa le premier gel douche à sa portée. Alors qu'elle commençait à vraiment se laver, elle se demanda vaguement ce que sa mère aller dire, ou si elle dirait quoi que ce soit. Elle ne t'a jamais aidée, pourquoi commencerait-elle maintenant ? A cette pensée, ses larmes se mélangèrent à l'eau tiède, et elle frotta si fort son corps qu'il devint rouge et encore plus douloureux, sa peau irritée lui envoyant une douleur similaire à une brûlure.
-Sort.
-J'arrive.
Et quand elle arriva, il était là, de toute sa grandeur, sa ceinture dans la main droite et des affaire de rechange ans la gauche. Il lui tendit les affaires, et elle referma la porte, laissant tomber sa serviette. Pas encore, je vous en pris. Elle avait fuit tout ça, s'était pris un logement sordide pour ne plus subir tout ces coups, tout ces reproches, et était si satisfaite de respirer enfin qu'elle avait presque oublié la peur horrible qui lui coupait le souffle à chaque fois qu'elle le voyait. Elle enfila ses sous vêtement. Au début, elle avait essayé de cacher ses ceintures, mais si ce n'était pas elles, c'était un vieux bâton de bois, et elle préférait encore le cuir et métal souple que le mordant déchirant les chaires du bâton. Elle c'était résignée à jouer la parfaite fille modèle, mais bientôt même la plus petite erreur tel que ne pas mettre correctement les couvert à table devenait une raison suffisante pour ces séances de « redressage ». Passée plusieurs années, et devant le silence étourdissant de sa mère, aussi victime qu'elle et coupable que son père, elle s'était décidée à partir. Bien sûr, il était venu à sa recherche, lui avait ordonné revenir : un avocat qui met sa fille à la rue à 17 ans, ça ne va pas. Mais elle l'avait menacée de révélé la véritable nature du grand Russel Fabray, et un accord silencieux avait émergé entre les deux, se jurant de se laisser tranquille tant que l'autre ne tentait rien.
ET voilà que maintenant, elle revenait se jeter dans la gueule du loup, les bras grand ouverts.
Elle passa son t shirt, et avec une profonde inspiration, elle ouvrit la porte.
-Dans mon bureau.
Il était presque effrayant de constater qu'il n'avait pas bougé d'un seul centimètre pendant tout le temps qu'elle avait pris pour s'habiller, faisant trainer en longueur le plus possible. Pourquoi devait-elle subir ça après cette nuit horrible ? Pourquoi ne pouvait-elle pas aller se coucher dans son vieux lit à l'odeur de livre, se recroqueviller et penser aux paroles rassurantes de la brune ? Elle savait qu'elles n'étaient pas destinées à elle, mais elle n'avait plus rien d'autre à quoi se raccrocher, et ce mensonge semblait si doux.
Son bureau n'avait pas changé, et il aurait pu sembler être figé dans le temps si ce n'est la pile de dossier incroyable qui s'entasser sur le meuble principale de la pièce. Une partie du succès de son père ne tant qu'avocat venait du fait qu'il ne s'arrêtait vraiment jamais à part dans son sommeil. Et encore, sa mère lui avait dit une fois qu'en pleine nuit il s'était réveillé en sursaut après un rêve lui révélant une stratégie imparable. Son père était obsédé par son travail, celui-ci le dévorant comme une Moby Dick de papier.
-Assise.
Quinn s'efforça de se claquemurer aussi loin qu'elle le pouvait. Au chevet de la petite brune, veillant sur son sommeil qu'elle savait devenir agiter après la nuit effroyable qui s'était déroulée.
-Ne bouge pas.
Et le premier coup tomba. La sensation familière, devenue synonyme de la présence de son géniteur, se répandit à travers tout son dos, et la fit presque plier sous le choc. Elle essaya de se concentré sur l'originalité ont il avait fait preuve ce soir en choisissant un cuir plus dur et une boucle plus épaisse, essayant coute que coute d'oublier le garçon, le sang, les coups et cette chose si horrible en elle s'écoulant comme le sang contre son dos après le troisième coup.
-Russel !
Son souffle se coupa. En bientôt 18 ans de vie, jamais sa mère n'était intervenue entre lui et elle. Jamais. Son regard n'osait se tourner dans sa direction, derrière elle, et elle se contenta de fixer écarquillée le vide, tremblant sous la douleur, les souvenirs, la surprise.
-QUOI ?
Elle jura que les livres de sa bibliothèque aller s'effondrer avec l'écho de sa voix, et elle ferma les yeux de peur.
-Elle… Elle a déjà eut sa punition chéri… Elle essaya de saisir son bras tendrement malgré un air effrayé collé à son visage, mais son mari se recula.
-Non ! Ce qu'elle a subit ce soir était mérité pour le monstre qu'elle est. Maintenant, sa véritable punition a lieu, comme le Grand Seigneur l'aurait voulu.
Judy laissa son regard tomber sur elle, et Quinn rassembla tout son courage pour porter le sien vers sa mère. Une larme coula sur la joue maquillée de la femme, et elle l'essuya si vite que la blonde crut voir là une habitude. La femme quitta la pièce sans un mot, alors que la ceinture s'abattait une quatrième fois sur elle, la faisant s'écrouler à terre.
-Debout, ingrate !
-x-x-x-
-C'était ça, els cicatrice ?
Cette fois-ci, la blonde se tendit réellement, et fixa le vide, semblant se déconnecter totalement de la réalité. Le jeune homme sembla trouver cela étrange et s'apprêtait à renouveler sa question malgré l'atmosphère si pesante, mais Santana se décida à intervenir en posant sa main sur l'épaule de l'inspecteur.
-Quinn a dû subir beaucoup de chose, qui l'ont marquée de toutes les façons possible… lança un regard rapide vers la blonde toujours perdue dans ses pensées. Je… La fille de l'autre soir, Fabray a eu une crise, une sorte de panique quand elle a voulu se forcer sur elle.
David sembla réfléchir quelque instant.
-Légitime défense !
Il se leva soudainement.
-C'est bon, je n'ai pas à mentir, tout va bien ! Quinn a juste cru à un autre viole.
Il sembla regretter le ton enjoué qu'il avait employé et se calma subitement.
-NON ! Santana se reprit plus calmement. Ecoute, elle attrapa le grand brun par le bras et le tira à l'écart. Q m'a parlé d'un certain Black au boulot qui n'arrête pas de la suivre. Si tu révèle ce qu'il s'est passé il lui mettra tout les égorgements de New York sur le dos.
David hésita à aller se rassoir, parce qu'il sentait ses jambes tremblante sous lui, et comment pouvaient-elles le soutenir si elle n'arrivait même pas à être stable et si son cerveau lui hurlait de s'écrouler ? Sa main se porta à son front, et il hocha la tête.
-Tu as raison… Il lança un regard derrière lui vers le lit blanc. Même si je ne sais toujours pas ce que Quinn lui a fait pour lui faire porter autant de soupçons sur elle. Il soupira, et repassa une main dans ses cheveux.
La brune rigola légèrement.
-Fait gaffe avec ça, elle pointa sa main d'un geste de tête. Tu vas finir par perdre tes cheveux à force.
Il rigola légèrement, même si le cœur n'y était définitivement pas.
-Je… Je crois que je vais vraiment couvrir ça. Je n'en reviens pas de ce que je vais faire. Il soupira encore une fois, et la brune se força de sembler tendre. Et pour tout te dire tout ça me semble si absurde, Q n'était pas responsable de ses gestes. Il se dirigea vers la porte, et la brune écarquilla des yeux. Merde. Je le ferais. Pour Q. Mais un jour la vérité devra être dite. Il commença à tourner la poignée. Merde.
-David ! La latina l'attrapa par le bras et le tira vers la fenêtre, se plaçant une fois de plus entre lui et la porte. Elle fit un geste de tête en direction des médecins à l'extérieur. Comment tu vas faire pour couvrir tout ça et en même temps leur fournir ce qu'ils veulent ? Sa main était déjà après la poignée, et essayer de déverrouiller la serrure sans faire de bruit.
-Oh… Ca. Il eut un air abattu, et Brittany qui était silencieuse jusqu'à maintenant se retint difficilement de lui faire remarquer sa ressemblance à un chiot. Je mettrais tout ça sur le dos d'Audacity.
La brune l'interrogea du regard.
-Audacity… L'égorgeur de New York. Black n'est pas très inspiré niveau nom. Il eut un sourire sincère, et ajouta. Quinn sera juste une passante se faisant volé dans une rue, ça dégénère et elle est blessée. Il faut cependant qu'elle se prépare aux questions de Black. Le légiste confirmera que la victime est morte le même jour où Quinn se fait attaquer, et il a déjà des soupçons sur elle.
Sa voix traina, et il commençait déjà à réfléchir au plan à établir. Il se dirigea vers la porte, et cette fois Santana ne le retint pas. Quand elle se retourna vers la blonde toute sourire, elle fut surprise de constater que celle-ci avait une larme solitaire qui coulait sur sa joue.
-x-x-x-
-Oh, pardon !
Rachel ne pris pas la peine de relever son regard et continua sa route, mais une main la retint en arrière, l'attirant vers son propriétaire.
-Rachel, justement, je pensais à toi.
-David, quelle bonne surprise.
Un sourire éclaira le visage de la jeune femme, et l'inspecteur ne put s'empêcher de pensait qu'il n'était pas aussi lumineux qu'à l'habitude. Pourtant, il avait souvenir que Quinn était plus proche d'être une ennemie pour la brune qu'une amie…
-Tu sais, elle a déjà Santana et Brittany avec elle, et je n'ai pu entrer que parce que je suis de la police… Je ne sais pas si tu auras le droit. Il lança un regard vers le couloir où se trouvait sa coéquipière, moins perdu cette fois-ci, jusqu'à ce qu'il le repose vers la jeune femme. Pourquoi étais-tu avec Quinn ?
Rachel sembla réfléchir quelque instant, ne voyant pas de quoi il parlait, puis compris. Des années de performance lui firent retenir de justesse sa panique. Que devait-elle dire ? Qu'est-ce que les trois lui avait dit ? Encore une fois, c'était quitte ou double.
-Quinn est une vieille amie. Je voulais m'assurer que tout ce passerait bien, mais je suis arrivée trop tard…
Haran sembla perplexe quelques instant, essayant d'imaginer les deux femme à la rivalité si perceptible amie, mais sembla s'en accommoder. De toute façon, d'ici la fin de la journée, il ne resterait plus aucune trace de Quinn ou de Rachel sur les lieux, et seulement celle de l'égorgeur de New York.
-A bientôt Rachel, et prends soin d'elle pour moi veux-tu.
Un sourire sincère accompagna la phrase du jeune homme, et la brune lui retourna la même mimique, hochant la tête positivement.
- Crois-moi, je ne vais pas la quitter d'une semelle.
Elle se détourna de lui et se dirigea vers la chambre, perdant toute émotion sur son visage.
Et voilà. Pfuiii.
Donc, encore une fois, on en apprends plus sur Quinn et son passé. J'espère que vous arriverez à voir la subtile manipulation qu'elle met en place avec David, et ce que cela révèle sur sa personnalité.
En attends vos avis avec impatiences, négatif ou positif !
See ya
10/12/14
