Bonjour à vous fidèles lectrices et merci de continuer à me suivre.

Ma semaine n'ayant pas été aussi chargée, j'ai eu le temps d'écrire un nouveau chapitre que vous allez sans doute apprécier. Surtout si vous êtes friandes de romance, voire plus ! -)

Surtout, un grand merci à ben40550 et à Pims10 pour leurs reviews.

Si vous n'êtes pas encore allé sur mon blog, allez-y faire un tour pour voir les photos qui illustrent mon histoire à chaque chapitre : royal-twilight . Skyrock . com (supprimez les espaces).

Je rappelle que cette histoire est classée M, à nouveau pour ce chapitre :

ATTENTION LEMONS EN VUE ! ça va être chaud, mais vous n'attendiez que ça ! n'est-ce pas ? -)

***LATRP***

12. Une nuit au Plaza

13-14 septembre 2030

[PDV Edward]

Alors que je désirais ardemment être à 600 kilomètres d'ici, il fallait que j'assiste à cette fichue inauguration à Cardiff. Ce qui m'éloignait encore un peu plus de Bruxelles.

J'étais certain qu'elle l'avait fait exprès de m'envoyer à l'autre bout du pays ce jour-là.

Quelques secondes après avoir coupé le ruban d'ouverture, la pluie se mit à tomber dru. L'averse fut si abondante que la cérémonie fut interrompue, à mon grand soulagement.

Je m'empressai d'aller trouver mon chauffeur et lui demandai de me conduire le plus rapidement possible à l'aéroport.

Par chance, Dieu devait être de mon côté, car un vol pour la Belgique s'apprêtait à embarquer les passagers. Je payai assez cher pour un siège en classe affaire et me dépêchai de traverser le terminal et de passer le contrôle sans m'arrêter pour rejoindre la porte d'embarquement.

Dans ces moments, j'appréciais vraiment mon statut pour ne pas avoir à être fouillé aux douanes.

Ce n'était pas très écologique de ma part, pour quelqu'un qui défendait l'environnement. Mais pour parcourir cette longue distance qui me séparait d'elle et aussi rapidement, je n'avais pas trop le choix de prendre l'avion. Malheureusement, il n'y avait pas de vol direct pour Bruxelles. Je devais donc faire une escale de plus d'une heure à Amsterdam.

***LATRP***

Lorsque j'arrivai enfin en Belgique, je pris un taxi privé pour me rendre à l'hôtel Plaza, en plein centre de la ville et à 5 kilomètres du château de Laeken.

Je montai dans ma chambre me changer rapidement, afin d'enfiler un costume vert d'Armani que j'avais emporté avec moi dans le cas où j'aurais pu me rendre à la fête pour Bella.

Quand je parvins finalement à la réception, il était déjà plus de 20 heures et la soirée bien avancée.

J'aperçus ma famille en compagnie de l'invitée d'honneur. Je m'avançai vers eux et vis leur regard surpris par ma venue. Je n'avais en effet prévenu personne que j'avais finalement pu me libérer.

Surpris de me voir, apparemment ! lâchai-je lorsque je fus devant eux.

Tu es quand même venu, frangin, c'est super ! me lança Emmett toujours aussi joyeux.

La pluie a clôturé l'événement plus tôt que prévu, alors je me suis dépêché d'aller à l'aéroport et j'ai eu, par chance, un avion pour Bruxelles qui partait dans l'heure.

On va vous laisser, nous dit ma sœur. Vous avez des choses à vous dire.

Puis elle s'éloigna avec les autres sur la piste de danse.

Elle était magnifique dans sa robe verte, comme par hasard assortie à mon costume. Je n'avais qu'une envie, c'était de la toucher et gouter à ses lèvres rendues encore plus pulpeuses, sans doute par le rouge à lèvres pourpre qu'elle portait ce soir.

Je devais me retenir de ne pas sauter sur elle, ce qui me frustrait à un tel point, que je devais probablement lui sembler contrarié. Mais je devais rester impassible en public.

J'étais certaine que tu ne viendrais pas finalement, déclara-t-elle si froide.

Je t'ai promis que je viendrais si tu m'envoyais une invitation. J'ai failli ne pas venir, mais il fallait que je te vois au moins une dernière fois, lui répondis-je péniblement.

Pourquoi venir me voir ? me demanda-t-elle. Si c'est pour être si distant avec moi !

Tu peux bien parler, grognai-je alors. Tu n'as même pas souri depuis que je suis arrivé !

Parce que je devrais te sourire ! se fâcha-t-elle un peu trop fort.

So ton avait été si perçant qu'elle attira les regards des certains invités proches de nous. Je décidai aussi de nous éloigner des yeux et oreilles indiscrets pour l'entraîner sur la piste de danse.

Nous valsâmes quelques minutes, restant indifférents l'un à l'autre et évitant chacun de trop regarder l'autre dans les yeux. Lorsque la musique se termina, je stoppai net notre ronde.

Au fait, joyeux anniversaire ! lui lançai-je enfin. Tu es magnifique, comme toujours.

Et sur ce, je l'abandonnai une fois de plus et partis discuter avec mon frère et sa femme.

***LATRP***

Un peu plus tard, Alice m'emmena à l'écart pour parler. Sauf qu'elle ne faisait pas que discuter, mais m'accablait de reproches, m'accusant de faire du mal à son amie.

Bon sang Edward, me gronda ma sœur. Quand vas-tu cesser tes enfantillages ?!

Alice, occupe-toi de tes affaires ! rouspétai-je.

C'est de mon amie qu'il s'agit ! se fâcha celle-ci. Et tu n'arrêtes pas de lui briser le cœur !

Et moi dans tout ça ? m'énervai-je. Que crois-tu que je ressente ?!

Justement, si tu ressens quelque chose, alors pourquoi tu ne te bats pas pour elle ?!

Granny m'a clairement démontré qu'elle désapprouvait, je ne peux pas aller contre son avis, je risquerais de tout perdre moi aussi !

Oh, ce n'est pas comme si tu allais devenir roi un jour Edward, elle devrait quand même finir par comprendre ! mais si tu ne te dépêche pas, il sera trop tard !

Tu veux que je me batte mais elle alors ?

Edward, je t'ai déjà expliqué ! s'exaspéra le lutin.

Je ne veux plus rien entendre, je rentre à l'hôtel ! dis-je, agacé par la froideur d'Isabella et les blâmes de ma sœur, je rentrai donc dormir au Plaza.

Dès que je rentrai dans ma suite, je retirai mon costume pour le ranger dans la penderie et restai en caleçon pour rentrer dans mon lit King size bien froid.

***LATRP***

Je passai les deux heures suivantes à me retourner dans mes draps, sans pouvoir trouver le sommeil malgré la fatigue que j'avais sentis un peu plus tôt.

Je me relevai et revêtis les vêtements que je portais en arrivant, un pantalon et une chemise noirs.

Je descendis au bar de l'hôtel qui était vide mais heureusement toujours ouvert.

Un scotch whisky s'il vous plait, demandai-je en français au serveur.

Pur malt ou single malt ? me demanda-t-il.

Peu importe tant que c'est bien alcoolisé. Oh et passez-moi la bouteille tout compte fait !

Comme vous voulez Monsieur.

Vous mettrez ça sur ma note, ajoutai-je. À la princesse Isabella ! trinquai-je ensuite.

À la princesse ! dit-il également.

J'ingurgitai la liqueur cul sec et me resservis un verre, puis un autre, jusqu'à ce que je terminai la bouteille et que je me sente un peu plus éreinté que je ne l'étais avant de boire.

Je remontai à ma chambre en tanguant légèrement mais tenant toujours debout.

Je dessoulai vite lorsque je vis qui se trouvait devant la porte de ma chambre.

Au premier coup d'œil, je fus surprise de la voir là à m'attendre. Mais sa froideur me revint en mémoire ce qui me refroidit, malgré le plaisir que j'éprouvais au fond de moi, me faisant sourire légèrement. Mais ça ne dura qu'une mini seconde. Lorsque j'approchai d'elle, je remarquai qu'elle paraissait toujours aussi irritée, ce qui me contraria quelque peu. Je tentai de rester le plus neutre possible, sans montrer de quelconque émotion sur mon visage quand j'arrivai à ma porte.

Qu'est-ce que tu fais là ? lui demandai-je sèchement.

Il faut qu'on ait une discussion une bonne fois pour toute, répliqua Bella.

Ok, parlons ! dis-je.

Pas ici, imbécile ! gronda-t-elle, me faisant remarquer que nous étions dans le couloir.

Je passai ma clé électronique contre la serrure de la porte, ce qui déclencha l'ouverture de celle-ci.

Entre ! l'invitai-je alors, lui indiquant l'entrée de la pièce.

Je la laissai entrer et la suivis en claquant la porte derrière nous, ce qui la fit sursauter.

Alors, dis-je soudainement, discutons maintenant !

Tu n'as pas vraiment répondu à ma question, quand tu es arrivé à la soirée ! me reprocha Bella. Pourquoi tu es venu alors que tu as passé ton temps à m'ignorer depuis Paris ?

J'étais avec ma grand-mère, ce n'est pas comme si je pouvais la laisser, juste pour répondre à tes coups de fil ou tes textos !

Je ne sais pas pourquoi je passe mon temps à courir après toi ! protesta-t-elle. Apparemment je suis la seule de nous deux à avoir un cœur !

Tu me reproches encore d'être indifférent avec toi, alors que tu es si froide avec moi depuis tout à l'heure au château, et même encore maintenant !

J'ai le droit de t'en vouloir pour m'avoir ghostée depuis des semaines après ce qui s'est passé entre nous ! On ne s'était rien promis, mais de là à m'ignorer complètement !

Je suis certain qu'Alice a déjà dû tout te dire au sujet de l'avis de la reine sur nous !

En effet, et je vais te poser la même question qu'elle ! Pourquoi tu ne te bats pas pour moi ? à moins que j'ai raison, tu ne ressens rien !

Ne dis pas ça, ce n'est pas vrai ! me plaignis-je désespéré. J'ai juste peur de tout perdre et qu'au final, nous ne soyons pas faits l'un pour l'autre ! Toi tu es peut-être prête à te marier au premier venu pour devenir reine, mais moi je veux vivre ce que mes parents ont, comme ce qu'Alice et Emmett connaissent également !

Si je pouvais changer la loi, je me battrais pour que nous ayons plus de temps, mais je n'en ai malheureusement pas ! je ne peux pas attendre que tu te décides et je ne vais pas t'obliger à le faire. Ce ne serait pas juste, surtout si tu n'éprouves pas la même chose …

Exaspéré par ses fausses insinuations, je me jetai sur ses lèvres pour la faire taire, la poussant contre le mur et l'embrassant à pleine bouche. Je voulais lui montrer qu'elle avait tort de supposer que je ne ressentais rien pour elle, alors qu'elle me rendait complètement fou dès que je la voyais.

Ses lèvres avaient le gout délicieux de fraise et de champagne, que je ne pouvais résister.

- Juste une nuit Edward ! me supplia-t-elle. Fais-moi rêver, s'il te plait. Donne-moi l'illusion d'être celle pour qui bat ton cœur.

- Bella? On ne peut pas faire semblant.

- Edward, s'il te plait, donne-moi l'illusion d'être ta perle rare.

- Bella, je ne comprends pas ce que tu veux.

- Je veux être ta femme Edward, rien qu'une fois.

Je ne pus rien ajouter et me pliai à sa volonté. Je pris à nouveau ses lèvres brusquement. Elle aurait tout ce qu'elle voulait parce que c'est pour elle que battait mon cœur. Je le sentais bondir dans ma poitrine depuis plusieurs minutes déjà.

Je l'enveloppai de mes bras et, sans lâcher ses lèvres, je la déposai sur le lit et m'allongeai de tout mon long sur elle. Je fondis dans son cou tandis que ses doigts glissèrent dans mes cheveux.

- Es-tu certaine de ce que tu veux Bella? lui demandai-je.

Je me redressai sur mes coudes et attendis sa réponse.

Je brulerais en enfer pour ça mais… oui, certaine.

Son « oui » n'avait jamais été aussi clair et je vis dans ses yeux qu'elle était sûre de ce qu'elle voulait. Si je devais être damné pour avoir désobéi à ma grand-mère, autant le faire avec application.

Elle se cambra contre moi et mes mains se faufilèrent dans le bas de son dos. Je l'embrasai profondément comme si ma vie en dépendait.

Je vais t'aimer Bella, aussi fort que je le peux.

Je repris ses lèvres et mes mains pétrirent chaque centimètre carré de sa peau. Je la désirais tellement que tout mon corps était sur le point d'exploser. Je me retins pour ne pas mordre ses lèvres, pour ne pas enfoncer mes doigts dans sa chair, pour ne pas l'étouffer entre mes bras. Ses doigts tremblants essayèrent de déboutonner ma chemise et de l'enlever, pendant que je lui retirais sa robe. Mes mains passèrent sur ses jambes et se calèrent directement sur ses fesses. Je fus bouillant de désir et la moindre de ses caresses hésitantes sur mon torse m'électrisaient. Elle retint des gémissements et je voulus lui crier de se laisser aller. Mais à la place, je la caressai doucement et la léchai, embrassai, mordillai tout ce qui passait à proximité de ma bouche et qui n'était pas couvert par du tissu.

- Enlève ça Bella.

Je tirai un peu sur le haut de sa robe et elle leva son torse docilement, voyant mon impatience. Je passai ensuite les bretelles de son soutien-gorge par-dessus ses épaules et fondis sur ses petits seins ronds pendant que mes mains allèrent palper ses fesses rebondies enveloppées dans de la dentelle verte si fine, qu'il m'était impossible de détecter sa présence. C'était Noël au mois de septembre dans ma tête, dans mon corps et surtout dans mon cœur. Si je ne me retenais pas je serais déjà en train de la posséder sauvagement. Mais je voulais être doux avec elle. Je ne pouvais pas faire autrement, elle devait se sentir adorée, respectée, désirée.

Bella, je vais te faire du bien mon ange, je te le promets.

Mes mains accompagnèrent mes mots et couvrirent son corps avec douceur.

Elle ne cessait de répéter mon prénom et chaque fois ses miaulements venaient se loger entre mes jambes.

J'aspirai ses pointes dressées et descendis mon pantalon sur mes hanches. Du bout des doigts elle finit de le pousser sur mes fesses. En me tortillant j'arrivai à en extraire mes jambes mais ce ne fut pas facile, car mes lèvres étaient collées à sa merveilleuse poitrine et je n'arrivais pas à sortir mon nez de là. Sa peau fine avait un gout de fraise et était douce comme de la soie. Elle sentait tellement bon que mes poumons semblaient trop petits pour que je puisse me rassasier de son odeur.

- Hum Edward! gémit-elle en se tordant contre moi et je frottai alors mon entrejambe entre ses cuisses.

- Bella, j'ai tellement envie de toi!

Mes mains se posèrent fermement sur sa taille et j'embrassai son ventre et ses hanches.

Tu es belle ma Bella, tu es belle à en pleurer.

Je remontai sur elle et attrapai ses lèvres doucement. Ma langue explora sa bouche et nos sexes se frictionnèrent lentement. Je commençai à dire tout ce qui me traversait l'esprit. A quel point j'aimais sa poitrine ferme, l'arrondi de ses fesses, la longueur de ses jambes. Je la redressai et passai mes mains dans ses boucles en prolongeant mes caresses dans son dos. Elle se laissa faire et chaque fois que je lui parlais, elle se détendais sous mes doigts. J'embrassai son cou, ses épaules. Ma langue courut longtemps sur sa gorge.

- Hum Bella, ton corps est parfait!

Je remontai sur elle, mes mains passèrent sous son corps et je massai ses adorables petites fesses rondes alors que mon membre caressa son pubis. Elle ne bougea pas d'un pouce et seul son souffle saccadé trahissait son bien-être.

- Je pourrais me frotter à toi pendant des heures, lui avouai-je.

J'enfouis mon visage dans ses cheveux et humai son odeur que j'adorais.

- Edward, c'est bon.

Elle se cambra un peu plus et mon pénis devint vraiment douloureux, serré dans mon boxer. Je le poussai en arrière pour le libérer et ma peau rentra en contact avec la sienne. Elle frémit de la tête aux pieds. Mes doigts agrippèrent l'élastique de sa culotte et je la tirai lentement vers le bas. Elle consentit docilement et se retrouva complètement nue devant moi, parfaitement alanguie.

Putain, ce que t'es belle!

Tout mon corps réclamait cette délicate déesse et je m'empressai donc de la couvrir de baisers et de caresses. Tout y passa, l'arrière de ses cuisses douces, ses fesses parfaites, sa scandaleuse chute de reins. Je longeai son épine dorsale et m'arrêtai dans sa nuque fragile.

Edwardcouinât- elle la tête dans l'oreiller et moi je pris un plaisir dingue à frotter mon sexe tout dur sur ses fesses en la sentant se cambrer.

Elle écarte les cuisses et son postérieur remonte. Je me frotte de plus belle.

- Tu as un gout de paradis Bella. Je n'ai jamais autant désiré une femme que toi.

- Edward, tu me rends dingue !

- Laisse-moi mettre un préservatif, Darling. J'arrive.

Je quitte son corps à regret et trouvai mon bonheur vite fait. Je déchirai le papier, j'enlevai mon boxer entièrement et enfilai la capote. Je débandai un peu car ce truc me serrait trop mais je retrouvai rapidement ma vigueur en même temps que le corps de Bella qui n'avait pas bougé d'un centimètre. Je moulai mon corps au sien et elle soupira de bien-être. J'embrassai ses clavicules et poussai ses cheveux pour avoir accès à sa joue et sa bouche et caressai sa joue du bout des doigts.

Ma main glissa sur ses fesses et le bout de mes doigts effleura sa féminité que je découvris inondée. Je poussai lentement le bout de ma phalange en elle sans quitter son profil des yeux.

- Han!

Sa bouche s'entrouvrit et elle se mordit les lèvres, elle était la luxure incarnée.

- C'est bon ça, mon cœur?

Pour toute réponse elle couina et écarta un peu plus ses jambes. Mon doigt entra facilement en elle et j'embrassai une fois de plus son épaule.

- Ça va Bébé?L'interrogeai-je encore.

- Hum oui, continue !

Je retirai mon doigt et le replongeai délicatement. Elle étouffa un nouveau gémissement et je réitérai l'opération jusqu'à ce qu'elle se détendit complètement et qu'un deuxième doigt rejoignit le premier avec encore plus de délicatesse. Ses hanches commencèrent à bouger d'elles-mêmes et je sentis qu'elle voulait plus. Elle était prête. Mais moi j'avais encore besoin de sentir son plaisir sur mes doigts alors je les fis bouger doucement une fois qu'ils furent bien au fond d'elle, dans sa chaleur et sa douceur.

Han! Putain!Cria-t-elle.

Je souris contre son épaule avant de l'embrasser. Quel bonheur de l'entendre! Elle redressa ses fesses encore un peu plus, se cambra d'avantage, écarta encore ses cuisses. Juste de quoi me laisser une petite place pour que mon érection rentre en contact avec son intimité trempée, remplaçant mes doigts qui venaient de quitter son corps. Elle remonta encore ses fesses, m'offrant plus d'accès et j'embrassai sa joue en murmurant entre chaque baiser.

- Tu es merveilleuse.

Je frottai langoureusement mon membre sur son intimité, humidifiant le préservatif au passage.

- Bella, tu veux que je vienne en toi?

- Oh …Oui !

J'embrassai la peau de sa nuque et rentrai délicatement. Je soupirai de bien-être. Un long gémissement sortit de sa gorge.

- Tu es si chaude et si douce. C'était trop agréable, je m'enfonçai encore.

- Han Edward ! Souffla-t-elle d'une voix rauque.

- Ça va?

- Ouiiii !

- Dis-moi que tu aimes ça mon ange. J'ai besoin de l'entendre.

Je rentrai un peu plus et me retirai lentement pour avancer à nouveau.

- Oh oui Edward, j'aime ça, c'est trop bon!

Je glissai encore en elle et je sentis ses parois se resserrer sur moi alors qu'elle mordit ma main restée à proximité de son visage. Je me retirai tranquillement et revins un peu brutalement, pratiquement en entier cette fois. Elle n'arriva plus à respirer et tout son corps trembla. Je n'avais même pas fait trois aller-retour qu'elle jouit déjà. Elle était en train de prendre un sacré pied et je fus le plus heureux des hommes. Je regardai son merveilleux profil se perdre dans le plaisir.

- Oh! Bébé, t'es trop belle quand tu prends ton pied.

- Edward, plus fort !Elle s'agrippa à ma main et la serra avec toute la force qu'elle possédait. Edward c'est trop… han!

Elle me faisait un bien fou. Chaque centimètre carré de son intérieur palpitait autour de moi et j'eus envie de lui donner plus. Je mordis son épaule en me retirant presque en entier et elle s'arqua contre moi, cherchant mon contact. Je lui offris ce qu'elle voulait en la pénétrant plus fermement et elle cria de plaisir. Je la rejoignis en extériorisant ce qu'elle me faisait ressentir.

Oh c'est trop bon!

Elle n'arrêtait pas de trembler et après deux allers et retours plus secs, je me lâchai pour de bon. Je rentrai et sortis vigoureusement de sa délicieuse antre humide qui refusa que je m'éloigne et qui me comprimait à chaque fois que je tentais de m'extraire.

Je me redressai sur mes coudes et regarda ma queue luisante entrer et sortir d'elle. Entre nos corps. Putain j'allais jouir moi aussi et ça allait être puissant. Je reportai mon attention sur son visage, ses yeux étaient fermés, elle tenait toujours ma main près de son visage et ses dents s'enfoncèrent dedans entre chacun de ses gémissements de plaisir.

Oh Bella c'est si bon d'être en toi.

Je mordis ma lèvre pour ne pas crier et j'accélérai mes coups de rein. J'étais au paradis. Ce fut incroyablement sensationnel. Et lorsque je jouis en elle, je la sentis exploser à nouveau.

Je m'écroulai sur son ventre en me vidant dans le préservatif. Je la couvris de baisers frénétiques. Elle ne bougea pas pendant de longues secondes et sa respiration finit par se stabiliser.

Après quelques minutes ainsi, blottis l'un contre l'autre, je me retournai sur le dos, l'emportant avec moi. Elle posa doucement sa tête sur mon torse, qu'elle parcourut de petits baiser, tandis que je m'endormis enfin, exténué par la longue journée, l'alcool, notre dispute et nos ébats torrides.

***LATRP***

Lorsque je sentis le soleil m'éblouir les yeux, je les ouvris pour regarder l'heure et m'assis sur le lit afin de consulter mon téléphone. Heureusement je n'avais pas d'appel, ni de message.

Je sentis des mains venir me caresser les épaules et alors que l'une d'elles descendit le long de mon bras, je l'attrapai pour la presser contre moi. Bella vint donc blottir sa poitrine contre mon dos, embrassa ma nuque et frotta sa joue contre moi.

J'espère que tu ne regrettes pas cette nuit ? me demanda-t-elle incertaine en se recouchant.

Absolument pas ! lui dis-je, me retournant et me penchant pour l'embrasser.

Elle attrapa brusquement ma nuque pour poser mes lèvres sur les siennes et les prit goulument entre ses dents. Je sentis mon entrejambe se durcir plus, alors que mon érection matinale était encore là.

Bella balbutia des choses incompréhensibles. J'étais totalement hypnotisée par son regard brulant. Elle ne m'avait encore jamais semblé si intense je sentis à peine sa main m'effleurer la peau du cou.

- Bella, t'es… t'es la plus belle chose que … je n'ai jamais vu de ma vie. Tu es la plus désirable...

Mes lèvres se posèrent sur la peau de son épaule. Je la sentis frissonner de la tête aux pieds et elle ferma ensuite les yeux pour ressentir encore plus la sensation.

- La plus délicate...ajoutai-je.

Mon pouce effleura le galbe de son sein et elle étouffa un gémissement de plaisir. Je sentis la chaleur émaner de son corps. Mes doigts coururent sur son ventre pour gagner sa cuisse, lui envoyant de délicieuses décharges dans tous ses membres.

- Bella? Regarde-moi. Elle rouvrit les yeux et se noya dans les miens.

- Bella, chuchotai-je la voix rauque contre la peau de sa joue.

Mon souffle chaud sembla l'électriser. Et ma main qui courait sur la peau de sa cuisse paraissait la bruler délicieusement.

- Aucun homme ne devrait te toucher comme ça, Bella, seulement moi !

- Edward !

Ma main continua à courir sur sa hanche et elle s'oublia sous mon toucher.

- Edward, ne t'arrête pas, me supplia-t-elle.

- Tu en as envie ?

Mes lèvres caressèrent sa mâchoire et sa tête partit d'elle-même en arrière.

- Edward !

Sa respiration s'accéléra et je sentis son cœur battre la chamade dans sa poitrine aussi vite que le mien.

- Bella ! gémis-je en l'embrassant au creux de son oreille.

- J'aime ce que tu me fais, Edward.

- J'aime aussi ce que je te fais Bella.

Mon souffle traina dans son cou et entre ses seins, ce qui provoqua des frissons à travers tout son être. Puis mes doigts vinrent effleurer sa poitrine, avant d'être remplacés par mes lèvres.

Hum!

Son corps se remit à trembloter quand je touchai son mont de Vénus à travers les draps.

Comme une plume, ma main glissa sous la couverture et mon contact sur ses fesses la rendit encore plus fébrile qu'elle ne l'était déjà. Je sentis l'humidité couler entre ses cuisses. Je souris, constatant que j'avais le pouvoir de la mettre dans cet état. Mes lèvres quittèrent la naissance de sa poitrine et je vis que les pointes de ses seins durcirent quand j'embrassai son mamelon.

- Han ouiii !

Son corps se cambra et ma main qui pétrissait ses fesses passa sur son ventre bloquant sa hanche, me permettant de continuer cette extraordinaire torture.

Bella tu es divine, je me damnerais pour pouvoir toucher ton corps encore et encore !

Ses mots la firent fondre. Alors que ma main quitta son corps, elle regrettait déjà ma présence, que ses cuisses s'écartèrent d'elles-mêmes. Un nouveau gémissement s'échappa de sa gorge quand ma bouche se posa sur son sein droit et que je mes dents mordirent délicatement sur sa pointe. Je raffermis ma prise dans son dos et elle se rapprocha de moi. Ses doigts, plantés jusqu'alors dans les draps, empoignèrent ma nuque et elle serra mon visage contre elle. Je compris qu'elle voulait plus.

Edward! Oh Edward!

Ma main caressa son pubis et se logea sur son point le plus sensible Quand le bout de mes phalanges se mit à tourner doucement entre ses cuisses, c'est un feu d'artifice qui explosa en elle. Tout son corps se mit à trembler sous le plaisir, alors que sa respiration se bloqua sous le choc de l'intensité.

EDWARD! chanta-t-elle si fort que tout l'hôtel dut l'entendre.

Elle reprit difficilement son souffle dans un grand râle et se laissa emmener par la déferlante de bien être que je lui procurais. L'espace de plusieurs secondes, j'oubliai tout et Bella fut partout autour de moi. Il n'y avait plus qu'elle, sa peau sous mes doigts, ma bouche sur son sein, ma main sur son intimité, son odeur divine qui m'enveloppait de douceur.

Mon cœur qui s'était furieusement emballé reprit petit à petit un rythme normal et mes poumons se remplirent à nouveau d'air de façon correcte. Elle me coupait le souffle, tellement elle était belle dans sa jouissance.

Je plaçai mes mains de chaque côté de son visage et ma bouche alla se poser au coin de ses lèvres, aussi légère qu'une brise. Tandis que ses doigts vinrent frôler ma joue délicatement.

Après quelques minutes à se coller l'un contre l'autre, j'entendis un grondement provenant de mon estomac, ce qui fit rire Bella, puis à son estomac de protester à son tour.

Je décidai d'appeler le room-service pour nous apporter un petit-déjeuner en chambre.

En attendant qu'il arrive, nous discutâmes de ce qui allait arriver à notre sortie de l'hôtel.

Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? m'interrogea-t-elle en venant se caler contre moi.

Je ne pense pas pouvoir rester loin de toi encore plus longtemps ! protestai-je.

Alors ne le fait pas ! me supplia ma douce princesse.

Je parlerai à ma grand-mère, je vais la supplier à genoux ! plaisantai-je. Maintenant que j'ai gouté au plaisir de ta chair, je ne vais plus pouvoir m'en passer !

Edward, tu me promets que tu ne vas pas me ghoster encore une fois ?! insista Bella.

Je ferai ce que je pourrai, lui répondis-je sans pouvoir faire de promesse.

Après avoir avaler un copieux repas, nous primes une douche ensemble, nous frottant l'un l'autre avec l'éponge et le savon que nous trouvâmes dans la salle de bain.

Je la soulevai pour la coller entre mon corps et le carrelage et pris ses jambes pour les enrouler autour de ma taille, tandis qu'elle vint entourer ma nuque de ses petits bras délicats.

Je la pénétrai ardemment, sentant ses parois vaginales serrer ma queue, ce qui me poussa à la posséder encore plus fort et plus vite.

Oh putain oui ! Edwaaaaard ! cria-t-elle envahie par un puissant orgasme.

Isabellaaaa !! grognai-je alors que j'explosai à l'intérieur de son vagin.

Comment chaque fois peut être encore meilleure que la précédente ?! s'étonna-t-elle.

Probablement parce que c'est le cas ! déclarai-je avec un grand sourire.

***LATRP***

Il commençait à se faire tard, il fallait qu'on rentre chacun chez nous. Nous prîmes donc l'ascenseur pour descendre et je profitai de notre dernier moment d'intimité pour me délecter de sa bouche.

Lorsque nous fûmes au rez-de-chaussée, je la laissai quelques instant, le temps d'aller régler ma note. Puis je revins à nouveau vers elle, lui pris la main et l'emmenai dans un coin discret en attendant le taxi que je venais de commander à la réception.

Quand on nous annonça son arrivée, nous embarquâmes furtivement à l'arrière du véhicule.

Nous roulâmes jusque devant les grilles du château, où nous descendîmes tous les deux.

Je l'embrassai une dernière fois avant de remonter dans la voiture pour me rendre à la gare.

Tu m'appelles dès que tu lui auras parlé ? me questionna la duchesse de Brabant.

Dès que je le pourrai ! lui signifiai-je avant que le chauffeur ne démarre.

Dans le train qui me ramena à Londres, je réfléchis à comment j'allais aborder le sujet avec Granny.

Il allait falloir que j'aie une sérieuse discussion avec elle, en espérant qu'elle finisse par consentir.

***LATRP***

La fameuse conversation n'aura malheureusement pas lieu tout de suite, il faudra patienter de la lire au chapitre 14 ! La suite sera entièrement du PDV de Bella et comment elle vie l'après "Plaza''. Vous n'aurez peut-être pas à attendre trop longtemps -)