Bonjour chères lectrices (désolé s'il y a des garçons qui lisent, qu'ils le disent ! LOL) -)
Comme me l'a suggéré ben40550 par mp, je vous ai concocté un petit point de vue d'Edward (ce que je n'avais pas prévu) avant de passer à la Saint-Valentin qui sera entièrement vu par Bella. Vous aurez un petit différent pdv surprise à la fin du chapitre -)
Nous commençons directement là où nous nous sommes arrêtés au chapitre précédent.
Allez jeter un œil sur mon blog : royal-twilight . skyrock . com (sans les espaces) !
ATTENTION ! C'est la Saint-Valentin, donc des citrons sont à prévoir dans ce chapitre !
***LATRP***
20. Saint-Valentin
Février 2031
[PDV Edward]
Tout d'abord, avant de me rendre à Bruxelles pour voir Charlie, je devais demander officiellement l'accord de mon souverain pour demander en mariage la femme que j'aimais.
Ainsi, je me dirigeai vers Buckingham, où je savais pouvoir trouver mon père. Contrairement à sa mère avant lui, il souhaitait rester disponible pour sa famille, autant que pour le peuple.
Bonjour fils, me salua Carlisle lorsque j'entrai dans son bureau. Que me vaut le plaisir de te voir ici ? Un souci avec Isabella ?
Non Papa, pas de souci, répondis-je. Mais c'est bien à propos d'elle que j'aimerais te parler.
Ah, je vois ! s'exclama mon père peu surpris. Je m'y attendais, mais pas aussi tôt.
Tu sais pourquoi je viens te parler ? m'étonnai-je.
Je suppose que tu viens me demander l'autorisation de demander sa main ?
Euh… en effet ! Tu penses que c'est trop tôt ?
Si tu es sûr de toi, je ne vois pas pourquoi je te le refuserais !
Je suis sûr de moi ! lui confirmai-je. Je l'aime et je veux passer le reste de ma vie à ses côtés.
Ta mère va être ravie ! dit-il avec un grand sourire. Tous ses enfants seront bientôt mariés ! Mais au préalable, il te faut aller voir Charlie à Bruxelles, ajouta Carlisle.
C'était bien mon intention, le rassurai-je.
Après notre discussion, je retournai à Kensington préparer mes affaires et pris le train en direction de la capitale belge, d'où je partirais pour rejoindre Bella à Paris, espérant ne pas la croiser.
Lorsque j'arrivai enfin en gare du Midi, je sortis incognito pour trouver un taxi et me rendre au palais royal, résidence administrative et lieu de travail du roi des Belges.
Arrivai à la grille d'entrée, je montrai pattes blanches et demandai à voir le roi Charles.
Edward ! m'accueillit mon futur beau-père. Que me vaut cette surprenante visite ?
Je viens vous demander quelque chose de délicat, répondis-je. Je voulais vous le demander face à face et en toute discrétion. Je ne souhaite pas croiser Bella avant d'être à Paris.
Oh ! Dis-moi mon garçon. Je t'écoute !
Je souhaiterais demander la main de votre fille et voudrais avoir votre accord avant.
Ah… s'étonna le roi belge. J'imagine que si tu viens me voir maintenant, c'est que tu envisage de faire ta demande quand vous serez tous les deux à Paris ?
Effectivement, affirmai-je. Paris a une grande signification pour nous.
Je suppose que tu aimes ma fille ?
Bien sûr, de tout mon cœur.
Et tu es prêt à la seconder lorsqu'elle me succédera !
Je le suis, déclarai-je avec certitude.
Dans ce cas, j'approuve. J'espère pour toi qu'elle dira oui, me dit-il avec un clin d'œil.
Je l'espérais aussi, mais je ne voyais pas ce qui la pousserait à refuser.
Je savais déjà quelle bague j'allais lui offrir. Elle m'attendait à la bijouterie de chez Cartier sur la Place Vendôme à Paris. Je leur avais téléphoné pour demander s'ils avaient ce que je désirais.
A la suite de ma conversation avec Charles, je pris le prochain tgv pour la capitale française.
Quand j'arrivai en gare, je reçu un appel pour m'avertir que Bella venait d'arriver au George V. je passai en premier lieu chercher le bijou, avant de rejoindre ma douce à l'hôtel.
***LATRP***
13 février 2031
[PDV Bella]
Je finis de préparer ma valise pour les quelques jours que j'allais passer à Paris avec mon chéri.
Mon train partait assez tôt, je voulais avoir le temps d'arriver et de me préparer pour notre première soirée en amoureux.
J'emballai ma super longue robe rouge sexy dans une housse. J'avais dû acheter une place supplémentaire dans le train, afin d'être sûre que je pouvais la garder près de moi. Je voulais éviter de la laisser avec les bagages et qu'elle finisse toute froissée, ainsi que mon tailleur pantalon rouge que je souhaitais porter pour ce soir même.
Edward n'avait pas voulu me le dire. J'ignorais complètement ce qu'il nous avait concocté pour ce petit séjour dans la capitale française. J'avais pourtant essayé de lui tirer les vers du nez.
La seule chose que je savais, c'est qu'il nous avait réservé une suite au George V, un hôtel 5 étoiles du groupe hôtelier de luxe Four Seasons, qui se trouvait pas loin des Champs Élysées.
Lorsque j'arrivai en gare du Nord, un chauffeur m'attendais sur le quai pour m'amener jusqu'au palace en voiture. Dès qu'il s'arrêta devant, un groom m'ouvrit la porte, tandis qu'un bagagiste sortit ma valise du coffre du véhicule et emporta la housse que je tenais encore entre mes bras.
Bienvenue au Four Seasons Hôtel George V Votre Altesse, m'accueillit le réceptionniste.
Bonjour, répondis-je. Est-ce que le prince Edward est déjà là ?
Pas encore, Madame. Mais il m'a prié de vous conduire à votre suite dès votre arrivée.
Il fit signe à l'employé qui s'occupait de mes bagages de m'accompagner à la chambre.
Bon séjour chez nous Votre Altesse, me déclara le bagagiste avant de repartir.
Merci, dis-je en lui tendant un pourboire pour signifier qu'il pouvait me laisser.
En attendant que mon homme arrive, je rangeai mes affaires en accrochant mes vêtements dans la penderie et mon nécessaire de toilette dans la salle de bain. Je fis vite fait le tour de la suite et m'assis dans le salon. Le canapé était si confortable que je m'y endormis rapidement.
Bonjour mon Amour, entendis-je son doux ténor murmurer et ouvris donc les yeux.
Oh tu es enfin là ! m'exclamai-je encore à moitié endormie.
Désolée de ne pas avoir été là plus tôt, s'excusa-t-il. J'avais pas mal de choses à faire avant de pouvoir te rejoindre. Alors… déjà bien installée, je vois ! il ajouta avec un sourire en coin.
J'étais tellement excitée de te revoir que je n'ai pas bien dormi cette nuit, racontai-je.
Tu préfères qu'on reste dans la chambre ce soir ?
Je ne veux pas gâcher ce que tu as préparé ! Par contre je prendrais bien un café pour m'aider à me réveiller.
Il sonna donc à la réception pour commander un café pour moi et un thé pour lui, puis vint s'assoir dans le divan et me serra contre son corps musclé réconfortant, puis m'embrassa délicatement.
Après que le room service fut passé avec nos boissons, j'ingurgitai mon café rapidement et commençai à m'apprêter pour notre première soirée en amoureux.
J'enfilai mon tailleur pantalon rouge vif, tandis qu'Edward revêtit un costume Armani bleu foncé, avec une cravate assortie à la couleur de ma tenue, ce qui n'était pas sciemment voulu d'après lui.
Le rouge te rend encore plus belle ! me lâcha mon amoureux.
Le bleu te va pas trop mal non plus, répliquai-je.
S'il me trouvait belle en rouge, j'adorais le voir porter du bleu qui faisait ressortir les reflets cuivrés de ses cheveux.
Quand l'ascenseur parvint en bas, il posa sa main sur mon dos et me dirigea vers la sortie. Une voiture nous attendait dehors, et nous emmena sur les quais de la Seine. Nous montâmes à bord d'un petit bateau privé, où nous attendait un luxueux diner en tête à tête sur le fleuve.
Après la petite croisière parisienne nocturne, nous retournâmes à l'hôtel pour y faire l'amour.
Au réveil le lendemain matin, je sentis quelques courbatures, mais rien qui ne pouvait m'empêcher de profiter de son corps à nouveau.
Joyeuse Saint-Valentin mon Amour, me dit Edward à son réveil.
Joyeuse Saint-Valentin à toi aussi mon beau prince charmant, lui dis-je également.
Il m'attrapa et se retourna sur le dos, pour me poser sur lui et m'embrasser avec ferveur. J'adorais être réveillée de cette manière et rêvais de l'être chaque matin pour le restant de ma vie.
Je me blottis contre son torse ferme et embrassai chaque parcelle de la peau de son cou.
Mon cœur… si tu continues, on ne quittera jamais ce lit ! grogna-t-il.
C'est bien mon intention, avouai-je entre deux baisers.
Ainsi nous restâmes une bonne partie de la journée au lit à faire des folies.
Il est temps de sortir du lit et de nous préparer, lança mon homme vers 16 heures.
Je resterais bien un peu plus longtemps, me lamentai-je.
Je nous ai préparer une soirée et une surprise t'attend ! rouspéta Edward.
Tu sais que je n'aime pas trop les surprises !
Je suis sûr que celle-ci te plaira énormément, dit-il avec un énorme sourire.
C'est avec regrets que je quittai ses bras pour me lever et me dirigeai vers la salle de bain. Quand j'en sortis, il n'était plus dans la chambre mais m'avait laissé un présent avec un mot sur notre lit.
« Ils appartenaient à ma mère et à sa grand-mère avant elle. Ils iront à merveille avec ta robe ! »
Je m'empressai d'ouvrir le paquet cadeau pour y trouver un sublime collier en or blanc, serti d'un gros rubis et de diamants, avec une paire de boucles d'oreilles assorties.
Je pris mon téléphone et composai son numéro en espérant qu'il répondrait.
Oui, mon Amour, tu as trouvé mon premier cadeau ?
Edward Cullen, tu es fou ! m'exclamai-je. C'est à Alice que ça aurait dû revenir !
C'était ton arrière-grand-mère autant que celle d'Alice, me dit-il. C'est Maman qui me l'a donné pour toi, apparemment Alice ne les a jamais aimés !
Ta sœur a parfois des gouts de chiottes, lançai-je. C'est une parure magnifique !
Autant que quelqu'un les porte, même Esmée ne les a jamais portés !
J'étais honorée d'être la première femme à reporter ces merveilles après Nonna Irina.
Je me maquillai, rentrai dans ma robe, enfilai les chaussures et mis mes nouveaux bijoux.
Je pris ma pochette et me dirigeai vers l'ascenseur pour descendre à la réception, mais y trouvai plein de pétales de roses et un mot, ou plutôt deux, notés de sa belle écriture : « dernier étage ».
Suivant son instruction, je pressai donc sur le dernier bouton et montai jusque tout en haut.
À l'ouverture de la porte, je découvris encore plus de pétales que je suivis jusqu'à un petit escalier. J'ouvris la porte devant moi et pénétrai sur le toit avec une vue sur la Tour Eiffel au coucher de soleil.
Je marchai le long du tapis rouge bordé de bougies allumées, au bout duquel se trouvaient des inscriptions en pétales de roses. Tout d'abord, je crus à une erreur lorsque je vis les lettres « MARRY ME ». Je pensais que j'avais dû me tromper et que ça ne m'était pas destiné. Mais dès qu'Edward apparut devant moi, je compris que mon erreur était de ne pas y avoir cru directement.
Il s'approcha de moi et mit un genou à terre, puis il sortit un écrin de sa poche et l'ouvrit sur un anneau double en or, serti d'une émeraude d'un cm2 entouré de petits zircons.
La pierre me rappelait la couleur de ses éclatants yeux verts. Elle était absolument magnifique.
C'est toi qui est magnifique ! me dit-il. J'avais probablement dû penser à haute voix.
Oh Mon Dieu ! Edward ! m'extasiai-je.
Isabella Swan, je promets de vous aimer chaque jour de ma vie et pour l'éternité, me feriez‑vous l'incommensurable honneur de m'accorder votre main ?
Ouiii ! Bien sûr que oui ! répondis-je avant de me jeter sur ses lèvres.
Il me passa alors la bague à l'annuaire gauche et nous échangeâmes des « je t'aime » entre des baisers et étreintes passionnées, jusqu'à ce qu'on fut interrompus par un serveur.
Félicitations Vos Altesses, le diner est servi ! nous annonça-t-il.
Merci, lui dit Edward. Mais s'il vous plait, ça reste ici, entre nous !
Le serveur fit mine de fermer sa bouche avec une fermeture éclair et repartit après le service.
Heureusement qu'il y avait un chauffage d'appoint, nous étions en février et il faisait encore froid à cette période de l'année. Sans oublier que je n'avais pas pris de veste.
Tu es tellement sexy dans cette robe, j'ignore si je vais pouvoir tenir toute la soirée !
Je ne pensais pas que nous mangerions dehors, j'ai froid ! bégayai-je.
Oh merde ! lâcha Edward avant de me tendre sa veste.
Nous finîmes de manger rapidement et descendîmes pour prendre la voiture en direction du palais Garnier, afin d'assister à une représentation de Carmen, l'un des opéras les plus romantiques.
Nous quittâmes sans attendre notre loge dès que le spectacle fut terminé. Heureusement, le chauffeur nous attendait déjà devant le théâtre.
Dès que la voiture se mit en mouvement, je tendis la main à Edward, une main traînant de haut en bas sur sa cuisse. Ses poings se serrèrent et je pus voir sa mâchoire se contracter tandis qu'il essayait de respirer pendant les longs mouvements de montée et de descente que je faisais le long de sa jambe.
Lorsque nous arrivâmes enfin à l'hôtel, il dût faire un gros effort pour ne pas montrer au chauffeur l'érection que je lui avais causée.
Je me blottis dans ses bras au moment où l'ascenseur commença à monter, mes jambes s'enroulant autour de sa taille et je fus plaquée contre la paroi, nos bouches se dévorant l'une l'autre dans un furieux combat pour la domination.
Je bougeai, sa fermeture éclair me touchait juste au bon endroit. Je me mis à crier, à me cambrer contre lui, à appuyer plus fort.
Allez, Chérie, grogna-t-il, sa main quittant mes fesses.
Ses doigts glissèrent sous ma culotte et deux doigts plongèrent en moi.
Putain ! haletai-je, me frottant contre sa main.
J'étais si proche et il le savait. Il me travailla, ses doigts plongeant profondément en moi sans relâche, alors que je me serrai contre lui. Ses doigts se recroquevillèrent tandis qu'il mordait mon cou, me faisant exploser autour de lui. Edward m'attira contre sa poitrine, m'éloignant de la paroi alors que mon orgasme me secouait encore.
Il réussit à nous ramener dans notre chambre mais je ne saurais dire comment.
Dès que nous eûmes franchi la porte, il se retourna, me plaqua contre la porte et arracha ma culotte. Je gémis et me blottis contre lui, impatiente.
Tu es si belle, gémit-il en m'embrassant dans le cou.
Ses lèvres suivaient les bords de ma robe, embrassant mes seins pendant que je me baissais pour essayer de défaire son pantalon. Je finis par y arriver et le fis descendre sur ses hanches. Il s'agita pour le faire tomber avec son caleçon et une seconde plus tard, il était enfoui en moi si profondément que tout mon corps eut des convulsions.
Oh putain ! criai-je.
Edward me baisa fort et vite sur le canapé, nos corps se rapprochant avec un désespoir fébrile. J'étais si proche que je savais que je n'en aurais pas pour longtemps, alors je fis pression sur lui, faisant pivoter mes hanches et m'écrasant sur son torse. Il laissa échapper une série de jurons, sa tête tomba sur mon épaule alors que je recommençais. Sa bite s'orienta vers le haut, me frappant au point le plus sensible et je criai, ma tête partant vers l'arrière. Edward me pénétra deux fois de plus, me soutirant un orgasme avant de s'effondrer lui aussi.
Nous nous allongeâmes sur le fauteuil, tous les deux tremblants et secoués par les suites de notre jouissance, trop sensibles pour bouger encore.
Waouh ! soufflai-je lorsqu'enfin je repris mon souffle.
Edward laissa échapper un rire rauque, se retirant de moi et ramenant doucement mes pieds au sol. Je tremblai encore et il tendit la main vers moi, me stabilisant.
Tu vas bien ? me demanda-t-il. J'acquiesçai.
Ça ira. Une fois que mon corps aura cessé de jouir, dis-je en secouant la tête.
Il ricana.
Viens, mon amour. Je pense qu'un bain pourrait être approprié, dit-il doucement.
Je lui souris en hochant la tête. Un bain, ce serait parfait.
Il me conduisit vers la salle de bain en traversant la suite et allumant les lumières. La pièce était magnifique mais pas autant que celles du château de Laeken ou de Kensington Palace. Néanmoins, la baignoire était grande et pouvait facilement nous accueillir tous les deux.
Le lendemain matin, je ne pus m'empêcher d'observer ma main gauche et la grosse pierre qui s'y trouvait. Je réalisai alors que j'étais fiancée et que j'allais épouser l'homme de mes rêves.
J'imagine, en voyant ce grand sourire sur te lèvres, qu'elle te plait ? me questionna Edward qui s'était réveillé sans que je ne m'en rende compte.
Elle est sublime et la couleur …
Je savais que tu aimerais ! dit-il.
J'espère que je n'ai pas été trop brutal hier sur le divan ? me demanda mon fiancé.
Mais j'aime quand tu es sauvage, brutal, fougueux, sexy, autoritaire, et totalement dominateur quand nous faisons l'amour. Tu sais quoi faire pour me mener au 7ème ciel. Tu connais mon corps comme personne. Tu sais comment le faire vibrer.
Tout comme toi mon Amour. Toi seule peut me faire grimper au rideau. Un seul de ton sourire, de ton regard, de tes baisers, de tes caresses me font de l'effet, me mettent dans tous mes états. Tu es la seule pour qui mon corps réagit. Il ne se réveille que pour toi. Tu connais le moindre endroit de mon corps et tu sais l'utiliser. Mon corps vibre sous ton toucher tout comme ton corps vibre sous le mien.
Ses paroles m'avaient émoustillée et mon corps réagissait immédiatement à cela. Mon bassin se mouvait de lui-même sur son sexe déjà en forme.
Je me jetais sur ses lèvres pour l'entraîner dans un baiser fougueux, passionné. J'avais envie de lui. Mon corps le réclamait. Je me décrochais de ses lèvres pour nous laisser respirer sans pour autant quitter sa peau. Je parsemais des baisers dans son cou, sous son oreille où je le savais très sensible.
Putain !
Edward …
Si tu savais l'effet que tu as sur moi mon cœur ….
J'ai envie de toi !
Oh putain … moi aussi ….
Je n'en pouvais plus, il fallait qu'il éteigne le brasier qui naissait en moi, ou sinon j'allais me consumer sur place. Il me retira mon tee-shirt et s'attaqua de suite à retirer mon soutien-gorge pour se jeter frénétiquement sur mes seins. Je gémis de plus en plus fort tout en frictionnant nos bassins l'un contre l'autre.
J'aime la douceur de tes seins … ils sont fait pour moi, dit-il.
Mmm, marmonnai-je.
Je lui retirai son haut et l'embrassai partout où mes lèvres le pouvaient. Il me retourna de telle façon à ce que je me retrouve allongée sur le canapé, lui entre mes jambes.
J'ai tellement envie de toi, m'avoua-t-il.
Edward … gémis-je.
Je ne … pourrais … je n'arriverais pas … à être tendre …. J'ai trop envie de te prendre sauvagement à nouveau !
Alors ne te gêne pas … mais fait vite … je suis en train de me consumer !
Oh putain …
Je venais de lui mordre le cou pour lui faire comprendre qu'il fallait qu'il agisse maintenant. Il me retira sans plus tarder mon jean ainsi que ma culotte. Il commença à descendre vers ma féminité mais je le voulais en moi plus que tout.
Edward … je t'en prie … pas de préliminaire !
Que veux-tu ?
Mmmm ….
Dis-moi, me demanda Edward.
Baise-moi !
Merde ...
Il enleva rapidement son jean et son boxer et sans prévenir me pénétra d'un violent coup de rein.
OH PUTAIN ! criai-je alors.
C'était la première fois qu'il n'était pas tendre. Son coup de rein m'avait presque fait atteindre l'orgasme tellement j'étais à bout. Il commença à me pénétrer de plus en plus fort. Il me martelait littéralement et putain comme j'aimais ça
OH putain oui, oui !
Comme ça ?
OUI, continue mon Dieu !
Putain Bella …
D'un coup il me retourna sur le ventre et me releva les fesses. Je me mis automatiquement à quatre pattes. Il agissait par instinct. Il ne se contrôlait plus, il était dominé par la passion, le désir et j'aimais ça. Il me pénétra brutalement. Je hurlais littéralement de plaisir.
Oh… oh… oui ! plus fort !
Tu veux que j'y aille encore plus fort ?
Oui… oui, je t'en prie … lâche toi !
Comme ça ?
Il me martelait encore et encore. Je n'en pouvais plus. La boule de feu dans mon ventre menaçait d'exploser à tout moment. Je sentais qu'il n'était plus très loin. Son sexe frémissait en moi. Tout d'un coup, il atteignait un point ultra-sensible qui me fit pousser un cri tellement puissant que j'étais sûre que les voisins savaient ce que l'on faisait.
OH MON DIEU !
Je l'ai … enfin trouvé !
Oh oui continue … Ne t'arrête pas !
Je n'y … comptais pas.
Je sentais mes parois intimes se contracter violemment sur sa virilité, ce qui le fit grogner.
J'en peux plus … je vais …. Mmm….
Putain Bella … Tu es tellement serré comme ça …. Je ne tiendrais plus longtemps !
Moi non plus … Je vais ...
Bella … Bella … Viens … Viens avec moi….
Edward me donna un ultime coup de rein qui me fit jouir si intensément que des étoiles apparurent devant moi. Je le sentis jouir en même temps et rependre sa semence en moi.
Seigneur …. Oh putain …. EDDWWAARDD !
Merde … BEELLLAAA !
Je venais d'avoir le meilleur orgasme de toute ma vie. Nous nous écroulâmes sur le canapé, Edward sur moi et en moi. Je ne sentais plus mon corps, ni mon cœur. Il battait frénétiquement dans ma poitrine. Toujours haletant, Edward se retira de moi et me prit dans ses bras.
Waouh c'était … waouh ! lança Edward.
Tu l'as dit ….
Je ne t'ai pas fait trop mal ?
Non, non, tu crois vraiment que j'avais mal ? le rassurai-je.
Non pas vraiment. Je ne t'ai jamais entendu hurler de plaisir comme cela.
Parce que tu ne m'avais jamais prise comme cela ! C'était encore plus fort qu'hier !
Hum …
Edward c'était extraordinaire. J'ai eu le meilleur orgasme de ma vie. Je voulais quelque chose de fort et brutal, limite d'animal. J'en avais besoin et c'est ce que tu m'as donné.
C'était énorme. Je ne contrôlais plus rien seul notre plaisir importait. Je me suis complètement lâché ! Ça je l'avais remarqué.
Et je te prie de recommencer quand tu le souhaites.
Mais avec plaisir ! dit-il en se jetant à nouveau sur moi.
Nous discutâmes longuement, choisissant même de prendre le petit-déjeuner au lit. Il m'avoua alors qu'il était arrivé plus tard, parce qu'il était d'abord passé par Bruxelles avant de venir.
Romantique qu'il est et le protocole qui l'exigeait, il avait d'abord demandé la permission à mon père pour demander ma main, après avoir obtenu celle de Carlisle. Il était allé ensuite chez la bague à la bijouterie sur la Place Vendôme. Heureusement, elle m'allait parfaitement au doigt.
***LATRP***
Après notre long weekend à Paris, il fut temps pour nous de retourner à la réalité.
Edward m'accompagna en Belgique pour annoncer nos fiançailles ensemble, bien que mon père savait déjà pour la demande. Il ignorait par contre encore que j'avais accepté.
Alors, je suppose que si Edward est avec toi, c'est que des félicitations sont de rigueur ? m'interrogea mon père à notre arrivée dans son bureau du palais royal.
En effet Votre Majesté, répondit mon fiancé. J'ai fait ma demande et elle a accepté.
J'en suis ravi, annonça Charlie. Un mariage en aout serait parfait, qu'en pensez-vous ?
J'avais oublié que Bella doit être mariée avant son anniversaire, se rappela Edward.
Oh ! m'exclamai-je à ce souvenir. Ce n'est pas trop tôt pour toi ? lui demandai-je donc.
Je ne vois pas pourquoi nous devrions attendre plus longtemps ! me répondit-il.
Dans ce cas, va pour un mariage le 13 aout ! lança papa.
Lorsque nous annonçâmes la nouvelle au reste de la famille, ma mère fut tellement heureuse et soulagée qu'elle m'étreignit devant tout le monde, ce qui n'était pas son habitude. Elle détestait les effusions en public. Je vis même une larme de joie couler sur sa joue.
Bien joué grande sœur ! me lança Mike. Juste à temps, ajouta-t-il avec un clin d'œil.
À notre époque, ça ne se fait plus de se marier entre cousins ! commenta Jessica.
Jess ! gronda mon frère en lançant un regard noir à son épouse.
Ben quoi ?! C'est quand même un peu incestueux, non ? ajouta ma belle-sœur.
Nous ne sommes pas des cousins directs ! lui fis-je remarquer.
Mais vos mères le sont ! répliqua la sorcière.
Jessica ça suffit ! se fâcha son mari. Ce ne sont pas tes affaires de toute manière !
Celle-ci s'éloigna en faisant une tête d'enterrement, et moi je fus enchantée de voir mon petit frère remettre enfin son épouse à sa place.
Avant que la presse ne l'apprenne, je suivis Edward à Londres pour que nous l'annoncions à sa famille. Alice eut la même réaction que Renée, mais ça ne m'étonna pas du tout d'elle.
Comme pour la déclaration officielle de notre relation quelques semaines auparavant, Charlie et Carlisle publièrent conjointement un communiqué sur les comptes officiels de nos 2 familles.
Un photographe avait d'abord pris une photo de nous deux, qui faisait officie de portrait officiel.
***LATRP***
[PDV Jessica]
Elle avait donc réussi son coup et à se trouver un mari avant la date limite.
Mais je n'avais pas dit mon dernier mot. J'avais dû laisser Michael me réprimander devant les autres. J'avais remarqué que ça lui avait d'ailleurs fait plaisir à cette garce de me voir humiliée.
Il me fallait maintenant trouver un plan pour que ce mariage n'ait pas lieu. J'avais moins de 6 mois.
Peut-être que l'une des trois sœurs Romanova pourrait m'aider à briser ce couple.
C'était à moi à devenir reine, elle n'était pas assez forte pour mener un pays à la baguette.
***LATRP***
Voilà ! J'espère que ce long chapitre vous a plu.
Malheureusement, on n'a pas fini d'entendre parler de Jessica ! -)
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