Hello ! Bon mois de Février, très chers amis
Les mondes sont issus des ouvrages de J.K. Rowling et de Andrzej Sapkowski !
/langue/ : Nordien
langue : Anglais
~langue~ : Hen Llingue
~~langue~~ : Fourchelangue
N'oubliez pas la petite Reviews pour l'auteur. Bonne lecture.
Chapitre 37 :
Ombrage avait commencé une politique encore plus dangereuse pour la santé de beaucoup. Et plusieurs elfes de maisons avaient à nouveau été pris en photos. Il faut dire qu'un avait explosé sa colère contre le manoir de ses anciens maîtres. Certes, il n'y avait personne dedans, mais quand même. Et on avait trouvé dans les ruines bons nombres d'artefacts noirs ou de preuves des victimes de la première guerre sorcière contre Voldemort. Mais, les aurors cherchaient activement à présent des créatures de magie. Il bénit que les idiots responsables aient au moins pensé à mettre quelque chose pour couvrir leur visage. Raison pour laquelle il était à présent dans la chambre des secrets, bras croisés, l'air passablement agacé, face à la population de plus en plus grandissante.
Il avait réussi à faire monter un camp avec l'accord des centaures dans la forêt interdite où loger le surplus. Mais, si quelqu'un s'aventurait un peu trop loin, il le trouverait. Et, même en ayant été libéré ou encore ayant commencé à apprendre, les elfes n'étaient pas des Scoia'tael et ne pouvaient se fondre aussi facilement dans les bois que les Aen Seidhe.
Certains, par contre, avaient acquis rapidement cette hargne et cette colère contre les sorciers. Cependant, parce que ses camardes aidaient activement, ils avaient commencé à voir la part des choses. Tous les sorciers ne sont pas des esclavagistes. Mais des fois encore, cela devenait compliqué à les empêcher de réagir.
- Dans « pas foutre la merde » vous pigez pas quoi ? Enfin si, foutre la merde assez pour qu'on ne remarque pas la disparition, petit à petit des elfes des foyers sorciers ? Voldy a déjà pas mal de raisons de tuer des personnes, lui donnez pas une raison pour finir les elfes de maisons que l'on a pas pu atteindre. Je me suis fais comprendre ?
- Tu marches bien parmi les sorciers !
- Oui ! J'ai un putain de flambeau devant ma gueule. Je dois rester visible sans éveiller les soupçons. Vous connaissez Ombrage et ce dont elle est capable de faire ! Et je ne parle même pas de l'autre face de Craie et l'ordre de la volaille enflammée.
Les responsables se tendirent. Il faut dire qu'il les avait amenés via les passages secrets voir les élèves de Poudlard avec les mains en sang. Un des elfes indiqua que les plumes étaient des plumes à Pactes. Elles avaient pourtant été interdites par la confédération il y a longtemps. Et que même avec tous les pouvoir que pouvait prétendre avoir le ministre, il ne pouvait avoir le droit d'autoriser l'usage d'un pareil objet.
- Et vous mettez aussi dans la merde un camarade qui est celui qui passe aux elfes de maisons des adeptes de Voldemort la potion ainsi que nous remonte des informations. Si je dois trouver son cadavre à cause de l'une de vos conneries, je vous jure que je vous ferais regretter le jour même de votre conception. On est clair ?
Les quatre elfes responsables hochèrent la tête, gardant le regard vers le sol. Il soupira, tenant son visage de lassitude. Comment faisait son père pour diriger ses hommes ? Déjà qu'il y en a certains qui tiennent une palme de la bêtise. Il n'aurait jamais cru avoir à faire de même avec sa propre équipe. Surtout que plusieurs avaient décidé de prendre aussi les couleurs qu'il portait. Comme ses camarades de classes lorsqu'ils descendaient dans la chambre des secrets. Jörmundang émergea derrière lui et s'installa tranquillement autours des escaliers derrière.
- Bien ... pour votre punition pour avoir désobéis à mes ordres. Vous allez être obligé de ranger une partie de la salle sur demande et organiser sur ce que l'on pourrait prendre ou non. Pax ? Tu es en charge de leur surveillance.
- Bien, commandant.
Il renifla au titre puis se tourna vers le reste des personnes présentes.
- Bien. Draco et Théodore ? Les informations sur ce qu'il se passe dans les cercles noirs ?
- De mon coté, on m'évite puisque je suis avec le Lord Black. Mais j'ai pu avoir des écho intéressant sur les familles qui se réunissent. Pucey ? Y paraîtrait que ton père te somme de rentrer.
- Oui. Mais je lui dis merde ! Grogna le concerné. Baiser les pieds d'une aberration de la magie, je préfère encore embrasser le cul d'un troll. Par contre, grâce à Cédric et Rowle, d'autres Serpentards ou enfants de familles de sang purs ont plus disparaitre avant de devoir prendre la marque.
- Bien. Coté elfe et les démarches internationales ? Brakhmar ? Professeur Jones ?
- Il est malheureux de constater que plusieurs semblent suivre la nation anglaise sur leur politique, indiqua le goblin. Principalement les pays Européen.
Il nota que le professeur Jones regardait avec fascination la salle. Tout le monde fixait l'ancien marmonner sur la beauté et la finesse du travail. Neville se marra dans sa main et se pencha vers lui.
- Avoue. Tu regrettes de l'avoir invité à venir ici.
- Non. Pas après le renvoi de Trewlawney. Je n'ai jamais eu cette femme mais la façon dont Ombrage l'a viré ou encore l'intervention de Dumbledore me fait grogner. Et puis, il est mon contact sur la ICW. Professeur Jones !
- J'ai entendu la première fois, mon garçon. Mais je n'ai rien de plus à dire que ce qu'à résumé notre maître Goblin ici présent. Bien que je puisse ajouter que les États-Unis ont ouverts plusieurs procédures pour les créatures magiques arrivant sur leur territoire pour les intégrer. Il en va de même avec le Canada et l'Asie.
Il hocha la tête avec les autres. Il demanda alors pour ce qui était la question du passage dans une autre sphère et le professeur indiqua qu'il avait encore plusieurs choses à travailler mais avait réussi à faire une bonne avancée. Par contre, il savait que Dumbledore avait envoyé plusieurs des ses espions surveiller ses déplacements depuis son arrivé.
Et les tableaux reportaient au directeur à chaque fois qu'ils parlaient. Sans oublier que le professeur Dumbledore lui donnait des conseils à intervalle régulier sur le choix de ses amis. Ce qui avait tendance à l'énerver.
La réunion était terminée. Il regarda Dobby attendre avec impatience. Il lui fit signe et l'elfe se tourna vers un espace vide et se concentra. Le portail apparut alors devant. Minuit passée, il était conseillé de ne pas passer dans les couloirs. Et puis, certains elfes de maisons avaient besoin de s'entrainer sur les portails maintenant qu'ils avaient un contrôle sur la magie différent.
- Les Serpentard en premier. Ambrosius , tu ouvres celui des gryffondor. Kreature, raccompagne notre serdaigle résidente. Clock, tu accompagneras le professeur Jones à ses appartements. Maitre Brakhmar ? Ordo vous ramènera à Gringott. Sili ? on se rentre au dortoir.
il ouvrit à son tour le portail, saluant Justin en passant. Ce dernier ricana en les saluant puis indiquant que personnes ne se doutaient pour l'instant de leur absence du dortoir. Il remercia son camarade et ils allèrent se coucher.
Il regarda le plafond en réfléchissant. Lorsqu'il fermait les yeux, Voldemort ne trouvait pas mieux que de lui envoyer des visions cauchemardesques. Revoir l'attaque du ministère, très peu pour lui. Ce lien était énervant. Savoir qu'il avait clairement quelque chose dans la tête l'énervait. Et il se doutait que Dumbledore le savait. Surtout après ce qu'il s'était passé dans son bureau.
C'était dans ce genre de cas qu'il souhaitait pouvoir rentrer. Étrangement, même si il allait être majeur, il aurait préféré rester sous la protection de son dad encore un peu. Assumer la responsabilité et la protection de sa sœur et lui était stressant. Il avait fait serment de la ramener saine et sauve. Et c'est ce qu'il fera.
Il tiqua en voyant les absents du cours. Chacun s'entraînait au patronus mais quelque chose n'allait pas. Il arpenta la salle, regardant depuis le bar où se trouvait Adrian, les binômes travailler ensemble. Son camarade attrapa la bouteille et le servit.
- Un souci ?
- Ça sent la merde. La liste, sors la moi.
Le Serpentard obéit rapidement, attrapant alors le cadre derrière lui, entre les tonneaux. Il regarda les noms et vit alors un virer au rouge et un second au vert.
Plusieurs cris de surprises résonnèrent et il se retourna, trouvant quatre-cinq elfes visibles faces aux élèves. Et pas les elfes de maisons encore sous leur anciennes formes mais bien des Aen. Mais qu'est-ce qu'ils fichaient ? Il vit Dobby à leur tête avec Pax.
- Qu'Est-ce que Bordel, vous fichez là ?
Les élèves des différentes maisons fixaient les elfes présents et le regardait étrangement. Hermione regarda la porte d'entrée avec panique, comprenant. Pax le regarda alors.
- Pas le temps d'expliquer. Elle arrive avec ses petits toutous.
- … merde. Emmenez-les chacun dans leur dortoir, rapidement ! Le cours est suspendu jusqu'à nouvel ordre ! Prenez vos affaires, dépêchez-vous !
Au début, personnes en dehors du groupe ne bougea. Hermione poussa un des frères Crivey et cela fit réagir les autres. Ordo se mit devant plusieurs Serdaigle et leur présenta la main.
- J'emmène les Serdaigles. Dépêchez-vous !
- Sparta ! Pose les Serpentards dans une salle de potion en bas, ordonna-t-il.
Il entendit derrière les portes les bruits de talons. Il poussa sa sœur entre les mains de Dobby et leva alors le bouclier. Il serait le dernier à partir. Les jumeaux Weasley prirent avec Hermione la liste pour l'emmener. Ron étala les affaires sur l'une des tables après les avoir sortis de son sac. Il allait apprécier d'avoir fait rencontrer l'adolescent et les Serpentards.
Les elfes terminèrent de transporter les personnes, ne restant alors plus que lui. Il regarda la salle qui redevint une salle de classe tout ce qu'il y a de plus normal. Cependant, lorsqu'il baissa les mains, il trouva Adrian présent. Lui aussi avait sorti ses affaires et faisait mine de travailler. Il avait sorti le devoir de potion alors que Ron lui avait sorti avant de partir le devoir de runimagie. Il retira le bouclier et prit place.
Il ne s'attendait pas à une explosion, néanmoins. Ni lui, ni Adrian. Il attrapa la tête de son camarade, lui évitant de prendre une volée de pierre et se retourna vers le groupe à l'entrée de la salle.
Dolores Ombrage était à la tête avec sa petite équipe de la brigade inquisitoriale. Derrière, un tenait Cho Chang. Mais, la seconde qui avait réellement trahis, était Marietta. Et c'était Marietta qui avait trahis. Cho Chang était forcé. Cependant, avec ce qu'il avait mis comme sort, elle ne pouvait pas parler de qui il avait dans le groupe, ni que faisait le groupe réellement.
Alors, il devra compter sur un bon jeu d'acteur.
- Bordel de merde ! Vous tentez de nous tuer ou quoi ?!
- Votre petite mascarade est terminée, monsieur Potter et … Monsieur Pucey ? Votre père sera très désappointé de votre choix de camarade.
- Alors … un, mascarade de quoi ? Depuis quand on n'a pas le droit de travailler en binôme pour les devoirs ?
- … 'Dos, je crois que ton devoir de rune est rentré dans la légende du, "j'ai un trou fait par un professeur, désolé de ne pas pouvoir le rendre".
- Quoi ? Mais vous foutez vraiment la merde !
Le regard d'Ombrage sur la salle de classe ainsi que les devoirs volant était juste parfait. Elle tira violemment Cho Chang qui tentait de se libérer de la prise de la femme et le regardait avec désespoirs.
- Je parle de votre petit groupe qui pratique la magie ! J'ai des preuves. J'en ferais pas au ministre.
- ... Alors, on est dans une école de sorcellerie. Vous pourriez être un peu plus précise ? Commenta Adrian. On a notre groupe de travail d'enchantement, supervisé par Flitwick. Je sais que quelques Gryffondor ont monté un groupe d'étude libre avec Mcgonagall pour améliorer leur niveau de métamorphose. Le club de potion qui se trouve dans les serres.
- Runimagie avec le professeur Sinistra pour des travaux de groupe sous la surveillance d'un professeur. Et …
- SUFFIS ! Votre groupe qui pratique la défense contre le ministère.
- Le quoi ? Je vous jure qu'on n'a pas de groupe qui pratique la défense contre le ministère. Si vous voulez, je peux même vous faire un serment sorcier.
- Vous êtes collés ! Vous et toutes les personnes avec qui vous vous êtes affilié.
Il serra les poings en silence. Adrian serra aussi les dents. Ombrage allait trop loin. La liste était en sécurité. Mais, ces camarades allaient pâtir de cette femme.
- ... Monsieur Roche et monsieur Pucey ! j'ai trouvé ce qui pourrait vous … Ombrage ! Mais que signifie !?
Il cligna des yeux en voyant madame Chourave avec un livre entre les mains. Et sa sœur était à coté avec aussi plusieurs livres. La brigade ainsi que la grande inquisitrice regardèrent le professeure étrangement. Et celle-ci mit les poings sur les hanches, l'air presque aussi terrifiante que Mcgonagall.
- Je vous demande pardon ?
- Je vous répète ma question : que signifie ce trou dans le mur ! Et pourquoi menacez vous d'une baguette un de mes élèves ?
Ombrage bomba le torse en prenant son air supérieur. Mais, il fut assez impressionné de voir Chourave hausser un sourcil, même pas déphasé par l'attitude d'une femme qui pourrait la virer.
- Votre "élève" a créé un club qui va à l'encontre d'un décret d'éducation de …
- Vos preuves ? Ici, j'ai trois élèves qui m'ont demandé de l'aide sur l'impact de rune sur les plantes et ce que cela en découle avec les interactions de potion. Mon domaine étant les plantes, j'ai accepté de voir avec eux la théorie. Lorsque Dumbledore apprendra que vous avez fait exploser un mur pour attaquer un de mes élèves …
- Je vais bien, commenta-il.
- Mandos, tu saigne, là, indiqua alors Adrian en présentant la tempe.
- Et toi, tu as un trou dans ton uniforme. Et tu as un truc qui coule de tes doigts et qui est rouge.
Ombrage se retrouva à ouvrir la bouche mais aucun son n'en sortit. Chourave les emmena tous les trois vers l'infirmerie. Enfin, sa sœur portait leur sac pendant que le professeure de Botanique demandait s'ils n'avaient rien ou si ils se sentaient mal.
Ce n'est que dans l'infirmerie qu'il eut l'explication de comment le professeur Chourave était arrivée aussi vite. Il vit alors sa professeure principale lui sourire en posant la main sur la tête de sa sœur.
- Silarwen est venue dès son retour. Puis, elle a appelé l'elfe de maison. Rapidement, nous étions en haut.
- Sili ... tu as montré qui ?
- Kreature est venu tout seul. Et il a bien expliqué ! / Me prends pas pour un des prêtres du feu éternel. /
Il leva les mains en signe d'abandon des armes. Il revint à son professeur qui les avait aidés à se planquer d'Ombrage. Elle les regarda avec attention et inquiétude.
- Monsieur Roche. J'aimerais vraiment que vous restiez sage et loin de cette femme. Mais il est clair que vous avez vos propres problèmes. J'espère juste que vous pourrez rentrer dès que possible.
Il souhaitait la même chose. Il souhaitait rentrer avec Silarwen. Ça faisait trop longtemps qu'ils étaient partis. Trop longtemps qu'ils avaient été enlevés de leur monde.
Lorsqu'ils redescendirent vers leur salle commune respectives, il entendit le soupir d'Adrian. Il regarda son camarade en haussant un sourcil.
- Un 'blème ?
- Yep … plus j'y pense, plus je me dis que je ferais mieux de venir avec vous.
- Attends … tu sais que tu vas perdre pas mal de siècle de …
- Pour un gars qui a monté une rébellion, t'as pas assez regardé la situation sorcière du coin. Tu t'es rendu compte que les hommes de Voldy prennent de plus en plus de pouvoirs. Et les familles suivent aveuglement ce … cette idée que le sang doit être pur et que les sorciers sont supérieurs aux autres ?
- Yeah. J'ai un parfait exemple en rose.
- Même si je pars dans un autre pays, mon vieux me coursera avec les autres membres de la famille. Tu sais même pas ce qu'il m'a dit lorsqu'en sixième année, je suis resté en runimagie et que j'ai dit qu'être briseurs de sort était un truc bien ? que je devais suivre le seigneur des ténèbres et me plier à sa volonté.
Il comprenait son camarade. Mais, venir dans les royaumes du nord ? c'était dangereux. Bien que Adrian était devenu bon à l'épée et avec les défis mentaux, très bon pour déconstruire un sort.
- / Si tu veux venir. Tu dois te dire que tu abandonneras plein de choses. Mais si c'est ton choix, t'es le bienvenue. /
- / Je te conseille d'en parler avec certains des autres. On ne sait jamais, tu pourrais être surpris. Surtout avec ce qu'il se passe dans le monde sorcier aujourd'hui. Le souci des elfes de maison est un parmi des milliers. Et depuis plusieurs années, la société se voile la face. Et il faut que j'ouvre les yeux lorsqu'un parfait inconnu me sauve la vie en potion et bouleverse entièrement mes idées reçues. /
Il comprenait de quoi parlait son camarade. Il n'y avait qu'à regarder les journaux ou écouter les vocifération d'agacement de Sirius en du Magenmagot. Adrian avait raison que le monde sorcier courait à sa perte en refusant d'accepter de changer. Conserver les anciennes pratiques était bien. Mais, comme indiquait le nom, elles étaient anciennes.
Cependant, pour en revenir à leur problème actuel de mineur, il craignait que malgré tous, Dolores Ombrage tente quelque chose. Silarwen pointa Marietta passant à l'angle, l'air hagard. Adrian fronça les sourcils lorsqu'elle les vit et partit en courant.
- Tu lui as fais quoi ?
- Elle a trahi. Et elle pense qu'elle va avoir seulement les boutons par le sort de Hermione. Elle va simplement ne plus rien se souvenir d'ici à ce qu'elle parle avec quelqu'un d'autre. Cho n'aura aucun soucis. Son esprit s'est retrouvé protégé et elle est aphone pour deux jours.
- Ce qui veut dire aussi que la Guenaude pourrait savoir les personnes du groupe quand même.
- Non. Mon frère est pas né de la dernière pluie. Au moment même où Marietta ou Cho ont parlé du groupe des sorceleurs, elles n'ont plus pu parler. Et la traitresse ne se souviendra même plus du lieu. Par contre … on devra faire profil bas.
- Comme le dit Sili. On va devoir garder seulement les réunions des têtes. Tu passes le message aux Serpentards ?
Adrian hocha simplement la tête en partant.
Il grinça en regardant le message dans le journal avec le dernier décret d'éducation. Pour une raison étrange, le soir d'avant, le ministre était venu arrêter Dumbledore et avait nommé Ombrage directrice de Poudlard.
C'était dorénavant un problème. Un problème assez grave. la femme pouvait à présent prendre toutes les décisions nécessaire contre les élèves sans avoir quelqu'un pour la retenir ou l'en empêcher. C'était comme si un gars du feu éternel avait reçu un flacon d'alcool et une torche dans la main et qu'on lui dise de bruler chaque personne qu'il croisait. C'était une situation détestable pour beaucoup de personnes.
Les jumeaux grondaient, comme la plupart des membres du groupe. Sans oublier qu'elle avait collé à tour de bras des personnes soupçonnés d'être membres d'un groupe de défenses. Il avait été collé quatre fois et sa main était à présent bandé et le tirait.
Les elfes de maisons étaient presque sur le point de se lâcher. Mais, ce n'était vraiment pas le moment. Surtout avec une nouvelle loi qui fut pondu par le ministre. Actuellement, il ne savait par quel miracle lui et sa sœur ne furent pas escortés au ministère pour recevoir un numéro. Sirius et ses cousines devaient se battre bec et ongle.
Ses camarades de Poufsouffle l'aidaient aussi à éviter les membres de la Brigade activement. Justin et d'autres le planquaient en se mettant, pour certain, à porter comme lui un bandana. Pour Silarwen, il y avait un atelier coiffure chaque matin afin d'avoir plusieurs jeunes filles avec des tresses complexe. Il devenait alors compliqué de la repérer malgré ses oreilles pointues.
Mais, ce matin, il sentait une euphorie malsaine. Une euphorie qui n'était pas la sienne. Il craignait que Voldemort ait fait quelque chose. Sirius lui transmit, grâce au miroir, les dernières nouvelles contre l'avis de Dumbledore. Le directeur était venu avec l'ordre du phénix au douze square Grimault. Et le directeur avait demandé à Sirius de ne pas l'informer de ce qu'il se passait ni de laisser entendre de la gravité de la situation. Et, voir aussi, de lui faire comprendre que le directeur ne lui veut que du bien. Ça lui donnait froid dans le dos, autant que Sirius ou sa sœur. Surtout qu'un des elfes de maison avait indiqué que le directeur avait eu des sentiments amoureux pour l'ancien grand mage noir d'avant Voldemort. Et qu'il allait lui rendre visite chaque année. Ce qui était pour le moins perturbant à apprendre.
Il regarda le bureau du directeur. Il faut dire que Ombrage avait tenté de s'y installer mais n'avait pu l'atteindre depuis le départ du directeur Dumbledore. Il renifla. Il lui avait fallu, aller, quoi ? Une petite heure pour gravir la paroi et ouvrir la fenêtre. Il se retrouva avec Fumseck sur l'épaule dès qu'il posa le pied dans le bureau.
- T'as laissé ton maitre, Fumseck ?
L'oiseau chanta, présentant sa tête pour être caressé sous le menton. Il ricana et observa le lieu. Les tableaux se mirent à parler entre eux et plusieurs partirent. Il s'en fichait un peu, arrivant à la cheminée et bloquant comme lui avait expliqué Sirius les arrivées impromptues. Surtout si le directeur avait quelque chose à cacher.
- Voilà un qui sait quand il faut prendre des décisions. N'est-ce pas, jeune roche ?
Il tourna la tête et regarda le chapeau étrangement. C'était le chapeau qui l'avait réparti à Poufsouffle. Il eut un sourire.
- Abandonné toute l'année, là ? Donc tu sais où Dumbledore planque ses plus belles erreurs n'est-ce pas ?
- Je ne suis qu'un chapeau. Mais je comprends le désir. Demande plus à son compagnon qui attendait depuis longtemps quelqu'un qui est droit malgré tout.
Il regarda Fumseck un instant. Et l'oiseau baissa la tête avant de décoller. Il arriva à l'étage dans les bibliothèques et tapota le rebord de l'étagère avec son bec. Il monta à l'étage et passa la main contre les livres un instant. Puis, il passa la main autours du cadrant de chaque étagère. À un endroit, il sentit le léger souffle d'air. Il sortit la baguette et tenta avec la magie mais rien ne s'ouvrit. Il soupira avant de concentrer sa magie plus précisément. Il se concentra, comme cherchant alors le fil de magie.
- Siffle simplement, enfant. À quoi bon je m'efforce, tu ne m'entendras pas.
Il sursauta et tourna son corps vers la voix, son épée dans la main. Il vit un homme, surement du désert au vu du faciès. Ça lui rappelait un Ophir. Une tenue pratique, verte et noir avec des filins d'argent. Le regard agacé, ainsi qu'une sorte de petite barbe taillé sous le menton. Mais, point important, l'homme semblait transparent et à moitié flottant. Il ne put s'empêcher de coller son dos contre la bibliothèque, blême.
Et l'homme nota alors son malaise. Il le regarda avec des yeux et l'air surpris au point d'ouvrir la bouche et le pointer. Puis, un sourire apparut sur le visage.
- Tu m'entends ! Et tu me vois ! Allah est grand car je commençais à me demander comment te remercier pour ce que tu as fait.
- … / Bordel de putain de bordel de merde ! Couillon de fantômes de mes deux. /
- Un peu de politesse. Tu es un membre honoraire de ma maison malgré que tu sois chez les loyaux de Helga et j'apprécierais que tu gardes l'honneur de celle-ci alors que les jeunes sous ma coupe la bafouent chaque jour un peu plus en suivant cet être abjecte.
Il ne bougea toujours pas et Fumseck le fixa étrangement. Le fantôme, ou spectre, ou quoique ce soit qui était en face de lui sembla soupirer et trouver amusant son expression. Il y avait un spectre qui se fichait de sa gueule en face de lui. Et il semblait différent des fantômes et autres.
- Allons, respire, mon garçon. Je suis mort. Je ne peux pas te faire grand-chose.
Le spectre lui répéta un instant d'inspirer et expirer avant qu'il n'obéisse et reprenne son souffle. Il regarda, toujours gardant une distance avec le mort inconnu. Déjà qu'il avait du mal avec les fantômes de Poudlard, là, c'était encore pire.
- J'ai vu un mort déchirer un gars comme si c'était du beurre.
- Je suis un mort, pas un spectre. Je suis là depuis que tu as tiré mon cadavre des égouts. Mais je pense que c'est seulement parce que tu as conscience du lien avec l'autres vil créature que ton esprit se détend. Et ainsi, étrangement, tu puisses voir ce qui ne sont pas des fantômes. Fascinant.
- Comment ça, tirer votre cadavre des égouts ? Questionna-t-il avant de comprendre. Merde. Salazard Serpentard ?
- Lui-même, jeune homme. Et pour cette pièce, dis ouvre dans la langue des serpents. Godric l'ignore mais je pouvais rentrer partout. C'est plus simple de faire les protections lorsqu'on a accès aux salles.
Lorsqu'on vit dans les royaumes du Nord où les morts sont en proies à vous attaquer, on développe des appréhensions. Il avait une appréhension avec les morts et tout le monde le savait. Même les fantômes savaient qu'il n'était pas à l'aise avec eux mais ça ne les dérangeait pas et faisaient en sorte de ne pas trop l'envahir. Et voilà qu'il parlait avec une chose qui n'était pas un fantôme, ni un spectre. C'était quoi ? et puis, comme disait Aiden de l'école du chat, si ça saigne, ça peut être tué. Un spectre, tu peux passer au travers ton épée et tu peux voir que ça peut être "tué". Ce qui était assez étrange. C'était déjà mort.
Néanmoins, il obéit et siffla en fourchelangue face à la bibliothèque. Celle-ci s'ouvrit. Elle s'ouvrit sur un petit cabinet d'étude avec beaucoup de livres. Il rentra dedans et sentit une odeur d'encens ainsi que pas mal d'autres ingrédients. Il se pencha vers un des livres et nota alors que l'esprit était toujours là, flottant à côté.
- Vous voulez pas aller hanter quelqu'un d'autre ?
- Sais tu au moins ce que tu cherches, jeune Elfe ?
- Bon point. Et vous ?
- Le livre noir avec la couverture marqué : كتاب الموتى ou kitab almawtaa dans la prononciation des terres saxonnes.
Il regarda un livre sur un présentoir. La couverture était noire, oui. Il se pencha alors dessus et regarda alors l'étrange écriture. Il soupira et attrapa une plume ainsi que sa dague. Il allait mettre une rune avec son sang.
- Ne mets pas ton sang sur ce livre. Il est maudit. Mais si tu veux comprendre ce qui est écris, ouvre d'abord à la page du marque page.
- Comment vous savez ça vous ?
- Parce que je suis un de ceux qui ont été gardien de ce type de livre. Et j'en connais pas mal de contenu.
Il obéit après avoir essayé de voir si l'esprit se fichait pas de lui. Mais, ça n'apportait rien à ce dernier. Il avait même vérifié si ce n'était pas une illusion. Il trouva une page qui était ouverte plus souvent que les autres. Il regarda alors les dessins et le fantôme se pencha sur le côté, flottant alors. Il siffla quelque chose en serpent mais il ne comprit rien. C'était comme s'il parlait en serpent et en même temps, non. Et les mots commencèrent à bouger sur les pages pour devenir du nordien. Il écarquilla les yeux et le spectre parut satisfait de ce qu'il venait de faire.
- Peux tu lire à présent ?
- / Bordel de ... / Merci.
Il lut les première ligne et plissa alors le nez sombrement. C'était un rituel d'appel d'âme. Un rituel qui permettait à quelqu'un d'invoquer ce qui n'était pas à porter de main et qui ne pouvait venir. Et surtout, un rituel qui faisait venir cette personne en utilisant les restes de la famille. Il avait enfin trouvé qui. Il s'en doutait depuis le début mais là, il avait la confirmation.
Dumbledore le surveillait. Il lui donnait des conseils mais il ne les avait pas écoutés. Il voulait le faire aller chez les Dursley depuis le début. Et s'il avait voulu, il aurait pu sortir Sirius Black depuis longtemps d'Azkaban mais il ne l'avait pas fait. Pourquoi ? Parce que le sorcier dérangeait des plans. Sa sœur Silarwen dérangeait ses plans. Il était clair que Dumbledore voulait quelque chose de lui.
- Je pense que tu voudras aussi récupérer ceci ? Lui aussi a le droit d'avoir le repos en paix, n'est ce pas ?
Il tourna les yeux et regarda alors une urne de cendre. Le fantôme eut un sourire, comme satisfait d'avoir simplement aidé. Il attrapa l'urne et étrangement, il sentit une larme couler le long de sa joue. L'ancien fondateur eut un sourire maigre en le regardant.
- Merci encore … et puis, tu as terminé mon travail. Tu as trouvé, bien que par accident, ce que je cherchais pour un ami.
- De quoi ?
- Les elfes de maisons. Les elfes de maisons sont une aberration issus d'une guerre fratricide. Une vengeance et une moquerie. C'est une des choses contre laquelle je me suis battu. Et personne ne s'en souviendra.
- Aujourd'hui. Certains le savent.
Il mit l'urne dans son sac après l'avoir fermement fermé. Il y avait d'autres cendres. Il savait qui c'était. Il sortit du bureau et revint vers la fenêtre. Cependant, Fumseck se posa sur son épaule, attendant alors pour l'emmener sur son ordre. Il se tourna vers le Spectre avant de pincer ses lèvres.
- Merci.
- Il n'y a aucune raison de me remercier, seigneur elfe. Je devais trouver une façon de vous remercier pour … m'avoir offert un lieu de repos et que l'on commence à ne plus cracher sur mon nom pour des choses que je n'ai pas faits. Et dites à Jörmundang que je le remercie de garder Poudlard et qu'il continue encore et encore pour moi. Et que je n'ai plus de descendants depuis longtemps. Qu'il se charge de la chose qui prétend l'être.
- Je passerais le message. Bon repos, maitre Serpentard.
Il regarda l'être légèrement translucide sourire et fermer les yeux. Il crut comme voir la lumière être plus importante un instant puis, plus rien. Il lâcha sa dague en argent et tourna la tête vers le mur en maugréant et reprenant un rythme cardiaque normal. Ou, tout du moins, essayer.
- Les fantômes me donnent la chair de poule. Brrr. Bon, Fumseck. Amène-moi en bas. J'ai des trucs à poser.
Il fut assez intéressé par le déplacement du phénix qui le fit atterrir directement dans la chambre des secrets en face de Duat et Mystic qui s'embrassaient. Les deux s'écartèrent précipitamment l'un de l'autre, comme si ils n'avaient pas le droit de le faire. Il ricana.
- On se calme vous deux. Je ne fais que passer. Mais je vous conseille de trouver un coin moins … ouvert si vous continuez sur cette fois.
Il évita la chaussure de Duat en continuant de rire. Il préférait lorsqu'on réagissait. Fumseck était confortablement assis sur son épaule, faisant ses plumes. Il rentra dans la salle principale, saluant les elfes en passant qui firent une révérence. Ça allait devoir encore être travaillé cela. Il trouva Hugin sur l'épaule de Kreature à la table avec Pax et Athos. Il nota Ordo qui pointait quelque chose sur des cartes de l'Angleterre.
- Des nouvelles ?
- OH ? Mandos, on a des nouvelles de nos petits espions du ministère. Et aussi comparer les informations des aurors avec ce que nous a transmis Marcus. Ce gamin est doué.
- On lui dira, Kre. Ordo ? Les familles de sang pur ?
- Maria Zabini vient d'être sauvé par son elfe de maison juste avant que Voldemort ne la tue. Darren avait refusé de partir du manoir mais c'est compréhensible. On t'attendait.
Il resta surpris et tourna alors la tête, trouvant une femme assise, une couverture par dessus les épaules, dans un coin. Il nota une des femmes elfes lui donner une tasse d'eau chaude alors qu'une elfe de maison encore sous son ancienne forme foudroyait quiconque du regard si la personne dévisageait la sorcière. Il leva la main en remerciant pour l'information et avança jusqu'a la femme. Celle ci le reconnut tout de suite au vu de la réaction et tenta de couvrir son bras où la marque se trouvait.
- Lady Zabini. Un honneur de faire votre connaissance. Je suis navré que vous ayez découvert que votre elfe n'était plus lié à votre service.
Il nota le visage un peu inquiet en regardant autours d'elle. Surtout lorsqu'un serpent géant sort des canalisations pour s'installer tranquillement autours de la statue. Il dirait plus tard à ce dernier le message de Salazard.
- Je suis Mandos Cerbin. Blaise devrait descendre plus tard.
- Il voulait faire de lui … son esclave. J'ai refusé ... J'ai refusé. J'ai pris la marque pour que Blaise ne la prenne pas.
- Je m'en doute. Si notre amie, ici présente, vous défends avec autant de ferveur, c'est que vous avez été une bonne "maitresse" et que vous mettez votre fils avant vos intérêts, je me trompe ? Bon, je vais vous aider à rejoindre Narcissa et la famille Black. Sparta ? tu pourrais organiser une escorte ?
Le Borgne releva la tête dans sa direction et hocha la tête en terminant de ranger des affaires clairement récupéré dans la salle sur demande. La femme le regarda avec surprise. Blaise avait pris d'elle, ça se voyait. Il comprenait pourquoi on disait qu'elle avait été mariée sept fois.
Il se baissa vers elle, prenant alors une expression appelant au chaos et à la folie.
- P'tite curiosité avant que vous ne partiez. Vous pouvez ne pas répondre. Mais, vous avez vraiment tué vos maris ?
La femme cligna des yeux un instant avant de rire.
- Non. Je ne les ai pas tués. Ils sont morts et je n'ai rien à voir dans leur décès quoiqu'on en dise.
- Et le père de Blaise ? Le vampire ?
Il vit alors l'expression douloureuse dans le regard de la femme.
- Le seul que j'ai regretté profondément. Le seul qui a disparu et que je n'ai jamais retrouvé. Je crains qu'il soit mort parce qu'il était un vampire. Et que j'étais une sorcière de sang pur.
- Montrez votre bras. Je veux regarder la marque.
Il savait qu'elle avait caché son bras parce qu'il était "l'adversaire" de Voldemort. Et elle avait peur. Elle hésita un long moment avant de tirer la manche de sa robe. Elle avait été tirée surement sans se préparer. Voldemort avait dû venir directement chez elle pour avoir son allégeance. Elle avait refusé car sa priorité était Blaise. Elle avait pris le courage pour son fils. Narcissa avait dit que plusieurs des femmes refusaient de suivre Voldemort mais avaient peur. Leurs enfants devenaient alors leurs bannières pour prendre courage.
Il regarda la marque avec Pax qui s'était approché. Elle était comme un sort d'esclavagisme. Il ne pourrait rien faire mais les goblins pourraient le faire. Il eut un sourire.
- La lady Narcissa Black ne l'a plus. Elle est allée voir les goblins avec la protection du Lord Black. Sirius se chargera des détails. Sparta ? Prêt à emmener la dame en sécurité ? Ou vous voulez peut être voir votre fils. Il descend dans une heure.
- S'il vous plait. Je … j'ai besoin de le voir. Je voudrais être sûre qu'il va bien. Qu'il ne l'a pas touché.
- Je souhaite bon courage à Vol les shorts d'approcher Blaise. J'ai appris à Blaise à lancer des dagues. Et je vise très bien.
- Tu as loupé ses couilles l'année dernière, commenta Kreature.
- Avec une dague, J'ai des soucis, un arc, je te l'aurais cloué contre un arbre et il ne pourrait plus jamais penser à l'utiliser pour quoique ce soit.
La femme parut horrifiée par ce qu'il disait alors que les elfes de la salle explosèrent de rire. Une heure plus tard, les différents membres des stries descendirent. Il entendit vaguement hermione dire que les sorceleurs attendent avec impatiences le retour en cours. Il hocha la tête mais regarda blaise s'étouffer dans son verre en voyant sa mère.
- M'man ?! Mais ? Que ?
- Désolé, ton elfe de maison a sauvé ta mère de l'autre face de serpent.
Il regarda l'elfe se faire écraser dans un calin par Blaise qui la remerciait d'avoir sauvé sa mère. Puis, vint voir sa mère et discuter avec lui. Il se tourna vers les autres. Hermione proposa que l'on reprenne les libérations de la malédiction. Maria Zabini leva la tête sans comprendre. il proposa alors que ce soit l'elfe Zabini qui soit parmi ceux. Le rangement de la salle fut fait et la femme vit alors la transformation. Elle resta pantoise et les yeux écarquillé. Elle regarda ce qu'elle prenait pour des créatures magiques étrange être en réalité, les elfes de maison du monde sorcier.
Elle repartit, emmenée par Sparta chez les Black en sécurité.
Il attrapa son sabre et siffla Adrian et les jumeaux pour qu'ils se fassent une petite mêlée. Draco et Théodore s'affrontèrent à l'épée pour travailler les parades et les attaques. Ginny et Luna pour travailler sur les dagues. Ron et Neville s'affrontèrent avec une épée et un bouclier. Même si Ron serait plus à l'aise dans une formation d'éclaireur, savoir se défendre avec des armes pouvait être utile. Hermione apprenait actuellement le combat au bâton ou à la lance avec Kreature et Susan Bones. Le vieil elfe leur apprenait à désarmer une personne plus grande qu'elles.
Cependant, il s'arrêta, sentant quelque chose chauffer dans sa poche. Et tous eurent la même chose. Il tira alors la pièce qu'avait créé sa sœur. C'était leur "porte bonheur" actuellement transformer. Il regarda celui-ci et blémit. Le centre était rouge. Cela indiquait qu'un était en danger. Un nom apparut alors : Marcus Flint.
Il se tourna vers les autres pour se préparer à aller le chercher. ils ne pouvaient laisser à une mort certaine le Serpentard. Seulement, il entendit un fracas sur le sol et tourna la tête. Il vit Ordo, l'elfe de la famille Travers avec quelq'un entre les bras. à coté, le corp d'un second elfe, mort. Il attrapa sa sœur et la poussa vers l'une des elfes présentes. Pax prit les autres plus jeunes et les écartèrent rapidement pendant qu'il se précipitait vers.
il vit le bras manquant de leur camarade, les spasmes de douleurs. Il chercha, utilisant sa magie pour trouver tout ce qui n'allait pas alors que le corps du second elfe fut enveloppé dans un linge. Le regard était vide. Il savait ce que ça voulait dire puisqu'il ne vit aucunes blessures physiques mortelles. L'elfe avait pris l'avada Kedravra.
- qu'est ce qu'il s'est passé ? Ordo !
- l'autre aberration de la nature. Il a trouvé une de nos caches. Marcus a tenté de les sauver ... aucun n'a survécu.
il se sentit enragé. Il frappa même la pierre du sol pour calmer sa colère. Il devait se calmer pour aider leur camarade qui se vidait actuellement de son sang sur le sol.
- il a été forcé à regarder avant qu'on arrive avec … avec Macha. C'était un charnier. Et ce ... monstre le torturait devant ses hommes. On n'a pas réfléchi et fait le nécessaire.
Il sortit rapidement le nécessaire de son sac pour recoudre et bander. Il n'a pas encore appris à faire repousser un membre, encore.
- Maintenez le moi ! si il perd plus de sang, on va définitivement le perdre ! Hermione !
- Potion de renouvellement de sang ! J'y vais.
- Luna, des vêtements propres. Neville ! Trouve moi de quoi faire des baumes pour les nerfs.
- J'y vais immédiatement.
Il commença par nettoyer rapidement la plaie et il vit alors Blaise mettre sous Marcus un drap propre. Faut dire qu'ils étaient quand même dans ce qui fut à une époque un égout. Il commença par désinfecter l'aiguille puis se mit à recoudre correctement les veines ainsi que l'artère. Puis, ce furent les chairs. Il banda le tout alors que la tenue de mangemort que portait leur camarade fut jeté au feu.
Athos indiqua alors qu'il y avait un lit à présent pour le sorcier inconscient. Il se redressa en prenant une respiration. Les mains étaient couvertes de sang. Il sentit seulement la douleur dans sa poitrine. Il avait envie de pleurer. pleurer comme pleurait à présent plusieurs dans la salle. il regarda Kreature.
- allez voir si les autres caches sont en sécurité.
Voldemort les avait trouvé. et il craignait que ce soit de sa faute avec leur lien. Il était peut être le danger. Peut être qu'il avait parlé. Mais, il ignorait où était les caches. C'était Pax, Kreature ainsi que Sparta qui définissaient les caches dans les anciens manoirs, terrains ou lieux qui n'étaient pas regarder par les sorciers.
une mains se posa sur son épaule et il regarda un des plus anciens elfes lui offrir un léger sourire, tentant de lui offrir un réconfort.
- Tu n'es pas coupable. Il te chasse. Il veut t'avoir. Tu ne peux pas sauver tout le monde.
- je suis pas un putain de héro, je le sais mais … C'est moi son adversaire. Je suis celui qu'il cherche ! Personne d'autre.
- Il s'en fiche, commenta Adrian. Voldemort s'en fiche. Mandos, tu peux pas tout prendre sur les épaules ! On est tous fautif en pensant que tous iraient comme sur des roulettes. Marcus a été touché. Plusieurs de tes pairs sont morts parce qu'un fou n'a pas été arrêté à temps par le passé. Les seuls responsables, ce sont nos prédécesseurs.
- ceux qui n'ouvrent pas les yeux.
- Celui qui t'a ramené pour une stupide prophétie qui ne se réalisera que parce qu'on lui a donné vie, termina Hermione.
il releva la tête, regardant l'ensemble des personnes présentes lui donner un maigre sourire car, la situation n'amenait pas la joie. Marcus était inconscient, des innocents avaient trouvé la mort. Et, surement, les sorciers comprendraient pourquoi, actuellement, on découvre des mangemorts ou des preuves contre eux. Ou encore, pourquoi il y a tellement de soucis dans les administrations. Peut être qu'en agissant comme ils avaient fait, ils avaient permis à Voldemort de prendre plus de pouvoir.
il se prit un nouveau coup sur le coin du crâne et regarda Kreature qui soupira.
- on ne peut gagner à chaque fois. Mais il y a un truc que certains humains dans l'histoire ont prouvé, qu'ils soient mages ou non : ils se sont relevés et ont appris de leurs erreurs. Alors, relèves toi, apprends de cela et avance.
Voilààààà
J'espère que ça vous a plu
