Résumé: Sirius Severus et Harry fuient en catastrophe à Forks, là où les attendes leur nouvelle maison, pas toute à fait restaurée, la faute au Directeur de Poudlard et ses sombres desseins concernant le "Sauveur". Protégés par le MACUSA et par la Meute de la Push, ils espèrent être enfin à l'abri, mais rien n'est moins sur
Couple: FANFICTION SLASH! Mais j'ai envie de vous laisser la surprise pour les couples^^
Rating: Le plus haut parce que oui je ne suis pas une tendre et on va, comme toujours aborder des thèmes qui sont pas toujours joyeux et aussi des passages citronnés donc vous voilà prévenu
Disclaimers: les oeuvres originales ne m'appartiennent pas, je ne fais que m'amuser avec les personnages et l'univers comme tant d'autre
amusez vous bien!
Star light
Chapitre 10 :
Lorsqu'Harry transplana dans le salon du manoir avec un faon dans les bras et un Sirius échevelé à peine retransformé, Severus fut plus que surpris. Il cligna des yeux durant de longues secondes, pas très sûr de ce qu'il voyait.
«-Siri ? Est ce qu'on a déjà discuté de si oui ou non, on accueillait tous les chiens errants du coin, en plus de toi, j'entends ?
-Nope.
-On aurait peut être dût... »
Était ce une bonne idée de confier un être vivant à un jeune homme qui peinait à se tenir debout tout seul ? Il allait pour protester, lorsqu'il avisa les yeux de cocker que lui faisait son amant et son filleul et décida de souhaiter la bienvenue au nouveau membre de la famille. Ne restait plus qu'à l'emmener au vétérinaire le plus proche. Y avait-il seulement un vétérinaire dans le coin ?
« -Ca veut dire qu'on peut le garder ? S'enthousiasma Harry.
-Oui, mais je ne veux pas que tu t'épuise à t'en occuper. Cet animal va devenir notre responsabilité à tous, pas seulement la tienne. On est bien d'accord ? »
Harry hocha vigoureusement la tête, un sourire extatique sur le visage. Il berça un peu plus le faon qui dormait profondément dans son étreinte protectrice. Pendant ce temps, Sirius appela Billy pour avoir ne nom et le numéro du vétérinaire local. Une fois le rendez vous pris, Severus emmena Harry et son petit protégé, laissant Sirius se remettre de ses gags de la journée. Courir comme un dingue dans tous les sens avait de quoi épuiser.
Le petit cervidé dormit tout le long trajet, bien calé sur les genoux d'Harry. Une fois la voiture garée sur le parking de la clinique, Severus se tourna vers lui, la mien affectée.
« -Je peux y aller tout seul, si tu veux ?
-Je peux venir avec toi. Il sera plus calme si je suis là. »
Le potionniste haussa un sourcil. Il ne voulait pas avoir l'air de douter de lui, mais il s'inquiétait. Autant de monde, si rapidement, cela pouvait lui déclencher une crise et …
« -Ca va aller Sev'. J'ai emmené mes potions avec moi. Va bien falloir que je reprennes une vie sociale normale. Autant commencer ici, avec toi. »
Devant cette si franche déclaration, l'ancienne terreur des cachots eut les larmes au yeux. Il se pencha vers le jeune homme, pressa doucement sa nuque avant de baiser son front.
« -Oui, mon Poussin. Je reste avec toi. »
En pénétrant dans la clinique, ils eurent le soulagement de constater que c'était loin d'être l'heure de pointe. L'assistante était seule à son comptoir et les salua avec un grand sourire, et une voix nasillarde qui fit grincer les dents de Sebastian. Il ne sut pas dire si elle avait l'air gentille ou parfaitement stupide, son visage, en plus de sa voix, le rendait bien trop perplexe. Son menton était proéminent, et ses lèvres trop épaisses. Ses yeux obliques trop éloignés de son nez et légèrement globuleux, la faisaient ressembler à un mérou. Elle se leva pour se pencher vers le faon, toujours lové dans les bras d'Evan, pour mieux s'écrier :
« -OOOOOOOH qu'il est choupy ! »
La petite créature sursauta légèrement et regarda autour d'elle, hagarde, puis bêla son mécontentement devant le visage inconnu, qui était bien trop prêt de son museau.
« -Donnez, je vais l'emmener dans l'arrière salle. »
La demoiselle fit mine de prendre le faon des bras d'Evan, sans attendre un oui ou un non, ce qui fit brailler l'animal encore plus fort. Sebastian se retint de ricaner avec beaucoup de difficulté. Pour finir le faon mordit le bras de l'assistante, qui glapit de surprise plus que de mal. A cet âge là, ça n'a avait pas assez de dent pour blesser. L'assistante recula et l'animal se cala à nouveau dans les bras de son sauveur, à croire qu'il ne s'était rien passé.
Sebastian détourna la tête et se pinça le bras au point de se faire un bleu, pourvut qu'il n'éclate pas de rire.
« -Je crois que je vais le garder avec moi, si vous ni voyez pas d'inconvénient ? »
Vexée, le mérou hocha la tête et alla chercher le vétérinaire. Une fois qu'elle fut hors de portée de voix, Sebastian se pencha sur la petite tête fauve et la grattouilla gentiment. Étrangement, elle ne dit rien à son contact.
« -Cet animal a du goût, admit-il. »
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La petite troupe revint tard dans l'après midi, après être passé chez un éleveur de chèvre du coin, qui leur fournis une quantité de lait suffisante pour le nouveau membre de la famille. Le vétérinaire avait été optimiste quant à sa survit, remarquant qu'elle, puisque c'était une femelle, était entre de bonnes mains. Il avait quand même tenu à la traiter pour les vers et lui injecta des vaccins, dont il faudrait faire un rappel d'ici un mois. Il leur délivra un papier qui les autorisait à la garder chez eux, le temps nécessaire. Un inspecteur des eaux et forêts viendrait faire une inspection et leur délivrerait un certificat en bonne et dût forme si ses conditions de vie étaient conformes aux attentes inscrites dans la loi. Il avait complété avec une liste de recommandations et son numéro personnel, si jamais ils avaient le moindre problème, hors horaires d'ouverture. Il ne restait plus qu'à lui donner un nom.
Harry se décida pour Amber, compte tenue de la couleur de sa robe. Il préférait éviter de l'appeler Bambi III, ou Féline, comme Sirius l'aurait sûrement suggéré. Il restait un grand enfant... Il lui avait installé un panier douillet prêt de la cheminée, dans la chambre de son filleul. Severus avait tiqué, mais Harry fait ses yeux de cocker. Après tout, elle se sentait bien avec lui, supportant très peu les autres, sauf peut être s'ils brandissaient un biberon, autant la laisser avec lui le temps qu'elle s'habitue ? Elle avait déjà perdue assez de repère comme ça, non ?
Le potionniste capitula devant cet imparable argument et lui laissa Amber. Cette dernière visita la chambre de son sauveur et se trouva très intéressé par un pull en laine abandonné là. Harry eut toutes les peines du monde à lui retirer de la bouche, mais un biberon plus tard, et elle n'y pensait plus. Du reste, comme n'importe quelle bébé de son âge, elle passait le plus clair de son temps à dormir, manger, faire ses besoins, puis dormir, manger, faire pipi et caca, bref ! Etc...
Cet inlassable petit rituel se perpétuait toutes les trois heures. Autant dire qu'il ne dormit que par intermittence. Mais un insomniaque ne s'en trouvait pas si dérangé. Il trouva réconfortant de s'occuper d'une si belle créature, qui préférait se lover contre lui, dans son lit, pour dormir, plutôt que dans son coussin. Qu'importe qu'il soit devant la cheminée et aussi confortable qu'un nuage.
La seule qui la jugea d'un œil critique et emplit de jalousie, fut Hedwige. Comment dont ? On lui volait sa place ?! En représailles, elle bouda son maître pendant plusieurs jours. Non, mais !
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Au matin du 31 Octobre, Harry se tenait devant sa malle, incapable de faire un geste. Et pourtant il allait bien falloir. Les photos y étaient rangées, et si il voulait en mettre sur l'autel du souvenir de Samhain, il allait devoir les sortir de là. Julia se tenait non loin de lui, présence rassurante qui lui montrait qu'il ne serait pas tout seul pour affronter cette épreuve. Il aurait put le faire avec Sirius et Severus, la psychomage le lui avait proposé, mais il avait dit non. Eux aussi devaient choisir leurs photos pour ce soir. Et il ne voulait pas rajouter sa peine à la leur.
« -Prends ton temps, mon chat... Et n'oublies pas de respirer, d'accord ? »
Ce qu'il fit. Il n'avait pas eu conscience de bloquer sa respiration. Il inspira et expira, lentement et plusieurs fois, avant d'enfin s'agenouiller devant sa malle. Il posa une main tremblante sur le couvercle, hésitant encore avant de tirer le loquet. Il eut un grincement pitoyable, soudain désemparé devant l'ampleur de la tâche. Julia s'avança doucement et lui pressa l'épaule pour le réconforter, tout autant que pour lui donner du courage.
« -On compte jusqu'à trois ? Proposa-t-elle. »
Harry hocha la tête, se força à respirer et balbutia :
« -Un...
-Deux...
-Trois... »
Il souleva le couvercle avec précipitation, à croire qu'un diable allait en sortir pour l'attaquer. Mais il n'y avait rien d'extraordinaire dans cette malle. Tout y était très semblable à ce que l'on trouve dans n'importe quelle malle d'un élève de Poudlard. Des uniformes, un vieux kit de potion, quelques parchemins, plumes et des bouteilles d'encre vides ou à moitié entamées, des gants en cuir de dragons... Pourtant, si l'on prenait la peine de fouiller un peu l'on tombait sur un album photo tout racorni, pour avoir été maintes fois feuilleté, avant d'être oublié dans le tréfonds de la malle, avec les débris d'un vieux miroir à double sens.
Harry plongea ses mains dans le fourbis ambiant et en sortit l'album avec d'infini précaution, comme d'autre manipule une bombe sur le point d'exploser. Le seconde suivante le couvercle de la malle claqua si fort en se refermant, qu'Amber se réveilla en sursaut et bêla se désapprobation comme elle savait si bien le faire.
« -Désolée ma belle, murmura Harry la gorge nouée par des sanglots mal contenus. »
Julia était toujours impressionnée par la façon dont son patient utilisait la magie sans baguette. Plus que pour le reste du monde, elle était véritablement une extension de sa personne, de sa volonté. Voldemort avait eu une certaine lucidité en le désignant comme son égal. Dumbledore aussi avait vu son potentiel, pourtant les deux sorciers les plus puissants des dernières générations n'étaient rien devant la puissance magique qui émanait du jeune garçon. Merlin lui même tremblerait devant lui lors d'un duel. C'est cette puissance qui le rendait si imposant, si magnétique et en même temps si fragile.
Un grand pouvoir, implique de grandes responsabilités. Et seul ceux qui ne s'en croit pas digne, le sont vraiment. Les deux zouaves n'étaient que des guignols jouant à être Dieu. Les vrais Dieux sont humbles et discrets, conscients des répercutions de leurs actions. Des écorchés vifs. Des sculptures de cristal. Des étoiles incandescentes sur le point d'exploser. Aucune personne saine d'esprit ne voudrait avoir un tel pouvoir, une telle responsabilité. Le prix à payer était trop lourd. Ce prix, Harry en tenait la preuve entre ses mains d'enfants. Le prix de dizaine de vie gâchée en son nom... Alors qu'il n'avait jamais rien demandé d'autre que d'être aimé, et accepté. D'avoir une vie simple et douce.
Harry tournait les pages, un sourire triste au coin des lèvres, tout en laissant ses larmes coulées sur le papier glacé. Effleurant du doigt les images de ses biens aimés disparus, jeunes et heureux pour l'éternité. Julia se pencha légèrement au dessus de son épaule.
« -Mon premier noël...Ils avaient l'air tellement heureux, murmura le jeune homme.
-Oui. Ce sont de beaux souvenirs. »
Harry renifla pitoyablement avant de choisir sa photo préférée de ses parents. Celle à Godric's Hollow, où ils dansaient sous les feuilles d'automne.
« -Elle est magnifique, mon chat. »
Mais ce n'était que la première. Ensuite, il y avait celle de Ron, Hermione et lui dans la salle commune des Gryffondor. C'était Colin qui avait immortalisé l'instant. C'était le fameux soir où Ron l'avait emmené volé et où Hermione les avait attendus avec un chocolat chaud. Elle portait ses chaussons à tête de lapin et entortillait ses cheveux autour de son index en lisant un roman quelconque. L'instant suivant, Ron et Harry entraient dans la pièce tout ébouriffés de pluie et de vent. Elle le accueillit avec un grand sourire, posa son livre après avoir marqué sa page avec une plume qui passait par là, avant de leur tendre les fameuses boissons promises. Se faisant, Ron lui volait un baiser et se calait entre elle et son meilleur ami qui apportait un paquet de jeux de cartes explosives.
La suivante fut une photo de l'AD au grand complet et la dernière une photo de la famille Weasley durant le Noël après l'attaque du Ministère. Le dernier avant la disparition de Ron et Hermione, celle de tous les autres... Qui avait-il d'encore en vie sur cette photo à présent... Pas Ginny, ni Molly...
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Jasper s'en voulait terriblement. Il avait manqué tuer un humain, qui en plus d'être le compagnon de son frère, était un sorcier. Si Edward et Emmett ne l'avaient pas empêcher de le tuer, aujourd'hui sa famille serait doublement condamnée. A la fois par les Sorciers et par les Volturis. Il ne l'avait dit à personne, mais il en était persuadé. Le sang qu'il avait sentit était différent de celui d'un simple être humain.
Son odeur était intoxicante. Elle piquait la langue, comme emprunt d'électricité. Des indices qui ne trompait pas, pour tout vampire avertit, ou qui avait un régime alimentaire classique. Cet être était tabou !
Il n'avait sentit cette odeur qu'une fois dans sa longue vie. Maria avait découvert une sorcière un jour et l'avait emmené avec elle pour qu'il puisse la sentir. Elle lui avait expliqué ce qu'il risquait si se laissait aller à ses instincts auprès d'un tel être. Elle le livrerait aux Volturis séance tenante et le regarderait mourir avec une indicible délectation. Car les sorciers ne manqueraient pas de détruire leur espèce toute entière si les vampires s'avisaient de les chasser comme les humains.
Ainsi chaque créateur écœurait leur nouveau né avec le sang et l'odeur d'un sorcier, jusqu'à être sûr qu'ils ne s'attaquent jamais à l'un d'entre eux. Comme cela avait été crucifiant pour l'empathe. Son don avait rendu l'inoculation proche de la torture. Son sevrage dépendait de trop de facteur pour qu'il soit vraiment efficace. Il était certain que s'il croisait un sorcier lors d'une chasse, surtout s'il chassait avec un autre. Galvanisé par ses émotions et celle de ses compagnons, il serait implacable.
Quelle pitié que les derniers événements lui aient donné raison...
Mais ce n'était pas la honte qui lui faisait éviter tous les membres de sa famille, Alice, ou Edward en premier lieu. C'était l a peur. Si Aro venait à apprendre la nature du compagnon d'Edward, cela signerait leur arrêt de mort, aussi sûrement que s'il l'avait tué ce jour là. Le Roi Vampire estimait déjà que leur clan était pourvu de trop de talent pour ne pas être une menace. Il convoitait le pouvoir d'Alice, qui n'avait aucun équivalent, de même avec l'empathe. Il attendait fébrilement une faille, une erreur, même infime pour les déclarer hors la loi. Ce prétexte serait du pain béni...
Devant l'ampleur de ses tourments, il finit par aller demander conseil à Carlisle, lorsqu'il fut sûr que personne d'autre ne les entendrait.
« -Mon Dieu ! Tu es sûr ?!
-Affirmatif. Je n'aurais pas pu faire d'erreur... »
Carlisle se sentait comme prit dans un étau, tiraillé entre le bonheur de son fils et la sécurité de sa famille. Etait-il un monstre, si l'espace d'un instant, il avait souhaité qu'Edward ne retrouve jamais son compagnon ? Le risque était si grand...
« -Seigneur, se lamenta-t-il. Il faut le lui dire... S'il l'apprend d'une autre bouche...
-Alice s'évertue à voir, sans le moindre succès. Comme avec les loups de la Push, les sorciers bloquent ses visions. Si je ne lui dit pas, elle ne saura rien... »
Mais devait-il cacher la vérité pour autant ? Une pensée finirait par lui échapper... Et s'ils se retrouvaient que deviendrait le vie ? Seraient-ils pour toujours des fugitifs ? Loin de tous les vampires, qu'ils soient nomades ou en clan ? Les Volturis en première ligne ?
Ils étaient tellement pris dans leur tourment qu'ils ne virent ni n'entendirent Rosalie entrer. Sous ses airs de Reine des glaces, sous ses regrets et sa mélancolie, elle aimait profondément tous les membres de sa famille, même si elle ne s'entendait pas toujours avec eux. Mais qui ne se bouffait jamais le nez en famille ? Son frère méritait de connaître le bonheur, autant que n'importe qui. Cela n'avait que peu d'importance que son compagnon soit un sorcier. Quoi que cela implique et qu'ils semblaient tant craindre. Le destin savait vous apporter ce dont vous aviez le plus besoin, elle en nourrissait le parfait espoir. Son père et son frère devaient l'avoir aussi. Le reste, ils l'affronteraient ensemble !
« -C'est à lui de décider, ne croyez vous pas ? Intervint-elle acide. »
Les deux vampires sursautèrent de concert.
« -Il n'a pas eu voix au chapitre pour sa transformation, comme chacun d'entre nous, et je serais mal placée pour en faire la remarque... »
C'est à Emmett qu'elle pensait en disant cela, bien sûr. Elle l'avait découvert aux portes de la mort et avait supplier Carlisle de le transformer, lui autant le choix qu'elle n'avait jamais eu, ne supportant pas l'idée de perdre son compagnon, le jour de leur rencontre. Elle n'avait songé aux conséquences qu'après coup. Fort heureusement, Emmett ne lui en avait jamais voulut.
« -Dites le lui. Il a le droit de savoir. Comme nous tous. Vous ne pouvez faire de la rétention d'information sur un sujet qui nous concerne tous. Tu te plais à répéter, depuis des décennies, que nous sommes une famille. Prouve le !
-Rosalie, ce n'est pas si simple..., commença Carlisle.
-Au contraire. Dis lui, ou je le ferais. Cela aussi est un choix. Lequel préfères-tu? »
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L'Autel du souvenir était prêt et il était Oh Combien débordant de photographie. Beaucoup trop. Chacune était pourvu d'une bougie et d'une petite assiette pour mieux y placer une part de leur met préféré, pour autant qu'ils puissent le savoir. Une chocogrenouille pour Ron, des Cerises confites pour Ginny et Molly, un recueil des pièces de Shakespeare pour Hermione, qui n'aimait rien de plus que le nourriture de l'âme, des profiteroles pour Lucius et des meringues pour Narcissa, un clafoutis pour Eileen, de la tarte à la mélasse pour Lily, des têtes de moines pour James qui avait la passion du fromage avec son meilleur ami et pour les membres de l'AD une boîte de fondant au chaudron qu'ils avaient l'habitude de se partager après leurs entraînements.
Un Autel fort bien garni et pourtant, il manquait une photo, une bougie et un assiette. Julia avait tenté de pousser Harry à Le rajouter sur l'Autel, ou quelque part dans sa chambre où il pourrait évoquer son souvenir seul s'il préférait. Mais Harry avait supplié, et pleuré avec un désespoir déchirant.
« -Je ne veux pas ! Je ne peux pas ! Pas maintenant !
-Tu le garderas prisonnier pour toujours ? »
Toutes les ampoules de la chambre avaient explosé en même temps. Dans un coin de la pièce, Harry pouvait presque le voir lui sourire.
« -Golden... »
Il l'entendait l'appeler...
« -Tu vas devoir le laisser partir un jour...
-Pas MAINTENANT ! »
Alors Julia avait laissé tombé pour cette fois... Mais il faudrait bien y revenir. Ce jeune homme était son plus gros traumatisme et Harry ne pourrait pas aller mieux s'il ne faisait pas son deuil. Elle espérait qu'il puisse un jour. Elle l'appelait de tous ses vœux. Il le fallait !
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Hello !
Ca bouge du côté vampire dans ce chapitre^^ J'espère que vous avez aimé?
QUi est fan d'Amber? Moi je craque complètement^^
N'hésitez pas à me faire des retours
A tres vite
Angel
