Réponses aux commentaires guest :

Guest-1 Oh non, je n'oserai pas la tuer :o D:

Pixiel je suis contente que tu t'es manifestée alors. ^^

Guest qui parle en espagnol, je n'ai pas saisi le message...? :)

et Loulote41, Marie110, Quetsche, Muguet, Guest-2, Phile et tous les autres, merci pour vos réactions enthousiastes... Je suis ravie que vous preniez plaisir à lire cette fanfiction autant que je prends plaisir à l'écrire et à l'imaginer ! :)

Et je n'oublie pas non plus les lecteurs silencieux qui suivent cette fic.


Voici donc un nouveau chapitre.


Chapitre 11 : Inquiétudes

Mr Darcy se précipita vers le corps immobile d'Elizabeth. La voir inerte et qui semblait être dénuée de toute vie accentua encore plus sa frayeur au plus haut point. Il s'agenouilla près d'elle et se pencha sur sa poitrine pour écouter le battement de son cœur, mais ainsi affolé, et avec les bruits que la pluie produisait, il ne parvint à rien capter.

En désespoir de cause, il finit par la secouer par les épaules.

— Miss Elizabeth... ! Miss Elizabeth... ! Réveillez-vous... !

Mais ce geste était vain et inutile car le jeune homme n'eut aucun retour de la part de l'inconsciente.

— Monsieur...? Je crois que nous ferions mieux de l'emmener à l'abri chez elle..., intervint Fred, le cocher, qui s'était approché.

— Oui..., vous avez raison..., soupira-t-il.

Mettant son bras gauche derrière le dos de la jeune femme, et l'autre sous les genoux, Darcy la souleva dans ses bras et l'emmena à l'intérieur de la berline, où il s'installa avant de la placer sur ses genoux. Sous les ordres de son maître, Fred dirigea rapidement les chevaux vers Longbourn.

Darcy enleva son manteau dont l'intérieur était resté à peu près sec, pour couvrir Elizabeth. Il se pencha et la contempla, tout en essayant de détecter un signe qui le rassurerait que la femme respirait. Et malgré son inquiétude, il finit par se retrouver à admirer chaque détail du visage de la jeune femme qui était maintenant assez près du sien. Ces yeux qu'ils appréciaient tant étaient désormais sinistrement clos et semblaient n'être pas prêts de se rouvrir. Son visage était pâle, et ses jolis lèvres bien dessinées qui lui donnaient l'envie de les embrasser, avaient légèrement perdu de ses couleurs. Il caressa doucement la joue refroidie de la belle endormie, puis dégagea délicatement son front des mèches qui se trouvaient en dessus, et ne pouvant plus résister longtemps, y déposa un suave baiser, et lui murmura tendrement : « Pardonnez-moi... ».

Enfin, profitant malgré lui de ce moment qui était peut-être la seule et unique fois de sa vie où il pourrait l'avoir ainsi blottie dans ses bras, tout près de son cœur, il la serra plus étroitement, le menton appuyé sur les cheveux mouillés de la jeune femme, et caressa nerveusement son bras, comme pour la réchauffer, tandis que dehors, le temps commençait à se calmer peu à peu.

A Longbourn, les gens avaient commencé à vraiment s'inquiéter dès le moment où ils avaient réalisé qu'Elizabeth était nulle part dans la demeure. Une employée de la maison confirma leur inquiétude en leur apprenant qu'elle l'avait aperçue s'en aller à cheval. Mr Bennet et Mr Bingley furent sur le point de sortir pour partir à sa recherche lorsque ce dernier reconnut la berline des Darcy qui avançait rapidement vers le domaine pour s'y arrêter devant.

Quelques minutes plus tard, les Bennet assistèrent à une scène très inhabituelle qui ne manqua pas de les mettre dans un grand état de stupéfaction, en voyant Mr Darcy en personne entrer dans la maison, avec Lizzie dans une évidente mauvaise posture, inconsciente dans ses bras, tous les deux éclaboussés par la pluie. Jane et sa mère s'exclamèrent aussitôt de surprise et d'effroi, la main à la bouche.

— Je l'ai trouvée... inconsciente sur la route..., expliqua Darcy d'une voix rauque et essoufflée qui témoignait sa lassitude. J'ai ordonné à mon cocher d'aller chercher le médecin. Mrs Bennet, si vous me permettez, je vais tout de suite l'emmener en haut où il faudra la changer…

N'attendant plus l'acquiescement de celle-ci qui répondit par des « Bien sûr ! Bien sûr !» paniqués, et qui ordonna à Betsy, la femme de chambre de préparer rapidement les affaires nécessaires pour sécher et réchauffer Lizzie à l'étage, le jeune homme monta dans la chambre d'Elizabeth. Dans la panique générale, personne ne remarqua le fait que Mr Darcy soit si familier avec la maison en repérant tout de suite la pièce.

Il déposa soigneusement Elizabeth sur le lit, puis lui prit sa main et y déposa un baiser furtif. Mrs Bennet, qui venait d'arriver d'en bas dans le couloir, vit le geste de Mr Darcy, qui ne l'avait pas remarquée. Surprise par cet acte venant du gentleman, elle marqua une pause et continua de regarder discrètement d'un œil curieux la scène dans son coin.

Darcy sortit après un dernier regard teinté d'inquiétude et de regret vers la jeune brune. Il croisa Mrs Bennet dans le couloir.

— Cher monsieur, merci de l'avoir portée, s'inclina-t-elle chaleureusement avant que le jeune homme la suivit des yeux rejoindre hâtivement la chambre.

Puis il vit Betsy et les quatre autres demoiselles Bennet passer dans le couloir afin d'aller dans la chambre à leur tour. Avant de s'introduire dans la pièce, Jane remercia Mr Darcy d'avoir retrouvé sa sœur, puis elle entra et ferma la porte.

Le jeune homme descendit pour retrouver Mr Bennet et Mr Bingley qui attendaient dans le couloir donnant accès à la porte d'entrée en bas.

— Elles sont en train de s'occuper d'elle. Le médecin ne devrait pas tarder à arriver, les informa-t-il. Mr Bennet, je vous prie de me pardonner pour mes manières... Je ne crains que dans les circonstances, je n'ai pas pu vous saluer correctement. Excusez-moi. Mr Bennet, Bingley, s'inclina-t-il poliment.

— Allons monsieur, ne vous excusez pas, nous savons tous dans quelle situation d'urgence nous sommes, répondit le vieil homme, compréhensif.

Bingley adressa une œillade entendue à son ami, lui faisant comprendre qu'il était ravi de le revoir. Bien qu'il avait des choses à lui dire, le jeune blond se contenta de garder le silence pour l'instant étant donné la situation. De plus, Darcy n'était en ce moment concentré sur autres choses que le sort d'Elizabeth.

Le docteur Walter surgit du seuil de la porte en saluant brièvement tout le monde qui était présent. Mr Bennet le guida aussitôt à l'étage vers la salle où la malade était alitée.

Les trois plus jeunes demoiselles Bennet quittèrent la pièce tandis que Mr Bennet redescendit, et Betsy, Jane et sa mère restèrent pour assister le docteur qui se mit à examiner Elizabeth, toujours inconsciente.

Il attribua des soins à sa patiente, notamment, en bandant la partie de sa crâne qui avait été heurtée. Lorsqu'il termina son service, il donna les consignes à ces femmes pour la guérison de la malade et promit de revenir le lendemain.

Il descendit en bas où Mr Bennet allait l'accueillir pour s'enquérir de l'état de santé de sa fille mais le vieil homme fut tout de suite devancé involontairement par Mr Darcy qui posait déjà ses questions impatiemment alors que le docteur fut encore à mi-chemin de l'escalier. Une fois descendu, celui-ci leur dit le diagnostic en expliquant que la jeune femme avait reçu un coup à la tête, puis il leur rapporta les traitements qu'il lui avait faits avant de conclure :

— Il lui faut un peu de temps pour se réveiller. Elle aura peut-être de la fièvre et il lui faudra se reposer...

— Et sa tête ... Rien de grave...?

— Je lui ai déjà prodigué les soins nécessaires. Il faudra attendre de voir son évolution mais je pense qu'elle guérira normalement.

Darcy parut un peu soulagé et avec Mr Bennet, remercia le docteur avant qu'il ne prenne congé.

Quand tout fut plus ou moins calme, le maître de Longbourn invita Mr Bingley et Mr Darcy à prendre un verre dans son bureau.

Mais malgré les paroles du médecin qui s'étaient voulues rassurantes, Darcy n'arrivait pas à rester tranquille sur sa chaise, visiblement toujours inquiet. Il se leva, arpenta la pièce, regarda dans le vide par la fenêtre, puis revint s'asseoir, pour se mettre à se relever quelques minutes plus tard pour répéter aléatoirement ces mêmes mouvements. Il ne remarqua même pas le regard de Mr Bennet qui, son verre entre les deux mains, l'observa très curieusement et avec attention du coin de l'œil pendant ce temps; avec cet affolement vif envers sa fille cadette que le jeune homme montrait, et que le père avait difficilement du mal à cerner. Mr Darcy, d'habitude, soit se montrait froid, soit indifférent ou soit témoignait du mépris envers tout ce qu'il jugeait lui étant inférieur ou indigne de son intérêt.

— Et donc..., commença le vieil homme par dire, autant pour tenter d'occuper le pauvre jeune homme préoccupé, en essayant d'engager la conversation, autant pour que celui-ci arrête de s'agiter devant ses yeux avec ses va-et- vient interminables. Cela en devenait presque agaçant.

Ces deux petits mots eurent l'effet escompté car Mr Darcy s'arrêta de bouger et imité par Mr Bingley, se tourna vers Mr Bennet.

— Donc, Mr Darcy... comment avez-vous trouvé Elizabeth exactement ? Avez-vous aussi entrepris une promenade de pluie aventurière dans les parages ? questionna curieusement ce dernier.

Darcy se rassit avant de répondre.

— Je crois que la bonne étoile de votre fille a voulu que je me retrouve là-bas au même endroit pour venir à son secours, monsieur.

— Et vous étiez avec votre voiture...

— En effet monsieur.

— C'est vraiment un très heureux hasard effectivement..., commenta Mr Bennet pensivement après une pause, en fronçant les sourcils, tout en jouant avec son verre. Pourrions-nous imaginer combien de temps moi et Mr Bingley aurions mis à la trouver si vous n'étiez pas présent, au bon moment et au bon endroit…

Il dévisagea Mr Darcy. Ce dernier, embarrassé par l'expression suspicieuse du vieil homme, se demanda si celui-ci doutait de sa parole. Il toussota légèrement et détourna le regard l'air de rien, essayant de cacher son malaise. Il ne se trompait pas car effectivement, Mr Bennet avait du mal à croire à cette histoire de bonne étoile et pensait qu'il y avait quelque chose de louche dans toute cette histoire.

A l'étage, Elizabeth commença à remuer légèrement en se réveillant pour découvrir le visage d'ange rassurant de Jane qui lui parut d'abord flouté jusqu'à ce sa vision devienne nette au fur et à mesure que ses yeux s'ouvrirent petit à petit.

— Enfin... vous êtes réveillée, l'accueillit Jane avec son air doux, assise près de son lit, un sourire apaisant aux lèvres.

Sa sœur lui retourna son sourire et encore déboussolée, répondit d'une voix encore faible à peine audible.

— Jane..., c'est vous... ? … Mais... où-suis je ?

— En sécurité à la maison.

La jeune brune mit une pause avant de répondre.

— Je crois que j'ai fait un rêve horrible, se souvint-elle la main au front. Je me suis retrouvée évanouie perdue en chemin sous la pluie enragée... J'avais vraiment cru que j'allais y rester...

— Je ne crains que ce que vous me racontez là ne soit la réalité... Effectivement Mr Darcy vous a trouvée inconsciente dehors.

— Mr Darcy ? Mais comment cela...

Sourde aux protestations de sa sœur qui lui intima de rester couchée, Elizabeth s'assit brusquement sur son lit et recouvrit enfin toute sa lucidité.

Prise d'une intuition, elle pencha la tête pour réaliser en voyant la partie rebondie sous sa chemisette, la présence de ses seins qui étaient visiblement de retour. Elle toucha ses cheveux et sentit la bande de tissu à son crâne mais n'y accorda pas attention. Puis elle regarda ses mains, ses bras et ses avant-bras, vérifia ses jambes et ses pieds sous les draps... Et après une dernière brève vérification de son reflet à travers la vitre de la fenêtre, réalisa enfin qu'elle était retournée dans son corps.

Les derniers souvenirs qu'elle avait à l'esprit étant son sommeil à Netherfield Park, elle demanda à sa sœur pourquoi et comment elle s'était retrouvée inconsciente sur le lit de sa chambre à Longbourn.

— Lizzie, je répondrais volontiers à toutes vos questions mais à la seule condition que vous gardiez le lit calmement. Vous avez eu un traumatisme, n'avez-vous pas encore plus mal à la tête de s'agiter ainsi ?

— Oh Jane, répondit-elle en se retournant s'assoupir sur le côté pour ne pas contrarier sa sœur. A part le fait que je me sens légèrement désorientée, je ne ressens aucune douleur... Je me sens même étrangement bien.

— Vraiment ? J'insiste quand même que vous restiez tranquille. On ne peut se fier à cela. Les maux pourraient revenir. On ne le sait jamais.

Jane narra à sa sœur les évènements qui s'étaient produits il y a moins d'une heure, non sans l'ébahissement de celle-ci qui l'écouta avec la plus grande attention.

Puis la jeune blonde tranquillisa les autres femmes de la maison en les mettant au courant du réveil de Lizzie. Ces femmes ne tardèrent pas à se précipiter dans la chambre.

— Que le ciel en soit loué ! s'exclama Mrs Bennet.

— Lizzie ! Vous nous avez causé une telle frayeur ! renchérit Lydia.

Mais après s'être rassurée de l'état de sa fille qui lui répondit qu'elle allait mieux, Mrs Bennet, au bord des larmes, ne manqua pas de la réprimander fortement.

— Lizzie ! Vous n'êtes qu'une jeune fille sotte et inconsciente ! Que vous prend-t-il d'aller vous promener si loin par un orage pareil ! Vous n'avez aucune idée de l'affolement que vous nous avez causé ! N'avez-vous aucune pitié pour mes pauvres nerfs... !?

— Maman, je vous en prie..., elle vient à peine de se ranimer, essaya Jane de la tempérer.

— Mère, je vous demande pardon, répondit Elizabeth de son lit. Moi-même, je ne me souviens même pas de ce que j'ai fait pour en arriver à cet accident...

Mais Mrs Bennet continua ses réprimandes…

Et Elizabeth finit par lui répondre :

— Souvenez-vous, mère, que vous avez encouragé Jane à tenter la même expérience en novembre dernier lorsque vous l'avez forcé à chevaucher à Netherfield Park sous la pluie...

Mrs Bennet marqua quelques secondes pour se rappeler les souvenirs dont sa fille cadette faisait allusion avant de protester vivement :

— Oh ! Balivernes ! Jane allait dans une maison sûre et sécurisée, dans le voisinage avec ce cher Mr Bingley qui l'attendait, mais pas dans les bois sauvages inconnus lointains pour aller je ne sais où... Et regardez où cela vous a mené ! Vous vous êtes retrouvée évanouie en pleine nature avec une bosse sur la tête et une mine affreuse. Heureusement que l'ami de Mr Bingley vous a trouvée. De plus, vous, Lizzie, vous savez à peine monter à cheval ! Mais qu'est-ce qui vous est passé par l'esprit !?

— Pour ma défense, je dois vous faire savoir qu'on m'a appris à faire du cheval lors de mon séjour dans le Kent, se remémora-t-elle pensivement, avec un léger sourire du coin de la bouche.

— Et vous vous donnez encore matière à rire après tout ce qui s'est passé ? Vous moquez-vous de nous Lizzie ? s'indigna Mrs Bennet.

Réveillée de ses souvenirs, Elizabeth se précipita pour répondre.

— Oh...Pardonnez-moi mère. J'étais momentanément plongée dans des souvenirs lointains plus joyeux. Croyez-moi, loin de moi de rire d'une telle situation !

— Vraiment Lizzie, je ne sais pas ce que je vais faire de vous, se plaignit Mrs Bennet une dernière fois avant d'aller descendre au bureau de son mari.

Environ dix minutes plus tôt, d'en bas, Darcy leva les yeux en entendant des cris de la part de Mrs Bennet. Il reconnaîtrait ce timbre si particulier de cette femme parmi des milliers et réalisa avec soulagement qu'Elizabeth s'était enfin réveillée. La preuve, il comprit plus ou moins par les mots de Mrs Bennet venant de l'étage qu'elle était en train de la gronder. Comme Mr Bingley et Mr Bennet, il n'entendit pas tous les mots que Mrs Bennet aboyait mais avait distingué les mots : "Lizzie", « fille sotte », « inconsciente », « sang d'encre », « pitié », « nerfs »…

Quelques instants plus tard, les grondements s'étaient calmés. La femme apparut dans la bibliothèque en s'exclamant :

— Dieu merci ! Lizzie s'est enfin réveillée !

Elle expliqua aux trois hommes qu'Elizabeth allait nettement mieux, plus qu'on ne s'y était attendu. Mr Bennet soupira de soulagement. A l'entrée de la dame, Mr Bingley et Mr Darcy s'étaient levés, non moins soulagés.

— Que Dieu vous bénisse mon garçon ! Merci de l'avoir sauvée ! s'exclama-t-elle en s'approchant et en s'adressant à Mr Darcy, qui se trouva momentanément dans le désarroi, pris au dépourvu, ne s'attendant pas à recevoir ces bonnes paroles.

Cela accentuait encore plus le malaise qu'il ressentait depuis que le sort était levé. Il répondit juste par une très légère inclinaison de la tête à peine perceptible.

Jane descendit à son tour et adressa un sourire à son nouveau fiancé, lui témoignant que tout allait mieux.

— Il se fait tard et je crois que nous pouvons maintenant partir tranquille, annonça Bingley aux parents Bennet. Nous avons assez abusé de votre hospitalité. (Puis se tournant vers Jane avec un sourire amoureux :) Nous nous revoyons demain ?

— Bien sûr.

— Adressez nos meilleurs vœux de santé pour votre sœur de notre part.

— Je n'y manquerai pas.

Personnellement, Darcy voulut voir une dernière fois Elizabeth avant de partir mais au lieu de cela, il se contenta de s'incliner poliment avant de prendre congé.

Le cheval de Bingley fut attelé à la berline des Darcy avec laquelle ils allaient rentrer à Netherfield Park. Darcy ne se rendait même pas compte qu'Elizabeth le suivait discrètement des yeux de la fenêtre de sa chambre à l'étage, depuis qu'il était sorti de la maison, jusqu'à ce qu'il entra dans la berline qui allait partir, et qu'elle le perde de vue.


Nous entamons la deuxième partie de l'histoire avec le prochain chapitre qui va venir, c'est-à-dire le chapitre 12. ^^