Dans ce chapitre je vais distiller quelques petites infos sur Crocodile. Qui sait que cela aura peut-être son importance ultérieurement ;D
ATTENTION : Il y a encore des scènes à caractère sexuel, même si plus soft et moins présent. C'est même plus de la séduction par moment. Enfin je vous laisse découvrir ^^
Chapitre 11 : Punition
[Point de vue Crocodile]
Après cette journée nous la finissons dans les bras l'un de l'autre à discuter de tout et de rien.
Mais de ce que j'en vois c'est qu'Ariel a beaucoup de discussion, elle est vive d'esprit et très intéressante.
Je serais presque tenté de la recruter… mais… c'est une si gentille demoiselle, ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu'elle ne ferait pas de mal à une mouche. Et puis elle n'a pas sa place en prison. Dommage je l'imaginais être une jolie secrétaire….
Mon esprit divague, je l'imagine dans un joli tailleur moulant… hum il n'y a pas à dire, à chaque fois que je l'imagine dans une tenue ou un uniforme, l'image me tresse, tout lui irait j' et je suis sûr.
J'admire le tour de force qu'elle opère chez moi, j'ai rarement autant ri et je me suis rarement autant amusé. Je commence à comprendre pourquoi j'ai été attiré par ce bout de femme, elle me rappelle un être cher… qui comme elle était la gentillesse et la douceur incarnée. J'ai l'impression de te revoir Luna….
Et c'est bien parce qu'Ariel te ressemble que je n'arrive pas à agir avec froideur et distance avec elle, comme je peux le faire avec mes collaborateurs ou n'importe qui. Au contraire, elle me pousse à agir comme j'étais avant, avant ce drame. Ariel me rappelle toi et ma vie avant ta mort… avant que tout bascule… jamais, non jamais je ne pardonnerai à Barbe Blanche !
Je sens la colère et la fureur monter, mais Ariel se penche sur moi toute souriante et me vole un baiser, aussitôt ces mauvais souvenirs disparaissent.
Ma petite Ariel… :
- Tu es vraiment divertissante Ariel, si je pouvais je continuerais de discuter avec toi encore des heures, mais tu tombes de fatigue, on devrait dormir. J'ai d'autres sombres projets pour toi et je te veux en pleine forme.
- Quel genre de projets ? Me demanda t'elle intéressée malgré ses petits yeux fatigués.
Mais elle est têtue ! Et ça me plaît. Je souris et je pose mon index sur ses lèvres soyeuses :
- J'ai dit qu'il fallait dormir, rétorquai-je.
-Oui papa !
Je grimace, la petite peste ! Je te ferai payer cet affront demain :
- C'est Sir Crocodile, représ-je en tenant sa mâchoire entre mes doigts.
- D'accord Crocodile.
- J'ai dit Sir Crocodile, je te promets que demain je te paierai tes petites provocations ma jolie.
- Si c'est le même genre de punition que tout à l'heure je suis d'accord.
- Petite provocatrice ! Prenez garde mademoiselle !
Elle glosse amusée et ses taquineries me plaisent. Oh oui je vais te faire payer ton entêtement, méfie-toi j'ai toute la nuit devant moi pour définir une torture digne de ton affront.
Cela étant, je l'enferme dans mes bras et mes jambes :
- Allez bonne nuit, fis-je en éteignant la lumière.
- Maïs ! Lâche-moi ! Rit-elle.
- Tu n'avais qu'à être obéissante, vilaine fille.
Je l'entends rire dans le noir et elle se colle à moi, en m'enlaçant, ah voilà qui est mieux.
- Bonne nuit Crocodile et merci de cette délicieuse journée, me souffle t'elle en déposant un baiser sur ma joue.
- Bonne nuit Ariel et je te remercie aussi pour cette journée si plaisante, mais ça ne fait que commencer, demain sera une nouvelle journée, murmurai-je dans le creux de son oreille.
Je la sentis se tendre contre moi et je l'imaginai rougir à cet instant :
- Je… je l'espère…, bégayai-t-elle.
Je l'embrasse tendrement sur son front.
Les secondes passent et très vite j'entends la respiration d'Ariel ralentir et être très calme, elle s'est endormie vite, la journée a été longue et chargée cela dit.
Je ne m'endors pas immédiatement, je profite encore un peu d'Ariel, de sa présence, de son parfum. Je ferme les yeux en me laissant bercer par la délicieuse chaleur de cette beauté que j'ai dans mes bras.
Et petit à petit je m'endors.
[PDV Ariel]
Hum… je me réveille doucement… comme j'ai bien dormi….
Je me retourne : pas de Crocodile, mais je perçois une légère odeur de tabac, je me redresse doucement et fixe les rideaux du balcon. Oui ils bougent légèrement à cause du vent, il doit être dehors.
Je me redresse complètement et vois que je suis nue, c'est vrai que je ne peux pas le rejoindre dans cette tenue, même si dormir ainsi contre lui était particulièrement plaisant.
Je me lève et je vois sa chemise, je me mordille les lèvres et je la passe et je glosse, sans surprise elle est beaucoup trop grande pour moi.
Je laisse machinalement sa chemise tomber sur le côté, dégageant ainsi une de mes épaules, je me coiffe avec mes doigts, avant de sortir.
Il est face à la mer en train de fumer, vêtu de son pantalon et chaussures, son dos est dénudé et si musclé…. Clairement je me rince l'œil.
Je descends le plus discrètement possible, avant de m'approcher pour l'enlacer, le prenant par la taille :
- J'ai cru que j'allais mourir d'ennuis, me lance Crocodile en expirant la fumée de son cigare avant de le jeter au sol et de l'écraser de sa chaussure.
J'éclate de rire :
- Est-ce ta façon de me dire bonjour ?
- Tout à fait, me dit-il en se tournant vers moi avec un sourire avant de me fixer. Bon sang… et tu oses te présenter devant moi dans cette tenue ? Petite voleuse.
- Oui et je n'ai pas mis de culotte, chuchotai-je en me mettant sur la pointe des pieds.
D'un coup il me soulève, me portant dans ses bras et avec son pouvoir on vole jusqu'à ma chambre, je pousse un cri de surprise, avant d'éclater de rire. Il verrouille à coup de vent de sable, avant de me plaquer contre mon lit, tenant mes poignets au-dessus de ma tête, il n'est pas du tout pressé, pensais-je amusée.
- Je n'ai pas oublié ta punition jeune fille ! Ta dernière provocation causera ta perte !
Il m'attache les poignets à la tête de lit avant d'enlacer mon corps de ses bras musclés. Il ouvre avec ses pouvoirs ma chemise et parsème de baisers endiablés mon cou et ma poitrine, me dévorant littéralement.
Je pousse de doux gémissements de plaisir, j'aime ses punitions, je veux être punie tous les jours dans ces conditions.
Ses lèvres affamées se posent sur mon corps offert et elles s'attardent sur ma poitrine. Crocodile est vraiment un expert, sa langue… fait de telles merveilles.
Il use de son fruit pour caresser mon corps avec son sable, je me tords contre lui, me tendant de plaisir et puis tout s'arrête brutalement :
- Mais pourquoi tu t'arrêtes ?! M'exclamai-je frustré comme ce n'était pas permis.
Je l'entends rire :
- Mais il me semble t'avoir parlé d'une punition.
- Et tu me comptes frustrants ? Mais tu es….
- Tut tut tut, si j'étais toi ma jolie je ne prononcerais pas de vilaines paroles avec ta jolie bouche, rien qui pourrait me vexer, me dit-il d'une voix langoureuse. Si tu es sage et très gentille je te promets de peut-être considérer la levée de cette punition. Et puis… il faut qu'on petit-déjeune… je m'en voudrais si tu t'évanouies de fatigue…. Hum j'ai bien envie de te voir dans une nouvelle robe.
Je me mords les lèvres, le salaud ! Je comprends que je vais devoir attendre et que je dois m'habiller comme il a envie.
- Je vois que tu aimes la frustration, pour ne pas te préparer, peut-être que je devrais….
Je ne le laisse pas finir sa phrase, je me redresse et pars à toute hâte de trouver une nouvelle tenue. Je prends la robe rose que j'ai achetée hier et je sens Crocodile se coller à moi :
- Vraiment très bon choix, me susurre t'il.
Il ne va pas me faciliter la tâche avec sa voix, je me dirige vers la salle de bain mais il pose sa main contre la porte, se collant à mon dos :
- Cela me ferait très plaisir de te voir t'habiller.
Je le regarde choquée et je lâche un petit rire étouffé, prêt à lui retorquer quelque chose, mais il arque un sourcil de défi. Si je réponds, c'est sûr qu'il va aggraver ma situation.
Ce petit jeu, bien que frustrant, me plait bien, très bien Crocodile tu vas regretter de m'avoir frustré :
- Désolée je n'y avais pas pensé, les habitudes ont la vie dure, justifiai-je.
Je lui tourne le dos et je laisse glisser ma chemise le long de mes bras, la retenant quelques instants avant de la laisser tomber au sol. Je me tends en sentant le contact froid du crochet de Crocodile qu'il laisse glisser le long de mon dos :
- Délectable, lance-t-il simplement.
Il fait ça un petit moment, reprenant complètement la main sur qui arrivera à rendre fou l'autre :
- Allez il faut s'habiller, on ne peut pas manger dehors si tu es nue…
Dixit celui qui se rapproche de moi et qui me tient mon poignet droit de sa main, et mon poignet gauche de son crochet. Et dans le même temps il pose ses lèvres sur mon corps et le parsème de baisers. Je lâche un soupir de bien-être et il s'arrête de nouveau, oh c'est si horrible !
Il s'écarte complètement de moi, je suis frustrée ! Dépitée je m'habille et je mets aussi une culotte car hors de question que j'aille dehors sans sous-vêtement. Et à ma surprise Crocodile ne me fait aucun commentaire, alors que je me serais attendu à une autre réaction.
Intérieurement je suis ravie, ça doit signifier qu'il veut que je sois à mon aise, c'est en tout ce cas, ce en quoi je crois.
Pour finir ma tenue, je mets mes chaussures rose pâle que j'ai acheté la veille.
Crocodile me propose son bras que j'accepte, je me colle contre lui, reposant ma tête contre.
On sort et on se dirige vers un café, je me prends un thé glacé au jasmin avec deux pains aux raisins. Crocodile lui se prend un café noir bien corsé et ne mange rien :
- Tu ne manges pas le matin ? Exigez-je.
- Non je ne suis pas du genre à manger le matin, je me rattrape après. Et puis je ne suis pas très sucré.
- Je vois, tant mieux ça me fait plus de dessert pour moi.
- Faut voir, car tu es un délicieux dessert dont je raffole particulièrement, dit-il avec un sourire plein de sous-entendu.
Il n'en loupe pas une ! Très bien !
Je me lève et m'installe sur les jambes de Crocodile qui me contemple de la tête au pied, visiblement ravi de mon initiative :
- Tant mieux, j'adore quand vous occupez de moi Sir Crocodile.
- Ah vraiment ?
-Oui vraiment.
- Pourtant vous avez été si… désobéissante, me susurre t'il en taquinant mes genoux du bout de ses doigts.
- Mais vous adorez ça.
- Hum… je vous concède ce point, j'aime les femmes audacieuses et vous êtes une femme audacieuse, me dit-il en soulevant mon menton du bout des doigts
- Et moi j'adore les hommes entrepreneurs, dominants et respectueux. Plus d'une fois vous m'avez mis à mon aise et j'ai apprécié.
- Me voilà ravi… ma chère finissez de manger, car j'ai faim de vous, m'avoue t'il en collant sa bouche à mon oreille.
Message reçu 5 sur 5 !
- D'accord je vais faire vite, je ne peux décemment pas pour laisser mourir de faim.
Il laisse échapper un rire et moi je glousse, je veux me lever, mais il me retient contre lui :
- Vous mangez dans mes bras, ce n'est pas négociable.
- Je peux au moins me retourner ?
- Hum… bon d'accord.
- Merci.
Je me retourne donc pour faire face à la table, je me saisis de mon thé et de mes viennoiseries que je dévore, je sens que je vais avoir besoin de force.
Néanmoins j'en profite pour prendre mon temps pour savourer mon petit déjeuner, je ne tiens pas à tout engloutir. Je sirote mon thé, qui est bienvenu on a beau être le matin il commence à faire chaud, le soleil tape bien, c'est vraiment une île estivale ici.
- J'ai fini, annoncei-je.
Je me lève et m'avance pour payer, et là Crocodile me retient :
- Où crois-tu aller ma jolie ?
- Bah je vais payer.
-…
-…
- Payeur ? Certainement pas, je vais le faire.
- Et pourquoi je ne peux pas payer ? Tu m'as bien invité hier, je peux bien payer ça.
- Je suis un homme galant !
Galant qu'avec moi alors, car il me traite comme une reine en comparaison avec ses collaborateurs ou ses ennemis…
- Mais il n'y a pas que toi, moi aussi je suis une femme galante, rétorquai-je. Laisse-moi payer s'il te tresse.
Je lui dis ça avec des yeux de biche et une voix toute douce, je le vois rougir légèrement et détourner le regard, il zieute un instant dans ma direction avant de rouler les yeux :
- D'accord…, dit-il entre les dents.
Je prends son visage entre mes mains et l'embrasse sur la joue :
- Merci, tu es un amour.
Je file avant qu'il change d'avis et je paye, je me presse de vite revenir vers lui, il me choppe le bras et m'attire contre lui, avant de poser sa main droite sur ma hanche droite :
- Je ne sais pas si finalement j'aime ton audace, je commence à céder à tes caprices….
Je le regarde et je ris, et il rit avec moi :
- Je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose, gloussai-je. J'apprécie ta compagnie, hier tu m'impressionnais, ça me mettait un peu mal à l'aise, mais finalement tu es beaucoup plus chaleureux et prévenant que je ne le pensais.
- N'abuse pas de la flatterie, tu vas me faire connaître la gêne autrement.
Je rigole, il a un humour un peu particulier, mais une fois qu'on a compris son fonctionnement ça passe crème :
- Dans ce cas je vais arrêter, je ne veux pas te gêner.
- Quelle bonté !
Nous marchons pour rentrer et plus on approche, plus la main de Crocodile se fait insistante sur ma hanche, ça en devient difficile, il taquine un peu trop bien ma peau. Tellement que mes jambes deviennent cotonneuses, ça devient compliqué de marcher. On est presque arrivé à l'escalier qui mène au balcon que je m'effondre :
-Crocodile ! Gémis-je.
- Je n'ai pas dit que j'avais levé ta punition.
Son sable… s'infiltre sous mes vêtements, il s'amuse à l'utiliser sur mon entrejambe :
- Arrête je t'en supplie je n'ai plus de jambes…, gémis-je.
Il me prend dans ses bras et me porte sans pour autant arrêter sa torture :
- Ce n'est pas un problème ma beauté….
Je gesticule dans ses bras, je me sens venir et c'est là où il arrête et je grogne de frustration :
- C'est cruel… Crocodile dis-moi quand comptes-tu arrêter de me tortionnaire ? Ou dis-moi ce que tu veux que je fasse, mais je t'en supplie arrête, je n'en peux plus, ça en devient douloureux, suppliai-je.
- Comme je te comprends, je te libère de cette frustration en quelques instants je te promets.
Crocodile fini de monter les escaliers et me pose au sol et ferme le balcon et les rideaux avant de se tourner vers moi :
- Tu me fais confiance ?
- Heu… oui, répondis-je surprise par sa question tant la réponse est assez évidente.
Il déploie une tempête de sable, je fermai par réflexe mes yeux et leva mes bras pour me les protéger, je me sens décoller du sol. Je crie et je me sens suspendu dans les airs. J'ouvre les yeux et je vois des anneaux de sable me maintenir mes poignets et chevilles, et je suis nue en prime, je rougis vivement pendant que Crocodile s'installe sur mon lit à me regarder :
- La fin de cette punition, c'est que je vais te donner du plaisir, mais cette fois je ne m'arrêterai pas pour te frustrer, tu pourras jouir, mais je regarderai te tortiller d'ici.
Mais quels pervers ! L'idée ne me déplait pas en soit, il a tout vu de moi, mais ça m'intimide un peu.
Crocodile s'installe et commence à jouer avec mes nerfs, des volutes de sable particulièrement fines et douces effleurent ma peau de toute part.
Je commence à lâcher des cris de plaisir, à me tendre, ce sable suit la courbure de mon corps même quand je bouge, je ne peux vraiment pas échapper aux caresses que cela me procure.
[Point de vue Crocodile]
Je commence à jouer avec le sable et c'est un vrai plaisir pour les yeux de la voir se tortiller dans tous les sens et que son visage devienne rouge à chaque seconde qui passe. C'est fascinant.
Et ses cris sont comme une douce mélodie pour mes oreilles. Une mélodie un peu trop efficace, je me sens de plus en plus à l'étroit.
Je la vois qui commence à trembler, à convulser avant de jouir, elle est vraiment magnifique quand elle a un orgasme. Elle a vraiment un beau visage, mais quand il est bercé par le plaisir, elle est juste sublime.
Je baisse mon regard, son entrejambe est complètement trempée et dégoulinante. Hum cette fois je veux utiliser ma main gauche et non mon crochet, il va falloir que je change encore la viscosité de ses fluides si je ne veux pas que ça bloque mes pouvoirs.
Je me concentre sur son entrejambe, pour qu'avec un peu de sable ça assèche juste ce qu'il faut pour épaissir ses fluides et les changer en gel. C'est juste assez pour que ça n'annule pas mes pouvoirs, mais pas au point d'annuler les capacités à hydrater et lubrifier son intimité.
Quand je juge que c'est bon je me rapproche de ma beauté fatale.
Je la surélève un tout petit peu pour qu'elle soit à la bonne hauteur avant d'effleurer l'intérieur de ses bras, elle gémit et se tord de plaisir.
Cette fois j'ai envie d'être très doux avec elle, je commence par embrasser son cou offert tout en effleurant du bout de mes doigts l'intérieur de ses bras où sa peau est plus fine, plus douce et surtout plus sensible.
Je la sens s'arquer, oui laisse-toi aller Ariel.
Je laisse mes doigts glisser vers sa poitrine que je saisis à pleine main, pour la palper tendrement ce qui a son petit effet, plus encore quand je taquine ses tétons.
Je plonge mon visage dans ses cheveux, j'aime son odeur capiteuse.
Ah ses cris ! Elle a des vocalises très sexy, ça m'excite au possible, j'ai à chaque fois envie de surenchérir pour continuer de l'entendre produire cette délicieuse mélodie.
Je plonge ma main droite sur son entrejambe pour effleurer son clitoris et le taquiner sous toutes les coutures. Ariel se tend contre moi et elle gesticule, cherchant à échapper à ce trop-plein de plaisir que je lui procure.
Je caresse son corps avec ma main gauche, appréciant chaque centimètre carré que je parcours. Elle a de jolies courbes féminines dont je ne me lasse jamais et sa peau est si douce, ça me donne envie de la couvrir de toutes les affections possibles.
Je capture ses lèvres pour l'embrasser langoureusement dans un délicieux ballet voluptueux.
Je caressais du bout des doigts son visage et son cou.
Je sens sur ma main droite qu'elle venait de jouir, je continueai de la taquiner entre ses jambes :
- Crocodile…
Cette voix… comment résister à cette adorable petite voix ?
Je la prends dans mes bras et l'amène vers son lit où je la dépose délicatement avant de m'installer entre ses jambes, posant ses jambes par-dessus mes épaules.
Je commence à lécher son intimité, la maintenant en place quand elle s'agitait. Son parfum est vraiment doux et sucré, une vraie drogue. C'est tellement bon que je ne m'arrête plus, ce qui la rend évidemment folle, ses crises se font plus intenses. Je lève mon regard vers elle, elle penche sa tête en arrière et tire sur les draps, se contorsionnant dans tous les sens en n'ayant de cesser d'appeler mon nom.
Ariel jouit une nouvelle fois, avant de se déverser dans ma bouche, je fais en sorte de ne gâcher aucune goutte de ce jus d'amour particulièrement savoureux.
Je vois qu'elle est dans les vapes après son orgasme, je profite encore de quelques instants avant de ralentir et de m'arrêter, me léchant les lèvres avant de me redresser.
Je me rapproche d'elle enveloppe et son corps transpirant dans mes bras, je ne voulais pas qu'elle prenne froid après tout.
Je caresse son dos doucement et la berce, ne la quittant pas des yeux.
Rapidement elle reprend connaissance :
- Crocodile…, m'appela-t-elle d'une voix fatiguée.
- Oui ma princesse ?
- Merci pour ces moments magiques.
- Le sentiment est partagé. Hum… tu sembles épuisée, constatai-je.
- Un peu… je crois que j'aurais dû manger plus… j'ai sous-estimé ta personnalité entreprenante.
- Peut-être…, souris-je, mais tu sais, tu peux te reposer un peu, tu peux même dormir ça ne me pose pas de problème, proposeai-je.
- Mais tu vas t'ennuyer.
- Je ne crois pas, je pense que je pourrais passer des heures à te regarder dormir. Repose-toi un peu, insistai-je.
- Hum… tu es sûr ?
- Oui.
Ariel se blottit contre moi, avant d'étirer son bras pour attraper le drap, que je saisis avant elle et je recouvre son corps.
- Merci Crocodile tu es un amour !
- Hé oh du calme avec la guimauve.
Elle me tire la langue avant de briller.
- Chipie, va, dors avant de dire d'autres bêtises.
Elle se aime tout sourire bien emmitouflée dans son drap et je la vois s'endormir très vite.
Ariel est vraiment adorable…
Je la regarde dormir, elle est si étendre et si belle…
Je tends ma main vers son visage pour écarter des mèches de cheveux, que je lui remplace derrière son oreille.
Si seulement…
Ouai je vous coupe là, ici, en plein dans les pensées de Crocodile.
