Bon après un coup de barre durant la relecture du chapitre et une longue hésitation, j'ai décidé de poster un deuxième chapitre, tous les mercredis. Cela sera le soir, car en journée je travaille ;D
Le chapitre 35 est en-cours d'écriture, j'ai encore pleins d'idées. Donc soyez le plus à jour possible dans l'anime et/ou les scans, car j'ai bien envie de faire un arc, il ne viendra pas de suite, j'en ai un autre en stock que je n'ai même pas encore amorcé. Bref Spoiler possible ultérieurement.
WARNING : Lemon soft/Lime
Chapitre 13 : Eaunanisme
[PDV Ariel]
Crocodile m'emmène vers sa destination, petit à petit on s'éloigne de la ville. Autour de nous sur des champs de fleurs, c'est merveilleux le parfum ambiant est si bon et agréable.
On a aussi des arbres qui sont plantés de part et d'autre du chemin que nous empruntons. C'est appréciable, cela crée de l'ombre et ça m'aide à supporter la chaleur :
- Dis-moi Crocodile comment fais-tu pour ne pas transpirer avec une telle chaleur, surtout habillé comme tu es en costard trois pièces et un manteau épais en prime ?
- Tu es jalouse, hein ?
- Carrément ! Rétorquai-je amusée même si j'étais curieuse de connaître son secret.
- J'ai juste une bonne résistance à la chaleur.
- C'est plus de la résistance à ce niveau-là. Hum… ton fruit du démon c'est du sable… un désert est composé de sable… est-ce que ce n'est pas ton fruit qui t'offre une capacité de haute résistance à la chaleur ? Peut-être même à des températures glaciales, comme dans un désert il fait terriblement froid une fois la nuit tombée…
- Hum… perspicace, sourit-il, en effet il ya beaucoup de bon dans ta déduction, mais….
- Maïs ? Demandai-je devant son ton énigmatique.
- Mais j'ai aussi de base une bonne résistance aux températures comme à la douleur. Il faut au moins ça pour survivre dans ce monde hostile.
- Tu t'es donc entraîné pour parer toutes éventualités.
- C'est bien cela.
- Hum… je vois….
- C'est aussi de là que vient mon corps musclé, ajoutéa-t-il à voix basse contre mon oreille.
Je pique un fard :
- Mais… mais… mais….
- Je ne fais que reconnaître mes atouts, me dit-il en souriant tout fier de lui.
- Serait-ce une vilaine tentative de me frustrer ?
- Oh pas le moins du monde ma beauté, c'est juste de la pure vantardise de ma part.
Mais c'est qu'il l'assume sans honte le bougre !
Crocodile éclate de rire probablement à cause de la tête que je fais.
- Ah mais je t'avais dit que j'avais un sacré égo.
- Je vois ça…, fis-je ahurie.
- N'empêche…, commença t'il en me fixant.
Je le regarde curieuse :
- Tu n'as pas nié que j'avais un corps musclé.
Je détourne le regard, le rouge aux joues et je marche plus vite pour le dépasser… enfin pas longtemps, avec ses grandes jambes il est vite à ma hauteur et tient librement le rythme.
Tandis que moi je n'arrive pas à mettre de la distance :
- Oh qui ne dit mot consentement.
- Baliverne… tu… tu… tu n'es absolument pas musclé, mentis-je pitoyablement.
Crocodile éclate de rire :
- Je n'ai jamais entendu un aussi piètre mensonge ! Allez ma beauté dis-le…
Il m'attrape dans ses bras et m'immobilise contre lui :
- Dis-le, admet-le que je suis musclé et que ça te plait terriblement, susurre t'il contre mon oreille.
- Tu m'avais promis de plus m'embêter !
- Seulement de ne plus te frustrer, nuance.
Quel homme détestable de jouer ainsi avec moi :
- Tu es un être détestable, un rustre, un manipulateur, le diable incarné !
- Qu'ai-je fait pour mériter une telle pléthore de compliments ?
- Ce ne sont pas des compliments !
- Oh mais à mes oreilles ça sonne comme de magnifiques compliments… tu as raison j'ai éteint sur toi, tu commences à m'imiter un peu trop bien. Ce n'est pas plus mal que je t'emmène à cet endroit, cela ravivera ton innocence et ta vulnérabilité. Admirer.
Il pointe son doigt dans une direction que je suis et là je vois un petit lagon d'eau turquoise et opaque, le tout surmonté d'une cascade, cet endroit était perdu au milieu de la forêt environnante.
Bon sang j'étais tellement plongée dans ma discussion avec Crocodile que j'ai continué de marcher, mais sans me rendre compte qu'on avait pénétré la forêt, ni entendu le bruit de la cascade.
- Alors cela te tresse ?
- C'était ça ta surprise ?
- Évidemment.
- C'est magnifique !
Je m'avance et je regarde l'eau se déverser un peu plus loin dans la forêt.
Je suis tellement étonnée qu'il n'y ait personne ici, certainement que les locaux sont plus habitués à leur climat et viennent moins ici se rafraichir. Tandis que moi j'admets que je suis ravie de ce coin de fraîcheur, qui est sublime.
Oh en plus le bord du lagon et parsemé de petites fleurs mauve, je me penche pour mieux les observer, elles ont cinq pétales telle une étoile délicate. Et le violet est si pétant, je n'ai jamais vue une telle couleur sur une fleur :
- C'est une fleur endémique qui aime particulièrement les endroits humides, tu peux la sentir et même la cueillir elle n'est pas dangereuse.
- Vraiment ? Sais-tu comment elle s'appelle ?
- Sur l'appelle communément l'étoile d'eau, mais sur l'appelle aussi Stellaviola.
- C'est un joli nom.
J'en cueille une et la respire, oh ça envoyé bon, je ferme les yeux pour mieux apprécier.
Quand je les rouvre Crocodile se tient devant moi et me prend ma fleur pour me la mettre dans mes cheveux :
- Tu es ravissante.
Je pique encore un fard :
- Tu as les joues en feu, puis-je te proposer de te baigner en ma compagnie pour te rafraichir ?
- Quoi ?! Je m'exclame.
Crocodile caresse mon visage de sa main et m'attire à lui :
- J'ai même prévu un petit cadeau en complément.
Il me tend un paquet qu'il sort de son énorme manteau. Je le prends, j'hésite à l'ouvrir, mais son regard est si appuyé et insistant que je finis par céder et je découvre un maillot de bain violet comme la Stellaviola. C'est un maillot une pièce qui se noue dans le cou et avec deux ouvertures rondes au niveau des hanches pour le côté sexy j'imagine :
- Alors ?
- Heu… il est très beau…
- Je ne parle pas du maillot, je te demande si tu as envie de barboter dans l'eau au creux de mes bras.
Je redresse mon regard, le sien est perçant, mais pas que… il est lourd d'envie, Crocodile a désespérément envie que je dise oui. Cependant je sens aussi que si je dis non il ne forcera pas. Je ne sens aucune pression dans son regard, juste de l'envie, du désir.
- Mais… où veux-tu que je me change ? On peut nous surprendre…, murmurai-je.
Je le vois retirer son manteau et m'entourer avec, il est si grand que ça fait limite cabine d'essai improvisée. Crocodile s'approche de moi pour complètement obstruer l'espace entre lui et son manteau, coupant la vue de quiconque viendrait :
- Et maintenant ?
Il veut sa réponse, me déshabiller devant lui ça va être une épreuve. Il va se rincer l'œil et me caresser du regard….
Mais j'admets… qu'avoir un tel décor… j'ai aussi clairement envie de profiter de l'eau…
Ah… bordel.
Je lui fais dos et commence à me déshabiller et je sens ses yeux se poser sur mon dos, ça me fait rougir comme toujours, même si c'est aussi particulièrement plaisant d'être si désirée.
J'ai presque tout retiré, il me reste que ma culotte avant de pouvoir passer ce maillot de bain… Ah il ne va pas en louper une miette. Je laisse glisser ma culotte et j'enfile le plus rapidement possible mon maillot, non sans rougir de me sentir si exposé à son regard et cela même s'il m'a déjà vue dans mon plus simple appareil.
Je sursaute et me tend quand je sens que Crocodile embrasse le bas de ma nue dégagée, je rougis vivement :
- Crocodile…, murmurai-je.
- Hum… je n'ai pas fini… je ne peux pas laisser autant de peau sans affection.
Il continue d'embrasser ma nue tout en m'enserrant dans ses bras. Je tremble de bonheur, ses lèvres sont si douces et taquines, j'halète un peu plus à chaque seconde :
- Hum tu es toute sensible… toute tremblante aussi… si tu as froid laisse-moi te réchauffer les sens, me dit-il d'une voix particulièrement chaude et séductrice contre mon oreille droite.
- Crocodile…
Je sens ses lèvres glisser sur mon dos pour embrasser ma colonne vertébrale, je me cambre contre lui avant d'entendre dans mon oreille gauche son soupir de bonheur qui me fait rougir de plus belle.
Crocodile me retourne, afin que je le lui fasse face :
- Hum… en rouge… tu es exquise… mais je dois aussi avouer que le violet te va vraiment très bien, me dit-il d'une voix très langoureuse.
- Hum… du… du coup… tu avais mis ton maillot discrètement ? Bégayai-je.
- Pourquoi tu voulais que je me change devant toi ? Je demande qu'il me verse du taquiner.
- Non… enfin… pas… que… que… ce que… je veux dire….
- Hum… adorable… laisse-moi m'occuper de cette jolie bouche que ne sait plus aligner deux mots.
Crocodile m'enferme dans ses bras et dans le même temps il m'embrasse. Je vois du coin de l'œil du sable nous entourer, puis la chaleur de sa peau contre la mienne, il s'est déshabillé grâce à ses pouvoirs ? Il semblerait…
Je me sens portée dans ses bras, puis j'entends le bruit de l'eau quand il entre dans le petit lagon.
Quand mes pieds rentrent en contact avec l'eau, je sens qu'elle est agréable, suffisamment fraîche pour supporter la chaleur de l'île.
Il s'assoit avec moi dans ses bras, il ferme ses yeux, il l'air d'apprécier cet environnement particulièrement calme.
En tout cas, le voir avec ce visage plus dilater ça le changement, ça n'a tellement rien à voir avec les expressions qu'il arbore qui lui durcissent ses traits. Je me demande quelle histoire il cache.
Soudain il ouvre ses yeux et me fixe, je rougis et je détourne le regard, mais je sens son crochet tourner mon visage vers lui :
- C'était une excellente idée de t'amener ici, tu es moins indomptable et têtue… quoi que… tu n'as toujours pas admis que j'étais musclé.
- Tu vas me prolonger longtemps avec ça ?
- Oh que oui ma mignonne, me dit-il avec un sourire et un plaisir non dissimulé.
- D'accord, soufflé-je. J'admets que tu as un corps bien bâti et que tu es musclé.
- Hum peux-tu répéter ? Je crois que je n'ai pas bien entendu, me dit-il avec un grand sourire.
- Je crois qu'au contraire tu as parfaitement bien entendu, réfutai-je en croisant les bras et en affichant un sourire amusé.
- Tu oses sous-entendre que je mens ?
- Evidemment ! Rétorquai-je.
- Tss moi mentir ? Jamaïs !
- Oh ! Mais quelle mauvaise foi ! M'exclamai-je en riant dehors.
J'asperge d'eau son visage, il grogne et ferme les yeux avant de s'essuyer son visage de sa main. Tandis que moi je me mords les lèvres pour ne pas éclater de rire. Il me fixe avec un sourire mauvais :
- Alors là tu vas me le payer ma jolie petite teigne !
Je pousse un cri et je tente de fuir, non sans rire, mais c'est tellement peine perdue, il m'attrape facilement avant même que j'ai le temps d'être hors de sa portée :
- Alors comme ça tu oses prendre tes aises avec moi hein ! Tu oses défier mon autorité ! Tu oses m'accuser de mentir !
Il me plaque contre un rocher non loin de la cascade, mes poignets sont au-dessus de ma tête et prisonniers de son crochet, je suis à sa merci :
- Tu oses un peu trop de choses ma chère… peut-être devrai-je te dompter.
Je vois sa main glisser vers mon entrejambe qui se trouve sous l'eau :
- Non…, gémis-je en me tortillant de plaisir.
- Oh que si…, je vais vous rendre toute docile mademoiselle. Vous dites tant d'absurdités en plus de votre comportement particulièrement déplacé et inacceptable.
-Menteur….
- Oh taisez-vous….
Il me fait taire en m'embrassant, je gémis durant ce baiser particulièrement fiévreux, Crocodile embrasse vraiment bien… je ne me lasse d'aucun de ses baisers….
Je m'arque et moi tend contre son corps lourd qu'il presse contre moi, il a une telle dextérité dans les doigts, mon bas ventre est en feu. Je suppose qu'avec une main en moins ça l'a obligé à pallier son absence et à être hyper habile avec celle qui restait, car je le trouve particulièrement doué. Il m'arrache des gémissements et des soupirs de plaisir.
L'eau est peut-être fraîche, mais ça ne calme en rien mon entrejambe qui brûle traduit de désir et d'excitation sous les doigts experts de Crocodile.
Je serre mes poings, je me sens venir, je me sens trembler de plaisir, je regarde du coin de l'œil, il ne semble n'y avoir personne. De toute façon Crocodile est tellement grand et large qu'il doit me cacher plutôt qu'autre chose.
A ma grande surprise je ne suis pas franchement paniquée à l'idée qu'on puisse nous surprendre, je ne sais pas si c'est le cadre qui est calme, ou si c'est juste la présence de Crocodile qui me rassure…. Mais j'aime bien l'idée qu'on se laisse aller en pleine nature.
- Crocodile…, l'appelai-je en me séparant de ses lèvres.
- Demande-moi pardon et je cesserai de te tortionnaire, me susurre t'il.
Mais je n'ai aucune envie que tu t'arrêtes !
- Non…, refusai-je d'une voix plaintive.
- Dans ce cas… je vais devoir sévir….
Je sens sa main écarter le bas de mon maillot, je sens son pénis et aussi de l'eau entrer en moi, je lâche un cri de plaisir, les sensations sont légèrement différentes :
- Demande-moi pardon.
- Non...
- Comme tu voudras !
Crocodile me donne des coups de reins particulièrement délicieux, je gesticule et je le fixe, oh mon dieu ! Il est ruisselant d'eau avec la lumière du soleil… ses cheveux mouillés, son visage, son torse… Bon sang ! La vision enchanteresse que j'ai là… est juste… il n'y a pas de mot…
- Je te plais ?
- Oui…, répondis-je haletante.
Crocodile reprit possession de mes lèvres, mais cette fois il n'y allait pas avec fougue, il y allait plus tendrement, même ses gestes étaient clairement moins possessifs et impatients. Même si j'aime ce côté plus dominant et sauvage, j'apprécie clairement ces moments plus tendres et délicats avec moi.
Je ne sais exactement combien de temps passe, mais nous restons un long moment dans les bras l'un de l'autre à nous embrasser simplement. Cela fait un moment que Crocodile à cesser ses vas et vient, même s'il est toujours en moi, il ne fait que me caresser et m'embrasser.
Moi je ne peux que le caresser des yeux, comme mes mains sont toujours prisonnière de son crochet… c'est tellement dommage que je ne puisse pas te toucher…
- Tu veux que je touche ?
Hum… aurais-je pensé à voix haute ?
- Non… je sais que tu n'aimes pas ça.
- Ce n'est pas ce que tu viens de dire à l'instant…
- J'ai pensé à voix haute…
- Il semblerait.
-Désolé….
Crocodile glousse, il libère mes poignets, se retire de moi à mon grand regret, puis il ouvre ses soutiens-gorge :
- Alors qu'attends-tu ? Je me lance jusqu'à là.
- Je…
- Touche-moi, me souffle-t-il de sa voix la plus chaude.
Il ne me fera pas répéter deux fois, réalisant qu'il s'offrait à moi, je m'élance sur lui et j'inverse les positions, je le coince contre le rocher où il m'a maintenu captif :
- Hou… sexy, sortie Crocodile ravi de ma prise de pouvoir.
Je me colle à lui et embrasse son cou que je taquine de ma langue :
- Hum… si tu aimes mordre tu peux.
Je me tends, il veut que le morde ?!
- Je… je n'ai jamais fait ça… j'aurais peur de te faire mal….
- Trop mignonne… ne t'ai-je pas dit que j'ai une haute résistance à la douleur ? Ce n'est clairement pas une morsure de ta part qui me fera mal.
Hum… pas faux vu qu'il n'a pas sourcillé quand on lui a fait subir le bain de sang bouillant à Impel Down…
- Si… si cela te fait plaisir je vais essayer… en revanche je t'interdis formellement de me mordre en retour !
Crocodile se met à rire :
- Tu t'affirmes, c'est beau à voir. Entendu je ne te mordrais pas, me promet-il.
Me voilà rassurée… je me love contre son cou, je reprends mes baisers…
Bon je n'ai jamais mordu personne… alors dans l'intimité je n'en parle même pas. Cela m'embarrasse… mais… Crocodile m'a tellement donné de plaisir et fait du bien…. J'ai tellement envie de lui rendre la pareille, aussi cette simple demande de sa part me donne juste envie de la concrétiser qu'importe mes insécurités.
Alors j'embrasse son cou et je descends jusqu'à arriver à la jonction entre son cou et son épaule gauche. J'ouvre la bouche, capturant sa peau ferme et je commence à le mordre un peu nerveux, car je crains quand même mal m'y prendre ou de le bénir.
Mais je le sens se tend et exprime un soupir rauque, il semble aimer… je crois….
- Oh oui, continue.
Crocodile pose sa main sur ma tête et appuie dessus comme pour m'inciter à ce que j'y aille plus fort, c'est si plaisant que ça ?
Bon… si c'est lui qui me demande je dois lui faire confiance, alors j'y mets plus de force et il m'enserre plus dans ses bras et presse ma tête plus fermement contre sa peau :
- Vas-y… ne t'arrête pas….
L'entendre si haletant et demander est quelque chose, sa voix… elle parait suppliante, ça me met en émoi.
Je laisse ma main gauche glisser sur son torse et celle de droite dans son dos, je n'ai pas envie que de le mordre, je veux aussi explorer son corps et le caresser. Et puis faire ça me fait moins peur du mordre si je lui donne du plaisir avec mes mains.
D'ailleurs, je laisse ma main gauche taquiner son téton, tout en le mordant, le grognement de plaisir qu'il laisse échapper ne me laisse pas indifférente :
- Bon chanté ! Ne t'arrête pas Ariel !
Whoua… si j'avais su j'aurais fait en sorte de penser à voix haute plus tôt. Cette situation prend une tournure des plus plaisantes.
Je m'écarte légèrement de sa peau, oh bon sang ! Je l'ai mordu jusqu'au sang, je m'en veux, pourtant quand je zieute son visage, il n'a clairement pas la tête d'un homme qui souffre c'est tout le contraire. Sa tête est penchée en arrière et je devine qu'il a les joues rouges, le voir dans un tel état m'émoustille.
Je regarde le sang qui perle de mes marques de dents et je m'en approche pour lécher de ma langue les contours des empreintes que je lui ai faites.
Crocodile sursaute et m'enserre un peu plus, je crois que ça lui plait ça aussi.
Je laisse mes inquiétudes de côté et je profite de ce moment pour satisfaire ses envies.
Quand j'ai fini de lécher sa morsure, je décide de lui en faire une autre sur le rond de son épaule avant de lécher là aussi les marques.
Puis je décide de descendre un peu plus bas pour prendre entre mes lèvres son téton droit pour le taquiner de ma langue, le suçotant :
- Hum… tu es… si douée…
Cela me donne des ailes, je me sens renforcée, alors prend d'une envie furieuse, je glisse mes mains sous l'eau pour prendre son pénis et l'astiquer de mes deux mains.
- Bon chanté Ariel ! Crie-t-il d'une voix sonore.
Je continue mes bons soins, je le sens se tendre et devenir fébrile. Plus il se laisse aller et exprimer son plaisir, plus j'intensifie mes caresses pour le chauffeur.
Je m'empale sur lui, avant de le chevaucher, Crocodile se saisit immédiatement de ma taille pour me soutenir et m'aider dans mes coups de bassin.
J'enlace son cou de mes bras, prenant appui sur ses épaules, avant de diriger mes lèvres vers son épaule droite que je mords. Sa réaction ne se fait pas attendre il me donne un coup de rein qui m'arrache un cri de plaisir :
- Jolis vocalises beauté fatale, halète t'il.
-Crocodile….
On s'enserre mutuellement dans les bras l'un de l'autre, nos mouvements de bassin sont lents et langoureux.
Je crois que nous voulons tous deux d'un moment plus calme, sensuel et pleine de proximité, quelque chose de plus intime.
Ce moment est hors du temps, je ne sais combien de temps s'est écoulé avant qu'on s'effondre dans les bras l'un de l'autre.
J'espère que ça vous a plu. Dans l'attente de vous lire ;D
A dimanche prochain pour un nouveau chapitre avec qui sait la rencontre d'un nouveau personnage ;D. Je vous laisse à vos pronostics.
