Bonjour,

J'espère que vous allez bien.

Bientôt les vacances pour moi, dès mercredi soir, je vais pouvoir me reposer et avoir plus le temps d'écrire.

Par contre, je n'aurais pas internet, donc va falloir que j'utilise de mon téléphone pour l'avoir... Aussi jusqu'à fin août je ne posterai que le dimanche, car j'ai pas beaucoup de données mobiles et qu'internet ça va vite.

Donc Mercredi qui vient sera le dernier chapitre du mercredi, la reprise de mon rythme de 2 chapitres par semaine sera début septembre.


AVERTISSEMENT :

Lemon et sensualité dans ce chapitre, même si c'est plus axé sur la sensualité ^3^ (faut bien varier un peu les plaisirs).


Chapitre 72 : Douces passions

[Point de vue d'Ariel]

Le soir vient assez vite et je n'étais pas mécontente que ma journée se termine, comme un peu tout le monde je pense.

Tout le monde se rassemble au réfectoire, avec les habitants de l'île c'est la cohue. Bon déjà j'arrive à repérer Crocodile, car il fait partie des plus grands, mais je cherche mon Benn… trouvé !

Bon je prends mon plateau et je le pose à la table de Crocodile :

- Je reviens !

- Va joli cœur.

Je rougis et je joue des coudes pour rejoindre mon pirate, j'arrive enfin à sa hauteur, je me glisse derrière le dos de Benn, qui je le vois discuter avec Shanks :

- Benn... ce soir je passerai du temps qu'avec toi, murmurai-je au creux de son oreille.

Il se tourne vivement sourire vers moi et me lance un charmeur et conquis :

- Entendu.

- Du coup je vais dîner avec Crocodile, histoire de passer un peu de temps avec lui et je te rejoins après.

- Très bien, à tout à l'heure belle Ariel, me dit-il non sans me faire une baise-main.

Je pique un fard et je m'éclipse avant que Shanks ne sorte un commentaire pour enfoncer le clou :

- Que t'à-t-elle dit ? Entend-je Shanks.

- Cela ne te concerne pas, rétorqua Benn.

Je peux entendre un gémissement de frustration venant de Shanks, mais je remercie Benn de ne pas lui donner l'opportunité de me taquiner.

Je retourne donc sur mes pas et je m'installe en face de Crocodile pour diner en sa compagnie, en tête à tête :

- Bon appétit.

- Merci princesse à toi aussi.

- Dis-moi tu as réfléchi à ce que tu voudras faire avec moi demain ? Que je sais si je dois préparer quelque chose.

- Vous êtes bien curieuse ma chère, sourit-il.

- Je n'ai pas demandé les détails, je ne suis pas si curieuse que ça, je veux être surpris.

- Toujours à vouloir le dernier mot.

- C'est mon passe-temps préféré avec toi, gloussai-je.

- Commentaire cela ? Je pense que tu préférerais autre chose.

Il me dit ça en me faisant du pied, me faisant rougir :

- Oui... enfin si on excepte... ça..., bégayai-je.

- Me voilà rassuré, et bien pour demain tu n'as qu'à ramener ta noble personne, pour le reste je m'occupe de tout.

Il se penche et m'embrasse mes lèvres, avant de chuchoter un doux avertissement :

- J'espère te faire trembler, car une nuit sans toi va me mettre dans un état de désir dont tu n'imagines même pas, alors dors bien cette nuit... si tu le peux.

Il se recule et me lance un sourire satisfait, pendant que moi je deviens rouge, je trouve soudain un grand intérêt pour mon assiette.

Je ne sais pas ce qu'il a prévu, mais clairement il compte me combler de toutes les manières possibles, me voilà prévenue.

- Ils sont délicieux ces poissons..., commentai-je dans le vague espoir de retrouver une contenance.

J'entends et surtout je vois Crocodile qui réprime un fou rire :

- Pourquoi tu rigoles ?

- Tu m'amuses.

- Qu'ai-je dit de si drôle ?

- Rien, mais ta tentative désespérée de chasser ta gêne est délicieuse, sourit Crocodile qui s'essuie une petite larme de rire.

- Je vais me vexer... vil corsaire !

- Je saurais me faire pardonner, ma délicieuse petite fée, me répond-il d'une voix douce et charmeuse tout en entortillant ses doigts autour de mes cheveux.

- Je... nous verrons cela..., répliquai-je en rougissant.

- Oh oui non voir et pas que... nous ressentirons, chuchota t'il en se penchant vers mon oreille.

Cet homme est un vil grand dragueur quand il s'y rencontre.

Je me reconcentre sur mon repas et à ma grand damne, Crocodile s'amuse à me taquiner.

Quand je finis mon dessert, je me lève enfin pour retrouver Benn, là Crocodile m'attrape et m'installe sur ses jambes avant de m'embrasser avec amour et passion, glissant ses doigts dans mes cheveux, me massant doucement ma nue :

- Bonne nuit mon amour et à demain, me dit-il tout bas d'une voix langoure.

- Bonne nuit Crocodile... et à demain.

J'embrasse chatement une dernière fois avant d'y aller.

J'essaie d'ignorer les regards que je sens sur moi, c'est un peu embarrassant, mais au moins je n'ai aucun commentaire.

Je sors du réfectoire et là je vois Benn qui est pied contre un mur en train de fumer, mais dès qu'il me voit il arrête immédiatement et éteint sa cigarette.

Je rejoint donc Benn qui agite sa main pour balayer la fumée :

- Navré pour l'odeur de tabac.

- Ça ira ne t'en fait pas, j'apprécie le fait que toi et Crocodile vous ne fumiez jamais en ma présence, souris-je.

- C'est normal, question de respect.

Et puis oui ça envoyé, mais ce n'est pas comme dans le monde d'où je viens, où dans une cigarette tu n'as pas que du tabac. Juste à l'odeur je sens une vraie différence, ça parait plus… « sain » on va dire, je pense que la composition est moins douteuse, même si évidemment je ne recommanderai pas de fumer les cigarettes de One Piece aussi meilleures soient-elles .

En tout cas l'odeur de tabac sur eux ne m'indispose pas vraiment :

- Merci de l'effort, je l'apprécie vraiment.

Je me rapproche de lui et on se met à marcher, je peux sentir nos bras se frôler et là à mon grand bonheur il passe un bras autour de ma taille et m'attire à lui :

- Vient là ma belle.

Je me calai contre son torse, me blottissant tout contre lui :

- On va dans ta chambre ? Proposé-je.

- Comme tu veux, la tienne ou la mienne, cela m'importe peu.

- L'étienne.

J'avais fait en sorte d'amener et de cacher ce dont j'avais besoin dans sa chambre.

- Très bien.

Il me soulève et me porte en princesse m'arrachant un petit cri de surprise.

- Il n'y a pas à dire tu es parfaite dans le creux de mes bras.

Je rougis tout en enlaçant son cou de mes soutiens-gorge :

- Je ne vais pas mentir… j'aime être portée comme ça…

- Je sais c'est pour ça que je te porte ma jolie princesse, sourit Benn avec les yeux rieurs.

- Tu abuses de mes faiblesses pour mieux me faire craquer, avoue !

- Précisément, admet-il en étirant ses lèvres, puis tu es légère comme une plume ça serait bête de ne pas en profiter.

On entre dans sa cabine, il me pose délicatement sur son lit avant de se retirer pour fermer à clé sa chambre, moi je me lève et avant qu'il n'ait le temps de se retourner, je l'enlace en me collant à fils à faire :

- Benn… tu serais d'accord pour prendre une douche avec moi et me laisser te shampooinginer ?

- Oh tu veux prendre soin de moi ? Et crois-tu que je vais refuser une si délicieuse invitation ? Dit-il en caressant mes bras qui le ceinture.

- Peut-être on ne sait jamais, gloussai-je.

Il se tourne et me soulève mon menton du bout de ses doigts :

- Je suis tout à toi belle Ariel.

Je lui prends ses mains avec les miennes et je le tracte jusqu'à sa salle de bain :

- Ceci est un kidnapping, prévins-je.

- Oh je vous en prie ne me fait aucun mal, glousse t'il amusé.

- Ton jeu d'acteur est vraiment très mauvais, ris-je.

- Ma douce, je suis pirate, pas acteur, susurra t'il en se penchant vers mon visage collant son front au mien.

- C'est vrai, alors je te pardonne.

Je me saisis de son haut noir et l'attire à moi pour l'embrasser, je l'entends gémir de satisfaction, avant de sentir ses bras forts envelopper ma taille pour me serrer et coller à lui :

- Hum… vos lèvres sont… délicieuses, susurra Benn en caressant mes lèvres des siennes.

- Ben…

- Hum ?

- Embrasse-moi… encore…

- Tout ce que tu veux ma chérie.

On scelle de nouveau nos lèvres, je m'étire sur la pointe de mes pieds pour approfondir notre baiser, avant de l'arrêter, j'étais toute essoufflée :

- Comme tu es belle mon amour.

- Merci…, rougis-je. Toi aussi tu es beau….

Je sentais mes joues devenir en feu quand j'avouais cela, mais le beau sourire de Benn en valait la peine :

- Me dire ça avec ce regard si brillant d'amour, c'est merveilleux.

Il m'enveloppe de ses bras et me berce, j'en oublierai presque ce que j'ai prévu pour ce soir :

- Le plus merveilleux est à venir, murmurai-je.

Je m'écarte de lui à regret et m'empare de ma brosse à dents :

- Te voir agir ainsi, me fait réaliser que ça y est je suis en couple avec ma petite femme.

Il enlace ma taille et me caresse pendant que je me lave les dents ! Je gigote et je m'empresse de finir :

- Mais ! Tu crois que je voulais avaler ce dentifrice ? Exigez-je en le tapant gentiment.

- Hum pas sûr que l'expérience soit plaisante, admet-il dans un fou rire.

- Mesquin ! Tu es vil !

- Moi aussi je t'aime.

Il décide enfin de se laver les dents, moi je ne serai pas aussi friponne à palper son corps… par contre je vais être diabolique en enlevant mes vêtements. Je peux sentir son regard caressant sur moi. Je m'empresse d'aller sous la douche et de faire couler l'eau sur moi, soupirant d'aise :

- Tu ne m'attends pas ? Me chuchota t'il tendrement contre mon oreille avant de me prendre dans ses bras.

- C'est toi qui me faisais attendre en te lavant les dents, taclai-je.

- Hum c'est vrai tu as raison, c'est une honte pour un homme comme moi.

Nous partons en fou rire, je me saisis du pommeau de douche et je l'asperge. Benn prend du savon et commence à se laver, je le suis et quand nos corps sont savonneux à souhait je me colle à lui, la sensation de nos peaux qui glissent est merveilleuse.

On laisse nos mains caresser le corps de l'autre, pour ma part je me tortille et serrer mes jambes de désir :

- Benn… assist-toi s'il te tresse que je puisse laver tes beaux cheveux.

Il ne se fait pas prier pour mon plus grand bonheur, car j'adore passer mes doigts dans ses cheveux. Je masse son cuir chevelu et je lave sa belle tignasse argentée et quel bonheur de le sentir se perdre contre moi, Benn est tout détendu, il est plus beau encore.

Je rince doucement ses cheveux, avant de laisser le pommeau glisser sur ses larges épaules.

- Hum… merci moi belle, c'était relaxant.

- Je t'en prie.

Je lui dépose un baiser sur sa joue droite et il se redresse et se tourne vers moi, il me prend le pommeau et me rince à ton tour, avant de m'attirer par mes hanches pour me coller à lui. Il recule m'entraînant avec lui, il se saisit d'une serviette et m'enveloppe dedans, avant de commencer à me sécher. Mes yeux sont plongés dans les siens pendant qu'il s'occupe de moi, je n'arrive pas à me détacher de son regard :

- Hum… ne me regarde pas ainsi… ou je te promets bien des folies pour cette nuit.

- Quel genre de folies ? Soufflai-je.

- Du genre je vais éveiller et échauffer tes sens, chuchota t'il contre mon oreille, te faire l'amour telle une déesse, te faire trembler et te tendre de délice sous mes coups de reins, mes caresses, ma voix. Je vais te faire devenir mienne et je ferai tout pour que tu me fournisses de continuer encore et encore.

Cela me va… parfaitement :

- J'aime… beaucoup… ta suggestion, haletai-je désireuse, mais… me permettras-tu de te montrer ce que je te réserve ?

- Oh oui belle Ariel, je suis extrêmement curieux.

- Tu… tu veux bien… t'habiller…

- M'habiller ? Répéta Benn en arquant un source.

- Oui…

- Et comment dois-je m'habiller mademoiselle ? Avec des habitudes de tous les jours ? Ou bien un costume ? Moi chuchota Benn amoureusement.

- Je... je dois admettre que j'ai beaucoup apprécié de te voir en costume... mais... je crois que je préfèrerai te voir avec des vêtements de tous les jours.

- Intéressant, tu me rends curieux, sourit-il. Bon dans ce cas je m'en vais me changer.

Il m'embrasse chastement en effleurant ma joue avant de quitter la salle de bain, je m'enferme dedans et je dors les affaires que j'avais planqué dans la commode sous le lavabo de Benn.

Bon maintenant à moi de me transformer, souris-je.

Je passe ma lingerie composée de bas, de porte-jarretelles d'une jolie culotte et d'un soutien-gorge, le tout dans de la dentelle blanche.

Ensuite je mets une chemise blanche qui se nouait au col pour un style lavallière, je fis donc un joli nœud pour la petite touche romantique. Puis je passai une petite jupe noire courte et ajustée au corps.

Clairement je faisais une adorable petite secrétaire, mais je n'avais pas fini, il fallait maintenant que je coiffe mes cheveux en un joli chignon.

Je les rassemble et je les peigne, avant de coincer ma chevelure rousse avec une pic à chignon noir et simple.

Je mets ensuite mes escarpins noirs pour la touche finale, je me considère plutôt satisfaite du rendu.

Je me demande si Benn est prêt, je sens mon cœur battre la chamade, je souffle doucement pour me calmer :

- J'espère ne pas te faire trop attendre, m'exclamai-je dans l'espoir qu'il me dise où il en était.

- Oh si et je suis très curieux de savoir ce que tu me prépares.

- Et... tu es prêt ?

- Évidemment, je dois d'être prêt pour cajoler sans attendre ma chérie.

Ok bon faut que je me lance, je m'avance fébrile vers la porte, prête à la déverrouiller.

J'ai le tract, je suis excitée et un peu nerveux aussi.

Allez, tout va bien se passer, je tourne la clé dans la serrure et j'ouvre la porte :

- Vous vouliez me rencontrer Monsieur Beckman ? Fis-je timidement.

Je le trouve allongé sur son lit en train de lire un livre, qu'il repose immédiatement quand il me voit.

Il se redresse doucement, avant d'avancer d'un pas lent vers moi, il me dévore des yeux, clairement je lui fais de l'effet :

- Oui en effet... j'espérai avoir un tête à tête avec vous Mademoiselle Castelrelli.

Il prend délicatement ma main et m'embrasse le dos de celle-ci.

Puis il effleure du dos de ses doigts mon visage, j'halète, désireuse de lui :

- Je crois que je commence à avoir une petite idée ce que dont tu as discuté avec Shanks..., susurra Benn en se penchant vers mon oreille.

- Tu aimes ?

- Oh oui... j'adore...

- Un... petit jeu de rôle entre un pirate et une secrétaire timide cela te tente ? Soufflai-je.

- Oh oui mon amour, laisse-moi séduire la femme délicieuse que tu es.

- Je suis tout à toi...

- Si tu me dis ça... tu vas me mettre en émoi et je n'aurais aucune limite.

- Mais… je ne veux aucune limite à ton jeu de séduction, tu m'as repéré moi une jolie secrétaire et tu déploies toutes tes armes de séduction pour la tent, murmurai-je.

- Très bien.

[Point de vue de Benn]

Je lui souris doucement, cette situation me tresse de plus en plus à chaque seconde qui passe.

Elle est si belle dans sa tenue, ça met en valeur ses splendides courbes, elle parait si frêle et vulnérable toute intimidée, cela me donne envie de la protéger comme jamais.

Fort bien, je pense qu'il est temps de jouer, si elle veut du charme, elle va en avoir car j'adore ça. Je caresse du bout de mon pouce ses lèvres, plongeant mon regard dans le sien :

- Vous m'avez captivé Mademoiselle Castelrelli, permettez-moi de vous courtiser, de vous aimer et de vous choyer.

- Est-ce qu'une femme… ordinaire comme moi vous intéresse tant ? Murmura-t-elle.

-Ordinaire ? Vous êtes tout sauf ordinaire, susurrai-je.

Je l'attrape et la colle contre moi, posant sa main contre mon bas ventre :

- C'est là tout mon désir pour vous une femme « Ordinaire ».

Elle rougit délicatement pour mon plus grand bonheur :

- Laissez-moi vous montrer combien vous êtes extraordinaire à mes yeux.

Je la soulève et la pose sur mon bureau, je glisse mes mains le long de ses hanches, les remontant doucement vers son col. Je capture entre mes doigts un pan de son nœud, fort adorable d'ailleurs, et le pneu.

Je la sens se tendre et haleter, alors je continue de faire grimper la température, je défais un bouton de sa chemise, juste assez pour à son cou délicat.

Je pose mes lèvres sur sa peau et je la cajole de baisers doux, taquins, sensuels.

Ariel se tend délicieusement sous mes doigts, qui d'ailleurs migrent vers le bas de sa jupe, avant de glisser dessous pour remonter la peau de ses cuisses et là je sens une matière délicate.

Oh est-ce une porte-jarretelles ? Hum je sens que je vais aimer la déshabiller.

C'est hésitante qu'elle pose ses mains sur mon torse qu'elle caresse avec pudeur et retenue. Je la prends contre moi, je la soulève et je la dépose avec moi sur mon lit pour plus de confort encore.

Mes doigts trouvent une fermeture éclair sur le côté… parfait, souris-je, je la fis glisser lentement, avant de capturer le tissu noir de cette jupe et de le tirer vers le bas pour défaire ce premier vêtement qui trouve sa place au sol.

Je monte mes yeux et là j'ai la confirmation de ce que j'avais perçu : elle porte des bas et de belles porte-jarretelles.

- Hum... vous portez une lingerie magnifique. Est-ce que vous portez toujours cela ? Ou bien est-ce pour me séduire ? Chuchotai-je.

- J'espérai... que peut-être vous... vous la verriez..., répondit Ariel en bégayant.

- Hum... et que cache cette jolie chemise ?

Je la positionne sur mes jambes, je relève ma jambe droite, pour qu'elle serve de dossier à ma beauté et elle se laisse aller contre elle.

Sa main gauche s'agrippe à mon haut et je capture sa main pour embrasser sa paume avant de la relâcher.

Je glisse ma main droite sur son cou que j'effleure, pendant qu'avec celle de gauche je l'effeuille, déboutonnant un à un ses boutons, écartant les pans de sa chemise, délicatement :

- Monsieur... Beckman..., haleta-t-elle.

Cette voix douce qui est à bout de souffle, c'est une si douce mélodie d'une grande harmonie pour mes oreilles :

- Qu'y a t'il ma douce ? Vous semblez avoir chaud, vous êtes au bord du malaise... puis-je vous suggérer de vous délester ?

Je n'attends pas sa réponse, je fais tomber sa chemise le long de ses bras graciles avant de l'extraire complètement et de la laisser choeur au sol.

Et là elle n'est vêtue que de son joli ensemble de lingerie, ses bas et ses chaussures... elle transpire la sensualité.

Je l'allonge avec précaution et calme sur le matelas et le surplomb de ma superbe.

- Vous êtes magnifique mademoiselle...

Son souffle s'affole, elle est toute rougissante, je la contemple du regard avant de l'enjamber, me calant de part et d'autre de ces jolies hanches.

Je la regarde en souriant et je me saisis du bas de mon haut le défaisant lentement.

Je la vois qui devient plus rouge quand je révèle mon torse nu, je me saisis d'une de ses mains et la plaque contre ma peau :

- La vue vous tressez mademoiselle ?

- Je... oui... beaucoup... vous êtes... séduisant.

Je me penche vers elle, plaquant mes mains de part et d'autre de son visage, je regarde alternativement ses yeux et ses lèvres.

Je me penche un peu plus et dépose mes lèvres sur les siennes, je peux sentir ses bras envelopper ma nue d'une douce chaleur.

Je soupire d'aise et de bonheur, plus encore quand, bien que timide, elle répond à mon baiser, taquinant ma langue de la sienne.

Je laisse mes mains effleurer, caresser son corps de femme, sa peau douce.

Je relève doucement ses jambes et dans le même temps j'embrasse son cou et je l'entends laisser échapper un délicieux soupirs de plaisir.

Ses doigts jouent avec mes cheveux et la peau de mon dos, ses caresses sont vraiment une invitation à l'explorer un peu plus.

Je dépose un autre baiser sur ses lèvres avant de me redresser, elle me regarde curieuse et le souffle court. Je lui lance un sourire charmeur et je défais la boucle de ma ceinture, je quitte mon pantalon qui part rejoindre les vêtements d'Ariel.

Une fois vêtue que de mon boxeur je retourne vers ma petite merveille. Je la surplombe à quatre pattes au-dessus d'elle et je l'embrasse avec amour. La voir habillée ainsi… je n'ai qu'une envie lui faire l'amour avec sa jolie lingerie.

Je la cajole de caresses et de baisers aussi amoureux, tendres que fiévreux.

Je me saisis de hanche sess et j'inverse nos positions, Ariel se retrouve sur moi toute rougissante, elle est à croquer !

Elle se redresse doucement pour être à califourchon sur moi, j'effleure son visage, avant de glisser mes doigts dans ses cheveux et de défaire son pic à chignon, libérant enfin cette somptueuse chevelure de feu qui se déploie avec grâce.

Ariel est toute rouge et mignonne quand elle se penche vers moi pour sceller nos lèvres, j'enserre sa taille et la colle à moi, caressant du plat de mes mains son dos, sentant ses frissons de plaisir sous mes paumes, quel bonheur.

Je joue à taquiner sa colonne vertébrale, rendant son regard pour moi plus fiévreux encore. Ariel se redresse timidement et se saisit de mes poignets, je comprends qu'elle veut que j'arrête de la toucher, je la regarde curieux.

Elle se relève sur ses genoux et se tortille les doigts hésitants, je sens qu'elle veut quelque chose, je relève du bout des doigts son menton et la regarde avec amour :

- Que désires-tu belle Ariel ? Dis-moi, n'ai pas peur.

Elle se mordille sa lèvre inférieure, ce qui est diablement sexy :

- Est-ce… que… tu peux fermer les yeux ? Cela… m'aiderai…, me dit-elle mal assuré.

Je pose ma main droite sur sa joue et la caresse :

- Bien sûr, ne stresse pas, je ne t'oblige à rien, d'accord ? Je veux que le plaisir mutuel et c'est tout ce qu'il me faut à mon bonheur.

Je le sens se détend, elle a besoin d'être rassurée, aussi je ferme les yeux pour la mettre le plus confortable possible.

Je la sens bouger, je ne suis pas certain… mais j'ai l'impression qu'elle se trouve au-dessus de ma tête… oh… je crois avoir compris.

Si ce que je pense s'avère vrai, alors je suis au paradis.

- Shanks… m'a dit… que… enfin… je veux… aussi… essayer… mais… j'ai un peu peur… de… enfin… voilà….

Je la sens stresser, je vais lui venir en aide :

- Puis-je ouvrir les yeux ? Exigez-je.

- Oui… mais j'ai le tract.

- Alors à moi de le faire s'envoler loin de toi.

J'ouvre les yeux et quelle n'est pas ma surprise en voyant mes doutes se confirmer. J'ai toujours rêvé faire ça à une femme, qu'elle se pose sur mon visage pour m'occuper de son intimité de ma langue. Ariel se cache dans ses mains, ses jambes tremblent, elle est nerveuse au possible.

Alors je pose mes mains sur ses cuisses et tire son corps à moi pour l'inciter à s'asseoir, j'écarte doucement sa culotte, la tirant sur le côté, je la regarde, son visage est cramoisi :

- Tu me fais un sacré cadeau… maintenant à moi de t'en faire un.

Je pose mes lèvres sur son intimité et commence à la goûter et ses cris de plaisir ne se font pas attendre, plus encore quand j'effleure délicatement la peau de ses cuisses et de ses aines :

- Ben !

J'enserre doucement son bassin dans mes bras et la presse contre moi, son parfum, sa chaleur, son corps vibrant de bonheur, tout me tient en éveil :

- Ah… ah… Benn… je t'en… prie… ne t'arrête… pas….

Quand elle me dit ça j'intensifie mes coups de langues et caresses, je veux la faire trembler, la faire crier et surtout la faire jouir.

Ariel plonge ses mains dans mes cheveux, son bassin se tend contre moi qui le maintien en place, la respiration d'Ariel se fait plus sonore, je sens ses mains s'agripper avec force les miennes, ce qui m'encourage à surenchérir surtout quand j'entends ses doux supplices :

- Benn… je t'en prie ! Benn… je t'aime… je t'aime….

Je sens son corps se tendre avant de la sentir jouir, je la soutiens en posant mes mains dans son dos, quand elle s'effondre toute fébrile.

Je la soulève doucement et me dégage avant de l'allonger, sa respiration est frénétique, je mets sur le côté et l'enlace, posant une main sur son entrejambe, tandis que de l'autre je relève son visage du bout des doigts pour mieux capturer ses lèvres.

Elle se tend quand je commence à taquiner son intimité, elle pousse de délicieux gémissements de plaisir et s'arque contre moi :

- Ben…

Je colle mon front contre le sien, un petit sourire aux lèvres :

- Oui Ariel ?

- J'ai besoin de toi….

- De moi ?

- Oui…

- Tu as besoin de moi ?

- Oui terriblement…, dit-elle toute fébrile et désireuse.

Je capture ses lèvres avant d'ôter mon boxeur, aider aussi d'Ariel qui s'impatiente, ce qui fait plaisir à voir.

Je me sépare un instant de sa bouche devenue écarlate par nos baisers répétés et je me présente à son intimité :

- Prêt ? Demandez-le.

- Oui.

Je la pénètre et elle penche sa tête en arrière, laissant sa gorge sans défense que je dévore sous une pluie de baisers adorateurs.

Je relève ses jambes et ondule le bassin pour des va-et-vient lents et voluptueux. Je glisse mes mains dans les siennes et on entrelace nos doigts, je colle mon front au sien et je la regarde :

- Je t'aime Ariel…

- Je t'aime aussi Benn…

Nos langues se retrouvent et nos bassins vont à la rencontre de l'autre, Ariel me montre toute sa douceur, son amour, sa passion et j'en fais tout autant.

Nos corps se chevauchent en harmonie, jusqu'à l'apothéose finale.

Je passe mon bras droit sous sa nuque et pose ma main dans ses cheveux jouant avec et de ma main gauche je me saisis de sa main droite, tandis qu'elle pose celle de gauche sur mon visage, le caressant tout en le fixant avec amour .

- Tu es la plus belle choisie qui me soit arrivée belle Ariel, souris-je sincère.

- Toi aussi… je suis heureuse de t'avoir rencontré, me dit-elle d'une voix empreinte de bonheur perceptible.

- Moi aussi… je réalise grâce à toi mon plus beau des rêves, avoir une femme que j'aime et qui m'aime, ces mers ont été si tumultueuses sans toi… comment ai-je fait avant ta rencontre ?

Je la vois rougir à mes mots, ce qui me fait traduit fondre et craquer :

- Je ne sais pas…, me dit-elle timidement.

- Cela n'a plus d'importance, tu es à mes côtés, dans mes bras et je compte te garder en sécurité et heureusement, somptueuse Déesse.

- Mon adoré….

- Comme j'aime ce surnom, susurrai-je.

- J'adore….

- Répétez-le… encore…

- Mon adoré….

- Encore une fois.

- Mon adoré….

- Encore…

Plus elle le répète et plus nos visages se rapprochent avant de se sceller dans un énième baiser.

Je parcours son corps nu de mes mains, elle a une peau si douce… qui semble implorer des caresses en continue.

Belle Ariel, je te promets de t'aimer comme tu le mérites, j'éloignerai tous tes mauvais souvenirs ma belle, pour que résonne dans tes pensées et partout dans ton corps la joie, le bonheur et le plaisir.

Laisse-moi vénérer ton corps, ton cœur, ton âme… ma belle Ariel comme je t'aime.


Une belle promesse d'amour sur l'oreiller.

Prochain chapitre avec Crocodile vous l'aurez deviné ^w^, puis enchainera pour l'arc de Sabaody ou la destinée de Monkey D Luffy.

Je vous souhaite une bonne fin de week-end et faites des attentions à la canicule, pensez à vous hydrater, c'est important.