Bonjour !
J'espère que vous allez bien.
Voici donc la suite, dans une semaine nouvel arc ! J'ai hâte de vous le partager.
WARNING :
Comme le nom du chapitre, il va être chaud ^^
Donc lemon + Lime
Vous voilà prévenu
Bonne lecture ^^
Chapitre 79 : Bain chaud
[POV Ariel]
Le soir tant attendu est enfin arrivé, je trépigne d'impatience, je veux tester au plus vite les sources chaudes, je sais que ce n'est qu'une question de minutes.
Après une journée dans le froid je meurs d'envie de me glisser dans un bon bain chaud, moi et l'eau c'est une grande histoire d'amour, donc impossible que je ne sois pas ravie de cette sortie.
J'attends juste que Benn et Crocodile récupère la réservation.
Quand je vois quelqu'un nous demander de nous suivre, je ne tiens plus et je colle l'homme qui nous amène à notre bassin privatisé.
Quand je découvre le décor je suis aux anges, on dirait vraiment un bassin japonais, avec des pierres, des plantes diverses et variées, une jolie petite cascade.
J'écoute d'une oreille discrète ce que dit notre guide et quand il part enfin je me déshabille, j'ai cru comprendre que fallait être complètement nue, ce qui en soit ne me dérange pas.
- Je te savais impatiente, mais pas au point de faire fi de ce strip-tease, lança Crocodile.
- J'aime beaucoup trop l'eau pour attendre une seconde de plus, rétorquai-je motivée comme jamais.
- Que c'est criminel d'aller aussi vite, me taquina Benn.
Je suis la première à me déshabiller avant d'entrer dans le bassin… et oh mon dieu quel bonheur… c'est délicieusement chaud…
- As-tu conscience belle Ariel que tu t'es déshabillée devant nous ?
- Oui… mais je m'en fiche et puis vous m'avez vue nue… donc bon…
- Ah oui tu t'en fiches ? Et si nous te capturons dans nos bras vile tentatrice ?
Mes deux hommes viennent me rejoindre et chacun attrape un de mes bras pour m'attirer à eux, je me retrouve avec Benn dans le dos et Crocodile face à moi :
- Tu es une petite coquine à ne pas nous attendre, me dit doucement Benn en embrassant mon épaule droite.
- Mais j'ai eu froid ce matin, me plaignis-je avec une voix de petite fille.
- C'était ce matin, coupa Crocodile.
- Mais j'ai eu très froid, continuai-je.
- C'est injustifiable, rigola Benn.
- Si ! Insistai-je plus encore.
- Têtue et tenace, sourit Crocodile.
- Mais vous m'aimez bien pour ça ? Non ?
- Oh pas uniquement que pour ça chérie, susurra Benn.
- Et pour quelle autre raison alors ? Demandai-je.
- Ta douceur, ta gentillesse..., commença Benn.
- Ta bienveillance, ton indulgence, continua Crocodile.
- Ton cœur d'or.
- Ta sensibilité.
- Ton côté adorable et aussi ta mignonnerie, ajouta Benn.
- Ta sollicitude aussi... bref beaucoup de raisons.
Cela faisait plaisir d'entendre tout cela, je me calai entre eux deux qui s'étaient, au fil de leurs énumérations, rapprochés de moi :
- Merci... de me faire sentir si... précieuse et exceptionnelle..., fis-je émue. C'est vraiment une émotion... incroyable d'être si important pour quelqu'un.
- Tu le mérites belle Ariel et nous sommes heureux d'avoir pu te faire connaitre la chaleur que représente un foyer, des amis et des gens qui t'aiment sincèrement pour ce que tu es.
- Merci, merci à vous deux, vous m'avez tant apporté, je ne sais pas trop comment vous l'exprimer autrement que par ces quelques mots, même s'ils sont bien faibles. Merci je suis heureuse grâce à vous.
Crocodile releva mon visage du bout de ses doigts :
- Ne t'en fait pas tu as des yeux extrêmement expressifs mon amour et ils étincellent quand tu t'exprimes, plus brillant qu'un soleil d'été.
Je rougis vivement, je ne m'attendais pas à ce que Crocodile soit si poétique :
- Merci..., bégayai-je touchée et surprise.
Benn pencha doucement ma tête en arrière et m'embrassa délicatement.
Je passe une main dans ses cheveux et de l'autre j'effleure à l'aveuglette le torse de Crocodile, qui je le sens, caresse mon poignet et avant-bras avant de me le saisir pour le porter à ses lèvres et l'embrasser.
Benn s'écarte un instant et me contemple, je ne quitte pas ses yeux et je sens mes joues chauffées, je me sens... belle dans ses yeux. Puis il se saisit de mon visage et reprend nos embrassades, ce n'est pas long mais c'est très intense.
Ma respiration est légèrement haletante, mais pas assez pour que je refuse d'autres baisers, alors je fixe intimidée Crocodile, je le vois qui doit mettre un genou à terre dans le bassin pour réduire la hauteur et là je le sens m'attirer à lui doucement avant de caresser mon visage de sa main et de m'embrasser.
Je me mets sur la pointe des pieds pour approfondir notre baiser, je passe une main dans ses cheveux et de l'autre j'incite Benn à m'embrasser l'épaule droite.
C'est si bon d'être aimée et adorée comme cela, pensai-je émue :
- Pourquoi pleures-tu mon amour ? Demanda doucement Crocodile en essuyant mes larmes.
- Rien... je suis juste... très heureuse.
- Si ce sont des larmes de bonheur alors tu peux les verser, murmura Crocodile.
- C'est le cas, souris-je tout en continuant de pleurer de joie.
Je reçois un baiser de mes deux hommes sur mes joues pour me réconforter et me montrer combien ils m'aiment. Et ce qui est assez terrible c'est que mes larmes s'intensifient et leurs lèvres sur moi sont plus présentes que jamais :
- Merci… de m'aimer et de me faire sentir si bien…, arrivai-je à dire la voix nouée.
- Laisse tes émotions s'écouler, pleure ma belle, on sera toujours là pour toi, chuchota Benn.
Je m'abandonne à leurs bras qui me bercent, me cajolent, je suis tellement heureuse je n'arrive pas à m'arrêter de pleurer.
- J'espère… que vous ne croyez pas… que je suis triste.
- Non belle Ariel, c'est juste un trop plein d'émotion qui s'exprime, tu n'es pas crispée dans nos bras, tu as un beau sourire et des yeux brillants de bonheur, nous voyons bien que tu es tout sauf triste ou malheureuse, me rassura Benn. Et puis c'est beau aussi de faire l'amour, de câliner une femme qui pleure de bonheur cela veut dire que c'est intense pour elle.
- N'ai aucune crainte Ariel, nous ne sommes pas inquiets, laisse tes émotions parler.
- Merci mes amours… embrassez-moi… j'ai besoin de vous…
Pendant qu'un embrasse mes lèvres, l'autre parcourt mon cou ou mes épaules, alternant chacun leur tour, au fil des baisers, mes larmes se calment enfin, je me sens juste profondément sereine.
Benn me colle doucement à Crocodile qui m'enserre dans ses bras, et là je sens les doigts agiles de Benn me masser mon dos, si je croyais être bien, j'avais tout faux. Benn évacuait les points de tensions existant pour me permettre d'être plus détendue encore, je me sentis complètement m'abandonner aux bras de Crocodile où je posai tête contre son torse. Je sentis sa main masser mes cheveux et ma nuque… être dorlotée ainsi par mes deux hommes c'était un pur bonheur.
- Belle Ariel, nous avons prévu après ce bain un soin massage on sera tous les trois ensemble.
- Je pourrais tenir vos mains ?
- Evidemment, gloussa Crocodile.
- J'ai déjà hâte d'y être…, soupirai-je de bonheur.
- Cela viendra vite, mais en attendant il nous reste une petite heure à profiter de ce bassin, susurra Benn contre mon oreille.
Je m'écarte doucement de leur étreinte et je les regarde avec désir :
- J'ai envie de vous….
- On te crois vu le beau regard que tu nous offres, sourit Crocodile.
- J'ai envie de vous…, répétai-je.
- Très bien, alors avec qui te veux commencer ? Demanda Benn en approchant.
Je les regarde l'un et l'autre, non sans rougir je réponds :
- J'ai envie de vous deux…
- Oh…, firent mes deux hommes.
Je me dirige vers Crocodile et je pose mes mains sur son torse, je l'oblige à reculer et à s'asseoir sur les marches présentes dans le bassin.
Je suis excitée au possible, mine de rien mes sens sont en alerte depuis qu'ils me caressent, alors, sans difficulté, je me mets à califourchon sur mon corsaire et je m'empale sur lui.
Je me tourne vers Benn qui s'approche et se colle à mon dos :
- Tu es certaine ? Demanda-t-il dans un souffle.
- Oui Benn… j'ai toujours eu envie… d'essayer… juste… je me sentais… pas… prête..., expliquai-je en rougissant.
- Très bien, tu m'arrêtes si tu as mal ou si tu changes d'avis, reste détendue et écoute ton corps.
Je sens Benn effleurer doucement mon anus, pour l'instant j'étais relaxée et je savais combien il fallait être bien pour permettre à mon corps d'accueillir un second pénis.
Je me cale dans les bras de Crocodile, qui m'embrasse mes cheveux et me caresse autant pour me montrer son amour que pour me maintenir dans cet état de bien-être.
Je gémis en sentant Benn presser son pouce contre ma deuxième intimité, les sensations sont grisantes et toutes nouvelles pour moi qui n'ai jamais essayé à cet endroit de mon corps. Enfin… si j'avais essayé toute seule avec des jouets intimes dans ma première vie et aussi quand j'étais seule sans mes hommes. Je préférai préparer mon corps à mon rythme pour mieux comprendre mon corps et ses réactions, et aussi être loin de toute pression. Là maintenant j'avais envie d'essayer avec eux, je me sentais prête, je savais à quoi m'attendre et comment mon corps allait réagir.
Quand je me reconnecte avec le présent, je vois que Benn s'était un peu écarté pour prendre quelque chose au bord du bassin, je n'avais pas vu mais il y a des produits… visiblement ce n'est pas pour se laver. Benn se verse sur une main une belle quantité de produit, la faisant devenir luisante, pas de doute c'est du lubrifiant, je rougis en sachant ce qui va suivre.
Benn se rapproche de moi, Crocodile me relève un peu hors de l'eau pour faciliter la tâche de Benn qui fait glisser avec sensualité des doigts autour de mon anus.
Je frisonne de plaisir, la sensation de glisse couplé aux gestes sensuels de Benn c'est merveilleux. Je m'agrippe aux épaules de Crocodile, me tendant légèrement sous le plaisir.
Petit à petit je sens l'un des doigts de Benn s'immiscer en moi et s'agiter dans mon fondement, j'halète, fébrile :
- Benn…, l'appelai-je.
- Je sais mon trésor, me dit-il.
Il dit ça et je sens qu'il ajoute un deuxième doigt, les mouvant ensemble, je m'agrippe plus fort aux épaules de Crocodile, le griffant quelque peu au passage :
- Tu aimes ce que tu ressens ? Me demanda mon corsaire.
- Oui, gémis-je. Ah….
Je me tends un peu plus, je ferme les yeux et j'halète, toute tremblante de plaisir en réalisant que Benn use d'un troisième doigt :
- Tu es réceptive à mes caresses, j'imagine que tu avais au moins essayé seule, sourit Benn.
- Oui… je voulais… être… prête… et bien connaître mon corps… avant de me lancer avec vous…, confirmai-je le rouge aux joues autant d'embarras que de bonheur.
Je vois mes hommes rougir légèrement, en ayant la confirmation que : oui j'étais disposée à tenter la sodomie et qu'en plus je m'étais donnée du plaisir toute seule. Je sais comment cette dernière info excite souvent les hommes, ils ne font pas exception :
- Tu me veux toujours en toi ?
- Oui, répondis-je complètement en âge à cause des mouvements de doigts de Benn.
- Alors prends une profonde inspiration, me conseilla la voix douce de Benn.
J'obéis et doucement dans le même temps Benn retira ses doigts, il récupéra le lubrifiant et je le vis s'en mettre sur son pénis, je sursautai même en sentant qu'il en mit sur moi. Alors là cela me va carrément si j'ai des hommes qui abusent du lubrifiant pour le sexe anal, cela promet d'être très plaisant, cela me met encore plus en confiance. Je sens que je vais passer un bon moment, je m'impatiente même, mais quand Benn pose le bout de son pénis contre mon intimité, je sais que ce n'est qu'une question de seconde.
Benn se presse doucement et commença à me pénétrer, moi je me sens m'ouvrir pour l'accueillir et faciliter plus encore cet échange. Plus il s'enfonce, plus je me tends, pas de douleur, juste de plaisir et le fait que je sente que je mouillais vaginalement laissait peu de place aux doutes, même Crocodile devait le sentir.
Je ne pus retenir un cri de bonheur, qui se prolongea à mesure que Benn s'enfonça en moi, jusqu'à ce que je sois complètement empalée sur lui. Je n'émettais plus un son malgré ma bouche ouverte, je me sentis si… pleine.
Ils sont au creux de moi… j'avais du mal à le réaliser, mais c'était bien le cas.
- Ça va Ariel ? Demanda Benn.
J'hochai la tête, incapable de parler, j'étais en train de réaliser ce que je vivais, de savourer même :
- C'est toi qui donneras le tempo, tu débutes quand tu veux, d'accord ? Je veux que tu prennes le temps de t'habituer à ces nouvelles sensations, me demanda doucement Benn.
J'hochai la tête, j'avais terriblement envie de commencer là tout de suite, mais je savais aussi combien c'était important pour mon corps de lui laisser du temps. Aussi j'étais patiente, je ne voulais pas brûler les étapes et me dégoûter de l'expérience.
Quand je me sentis prête je pris appuie sur les larges épaules de Crocodile et me relevai doucement, je pouvais sentir leurs pénis glisser, me faisant retenir mon souffle. Puis je baissai mon bassin tout en lâchant un soupir qui exprimait tout : un plaisir immense. Je ne pensai pas que cela me plairait autant, j'imagine qu'avoir en plus de cela des amants très patients et attentifs m'aide aussi énormément à être bien et en confiance.
Pour le moment je me mouvai sans leurs aides, j'appréciai d'avoir le contrôle et de m'habituer à leurs présences en moi, mais aussi à ces sensations nouvelles et décuplées.
Et puis je n'osais les regarder, mais je pense qu'ils n'étaient pas en reste de me voir me donner du plaisir, d'être la seule active à cet instant.
Quand je me sentis prête je me collais contre le torse de Benn, glissant une main dans leurs cheveux :
- Faites-moi l'amour, murmurai-je.
Chacun posa leurs mains sur mes hanches pour me soutenir avant qu'ils débutent des mouvements lents de va-et-vient, m'arrachant des gémissements de plaisir.
Petit à petit je réalisai que mes deux hommes s'étaient rapprochés de moi pour me coller à eux, cette proximité rajouta du contact à ce moment déjà intense. La sensation de collé-serré était exaltante à chaque coup de rein lent :
- Benn… Crocodile…, les appelai-je.
J'empoignai leurs cheveux, pressant leurs têtes contre ma peau et ils comprirent sans aucun mal qu'ils pouvaient en rajouter une couche avec des baisers et coups de langues. Et autant dire qu'ils ne se firent pas prier pour m'embrasser avec passion, envie et amour.
- Je vous aime… je vous aime tant…, soupirai-je.
- Je t'aime Ariel, murmurèrent-ils chacun.
Je me tourne vers Benn et je me tends pour capturer ses lèvres et l'embrasser fiévreusement, il tient mon visage du bout des doigts. Pendant nos embrassades je masse la tête de Crocodile qui me dévore mon cou.
A peine je me sépare du baiser de Benn que déjà je m'empresse de me jeter sur mon autre homme. Je veux qu'ils sachent combien je les aime, combien ils me sont précieux :
- Reprend ton souffle ma belle, souffla Crocodile.
C'est vrai que je prends à peine le temps de respirer tant j'ai ce besoin pressant de les embrasser, cependant j'écoute sa recommandation, juste pour améliorer nos futures embrassades, car je compte bien regoûter à leurs lèvres.
En attendant chacun goûte mes épaules, quand ce n'est pas mon cou ou le creux de ma gorge.
Tout cela m'émoustille comme ce n'est pas permis, je me tends délicieusement, tout en ondulant mon bassin, allant à la rencontre de leurs coups de reins langoureux.
Je m'arque et pousse un cri de plaisir, car je sens des doigts taquiner mon clitoris et je découvre que Benn est le grand coupable :
- C'était une vocalise particulièrement délicieuse à entendre, sourit Benn contre mon oreille.
- Oui c'était une note fabuleuse et somptueuse, confirma Crocodile en étirant aussi ses lèvres.
Crocodile décide lui de capturer mon téton droit et de me le stimuler avec dextérité avec sa langue.
- Vous allez me rendre folle ! M'écriai-je en me contorsionnant dans leurs bras.
- Oh oui… c'est tout le but, te rendre toute sensible trésor, admit sans honte Crocodile.
- Afin que tu cries à en faire trembler les murs, renchérit Benn.
- Tu voulais qu'on te fasse notre, alors nous nous y employons délicieuse Ariel, susurre Crocodile.
- Oh oui faite-moi votre… j'ai tant besoin de vous…, haletai-je.
Benn empoigne doucement ma gorge du plat de sa main, afin de m'attirer contre lui pour mieux m'embrasser, me faisant gémir de plus belle. Je frissonne quand les doigts agiles de Benn se baladent le long de mon cou.
- J'aime que tu sois tout frissonnante sous mes doigts, chuchota mon pirate d'une voix tendre.
- Alors embrasse-moi mon dos, haletai-je.
- Tout de suite mon trésor.
Je rougis de plaisir, car Benn ne lésine pas sur ses baisers et coups de langues, il veut me rendre dingue ! C'est donc toute excitée que je me penche vers Crocodile qui se tend quand je m'occupe de lui pour le mordre :
- Petite allumeuse, rit-il.
- Merci du compliment, murmurai-je contre son oreille d'une voix sulfureuse.
Je m'amuse à lécher les marques de mes dents avant de descendre, je capture dans ma bouche un de ses tétons et je le cajole le sentant se tendre sous mes attentions :
- Oh bon sang Ariel… ne t'arrête pas mon amour, tu me fais tant de bien…
Je souris j'adore entendre mes hommes me supplier de continuer, je me sens tellement experte alors que non ce sont mes premiers amours, aussi je découvre un peu plus chaque jour. Néanmoins je fais tout avec amour car c'est l'unique façon de donner du plaisir.
Alors je continue d'explorer et d'ailleurs, il est temps de m'occuper de ce deuxième téton en manque d'attention, faisant un peu plus tendre mon corsaire.
- Belle Ariel… je suis jaloux, tu me feras la même chose ?
Oh ? Cette simple petite remarque me fit comprendre à quel point mes caresses sont appréciées. Je me détache de Crocodile et je me penche en arrière enlaçant le cou de Benn :
- Bien sûr, c'est juste que comme tu es dans mon dos cela va être ardu, mais bien évidemment que tu gouteras à mes caresses. Ce n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde, j'aime quand vous me dites ce que vous aimez et ce que vous voulez.
- Me voilà rassuré, ronronna Benn en respirant mes cheveux.
- Tu étais si inquiet que ça ?
- Bien sûr que non, je voulais juste entendre ta jolie voix me dire que tu t'occuperais de moi avec plaisir.
Je glousse et je me tourne vers mon corsaire dont je caresse son large torse :
- Et toi ? As-tu aussi des envies ?
- Oh oui j'en ai des tonnes et je crois que je ne suis pas le seul.
Je rougis, en pensant que Benn avait lui aussi ses envies et moi les miennes, ça c'était certain qu'on était tous sur la même longueur d'onde sur ce point.
- Mais il y a quelque chose que oui j'aimerai bien que tu fasses.
- Quoi donc ? Demandai-je avide de réponse.
Il eut un petit silence avant que Crocodile ose me répondre :
- J'aimerai bien que tu embrasses mon visage… enfin ma cicatrice… ça m'avait fait plaisir d'entendre que tu avais trouvé que ça me donnait du charme…
Oh ! J'étais à mille lieux de penser qu'il ferait une demande si simple, je m'attendais à quelque chose de différent. Mais d'un autre côté en tant que victime de cicatrices je sais que je m'étais toujours dit que personne ne m'aimerait car elles m'enlaidissaient. Alors je comprenais sa demande, secrètement j'avais espéré qu'un jour quelqu'un me les embrasse et me dise combien j'étais belle même avec toutes ces marques. J'étais bête de pas y avoir pensé :
- Entendu, souris-je.
Je saisis entre mes mains son visage et j'embrasse doucement un bout de sa cicatrice avant de la longer d'une pluie de baisers doux et tendre.
- Je te promets d'y penser maintenant.
Je le vis rougir, je souris doucement, caressant son visage d'une main avant de me saisir d'un des bras de Benn, lui aussi à des cicatrices et comme je ne veux pas de jaloux je décide aussi de lui donner le même soin.
Après tout il n'y a pas de raison que Benn n'apprécie pas, je suis même certaine qu'en ayant entendu Crocodile en parler il a dû se dire que lui aussi aimerait qu'on porte de l'attention à ses cicatrices.
- Tes baisers sont magiques belle Ariel, merci pour tes bons soins et tes attentions, j'apprécie aussi ce doux traitement.
Intérieurement c'est le feu d'artifice et la danse de la joie
- Mes amours moi aussi j'ai une demande….
- Quelle est-elle ? Demanda Benn.
- Serrez-moi fort dans vos bras… et s'il vous plait… prenez-moi plus vite et plus fort… j'ai envie d'ardeur et de passion.
- A tes ordres mon irrésistible, susurra Crocodile.
- Tes désirs sont des ordres ma douce.
Ils m'enserrent dans leurs bras, me collant bien contre eux, je ne peux clairement plus leur échapper. Et là ils se coordonnent pour me pénétrer alternativement, avec des coups de reins de plus en plus intenses, profonds et fermes, m'arrachant des cris et gémissements de bonheur.
Je me sens trembler contre leurs corps et eux qui me tiennent plus fort, augmentant la cadence au rythme de mes vocalises.
Je ferme les yeux et m'abandonne aux sensations, à leurs mains, leurs lèvres, leurs souffles, je m'offre complètement accueillant le plaisir qui me submerge. Je m'agrippe à eux, à leurs cous, leurs cheveux ou leurs épaules, me tendant contre leurs corps fermes et lourds :
- Je me sens… venir…, avertis-je.
- Ne lutte pas jouis belle Ariel, souffla Benn.
- Non… je veux… avec vous, suppliai-je.
- Alors tiens encore un peu mon cœur, chuchota Crocodile.
J'hochai péniblement la tête, mes deux hommes n'étaient pas encore prêts… alors j'eus une idée pour les allumer, mais elle allait aussi m'exciter et m'approcher un peu plus de la jouissance.
Je décidai de poser mes mains sur mes seins et de me toucher, l'effet fut immédiat, mes hommes me prirent plus vite et me fixèrent avec une envie non dissimulée :
- Tu n'auras peut-être pas à nous attendre longtemps, haleta Benn au creux de mon oreille droite. Continue de te faire du bien mon cœur c'est excitant.
- Tu as vraiment des tendances à l'allumage, vilaine petite fille, chuchota Crocodile à mon oreille gauche.
Je rougis de plus belle et me tendit :
- Benn… Crocodile…, les appelai-je désespérément.
Ils embrassèrent mon cou et me donnèrent le coup de rein ultime, celui qui me fit trembler et jouir contre eux, qui me suivirent presque en même temps que moi. Je sentis leurs corps vibrer et résonner contre le mien avant de les sentir se relâcher. Ils me tinrent toujours dans leurs bras et nous restions sans bouger un moment, profitant de ce câlin et ce n'est que quand on reprit nos esprits qu'on osa bouger.
Je titubai encore légèrement sonnée, mais Benn me réceptionna dans ses bras :
- Doucement prend ton temps ma princesse.
Je gloussai, j'étais toute euphorique, alors j'enlaçai le cou de Benn, me perchant à lui avant de me jeter sur ses tétons pour les prendre en bouche :
- Ariel… tu comptes me rallumer ? Haleta t'il.
- Je compte surtout tenir une promesse que je t'ai fait tout à l'heure, rétorquai-je hilare.
- Tu es un amour….
Je repris donc mon activité, gémissant de bonheur, pendant que Benn passe ses doigts dans mes cheveux. Je fais signe de la main à Crocodile de s'approcher et vu les bruits de l'eau il s'exécute.
Je zieute en sa direction pour me saisir de son pénis et le dorloter et de ma main libre j'en fais de même avec le membre de Benn.
- Ariel comme je t'aime…, soupira Benn.
Je souris, je les regarde se perdre sous mes caresses tendres et douces, je voulais prolonger le plaisir, pas forcément les rallumer.
- Merci mon amour, maintenant laisse-moi aussi te faire du bien, me stoppa Crocodile.
Il se colla à mon dos et baisa mon cou, avant de me palper ma poitrine, je me laissai faire et je me laissai choir contre son torse. Benn s'approcha et se saisit de mes hanches avant de capturer mes lèvres pour un baiser tendre.
Je gémis doucement heureuse au possible de ce moment tendre.
Nous restions un long moment à nous câliner et j'étais la plus heureuse des femmes à cet instant.
Notre heure passa très vite et nous dûmes sortir pour recevoir notre massage, on s'emmitoufla dans le peignoir mit à disposition avant de quitter le bassin où nous étions.
Un homme nous attendait et nous invita à le suivre, j'étais émerveillée, on nous reçut dans une belle pièce aux tons turquoise, blanc cassé et doré, le papier peint de la salle avait des motifs de paon, cela invitait à se relaxer.
Dans la pièce il y avait des tas de petites bougies que je suspecte être parfumées, car il y a un odeur douce de note ambrée.
- Mademoiselle, ces messieurs lors de leur réservation ont souhaité être massé par des hommes, vous souhaitez avoir une masseuse ou un masseur ? Demanda notre guide.
- Heu….
La question me prit de court tant je n'y attendais pas :
- Je n'ai pas vraiment de préférence, pourvu que la personne masse bien et y aille doucement, je ne suis pas trop adepte des massages énergiques, je préfère que ça soit un moment de détente c'est tout ce qui m'importe.
- Très bien je prends note, je sais vers qui m'orienter, je vous laisse vous installer mademoiselle, messieurs.
Il nous laissa seuls, je me tournai vers le centre de la pièce où sont disposés trois tables de massage. Je vis mes amants défaire les peignoirs et mettre une serviette autour de leur taille. Le simple fait de les voir un court instant nu me fit quelque chose :
- Cesse de nous dévorer du regard coquine et prépare-toi, me lança Crocodile taquin.
Je pique un fard, instinctivement je cherche la culotte jetable qu'on donne habituellement, avant de me donner une claque mentale. Je ne suis plus dans mon monde, visiblement ici, ça n'existe pas, car je ne vois qu'une serviette disposée sur la table de massage centrale, celle où je vais m'installer pour être entre mes deux moitiés.
Bon je crois que je vais imiter mes amants, je dénoue mon peignoir, je l'ouvre avant de m'en défaire et de prendre ma serviette pour me la mettre autour de ma taille.
Mais je sens qu'on m'observe, je relève mes yeux vers Crocodile :
- Cesse de me dévorer du regard, le taclai-je avec humour.
- Moi au moins j'étais prêt avant toi j'ai donc tout le loisir de te contempler et de me rincer l'œil.
Je lui tire la langue en guise de réponse avant de m'installer sur la table de massage, Crocodile se mit à ma gauche et Benn à ma droite :
- J'espère que ce sera un masseur pour toi belle Ariel, ça m'exciterait de voir un autre homme s'occuper de toi.
Je tourne vivement mon regard vers Benn tout en piquant un fard :
- Tu… tu ne serais pas jaloux ?
- Non, sinon faut que tu m'expliques le pourquoi de notre relation à trois.
Hum… ce n'est pas faux, mais je suis surprise :
- Ah bon… heu tant mieux… et toi Crocodile ? Demandai-je curieuse d'avoir son avis.
- Il est vrai que ça peut être excitant, admit-il.
Je le regarde surpris et je fronce les sourcils, c'est bizarre, c'est suspect même :
- Qu'est-ce que c'est que cette tête ? Me sourit Benn.
Je le regarde suspicieux et fixe Crocodile qui est tout aussi souriant que Benn :
- Qu'est-ce qu'il y a mon amour ? Demanda à son tour mon corsaire.
- Je suis en train de me dire que c'est suspect qu'on m'ait demandé si je préfère un masseur ou une masseuse. J'ai l'impression que lors de la réservation vous avez laissé entendre à la réception, que si je ne stipulais pas un refus catégorique pour être massée pas un homme, que vous aimeriez qu'un masseur s'occupe de moi.
Je les regarde tous deux, les sourires qui barrent leurs visages étaient trop évocateurs :
- Me dites pas que j'ai vu juste, m'écriai-je effarée.
- Bon dans ce cas on ne te le dira pas, sourit Benn.
J'ouvris la bouche laissant échapper un petit son aigu de surprise, devant ce demi-aveu :
- Imagine-toi entourée de tes amants et de trois autres hommes, susurre Crocodile.
Je pique un fard :
- Attendez on est d'accord qu'il n'y a qu'un massage et que ça ne va pas plus loin.
- Oh mais ça peut aller plus loin, mais ça ce choix t'appartient belle Ariel.
- Qu'est-ce que tu veux….
Je vois mes amants s'allonger, j'entends des pas approcher, prise de cours, je monte sur la table et m'allonge sur le ventre, le visage en feu. Je n'étais pas prête à ce que mes chéris me réservent ce genre de surprise.
J'essaye de remettre de l'ordre dans mes idées et quand je vois trois masseurs débarquer, le peu de doute se transforma en confirmation évidente.
Mon masseur pour premier contact me demanda quelle senteur je voulais pour mon huile de massage, j'avais le choix entre rose, jasmin et fleur d'oranger et j'optai pour la dernière.
Je tente comme je peux de calmer mes rougeurs, est-ce que c'est trois hommes sont aussi complices ?
Rah je déteste mes amants, mon imagination un peu trop fertile et mon masseur, car maintenant j'ai le fantasme très tenace d'être choyée par plusieurs hommes. J'avais essayé de réprimer cette envie, mais être ainsi entouré d'hommes c'est un exercice bien difficile….
Plus encore car Benn et Crocodile me tienne chacun une main et me la masse de leurs doigts.
Je me remémore les derniers mots de Benn… seulement si je le décide… je n'arrive pas à croire que mes amants me font comprendre qu'ils sont ouverts à des plans à plusieurs. En fait je crois que c'est surtout ça qui me sidère.
Après en tant que femme, comme beaucoup d'ailleurs, on ne va pas se mentir, j'ai toujours rêvé d'avoir plusieurs amants qui me chouchoutent, mais jamais j'oserai franchir le pas. Car même si l'idée est aussi séduisante, qu'alléchante, dire oui me parait bien compliqué, insurmontable même :
- Est-ce que la pression vous convient mademoiselle ? Me demanda mon masseur.
- Oui, c'est parfait je vous remercie, arrivai-je à dire en me sentant rougir.
Il me sourit avec bienveillance, mon dieu c'est sûr qu'ils sont dans la confidence et je vois que mes fourbes, qui me servent d'hommes, me sourient l'air de dire « Oui on sait que tu es dans tous tes états et tu es toute mignonne ».
Le truc qui fait que je ne pars pas en vrille c'est que mon masseur est super professionnel il ne tente rien du tout, il fait que me masser sans faire le moindre plus petit geste tendancieux. Je dois reconnaitre que c'est très rassurant… jusqu'à ce qu'il me demande de me retourner.
Je m'exécute, mais en cachant ma poitrine de mes bras, là mon masseur m'achève, il part me chercher une autre serviette et me la pose sur ma poitrine, il est beaucoup trop gentil :
- Merci, murmurai-je.
- Je vous en prie, me dit-il en souriant.
En tout cas, son acte m'a mis en totale confiance et je cesse enfin d'être gênée, je me laisse aller aux sensations plaisantes de mon soin.
Mon masseur se place derrière ma tête et pose ses doigts sur mon visage, je ferme les yeux et le laisse faire, c'est agréable un massage facial….
Terrible… je crois que j'ai envie que ces cinq hommes s'occupent de moi, je ne suis pas totalement sûre, mais ça en prend le chemin. Pour le moment j'écoute ce que me dicte mon cœur et aussi mon corps. Je sursaute et éclate de rire :
- Non pas le ventre je suis chatouilleuse, rigolai-je.
- Je vois ça, sourit mon masseur qui arrête.
Il a la gentillesse de ne pas insister et de passer directement aux jambes, ce qui ma foi est plaisant :
- J'ai presque fini mademoiselle, voulez-vous que je revienne sur une zone en particulier ? Avez-vous une envie particulière ?
Sa deuxième question sonne plutôt à mes oreilles comme : Vous laisserez-vous tenter par le fait que cinq hommes s'occupent de vous ?
- Hé bien… je….
Je sens mon visage chauffer :
- Dis ce dont tu as envie chérie, résonna la voix de Benn.
- Ne soit pas timide mon amour, rajouta Crocodile.
Je pose mes mains sur mon visage et je suis pris d'un fou rire nerveux, je n'étais pas prête au fait qu'ils m'encouragent aussi franchement à oser céder à mes envies :
- Ne soyez pas intimidée, dites-moi ce qu'il vous ferait plaisir, m'encouragea mon masseur.
Manquerait plus que ses collègues m'encouragent à leur tour.
Je vois mon masseur se poser derrière ma tête et s'occuper de ma mâchoire :
- Détendez-vous je ne ferai rien qui vous déplaise.
C'est terriblement tentant… ce qui me gêne… c'est de le verbaliser à voix haute, je suis toute intimidée à l'idée de sauter le pas, mais la main de Benn et les petits mouvement de crochet de Crocodile semblent me dire « vas-y fais-toi plaisir ».
Je cogite et essaye de trouver une formulation qui me mettra à l'aise ou tout du moins qui ne m'embarrassera pas trop :
- J'ai… j'ai bien… envie de quelque chose, commençai-je maladroitement.
- Je vous écoute.
Je désigne en faisant glisser mon index sur ma peau la partie supérieure de ma poitrine :
- Je veux bien… que vous reveniez sur cette zone.
Ses mains quittèrent ma mâchoire, longèrent mon cou, avant de descendre sur mes épaules et le haut de ma poitrine :
- Ici ? Demanda un peu trop innocemment mon masseur.
Je le remercie en soit qu'il me pose cette question, je l'espérais même :
- Un peu… plus bas, avouai-je timidement.
- Ici ou plus bas ?
- Plus bas…, soufflai-je.
Je le vois sourire d'un air entendu et il me pose l'ultime question :
- Puis-je ? Demanda-t-il en désignant la serviette qui cachait ma poitrine.
J'hoche timidement ma tête, il la retire délicatement et me verse un peu d'huile chaude sur ma poitrine avant de commencer à me la masser. Je pose mes mains sur mon visage en feu, afin de me cacher, car je n'ose pas confronter le regard de mes amants et des deux autres hommes. Bon sang, je n'arrive pas à croire que j'ai osé sauter le pas.
- Alors mademoiselle jusqu'où vont vos désirs ?
Voilà une question plus explicite et qui ne laisse plus de place aux doutes si j'en avais encore :
- Pas plus que des caresses et… rien d'intime, osai-je répondre.
- Très bien. Puis-je être assisté par mes collègues ?
J'hoche timidement la tête et bientôt j'étais entourée des masseurs de Benn et Crocodile, chacun prit un de mes seins et le palpa d'une main tandis que l'autre effleura mes aines. Quant à mon masseur il passa ses mains sur le haut de ma poitrine jusqu'à mon visage, ce qui me faisait haleter.
Je vois mes amants se poser près de mes cuisses, ainsi ils avèrent une vue complète de moi :
- Peut-on participer à ton bien-être, demanda Benn en effleurant l'intérieur de mes cuisses.
J'hochai timidement la tête et il n'en fallu pas plus pour que lui et Crocodile infiltre leurs mains sous ma serviette pour découvrir mon intimité détrempée. Je les vis sourire, certainement car ils constatèrent que j'étais très excitée, plus que je ne le montrais réellement.
Crocodile usa de son crochet pour immobiliser ma jambe droite, Benn en fit de même avec sa main inoccupée, l'usant aussi pour des caresses taquines, tandis que leurs autres mains étaient en train de se coordonner, stimulant à deux mon clitoris et vagin. Je me sentais toute émoustillée, me tendant sous les doigts agiles de mes amants et masseurs.
Je vis Benn et Crocodile me dévisageaient avec envie contemplant ces inconnus me faire du bien, où je m'arque un peu plus à chaque seconde.
J'ai chaud… il y a tellement de mains et de caresses… même mon ventre qui avait été épargné fut sollicité. Je m'agrippe comme je peux à la table de massage, je cherche l'air. Mes amours sont très insistants sur mon intimité, j'ai juste envie de jouir et je crois que mes cinq hommes le sentent, car ils insistent sur toutes mes zones qu'ils ont deviné être sensibles. Je lutte pour retarder la jouissance, mais c'est extrêmement compliqué avec autant d'hommes qui me stimulent.
Je ne tiens plus et je jouis, me tendant de bonheur, mais cela ne les arrête pas, au contraire ils continuent pour que je touche encore une fois le septième ciel. Et ils insistent, me faisant avoir plusieurs orgasmes, avant que je me sente sombrer autant à cause du fait que j'étais détendue au possible suite au bain et au massage, qu'à la bonne fatigue.
[POV Benn]
Quand je la vois perdre connaissance, je demande qu'on arrête immédiatement, moi et Crocodile on remercie et congédie les masseurs avant de s'occuper d'Ariel.
Je l'enveloppe dans des serviettes pour ne pas qu'elle ait froid, puis nous nous habillons avant de se mettre à deux pour rhabiller notre chérie. Quand nous sommes prêts nous partons et je la porte dans mes bras.
Je l'emmitoufle dans ma cape pour la protéger du froid extérieur, nous quittons les lieux et marchons en direction du Red Force.
Voilà voilà.
C'était chaud, c'était bon, c'était câlin.
A dimanche pour la suite et fin de cet arc.
Un indice sur le prochain arc : Histoire (avec un grand H).
