Lors d'une agréable journée de juillet, dans le plateau écossais, un vieux couple profitait du Soleil. Les deux amants se laissaient berçés par leurs lectures en appréciant chaque brin de vent qui pouvaient les rafraîchir. Ce couple n'est autre que le couple Flamel : Nicolas et Pernelle. L'alchimiste français détacha les yeux de son livre pour observer une chouette d'une couleur neige arrivé vers eux une lettre au bec. Surpris, il prit la lettre et il s'appercu que la lettre avait une bosse. Il décida de l'ouvrir prudemment et quelle fut sa surprise quand il vit sa création dans l'enveloppe. La pierre philosophale, sa création qu'il l'a rendu célèbre et a contribuer à son palmarès. Mais comment pouvait-elle être ici, il l'avait confier à Dumbledore. Dans le paquet, il y avait une note qui accompagnait la pierre.

Cher Mr Flamel,

Pour la sécurité du monde magique et de votre création, il est préférable que cette pierre reste entre vos mains plutôt que dans un chateau rempli d'adolescent aux hormones turbulentes.

Bien à vous, HP.

L'alchimiste, bouche bée de voir que quelqu'un ai pu prendre la pierre sans que Dumbledore ne lui en ai parlé, se jura à lui-même d'en parler avec le directeur de Poudlard le plus rapidement possible pour tirer ça au clair. Surtout que les intials HP ne faisait référence à aucun professeurs qu'il connaissait, ça devait surement être un étudiant.

Un peu plus tard dans le mois, alors que la chaleur était des plus étouffantes dans la périphérie londonienne, deux adolescents prenaient un bain de soleil. Les rayons du Soleil semblaient martyrisés la peau de l'un d'eux au vu du teint rouge qu'elle arborait. Celui-ci bondit soudainement de sa chaise longue.

— C'est tout bonnement impossible de rester aussi longtemps s'exclama le garçon aux cheveux clairs. Je ne sais pas comment tu fais Harry, tu es inhumain !

Harry baissa ses lunettes de Soleil pour observer Neville qui s'était réfugier sous le parasol.

— Viens voir Neville, je vais te montrer comment ça marche répondit Harry essayant de cacher un sourire narquois.

Le garçon aux cheveux noirs sortit sa baguette de son short, sembla réfléchir quelques secondes puis incanta.

— Novitate

Brusquement, Neville ne senti aucun changement, il avait toujours cette sensation que donnait une chaleur accablante.

— Il marche pas ton sort dit-alors Neville d'un air concédant qui ne lui allait pas.

— Il faut simplement fermer les yeux, je pense que c'est pour ça répondit Harry.

Neville était perplexe mais fit confiance au serpentard. Malheuresement pour le gryffondor, Harry profita de son côté candide et s'empressa de sortir une bombe à eau et de la lancer de toutes ses forces sur Neville. Celle-ci éclata sur lui qui se retrouva trampé sur tout le haut du corps.

— AAAAH cria Neville d'une voix aigus. Mais bordel Harry, elle est gelée cette eau.

Harry éclata de rire pendant que Neville le pourchassait afin de prendre sa revanche. Le lion se montra plus rusé que le serpent en lui lancant la serviette de plage dessus pour le distraire. Il s'approcha et le prit pour le bras pour tenter de le maitriser

— Attends mon petit Neville observa Harry. Tu ne vas quand même utiliser la même technique que je t'ai appris il y a une heure quand même. Il faut être patient dans la vie mon petit scarrabé.

— Oh non maitre, je n'oserai pas quand même s'exclama le gryffondor avec le plus de sincérité possible.

— Petite enfl... commença le serpentard en lui lançant un regard noir.

— HARRY ! Cria soudainement Pierre depuis le salon. Viens voir ce qu'ai devenu ton "cadeau".

Harry en ayant entendu cela, il se désintéressa de Neville et se hata pour le rejoindre. Le gryffondor quant à lui, le suivait tous en se questionnant sur que devais bien être le cadeau en question. En arrivant dans le salon, le jeune gryffondor fut temoin d'une scène des plus improbables. Dans un grand sac, il y avait une dizaines de fourchettes, cuillères ou encore couteaux. Et étrangement tous ces couverts étaient familiers pour lui. Mais le plus marquant est la tête dépitée de Harry et Pierre qui étaient disposé sur les genoux autour du sac.

— Mais je ne comprends pas... s'étonna Neville en coupant le blanc. Ces couverts sont tous ce qui a de plus normaux.

— Justement Neville répondit Harry les yeux scotchés sur les couverts. Ils n'auraient pas dû être aussi normaux ! Enfaite ce sont des couverts de Poudlard que j'ai changé en or grâce à la pierre. Sauf que regarde en quelques mois à peine, ils sont redevenu comme avant. J'aurais dû garder la pierre au lieu de la rendre se lamanta t-il.

— Pour le coup tu t'es bien loupé gamin commenta Pierre tout en lui administrant une tape sur l'épaule très peu réconfortante. Moi qui pensait qu'on aurait pû être riche...

— Mais Harry, n'as tu pas gardé un bout de la pierre se rappela Neville.

— Tu me connais Neville, je suis un homme honnête, je ne l'ai donc pas coupé mais je l'ai rendu intact à son créateur répondit Harry tout en lâchant une larme pour accentuer son côté théatral.

La vérité que Harry n'avoura pas à son ami est qu'il a déspéremment essayé de la couper de tous les moyens possibles mais sans succès. La pierre devait rester entière.

— Tous ce qu'on peut en conclure c'est qu'on s'est bien fait avoir, la pierre n'est pas aussi puissante que sa réputation lâcha tristement Pierre.

Après cette incident qu'il laissa des séquelles au habitant de la maison, Harry et Neville continuèrent de profiter de la journée en faisant des activités diverses et variés et les rayons du Soleil continuèrent d'harceler les cellules des deux adolescents.

En cette fin de mois d'août, la rue marchande sorcière la plus fréquentée de Londres était bondée. Un brouhaha de paroles s'en échappait et n'importe quels cris se transformaient en un murmure. Il y avait la plupart de la population étudiante entrain de faire les achats avant la rentrée à Poudlard. Mais dans une boutique en particulier, la foule y était le plus important. Harry et Neville s'occupaient de leurs fournitures quand ils ont remarqué la foule. Celle-ci était juste devant la librairie Fleury & Bott. Devant la boutique, une banderole brandait la raison de cette foule.

Aujourd'hui, de 12h30 à 16h30 ; Gilderoy Lockhart dédicacera son autobiographie : Moi le Magicien.

— C'est l'auteur de tous nos manuels de Défense contre les forces du mal cette année s'étonna Harry.

Neville ne put être qu'étonné comme son camarade. Continuant leurs missions, les deux étudiants entrèrent dans la boutique remplie de sorcières d'une cinquantaine d'années excitées et enjouées à l'idée de rencontrer leur idole. Les deux acolytes se fraillait un chemin avec difficulté dans la librairie. Arrivés dans celle-ci, ils ont cherché leurs manuels et pendant leurs recherches, ils ont soudainement entendu une voix s'élever au milieu du brouhaha.

— Mesdames et Messieurs, voici un moment extraordinaire ! Un moment idéal pour vous annoncer quelque chose que j'avais gardé jusqu'à présent ! Lorsque le jeune Elliot Potter est entré chez Fleury et Bott aujourd'hui, il voulait simplement acheter mon autobiographie déclara t-il. Et bien je vais me faire un plaisir de lui offrir gratuitement ! Mais je vais également le lui faire dédicacer !

Après ce monologue, la foule applaudit et Harry vit qu'Elliot n'était pas si enjoué que ça d'obtenir une dédicace de Lockhart. Surtout que celui-ci n'avait pas fini son monologue. Harry vit qu'en un été, Elliot avait encore grandi et que ses cheveux lui tombaient sur le front jusqu'à parfaitement s'arrêter sur ses sourcils. Ses cheveux devaient être bien plus simple à coiffer que ceux de Harry. Celui-ci ressenti une pointe de jalousie. Les deux échangèrent un bref regard avec qu'Elliot le brise dû au harcelement que Lockhart infligeait au Survivant. Lockhart quant à lui, portait une robe de sorcier bleu parfaitement à la couleur de ses yeux et son front était caché par des cheveux blonds bouclés. Il révéla qu'il sera le nouveau professeur de Défense contre les forces du mal. À cette grande nouvelle, la foule applaudit à nouveau de façon frénétique. Certaines femmes pleuraient même de joie à l'idée que leurs enfants puissent l'avoir comme professeur. Harry et Neville se regardèrent avec une expression exténuée. Si tous leurs cours ressemblaient au monologue dont ils ont été témoins, alors ça ne serait pas cette année qu'ils vont progresser en Défense.

— J'ai comme l'impression que cette année encore ce cours sera d'un supplice s'exclama Neville.

Harry ne put qu'acquiescer au dire de son ami. Il voulait renchérir, mais il a été témoin d'une scène des plus étrange. La famille Malefoy discutait avec la famille Weasley et son frère. Harry était trop loin pour entendre ce qu'il était dit. Une certaines tensions émanait du groupe. Mais soudainement, le patriarche Weasley poussa le père de Drago contre une étagère où des livres tombèrent sur lui. Le vendeur et Mme Weasley criait sur Monsieur Weasley pour l'arrêter alors qu'il allait attaquer le chef de la famille Malefoy. Le père Malefoy ne se laissa pas faire et allait attaquer le père Weasley quand une voix grave et prononcé coupa ce duel d'anthologie.

— Allons, allons Messieurs, ça suffit ! S'exclama Hagrid le gardien des clefs de Poudlard.

Il sépara les deux patriarches qui ne s'étaient pas laissé impressionner et qui avaient commencé à se battre. Harry ne comprit pas pourquoi, mais le père de Drago glissa dans le chaudron de Ginny deux livres et lui lâcha une phrase avant de partir avec son fils de la librairie. Il n'avait pas entendu les paroles du patriarche. Il croisa le regard énervé de Drago quand lui et son père sortirent bredouille de Fleury & Bott.

Après cet épisode particulier, Neville et Harry décidèrent de s'enfuir au plus vite de cette librairie. Ils payèrent leurs manuels puis ils quittèrent la librairie. Les deux acolytes se sont mis d'accord sur une seule chose après cette journée. Cette année n'allait pas être de tout repos.


NDA : Encore merci pour tout vos retours, le début de cette année se fera gentillement avant de s'approfondir. J'espère que ça vous plaira.