Titre : La Malédiction des Bennet de Longbourn
Auteur : Selsynn
Trigger Warning : Morts de personnages (peu décrite mais il y a des deuils)
Couple : Darcy/Lizzy.
Genre : Surnaturelle, Romance, Drama.
Disclaimer : Ceci est une fanfiction Orgueil et Préjugés. Le twist fantastique m'appartient.
J'ai oublié de préciser sur tous les chapitres, que le texte m'appartient et n'a pas été généré par ia.
J'espère que la fin vous plaira. Si des questions restent, n'hésitez pas à les poser, je tenterais d'avoir un épilogue qui y répondra.
20 jours avant de ne plus mourir
Nous avons pris notre temps, et publié les bans pour Meryton, Londres, et le recteur de Krympton, dont j'avais tant entendu parlé dans cette autre vie, les a lu pour la région du Derbyshire. Il s'avère qu'il est un homme intéressant, très agréable, gentil et attentionné.
C'est lui qui nous a aidé à préparer notre cérémonie, et tout ce qui va avec. Je ne voulais pas d'un mariage de convenance, ni de trop de la Société. J'ai demandé gentiment à mon futur mari de trouver une excuse ou une autre pour éviter la présence de Mr Bingley, car la peine pour ma sœur était toujours présente.
Il comprend et me laisse le choix. Son homme d'honneur est son cousin, le Colonel Fitzwilliam, tandis que j'appelle à moi la seule sœur proche qu'il me reste, Mary, pour qu'elle soit à mes cotés.
Maintenant, fermez les yeux. Imaginez le plus beau mariage. Harmonie. Lumière. Douceur.
Pour moi, le plus important, c'était mon cœur qui, enfin, battait pour vivre. J'avais l'impression que je ne l'avais plus entendu depuis longtemps. J'allais vivre. Demain. La semaine prochaine. Avoir des enfants. Vieillir auprès de l'homme que j'aimais.
On dit qu'un mariage en appelle un autre. Et si j'interprète les regards de Mary avec le recteur… Ma douce sœur ne sera, elle aussi, pas susceptible à notre malédiction. Quand la cérémonie sera fini, je vais lui proposer de rester un moment avec nous à Pemberley.
Quand je reviens à Pemberley, c'est en tant que Mme Darcy, et maîtresse de la maison. Et pour tout l'amour que j'ai pour mon mari, je sais que je ne risque plus rien de cette malédiction.
Fin.
