Hello tout le monde.
Je suis retournée à mon ancien rythme de publication qui est d'un chapitre tout les trois semaine. Bref, après le procès d'Ezra voici les conséquences pour sa famille. J'espère que ça va vous plaire alors n'hésitez pas à laisser une petite review.
Merci à Charly pour ton aide.
Bisous,
XCheschireCat.
PS: Ce qui est italique est du farsi.
Chapitre 28: Après
Harry tira sur son costume bleu qui datait de l'année dernière mais qui commençait déjà à être un peu court. Il allait bientôt voir Zira et le petit garçon avait vraiment hâte d'y aller. Dani lui avait dit que le père de famille était très malade et allait rester un moment à l'hôpital. Cela faisait au moins deux mois qu'Harry ne l'avait pas vu c'est pourquoi le petit garçon était plus qu'heureux de se préparer ce matin-là. Très agité, le garçon fut intenable pendant l'habillage. Jacob peigna du mieux qu'il put ses cheveux longs mais le valet semblait distrait et parlait beaucoup moins qu'avant Il fut difficile pour lui de canaliser l'enfant, c'est pourquoi le valet n'essaya même pas de le coiffer au gel.
Lorsqu'il fut prêt Harry couru jusque dans la Bentley où il prit place à l'arrière à côté de Dani. Contrairement à lui, la rouquine n'était pas très heureuse d'être là, les bras croisés sur la poitrine et la tête posée contre vitre. A l'avant, Antonia serrait le volant de la voiture avec force. Personne ne décrocha un mot pendant le trajet ce qui fit dire à Harry que Zira devait être très malade. Il avait pris l'habitude qu'on lui explique ce qu'il ne comprenait pas ce silence qui le rendait nerveux et lui rappelait les Dursley. Anthonia finit par garer la voiture dans un parking souterrain qui semblait immense au petit garçon. La sorcière resta cependant figée à l'avant du véhicule la mâchoire serré, après un moment elle posa sa tête sur le volant et prit une grande inspiration.
"-Maman, si tu veux nous pouvons rentrer à la maison.
-Daniella, ne parle pas s'il te plaît. Je réfléchis."
Harry fit "non" de la tête en direction de sa sœur adoptive pour qu'elle se taise et prit la parole à son tour.
"-Moi je veux aller le voir.
-Maman a dit non.
-Non, elle n'a rien dit. C'est toi qui as dit non." S'emporta le petit garçon
-De toute façon on ira p…
- Ça suffit." Cria la mère de famille les coupant net dans leur dispute. "Tous les deux. Je ne veux plus entendre un bruit."
Le silence se fit dans la voiture mais Harry persista dans sa colère en fusillant Dani du regard. Boudeur le garçon croisa ostensiblement les bras et poussa un soupir volontairement bruyant. Il voulait que tout le monde sache qu'il était en colère.
"-Attendez dans la voiture, je vais passer un coup de fil à Flloyd pour qu'il vienne vous chercher." Conclut Anthonia en quittant la voiture pour se diriger vers les escaliers situés à quelques mètres de là.
Aussitôt Harry se retourna vers la jeune fille à ses côtés.
"-Pourquoi tu veux pas qu'on aille voir Zira?
-C'est pas vrai, c'est juste… Je ne veux pas le déranger.
-Je te crois pas!" Cria le garçon avant de s'enfuir en courant dans le parking. Il entendit Dani sortir de la voiture pour le suivre mais elle avait réagi un peu tard et le garçon avait une bonne avance.
"-Hadrian! Revient ici!
-Non." L'enfant ne s'était même pas retourné pour lui répondre. "Tu veux pas voir Zira mais moi si ! Alors t'as cas rester ici.
-Hadrian retourne à la voiture!"
Le petit garçon continua cependant à monter les marches qui menaient aux parties supérieures du bâtiment. Dani était un peu plus bas et avait perdu ses chaussures dans sa course.
"-Je suis même pas obligé de t'écouter. T'es même pas vraiment ma soeur!"
Harry reprit sa course sans plus se retourner pour voir si Dani le suivait encore. Il poursuivit sa course encore un moment avant de sortir dans un couloir au hasard. L'enfant s'arrêta un moment en s'appuyant contre un mur pour reprendre son souffle et recommença à trottiner. Il y avait beaucoup de monde dans les couloirs dont certains avec des blouses de médecin mais ils avaient surtout l'air trop occupé pour qu'Harry leur pose une question.
Après un certain temps à déambuler à la recherche d'Ezra, le petit garçon commença à regretter sa décision. Les hôpitaux lui faisaient un peu peur depuis qu'il y avait séjourné depuis l'année dernière. Il finit par apercevoir les cheveux roux d'Anthonia et Harry courut jusqu'à elle de peur d'être laissé dans l'hôpital.
"-Anthonia!
-Tu es là toi? Par Merlin." La rouquine posa une main sur son épaule. " Qu'est-ce que tu n'as pas compris quand je t'ai dit de rester dans la voiture?"
La main sur son épaule le serra avec plus de force que nécessaire pour le guider dans le dédale jusqu'à l'ascenseur.
"-Je voulais juste voir Zira." Marmona Harry.
"-Tu ne peux pas." Antonia le stoppa et s'agenouilla devant lui. "Je ne veux plus que tu refasses ça. Si tu recommences je ne viendrai pas te chercher, tu as compris?"
Harry hocha la tête avant de continuer sa route vers la sortie, toujours avec Anthonia dans son dos.
"-On ne reverra plus jamais Zira?
-Ne pose pas de question." Lui répondit la sorcière en le reconduisant devant la voiture.
Dani était dans le véhicule, les bras croisés et la tête tournée de l'autre côté pour mieux fusiller du regard un pilier du parking. L'adulte le mit dans la voiture puis attendit à l'extérieur que Flloyd vienne les chercher s'assurant qu'aucun des deux ne tente une nouvelle escapade.
Martin regardait les autres élèves qui peuplaient sa salle de classe avec un certain dédain. Il était rentré directement en terza superior, soit une année de plus que son âge avec une spécialisation en science. Les mathématiques étaient sa matière préférée et la seule dans laquelle la langue n'était pas un souci. Cependant avec les mois l'italien s'était laissé apprivoiser, alors certes il n'allait pas écrire des poèmes en vers pour le moment mais il progressait bien. De toute manière Martin préférait se concentrer sur l'architecture de la ville plutôt que sur la langue, de fait il ne s'était pas fait beaucoup d'amis parmi ses camarades de classe. Les adolescents de quatorze ans n'étaient en général pas très portés sur ce genre de chose.
Lorsque la cloche sonna Martin avait déjà ranger ses affaires de cours et se trouvait à mi-chemin de la sortie. Puisque c'était un vendredi l'adolescent devait retrouver un groupe de jeunes à la sortie du métro Ottaviano dans le quartier de Prati. Max, Dalia et Giorgio l'attendaient à l'endroit prévu, percher sur un banc. Tous les quatre avaient prévu de cambrioler un appartement à quelques rues d'ici. Les trois jeunes faisaient un peu tache dans le paysage bien lecher du quartier avec leurs tenues gothiques. Martin était nerveux de voir les gens se retourner sur eux, il s'approcha de la grande porte de l'entrée de l'immeuble et se glissa pendant qu'un résident sortait. Le blond garda la porte ouverte pour ses camarades et le groupe monta au troisième étage, l'appartement qu'il devait forcer était celui d'un couple assez âgé qui était en vacances pendant quelques jours. La sœur de Giorgio faisait le ménage chez eux et donnait les adresses des maisons les plus cossues à son petit frère.
Martin était celui qui devait forcer la porte, quelques gouttes de pus de bubobulb mélangés avec de l'eau de javel classique et le métal de la poignée fondit comme du beurre devant une flamme.
L'appartement était bien décoré dans un style classique et pendant un instant Martin se prit à rêver qu'il vivait ici, rien que le salon faisait deux fois la taille de sa maison en Argentine. Les murs étaient habillés par des reproductions de peintures célèbres comme la naissance de Vénus de Botticelli ou encore l'Annonciation de Fra Angelico. Les fenêtres immenses faisaient rentrer toute la lumière nécessaire et donnaient sur la place juste en face. Les complices de Martin avaient commencé à fouiller la maison et casser des objets pour le simple plaisir de les voir se briser mais lui préférait admirer les lieux encore un instant
"-Allez mon vieux, bouge." Lui lança un des garçons du groupe.
Le blond lui avait aperçu la collection impressionnante de vinyle des propriétaires et commença à en choisir quelques-uns pour son usage personnel. Puis lui aussi se mit à fouiller mais de manière moins pressante que ses camarades et sous une pile de linge il trouva un million de lires italiennes, soit plus de cinq cents livres britanniques. Les billets finirent au fond de sa poche, loin du trio qui raflait tout sur son passage. Martin poursuivit encore un moment et trouva quelques bijoux en or fin qui devaient appartenir à la femme du couple et rejoignirent les restes de son magot au fond de sa poche. Après une quinzaine de minutes les bruits d'une sirène le sortirent cependant de sa fouille et par l'une des fenêtres il aperçut une voiture de police. Deux policiers en descendirent et Martin attendit qu'ils entrent dans l'immeuble pour passer la rambarde de la fenêtre. Il regarda en bas et la hauteur lui donna le vertige, le blond raccrocha d'autant plus fort au bord de la fenêtre et prit une grande inspiration. Il commença à se déplacer lentement vers la droite dans l'espoir d'atteindre la colonne l'évacuation fixée au mur un peu plus loin. Il entendit les membres du trio commencer à courir ou échapper à la police et lui accéléra mais au moment où il atteignit la colonne ses pieds glissèrent et il tomba du troisième étage en freinant au maximum sa chute en s'accrochant au tuyau. Martin heurta le sol avec ses pieds et la douleur de l'atterrissage lui remonta jusque dans les hanches et la peau encore fragile de ses mains avait cédé laissant des trainés sanguinolents sur la façade de l'immeuble. Martin ne s'attarda pas pour faire un examen exhaustif de ses blessures, il préféra partir en courant tant que la police était occupée par les autres.
Anthonia garda les poings crispés autour du volant de la voiture, non pas par peur de perdre le contrôle de son véhicule à cause de la neige mais bien par colère. Le fait de voir Ezra devrait l'accabler, elle avait épousé un sociopathe et un tueur en série mais ce qu'elle ressentait réellement avait le goût amer de la trahison. Elle était surtout en colère car Ezra l'avait abandonné et non parce que c'était un meurtrier. Son mari était maintenant bien installé dans son hôpital psychiatrique pendant qu'elle allait devoir élever deux enfants, gérer une maison et évidemment poursuivre sa carrière de chercheuse. Elle n'avait jamais signé pour ça, elle ne voulait même pas d'enfant.
En s'arrêtant dans son laboratoire, la sorcière trouva Pandora, penchée sur une plante qui poussait dans un chaudron. La blonde leva la tête en l'entendant passer la porte.
"-Tonia? Je croyais que tu passais la journée avec les enfants, tout va bien?
- J'ai toujours le droit de venir, c'est mon labo, il me semble." Crachat l'iranienne, furieuse. Pandora prit un air déconfit, elle n'avait pas vraiment l'habitude de voir Anthonia si en colère.
"-Tu sais que je suis simplement inquiète pour toi.
-Il n'y a aucunne raison Pandora. Je vais bien."
Plutôt que de poursuivre la discussion, comme elle avait l'habitude de le faire, Pandora soupira.
"- Si c'est vraiment le cas, sache que tu n'iras plus aussi bien quand tu auras lu cette lettre."
La jeune femme lui tendit un papier froissé qui trainait sur son bureau.
"Lady Lovegood et Fell.
Je me vois contraint de suspendre les fonds de recherches de la SERRE (Société Éducative de Recherches Rarissime d'Europe.) La décision du conseil d'administration a été unanime et motivée par la dégradation de son image si le nom d'un délinquant moldu est associé à leurs fonds de recherches.
Mes sentiments distingués.
Melvin Hopps, secrétaire pour la distribution des fonds de la SERRE"
"-On a plus d'argent." Commença à se lamenter la blonde mais Anthonia préféra mettre le feu au bout de papier en poussant un cri de rage. Pourquoi suffisait qu'un domino tombe pour que tout s'écroule autour d'elle, toute sa vie ne reposait-elle que sur la réputation de son mari? Rien de tout ça ne pouvait durer, Anthonia avait travaillé trop dur pendant trop longtemps pour voir s'écrouler sa vie sans agir.
"- Ne t'inquiète pas Pandora, tu pourras reprendre tes recherches bientôt.
- Pourquoi tu dis ça? Tu as une idée en tête?
-Je pars." Déclara la rousse d'un ton solennel, Pandora se releva de sa chaise pour fixer sa collègue d'un regard choqué.
"-Quoi? Mais tu ne peux pas faire ça. Tu es la meilleure chercheuse de ce pays, tu ne peux pas partir.
-Je ne peux pas rester." Anthonia commença à marcher de long en large dans la pièce. "Je ne peux pas. Ce n'est pas chez moi ici et plus personne ne veut de moi maintenant que mon nom est associé à celui d'un meurtrier. D'un meurtrier moldu qui plus est, pour les anglais c'est le summum de la disgrâce. Alors je préfère partir et poursuivre mes recherches dans un autre pays, tu pourras continuer à utiliser ce laboratoire.
-Je n'en aie rien à faire de ce laboratoire, j'ai besoin que tu restes pour que l'on poursuive nos recherches, ENSEMBLE." Pandora prit la main d'Anthonia pour qu'elle arrête de faire les cent pas. "Je ne pense pas que ce soit une bonne solution, peu importe où tu iras, ton passé finira par te rattraper alors autant que tu restes ici pour affronter les conséquences maintenant. Avec le soutien de tes amis.
-Je ne suis pas certaine d'avoir beaucoup d'amis ici, par contre des détracteurs j'en ai énormément. Alors je préfère partir.
-Je ne vais pas te convaincre de rester, n'est-ce pas?" Demanda la jeune blonde, très attristé de perdre une amie de manière aussi brutale. Les larmes lui montèrent aux yeux et roulèrent sur ses joues.
"-Je crois que j'y pensais déjà depuis un moment." Réalisa Anthonia. "Je suis désolée Pan."
La blonde resta encore un moment à tenter de convaincre Anthonia de rester alors que dans sa tête la rousse établissait déjà un plan de départ.
De retour à Belgravia la sorcière convoqua tous les employés de la maison dans le hall d'entrée, du moins ceux qui n'avaient pas démissionné depuis le scandale. Les femmes de ménage, les valets, cuisinières et tous les autres se tenaient en rang, nerveux devant la dame de la maison. Ils se doutaient qu'il allait se passer quelque chose d'important. La sorcière se posta sur la première marche des grands escaliers pour voir tous ses employés.
"-Vous êtes tous congédiés. Je veux que vous ayez quitté les lieux avant demain midi." Des murmures agités parcoururent l'assistance des "Pourquoi?" "On n'aura pas le temps de faire nos bagages." "Vous n'avez pas le droit."
Cette dernière phrase, dite plus forte que les autres, mit Anthonia en colère.
"-J'ai tous les droits! Ici vous êtes sous mon toit. Alors quand je dis que vous devez avoir fini vos bagages pour demain midi je m'attends à ce que ce soit fait." Quelque chose dans la voix de la sorcière fit taire tout le monde, parce que Anthonia avait appris à faire taire depuis longtemps les critiques. "Vous allez tous avoir un mois de salaire d'avance et une lettre de recommandation mais vous partez tous. Eksander, venez."
Le tuteur des enfants se dégagea de la foule pendant que les autres partaient dans leur quartier d'habitations. Il suivit la dame qui montait dans les étages, elle s'adressa à lui sans le regarder pour autant. "Vous allez venir avec moi, préparez vos bagages nous allons à Moscou.
-Bien My Lady. Dois-je préparer ceux des enfants.
-Oui, faite donc."
La sorcière avait encore des choses à faire, seule.
Dani regardait la neige tomber dans la rue par la fenêtre de sa chambre. Hadrian ne voulait plus lui parler, il lui avait même claqué la porte de sa chambre au nez. La jeune fille ne se sentait pas de taille à lui expliquer pourquoi sa mère ne voulait pas les laisser voir Ezra. Pas alors que les mots affreusement accusateurs de son père tournaient encore dans son esprit.
entra dans sa chambre sans toquer, événement rarissime, accompagné d'Anabelle coupant court aux rêveries de la jeune fille.
"-Annabelle va préparer vos bagages Lady Daniella.
-Pourquoi? Où allons-nous?"
quitta la pièce sans lui donner de réponse pendant qu'Annabelle s'affairait dans la penderie.
"- Annabelle? Vous savez ce qu'il se passe?"
La femme de ménage avait la gorge serrée c'est pourquoi elle mit un peu de temps à répondre à la fillette.
"-Je crois que vous déménagez, votre mère a congédié tout le personnel de maison.
-Congédié?" S'exclama Dani, surprise. "Vous voulez dire qu'elle vous à tous viré?"
La femme de ménage s'arrêta pour s'assoir contre le mur, regardant la fillette en face d'elle.
"-C'est comme ça miss, j'espère que vous ne connaîtrez jamais cela.
-Vous pouvez demander une lettre de recommandation à Killick et je crois que ma famille dans le Yorkshire cherche du monde. Je peux leur écrire si vous le souhaitez.
Annabelle secoua la tête dépitée.
"-Nous ne voulons pas quitter Londres avec Jacob, mais avec votre permission j'en parlerai aux autres. Ils seront peut-être intéressés.
"-Oui, bien sur. Je vais leur écrire." Dani n'arrivait pas à regarder Annabelle dans les yeux, trop mal à l'aise et même honteuse pour cela. " Je suis désolée."
La fillette n'était pas certaine de savoir de quoi elle s'excusait exactement, du licenciement des employés, du déménagement ou tout simplement d'être rentrée plus tôt ce jour d'octobre.
La soirée fut sinistre pour la jeune fille qui sauta le dîner préférant toquer de nouveau à la porte de son frère adoptif.
"-Tu dors?" Demanda-t-elle depuis le couloir. "Petit Corbeau?"
Pas de réponse.
"-Tu vas encore faire la tête pendant longtemps?"
Toujours rien alors Dani commença à taper le panneau en bois avec la régularité d'un métronome, dans l'espoir que le petit s'énerve et lui ouvre la porte.
"-Hadrian." Boum. "Corbeau." Boum. " Tu sais" Boum. "Je peux faire ça." Boum. "Longtemps." Boum. "J'ai de l'entrainement." Boum. "Avec Clearwater." Boum. "Hadrian!"
Boum. "Tu peux répondre!" Boum. "Hadrian!" Boum. "Réponds!" Boum. "Harry!" Boum. "HARRY POTTER!"
Seul le silence lui répondit.
"- De toute manière t'es qu'un bébé qui ne comprend jamais rien à rien. Tu peux continuer de faire la tête! Je suis très bien sans toi!"
Bam!
Le dernier coup de poing qui laissa une ecchymose sur la phalange de la jeune fille.
Quelque part, tout au fond d'elle, Dani pouvait entendre la voix de sa conscience qui lui disait qu'elle allait regretter ses paroles. Très bientôt.
Jamais encore la petite voix de sa conscience n'avait eu autant raison qu'en cet instant.
Il va bientôt se passer un BIG événement, dites moi si vous arrivez à le deviner !
