Bonsoir à tous !

Et bien voilà un nouveau chapitre, j'essaye (promis) de reprendre un ryhtme un peu plus régulier mais ça dépend de tellement de chose que c'est du de s'y tenir.

Alors ce chapitre va mettre fin au "mystère" que j'ai instauré autour de notre chère Emma Swan, j'en connais une qui sera ravie de la fin de cette attente ! Il est temps pour moi de vous remercier pour tout, et de vous souhaiter une bonne lecture.

Swann.

ps : la dose de bonheur que certain(e)s on envie de mettre arriva à coup sur dans la fic ne vous en fait pas ;)


Assise devant une tasse fumante, Ruby méditait sur la manière dont elle devait aborder le sujet de sa présence ici. Malgré son caractère effronté et sur d'elle, la brune n'en demeurait pas moins impressionnée par l'aura forte de Régina Mills. Pour retrouver une certaine contenance elle prit un gorgé. L'hôte pris place devant son invité, attendant patiemment que cette dernière veuille bien prendre la parole. En voyant le silence perdurer elle décida de lui venir en aide.

- expliquez-moi ce qui se passe, s'il vous plaît. Fit-elle d'une voix douce, un véritable accueil à la confession.

- Emma ne va pas bien, elle a pour ainsi dire fait une rechute et cette fois je crains être impuissante pour lui venir en aide, cependant je suis presque persuadée que vous le pouvez

Régina fronça les sourcils. Ne voyant pas où pouvait bien en venir cette femme.

- Comment pourrais-je faire une telle chose ?

- Vous partagez plus de choses que vous ne le pensez, ainsi vous êtes capable de comprendre à peu près les sentiments qui font rage en elle, et j'ai l'impression que c'est ce dont elle a besoin. Voir Henry dans cet état l'a précipité dans son mal être, mais si elle pouvait le voir, lui parler peut-être qu'elle irait mieux, et peut-être qu'elle irait jusqu'à se confier avec vous, je ne sais pas…

Régina fut touchée par la détresse que présentait la jeune femme, elle semblait se démener pour son amie, trouvait par tout les moyens une solution pour qu'elle s'en sorte. Cependant Régina n'avait pas l'impression de pouvoir faire quoi que ce soit. Mais tout ses doutes furent balayés par la lueur d'inquiétude qui briller dans le regard de la jeune femme. Elle ne savait pas si elle pouvait aider ou non, mais elle était prête à essayer. Sait-on jamais, que ce soit effectivement l'une des solutions au problème.

Je dois bien ça à Emma, elle m'a aidé dans ce qui fut l'une des heures les plus sombres de ma vie, à mon tour maintenant.

Ruby eu un léger sourire soulagé. Elle espérait grandement que sa demande d'aide portera ses fruits.


Emma n'avait pas réellement changé de comportement, juste de place, très rapidement. Quittant son canapé pour son lit, errant quelque fois dans son appartement avant de retourner s'allonger. Elle ne faisait aucun réel effort, ayant pris quelque vacance pour se reposer après le réveil d'Henry, elle n'avait pas besoin de faire attention à son apparence. Ruby persisté à passer chaque soir, voir comment aller son amie. Elle avait d'ailleurs presque élue domicile dans l'appartement de la blonde. Cette dernière n'avait fait aucune remarque mais elle devait bien avouer que la présence de son amie lui faisait du bine mais si cela ne se voyait pas de prime abord. Tout ce qu'elle rêver d'éviter en ce moment était la solitude.

Mais aujourd'hui la sonnerie de son téléphone tira Emma de ses pensées. Elle décida tout d'abord d'ignorer la notification, mais devant le manque d'activité auquel elle faisait face elle décida d'y jeter un œil tout de même. Quel ne fut pas sa surprise quand elle vit un message de Régina lui indiquant qu'Henry allait mieux et qu'il avait hâte de reprendre les leçons de piano. Le jouer et l'horaire était à convenir. Emma soupira. Doucement elle prit ses écouteurs et enclancha la musique avant de fermer les yeux et de s'allonger sur son lit. Elle laissa les notes résonnaient en elle, se concentrant sur chaque petit son, chaque petite vibration. Plus les minutes s'égrainer et plus elle se sentait transportait. Elle essayer du mieux qu'elle pouvait de vider son esprit, de ne voir que du noir sous ses paupière close. Plus aucune pensées parasite. Juste elle et le vide.

Pour être parfaitement honnête elle ne savait pas trop si elle avait la force d'apprendre à Henry le piano. La première fois les choses étaient bien différente. Elle était dans un autre état d'esprit.

Mais là, avec la faiblesse qu'elle sentait couler en elle. Dur était de croire que c'était possible d'aider ce petit garçon. Mais quand elle émit cette hypothèse, la musique changea. Ce fut au tour de « Nuvole bianche » de résonner dans ses oreilles. A se demander si le hasard existe ou non.

A cette mélodie des souvenirs y était rattaché. Des anciens, les premiers qui se collèrent à ce son. Puis d'autre étaient venu plus tard. Et dans ce désordre, Emma reconnu sa rencontre avec Henry. Cette fois-là où elle avait fait une entorse à sa règle, pour voir briller dans les yeux d'un jeune garçon le plaisir pur. Et devant cette vision elle s'était juré de rendre le sourire à ce garçon, juré qu'elle l'aiderait à lui apprendre le piano si cela pouvait l'aider à aller mieux. Et aujourd'hui elle songeait à mettre fin à cette promesse ? Toute sa vie durant, et surtout lors de son enfance, elle avait vu bien des promesses brisées. Elle avait ressenti toute la déception et la tristesse que cela engendrait. Elle ne pouvait pas faire ça au jeune homme. Alors elle répondit positivement à Régina, fixant les rendez-vous au vendredi. Cela lui laisser trois jours avant de devoir reprendre son éternel masque.


Rien n'est plus surprenant que la notion du temps. Parfois il s'écoule avec une lenteur extrême, et d'autre fois il est d'une rapidité fulgurante. La seule notion immuable que nous avons sur lui et le fait qu'il s'écoule, qu'on le veuille ou non. Du moins c'est ce que pensait Emma devant la grande porte du 108 Mifflin Street. Elle prit une profonde inspiration avant de sonner. C'est un jeune homme surexcité qui ne tarda pas à lui ouvrir. Tout sourire. Et à peine la porte fut ouverte qu'il se jeta contre ses jambes.

- Emma !

La jeune femme sourit en lui caressant les cheveux et vit la brune arriver dans l'entrée.

- Bonsoir Emma lui fit-elle dans un sourire.

- Bonsoir Régina, comment vas-tu ?

- Bien et toi ?

- Idem

Henry finit par l'attirer à l'intérieur de la bâtisse, exciter à l'idée d'enfin reprendre les leçons. La blonde le suivit sans broncher. C'était étrange pour Emma d'être de nouveau dans la pièce où se trouvait le piano. Les sentiments de sa première visite dans ce lieu étaient encore frais dans son esprit. Les deux musiciens passèrent environs deux heures dans ce lieu. Répétant encore et encore les exercices. Reprenant inlassablement chaque mesure l'une après l'autre. Emma était époustouflée et attendrit par l'application et la passion que mettait Henry à répondre aux demandes de son professeur. Il restait calme, patient, nullement gêné par le fait de reprendre encore et encore un morceau qui semble pourtant parfaitement réalisé. En revoyant Henry ainsi, Emma se souvenait de son propre apprentissage. Parfois elle s'était énervée, d'autre fois avait gémis de rage quand ses mains ne faisaient pas ce qu'elle voulait. Mais toujours le résultat lui avait apporté une grande satisfaction. Et aujourd'hui, avec ces leçons, elle espérait qu'Henry ressentirait cette même satisfaction.

Et les jours s'enchaînaient ainsi. Emma se relever un peu plus chaque jour, elle avait fini par reprendre le travail. Quant à Henry il poursuivait sa rééducation auprès du médecin, son rétablissement allant lui aussi vers l'avant. Emma venait désormais deux fois par semaine pour lui offrir des cours. Il travailler d'arrachepied espérant que son professeur serait un jour fier de lui. Ce qu'il ne savait pas était le fait que c'est déjà le cas. Emma brûlait d'une grande fierté pour son élève, pour la pratique sérieuse et les sentiments profond qu'il mettait dans son apprentissage. Mais plus le temps passait et plus Henry reprenait ses anciennes habitudes. Chaque soir après une leçon il prenait grand soin de prier la blonde de lui jouer un morceau. Et inlassablement Emma refusait. Et le regard déçu ne changera rien cette fois-ci. La décision de la jeune femme semblait irrévocable.

De son côté Régina avait pris l'habitude de faire dîner Emma chez elle les deux soirs où elle donnait des leçons à son fils. Elle avait prétexté que c'était pour la remercier, la blonde refusant d'être payer pour ses services. Devant l'insistance de Régina, la jeune femme n'avait pu résister longtemps et avait fini par céder. Elles deux n'avaient encore jamais réellement eu de conversation sérieuse. Régina attendant que son amie soit prête pour tout lui raconter. Car elle sentait que la blonde avait une histoire. Elle avait envie de la connaître. Ainsi une routine semblait s'être installer, créant une amitié durable entre les deux femmes. Mais elles savaient que cette routine serait brisée un jour. Et ce fut effectivement le cas, au bout de trois mois.

La leçon était terminée depuis maintenant une dizaine de minutes, Henry était aller faire son devoir de jeune garçon en allant mettre la table. Emma, pour sa part, n'avait pas bouger. Assise devant le piano.

- Tu devrais lui parler Emma, je pense que Régina est la personne parfaite pour ce genre de conversation.

- Je n'ai pas envie de l'embêter avec ça, cela ne la regarde en rien.

- Je suis persuadée du contraire, c'est ton amie Emma, elle est en droit d'apprendre à te connaitre, y compris cette partie là de toi.

C'est l'arrivé de Régina dans la pièce qui mit fin à ce souvenir. Le regard légèrement perdu elle tourna lentement la tête vers la jeune mère. Surprise par son comportement Régina avança vers elle, les sourcils froncés.

- Tout va bien Emma ?

- Oui excuse-moi je réfléchissais

- Tu sais que tu peux me parler si tu en ressens le besoin. Ne pu s'empêcher de préciser Régina.

Emma hocha la tête en souriant, rapidement suivit par la brune.

Le repas se fit dans un certain silence. Henry ne tarda pas à leur fossé compagnie, épuisé par sa récente reprise de l'école. Désormais les deux femmes étaient seules devant leur assiette. Silencieuse. Régina pris alors la décision de débarrasser.

- Va dans le salon tu vas m'expliquer ce qui se passe ces derniers mois, ordonna-t-elle.

En réalité, il n'y eu pas qu'Emma qui fut surprise par un tel ton. Et la blonde ne pris pas le temps de discuter, acceptant l'offre de son amie. Peut-être que c'était ce dont elle avait besoin, expliquer à quelqu'un, qui avait vécu des choses similaires, ce qu'elle ressentait. Elle prit donc sagement place sur le canapé, rapidement rejoint par Régina, apportant deux tasses de thé. Elle prit ensuite place sur l'un des sièges et attendit. Elle voyait que la blonde s'agitait, chercher son courage. Puis après une inspiration se lança.

- Tout à l'heure je repensais à une discussion que j'ai eu avec Ruby, une amie, elle me conseillé de parler avec toi car tu pourrais me comprendre. J'ai d'abord refusé, mais ce soir je me rends compte que c'est peut-être ce dont j'ai besoin. Ne m'interrompt pas car sinon je ne sais pas si je pourrais finir ce que j'ai commençais…

Alors Régina se contenta d'hocher de la tête pour marquer son approbation et attendit la suite, le cœur battant. Elle voyait la profonde tristesse qui avait envahie les yeux d'Emma et redoutait ce qu'elle allait apprendre. Emma commença plusieurs fois des phrases avant de se pincer l'arrête du nez. Elle ne savait pas par où commençait, elle ne savait pas si elle devait tout dire ou juste le plus important. Elle était perdue.

- Je ne sais pas part où commencer Régina…

- Le début, tout. Répondit la jeune brune en posant une main rassurante sur celle d'Emma enrouler autour de sa tasse. Ce contacte eu un effet bénéfique car la blonde pu se reprendre légèrement et remettre ses idées en place.

- Le début… Je suis une enfant du système. A part Ruby et sa grand-mère je n'ai pas d'autre famille. Bébé j'ai était abandonnée sur une route, et depuis j'ai été balloté d'une famille à une autre. Aucune n'a voulu de moi. Mais malgré tout j'ai pu me lancer dans des études de sociologie. C'est dans ma faculté que j'ai rencontré la personne que j'ai longtemps considéré comme la femme de ma vie. Lily. Elle étudiait la musicologie et était une personne extraordinaire. C'est grâce à elle que j'ai appris le piano. On a passé des heures et des heures ensembles, à jouer, à rire. La vie semblait enfin me sourire. Du moins c'est ce que je croyais. Une fois nos études terminé nous avons pris la décision d'emménager ensemble. Au bout de quatre ans elle à commençait à évoquer l'idée d'avoir un enfant. On avait des emplois stables, un appartement relativement grand, et l'idée de fondé ma propre famille ne me laisser pas indifférente. Alors j'ai accepté. Nous avons fait plusieurs tentatives d'inséminations. Et finalement l'une d'elle à fonctionner. A ce moment là précis de ma vie j'étais la plus heureuse des femmes. J'avais une femme qui m'aimait, j'allais avoir une petite fille. La famille dont je rêver. Mais un soir Lily rentra tard de son travail, un récital corsé lui avait pris du temps. Elle m'avait envoyé un message en quittant le conservatoire. Il lui fallait environ une demi-heure pour traverser la ville. Cependant au bout d'une heure toujours pas de nouvelle, j'étais inquiète, j'ai essayé de l'appeler mais aucune réponse. Je ne savais pas quoi faire, j'hésitait à appeler la police. Mais c'est moi qui reçu un appel de leur part. Elle avait eu un accident… Un… un imbécile de chauffard ivre, trop pressé de retrouver sa bouteille d'alcool chez lui avait griller un feu rouge et lui était rentré dedans. Elle était encore en vie quand les secours sont arrivés sur place, alors j'ai accouru à l'hôpital…

Des larmes commençaient à couler sur les joues de la blonde en même temps qu'elle évoquer à voix haute ces douloureux souvenirs. Elle se mis debout, ressentant le besoin d'être en mouvement, se triturant les doigts.

- Je ne sais plus combien de temps j'ai passé à arpenter la salle d'attente, quettant chaque médecin qui pourrait me dire où en était l'état de Lily. Des heures, des jours. Tout se bousculer en moi, j'étais effrayée, l'idée même de perdre la femme que j'aimais m'était insupportable, et encore plus si mon enfant venait à partir avec elle… Puis finalement un médecin vint vers moi. Et j'ai vu à ses yeux que c'était fini, qu'il avait tout ce qu'il pouvait mais que ce ne fut pas suffisant.

Elle lâcha un sanglot.

- Je me suis écroulé dans les bras de Ruby. C'était trop dur… Les mois qui ont suivit je n'étais que l'ombre de moi-même, incapable de faire quoi que ce soit. Ruby s'est occupée de moi chaque jour, il m'a fallu longtemps pour me relever. Et quand j'ai vu Henry avoir son accident, puis être dans le coma et que je me suis retrouvé dans les couloirs de l'hôpital tout mes souvenirs son revenu, toute la peur, la tristesse. J'ai dû rester forte pour toi car tu étais au plus mal et je ressentais le besoin de te venir en aide, mais une fois que tout était terminer, tout est revenu…

Un silence se fit. Emma se rassit, épuisée. Régina était perdue dans ses pensées. Elle ne savait plus où se mettre. Emma avait vécu la même chose qu'elle.

- C'est pour ça que tu ne veux plus jouer du piano ? cela te rappel Lily ?

Incapable de parler, Emma se contenta d'hocher la tête. Régina baissa la tête. Mais sur un coup de tête elle décida de prendre la main de la jeune femme. Surprise Emma se laissa entrainer, mais elle sa résistance apparue lorsqu'elle se rendit compte que sa la jeune femme l'avait emmené dans la salle du piano. Mais malgré son envie de faire demi-tour, Régina parvint à la mettre devant l'instrument.

- Joue

- Régina…

- S'il te plait, Emma… joue…

- Je ne peux pas, je n'en ai pas la force.

Régina se mis à genoux à côté d'elle, caressant le bas de son dos.

- Emma… sache que c'est aussi compliquer pour moi que pour toi, mais il faut que tu le fasses. S'il te plait. Pour toi.

Emma resta silencieuse. Observant lentement ses doigts posés sur le clavier. Puis doucement elle se mis à appuyer sur les touches. Entamant une mélodie calme, reposante. Elle ferma les yeux lorsque la deuxième main entra en jeu. Même après tout ce temps elle ne pouvait pas oublier les mouvements, ses doigts savait où se poser. Ils jouaient et elle écoutait. Plusieurs sentiments bien différents les uns des autres prirent place à l'intérieur d'elle. Mais pour une fois elle ne voulait pas les faire taire. Elle les laisser jaillir. Les faisant directement aller dans ses mains, faisant jouer sur ce clavier tout ce qu'elle ressentait.

Régina, elle, pleurait. Entendre d'aussi prêt et de manière aussi forte un morceau, la rendait profondément triste. Pour Emma elle avait accepté de l'écoutait. Et maintenant elle pleurait car elle se souvenait. Mais aussi car voir jouer la blonde était quelque chose de magnifique. C'était tout ce qui pouvait la faire tenir, tout ce qui lui permettait de la faire rester dans cette pièce. Mais c'était dur.

Quand le morceau fut fini, aucune des deux femmes ne bougèrent. Toute les deux sous le coup des sentiments profond qui s'était emparé d'elle. Emma se releva, défaillante sur ses pieds. Bientôt suivit par la brune.

- Régina… fit Emma, caressa les joues de la jeune femme, souhaitant supprimer les larmes qui coulaient abondement.

- Reste dormir ici, tu es trop fatiguée pour rentrer, proposa Régina, la voix étouffée.

Emma hocha la tête, son amie avait raison. Tout ça l'avait bien trop épuisée.

(TBC...)


P.G.D.F : Bonsoir bonsoir ! comment vas-tu ?

J'ai eu le droit à un orage il n'y a pas longtemps et maintenant l'air s'est considérablement rafraichit : un pur bonheur !

Alors ravie de la fin du suspense ? En toute honnêteté... j'ai failli te faire patienter, vraiment ça me démanger, puis j'étais devant mon écran, je réfléchissais à comment tourner les choses et j'ai pensée à toi, en me disant qu'il était temps que je mette fin à ton attente que tu ne supporte plus, ne suis-je pas aimable ? c'est fou je m'étonne moi même, un pur bonheur. (j'avais trouver le moyens de te faire attendre, mais j'ai coupé court à ce rebondissement là, c'est dire ;) )

Sur ce je te souhaite une bonne semaine P.G.D.F la... coloré de cheveux ! Au plaisir de te lire