Bonjour à tous,
Je pensais publier un nouveau chapitre avant de partir en weekend mais finalement le travail à retarder ce dernier et je n'ai pas eu le temps. J'espère - comme toujours - qu'il vous plaira. Je vais essayer de donner une suite à ce fic qui a pris la poussière depuis maintenant bientôt 2 ans. J'essaye de vous offrir la suite aussi tôt que possible pour ceux qui tomberai (ancien ou nouveau) à nouveau sur mes textes.
Bonne lecture à tous !
(Bien sur les personnages ne m'appartiennent pas, seul l'histoire sors de mon imagination.)
Le vent dans les feuilles donnait aux arbres, présent dans la cour, un aspect léger. Henry se perdait dans la contemplation de ce spectacle d'automne qui chutait doucement, avec une lenteur presque poétique. Des couleurs orangées recouvraient doucement la partie verte de l'école. C'était un spectacle presque rassurant, apaisant même. Puis ses yeux se focalisèrent sur son reflet. Une expression attristée prit peu à peu possession de ses traits. Il ressemblait à Daniel c'était indéniable. Fou celui qui oserait contredire cette information. Alors qu'il aurait pu être fier, depuis le décès de son père, cette ressemblance était devenue un fardeau. Parfois bien trop lourd à porter. Bien que sa mère s'acharnait à lui assurer qu'elle le trouvait très beau. Qu'elle était fière des traits qu'il avait empruntés à son père. Il ne pouvait extraire de son esprit cette vision du voile qui recouvrait les yeux bruns de Régina à chaque fois qu'elle posait un regard sur lui. Bien que jeune, il n'était pas dupe. Henry était conscient de ce qui se jouait. Les fantômes du passé prenaient possession de l'esprit de la brune, voilant ses yeux d'une fine couche de tristesse quand elle se rappelait de cette autre vie au côté de son mari. Avoir un double chez elle ne l'aidera aucunement à surpasser son deuil. Il ne pouvait pas lui en vouloir. Lui-même, en regardant le reflet dans la vitre, voyait le fantôme de son père. Comme une silhouette au-dessus de lui, ils ne les quittaient jamais. Mélangeant bonheur et malheur. Bien que, judicieusement, en vouloir à sa mère serait sévère. Il est difficile de ne pas se sentir en colère pour le jeune homme. Un fort sentiment d'injustice résidait en sa poitrine. Il craignait que personne ne le voie, lui, le petit garçon. N'être que le réceptacle du fantôme de son père finalement. Quand il a eu rencontré Emma, un infime espoir naquit en lui. Elle le voyait. Dans ses yeux verts ne résidait aucun voile de tristesse, aucun souvenir, aucun autre monde. Il n'y avait que lui. Henry Mills. Elle lui restait tout à découvrir. Le jeune homme avait cru revivre. Mais au-delà de lui offrir un regard neuf, la blonde lui avait aussi rendu cet univers. De nouveau il pouvait s'enfermer dans la bulle que lui proposait le piano. Caché, protégé, derrière l'imposante stature de l'instrument, il pouvait alors laisser exploser ses sentiments. Quel qu'il soit. Il savait que jamais la musique ne le rejetterait. Lorsque ses doigts parcouraient le clavier, ils ne faisaient qu'un. Elle prenait tout ce qu'il avait en lui pour en faire quelque chose de beau.
Quand Daniel disparut et que sa mère refusa catégoriquement d'entendre une nouvelle note, il crut qu'il avait perdu à jamais la possibilité de sentir son cœur battre. Il s'était senti si démuni, si détruit. Son père venait de les quitter et il ne pouvait se réfugier dans ce qui était leur identité. Alors pour faire face il n'avait pas trouvé d'autre moyen que d'être en colère, contre lui, le monde, Régina. Chercher à comprendre était le dernier de ses objectifs. Il voulait juste faire payer aux autres toute la souffrance qu'il ressentait à l'intérieur de son si jeune squelette. Ne comprenant pas pourquoi un tel acharnement. Mais Emma lui avait rendu un bout de son cœur. Il n'avait alors plus jamais regretté d'avoir ouvert la porte de sa boutique. Peu à peu la colère de l'enfant envers sa mère avait faibli. Mais elle n'avait pas tardé à ressurgir lorsque cette dernière lui avait appris qu'il devrait rejoindre Emma à sa boutique. De plus la blonde passerait moins de temps au manoir. Il ne comprenait pas ce revirement de situation, ce qui avait le temps d'attiser les flammes de sa colère. Encore une fois sa mère avait tout gâché. Encore une fois il en payait le prix. Il fut soudainement ramené parmi les vivants quand la sonnerie retentit dans la classe. Le moment de la fuite tant espéré fut enfin arrivé. Il prit son sac et partit à toute vitesse à travers le dédale de couloirs, voulant rejoindre Emma aussi vite que ses jambes lui permettaient. Quelque part, au fond de lui, il craignait que son professeur de piano ne veuille plus de lui. Et ce serait à cause de Régina. Quand il vit, à travers la vitrine, la blonde discutant d'un air sérieux avec sa collègue, il poussa un soupir de soulagement qu'il ne pensait pas retenir.
- Emma. Souffla-t-il à l'intention de la blonde.
Cette dernière se retourna vers lui, un sourire plaqué sur le visage.
- Bonjour Kid, ça a été l'école?
- Je ne pensais pas te revoir… Fit-il alors, se collant à ses jambes.
La blonde ne sut pas tout de suite comment réagir face à la détresse de l'enfant. Elle finit par refermer ses bras sur ses épaules, acceptant tacitement l'étreinte. Puis, après quelques minutes de silence, elle se mit à sa hauteur. Bousculant, de son doigt, une mèche brune du garçon, elle lui sourit tendrement.
- Rassures-toi Henry, ta mère a conscience que c'est important pour toi ces leçons, elle ne t'empêchera plus de jouer du piano. C'est moi qui ai proposé que nous reprenions les leçons ici et que je passe moins de temps chez vous. Tu sais… les choses ne sont pas faciles pour ta mère non plus. Elle a besoin de temps. Nous devons respecter ça.
- Mais je respecte ça!
- Je ne condamne pas ton comportement Henry. Mais ta mère a vécu… des évènements, qui l'empêche de pouvoir de nouveau entendre le son d'un piano pour le moment. Il faut lui laisser le temps de guérir.
- Mais c'est stupide, qui ne voudrait pas entendre ça? C'est juste de la musique.
- Les choses ne raisonnent pas de la même manière d'une personne à une autre. Par exemple ton père, toi, moi pendant un temps… Nous utilisons la musique et précisément le piano, pour exprimer ce que nous ressentons. C'est un moyen de laisser filer en dehors de nous nos sentiments, car nous sommes incapables de mettre des mots dessus pour des raisons qui nous sont propres. Mais il n'est pas impossible que pour ta mère il n'y ait pas cet effet. Peut-être que pour une raison ou une autre, entendre le son du piano lui fait plus de mal qu'autre chose.
- Parce que ça lui rappelle à quel point c'est une mauvaise personne!
- Henry…
- Pourquoi tu la défends?
Emma regarda l'enfant. Ses yeux s'étaient considérablement noircis. Un subtil mélange de colère, d'incompréhension et de tristesse. Elle ne saisissait pas tout les tenant et aboutissant, mais elle savait qu'Henry faisait face à un combat intérieur. Elle ne pouvait se résoudre à laisser l'enfant seul face à l'adversité. Enfant, elle avait elle-même connu ces moments de détresse. Rêvant, plus que jamais, que quelqu'un lui tende une main. Peu importe qui. Tant qu'elle n'était plus seule. Dans un geste spontané, elle déposant un baiser sur le front de l'enfant avant de se relever et de l'emmener vers leur célèbre piano droit. Elle invita Henry à s'asseoir devant.
- Rends-moi fière, montres-moi tes progrès. Laisse donc exploser ce qui est trop.
L'enfant resta silencieux un moment. Regardant les touches comme essayant d'écouter une mélodie silencieuse. Les minutes passèrent, personne ne bougea. Le silence n'était ni pesant ni gênant. Il était là. Attendant patiemment d'être brisé. Curieux de la manière dont ça arriverait. Puis, doucement, les petits doigts agiles de l'enfant se posèrent sur les premières notes. Il entama une douce mélodie sous le regard fier de la blonde. Cette dernière ne tarda pas à être rejointe par sa collègue.
- A time of wonder… soupira celle-ci.
- J'aime son interprétation. Répondit sur le même ton Emma.
Les notes s'enchaînaient, doucement. Aucune colère ne transpirait à travers le piano, juste de l'espoir. L'espoir d'une ère nouvelle. De voir le jour se lever. D'être réunis. Derrière la colère, la peur, le désespoir, le piano avait su chercher ce qui demeurait caché aux yeux de tous. L'imposant instrument avait réussi à se glisser entre tous les sentiments qui tourbillonnaient dans la poitrine du jeune homme. Ayant un objectif: montrer à tous ce qui résidait au plus profond de lui. Puis les notes s'envolèrent dans les aigus, comme si Henry déposait là un cri silencieux et infiniment puissant. Une succession de cris pour montrer son espoir. Emma ne pouvait s'empêcher de sourire. Une fierté sans égale inscrite sur son visage. Une part d'ego prenait aussi place dans son cœur. Elle savait que la colère d'Henry n'était pas si fondée et qu'elle agissait comme écran de fumée pour cacher quelque chose de plus important, de plus précieux. Et nul pierre ou ornement n'est plus précieux que l'espoir d'un jeune garçon. Quand il a eu fini sa partition, il se tourna vers la blonde. Ne sachant trop quoi chercher dans le regard de cette dernière. Elle s'assit alors à côté de lui.
- C'est parfait, que dirais-tu que l'on joue ensemble Saman d'Arnalds?
- Oui! s'exclama l'enfant, aux anges. Mais je ne la connais pas encore très bien…
- Ne t'en fais pas, je sais que tu vas assurer. Je prends la mélodie!
Les deux pianistes se mirent alors en position, prenant leur marque ensemble, ils débutèrent la mélodie dans une douce complicité. Cependant, ce qu'ils n'avaient pas remarqué, c'était Ruby. Furtivement elle s'était glissée vers l'entrée du magasin pour permettre à Régina d'entrer en silence. Quand elle vit le regard de la mère de famille se perdre dans la scène sous ses yeux, elle décida de prendre congé du groupe tout en prenant soin de retourner la pancarte indiquant que le magasin était fermé. Régina n'avait plus bougé depuis son entrée dans la boutique. Elle avait bien vaguement senti des mouvements silencieux autour d'elle, mais n'en avait aucunement prêté attention. Ailleurs, au loin, se déroulait une scène bien plus importante, qui touchait son cœur meurtri au plus profond. Elle se rendait compte que pour la première fois depuis bien longtemps – une éternité même – elle n'avait pas ressenti une nouvelle ruine d'elle-même s'effondrait en voyant une telle scène entre son fils et la blonde. Bien au contraire. C'est une douce chaleur qui prie la possession de son corps, comme une ancienne magique rouillée qui reprenait vie après des années d'inactivité. Alors qu'une telle scène aurait dû réveiller les souvenirs d'un Daniel joyeux partageant un doux moment avec leur fils. Il n'en fut rien. Daniel resta à sa place, dans les ombres. Et Régina put enfin se sentir pleinement spectatrice. Après toutes ces années, pendant une cour laps de temps, elle voyait enfin son fils. Elle voyait Emma. Il n'y avait plus de fantômes, de souvenirs, de ruines qui s'effondrent doucement dans un vacarme assourdissant. Sa poitrine se levait calmement au rythme de sa respiration apaisée. Son royaume contre arrêter le temps. Rien d'autre ne devait exister que cette douceur là.
Elle s'estimait si chanceuse. Qui n'avait jamais rêvé d'avoir l'opportunité d'être dans une bulle intime entre deux personnes et observé ce moment de partage intense. Qui n'a jamais voulu ressentir ça, se sachant inexistante envers ceux qui vivent la scène. Elle pouvait voir les gestes de chacun, sans que personne ne joue de rôle. Alors peut-être qu'il naquît à la commissure de ses lèvres, un fin sourire. Celui d'une mère qui retrouvait son fils après des années d'absence. Celui d'une femme qui découvrait le plaisir de sentir son cœur battre. Celui d'une enfant qui se sentait de nouveau protéger. À bas les masques, se disaient ils alors. Il n'y avait plus rien d'elle, plus ce regard froid et cette posture intransigeantes qui lui permettait de supporter la douleur. Elle se surprit alors à espérer. Si elle avait réussi à ne pas être enveloppée par ses démons, peut-être pouvait elle tenter le diable. Peut-être pouvait elle fermer les yeux. Doucement, sans réellement oser. Prenant une grande inspiration. Elle laissa ses paupières se fermer. Rien. Seulement la mélodie de ses deux pianistes. Rien. Son sourire s'agrandit. Sur ses paupières fermées se jouait encore le film de la complicité des deux artistes. Elle entendait la douce mélodie de leur âme et s'imaginait leur visage heureux. Rien d'autre que le bonheur. Elle se mettait à espérer de plus en plus. Espéré que ces malheureux fantômes aient fui, peut-être effrayés par la beauté de la scène. Elle s'en foutait, tant qu'ils ont fui.
Puis…
Tout s'emballa. Sa respiration devint hiératique. Sa poitrine se compressa, comme prise au piège dans les profondeurs de l'océan. Elle commençait à lutter pour respirer. En ouvrant les yeux, elle ne vit que du brouillard. Tout devenait trouble autour d'elle. Alors c'était ça… avoir espéré la faisait tomber que de plus haut. Les fantômes n'étaient pas partis. Ils avaient reculé pour mieux sauter. Ils avaient pris leur élan pour la renverser bien plus violemment que d'habitude. Ses oreilles se mirent à siffler. Comme si les acouphènes n'étaient là que l'expression de jubilation de ses démons, revenus plus fort, plus nombreux. Dans sa tête, la si belle scène de son fils fut remplacée par les souvenirs. Ils s'échouèrent sur elle comme une vague sur les rochers lors d'une tempête. Le fracas fut terrible. Tout son être était ballotté dans la houle. Elle n'arrivait plus à lutter, à reprendre le dessus. Alors qu'elle regardait droit devant elle, tout ce qu'elle vit et entendit pour la dernière fois, fut une blonde criant en courant vers elle. Puis rideau.
Noir.
Elle reprit soudainement connaissance, désirant ardemment se lever, elle sentit un bras la maintenir en position allongée. Augmentant sa panique, elle cria à bout de souffle:
- Laissez-moi m'asseoir, j'ai besoin de m'asseoir, je vous en supplie.
Le bras relâcha alors directement son emprise. Elle se mit en position assise et sentit un corps se mettre dans son dos, lui offrant un appui silencieux. Ce qu'elle remercia en silence.
- Tout va bien à Régina. Nous sommes dans ma boutique, tout va bien, personne ne peut te faire de mal ici. Tu es protégé, je te tiens. Je vais poser mes mains sur toi. Tu peux refuser si tu le souhaites.
- Non… Ce fut un pâle murmure, mais suffisant. Des mains se glissèrent sur ses hanches.
- Parfait, continuons comme ça si tu es d'accord? Je vais mettre mes mains autour de ton ventre et t'attirer contre moi de manière que ton dos touche ma poitrine, tu es toujours d'accord avec ça?
Elle ne put parler et se contenta de hocher la tête. Juste après son accord, elle sentit une poitrine contre son dos. Doucement la pression de ses muscles se relâchait.
- Bien. Concentres toi sur ma respiration et sur la main que je vais poser sur ton cœur. Concentres toi seulement sur ses deux pressions d'accord? Ça va aller mieux, je te le promets.
Régina ferma les yeux, elle sentit une main faire pression sur sa poitrine et la respiration calme du corps solidement campé dans son dos. Elle ne saurait combien de temps se déroula à partir de cet instant. Mais l'effet que semblait rechercher son sauveur fonctionna. Sa respiration se calma et la force de la pression sur sa poitrine lui permet de rester accroché à la réalité.
- C'est fini, tu n'es plus là-bas. Tu es avec moi, tout va bien se passer. Tu es prête à ce que je m'enlève?
- Reste. Réussis-t-elle à articuler. Elle voulait encore un peu de cette paix avant de retrouver le flou tumultueux de son esprit. Soudain c'est le visage inquiet d'Henry qui est apparu devant ses yeux.
- Tu vas bien maman?
Elle ne sut si c'était l'utilisation de ce surnom si elle peut utiliser depuis quelque temps par son fils ou la position dans laquelle elle se trouvait, mais elle piqua un léger fard. Elle sourit et posa une main sur la joue d'Henry, sans pour autant se détacher de la blonde.
- Je suis désolée si je t'ai fait peur, je ne sais pas ce qu'il s'est passé par Henry. Je voulais juste vous faire une surprise comme je craignais que tu me penses sévère d'avoir sollicité que vous ne soyez plus au manoir pour jouer.
- J'en ai parlé à Henry, il sait que c'est mon idée. Tout va bien.
Finalement les deux adultes finirent par se relever, toujours sous le regard inquiet du petit brun. Emma se tourna vers Henry, lui ébouriffant les cheveux.
- Henry, peux-tu aller dans mon bureau chercher ma sacoche? On va aller s'offrir une glace tous les trois, je pense que nous l'avons tous grandement mérité.
L'enfant n'était pas convaincu et n'apprécia guère se faire ainsi évincer de la pièce. Mais il obtempéra, sachant pertinemment que les adultes ne seraient, à aucun moment, enclin à accepter un refus de sa part. Traînant des pieds, il quitta donc la salle. Emma en profita pour se tourner vers Régina, exprimant pleinement son inquiétude.
- Tout va bien? Tu veux en parler?
- Pourquoi tu lui as dit que c'était toi qui avais demandé à t'éloigner du Manoir?
- Tu n'as pas toujours à avoir le mauvais rôle Régina. Je lui ai expliqué que tu avais besoin de temps, car la musique ne pouvait pas éveiller les mêmes choses en toi que pour nous. Et que ça pourrait te faire du bien de prendre du temps pour guérir.
La brune ne sut quoi répondre. Peut-être par manque d'habitude. Elle qui ne manquait jamais de répartit dans l'adversité, elle devait reconnaître qu'une fois la sympathie venue, elle était bien démunie. Elle se contenta alors d'hocher la tête.
- Merci.
Elle ne savait pas réellement quoi dire d'autre. La blonde semblait comprendre que ce «merci» comprenait un tout. Elle n'avait pas les mots. La gratitude, l'attention qu'on lui portait, la mettait mal à l'aise et lui faisait perdre l'entièreté de ses moyens. Elle s'était trop habituée aux griefs de son fils pour réussir à se détendre complètement face à la sympathie de la blonde.
- Tu voudras que nous discutions de tout ceci?
Et c'est sous les yeux d'une Emma Swan inquiète, que les premières murailles de la brune chutèrent silencieusement.
- Ce soir, quand Henry sera au lit.
