Salut à tous ! Bonne année à vous tout d'abord, en espérant que vous avez passé de bonnes fêtes. Je publie la suite et je m'excuse pour le retard, j'ai pris un peu plus de temps que prévu. J'espère en tout cas que vous apprécierez ce chapitre. Bonne lecture !
Disclaimer : Nous sommes en 2025, mais tout appartient toujours à J.K. Rowling.
Un dossier sous le bras et une potion de Paix dans la main, Rose traversait les couloirs du service de soins intensifs de St Mangouste. Ce matin-là, elle avait à peine posé ses affaires sur son bureau que Jared entra, un rapport à la main.
— Un nouveau cas pour toi, Weasley,» avait-il dit en le déposant sur son bureau avant de repartir.
Intriguée, Rose avait parcouru les premières lignes, mais ses yeux s'étaient figés sur le nom en haut de la page. Tandis qu'elle avançait vers la chambre 312, son esprit refusait encore d'associer ce nom à la patiente.
Astoria Grengrass Malefoy
Elle avait relu les informations plusieurs fois, incrédule, espérant s'être trompée. Il s'agissait bien de la mère de Scorpius. Son dossier mentionnait des symptômes telle que : une fatigue, des douleurs musculaires, et parfois des crises. Ses pensées se bousculaient tandis qu'elle approchait de la chambre. Était-il au courant de la présence de sa mère en soin intensif? Comment pourrait-il ne pas l'être? Rose se rappelait avoir croisé Mrs Malefoy à plusieurs reprises à la gare de King's Cross, toujours élégante et en retrait, attendant son fils. Jamais elle n'aurait imaginé qu'elle puisse être malade. En y réfléchissant, elle songea que Scorpius mentionnait rarement ses parents. Cette pensée éveillait en elle une appréhension grandissante, alourdissant chacun de ses pas.
Lorsque la rouquine arriva devant la porte numérotée 312, sa main se posa sur la poignée, mais elle hésita une fraction de seconde. Inspirant profondément, elle ajusta sa prise sur la fiole et poussa la porte. En entrant, ses yeux se posèrent sur Scorpius qui était assis près de sa mère.
— Salut Weasley.
— Salut répondit-elle.
Son attention se tourna vers la patiente. Astoria Malefoy reposait contre des oreillers soigneusement disposés. Son corps affaibli et son visage marqué par la fatigue n'altéraient pas sa grâce naturelle. Ses cheveux, d'un blond cendré, lui tombaient sur les épaules.
— Bonjour, Madame Malefoy, dit-elle poliment en se rapprochant.
— Bonjour, vous devez être Rose Weasley ? Scorpius m'a beaucoup parlé de vous.
La douceur de sa voix désarma Rose un instant, lui faisant perdre son assurance habituelle.
— Ma mère exagère, comme toujours, lança-t-il en direction de Rose, une lueur amusée dans les yeux.
Mrs Malefoy laissa échapper un rire. Pour la première fois depuis son arrivée, Rose sentit ses épaules se détendre. Elle lui lança un coup d'œil furtif" à Scorpius, se demandant ce qu'il avait pu dire à son sujet.
— Comment vous sentez-vous? questionna Rose
— J'ai encore quelque douleur avoua-t-elle
— Je vous ai apporté votre potion.
Sa mère prit la fiole et la but d'une traite. Une grimace tordit son visage pendant un court instant sous l'effet de l'élixir.
— C'est toujours aussi amer déclara-t-elle. Scorpius, pourrais-tu m'apporter un verre d'eau ?
Il acquiesça d'un signe de la tête et sortit de la chambre. Un silence retomba, et une pointe de nervosité envahit Rose. La mère du jeune homme, captant son malaise, lui adressa un faible sourire.
— Vous semblez pensive dit-elle.
Rose sentit son regard vaciller brièvement, incapable de soutenir le sien.
— Je suis désolée, j'avais l'esprit ailleurs.
— J'ai rencontré votre cousin Albus. Il est venu dîner deux fois, raconta-t-elle.
Rose hocha la tête, se souvenant qu'il l'avait mentionné dans ses lettres.
— Il m'a dit que vous étiez en France continua-t-elle.
— C'est exact, répondit Rose. J'y ai étudié les potions pendant trois ans.
— Scorpius et lui ont toujours été inséparables. Mon fils semble être attaché à vous également.
Deux taches rouges empourprèrent les joues de Rose. Elle croisa brièvement son regard avant de détourner les yeux, tentant maladroitement de masquer sa gêne. C'était absurde de réagir ainsi, pour si peu.
— Vous a-t-il parlé de ma maladie ? interrogea-t-elle.
La jeune femme hésita à répondre, elle fit non d'un signe de la tête.
— Cela ne m'étonne pas.
Intriguée, la rouquine osa demander, d'une voix prudente.
— Sur votre dossier, il y est mentionné une maladie liée à votre sang.
Mrs Malefoy se redressa légèrement.
— Elle est héréditaire.
Rose se pencha en avant, attentive aux paroles de Mrs Malefoy.
— C'est un fardeau qui vient de nos ancêtres, expliqua-t-elle. Un héritage transmis à travers notre sang, depuis des générations. À une époque où, notre famille cherchait à se protéger, à préserver notre lignée. Mais avec le temps, cela a laissé des marques.
Elle marqua une pause, ses yeux s'assombrissant.
— elle a rendu notre magie instable et affaibli nos descendants. Ma mère n'y a pas échappé. Elle en souffrait également.
Rose sentit un frisson lui parcourir l'échine. Une magie capable de fragiliser et de tourmenter une famille sur des générations. Elle n'aurait jamais cru cela possible. Mais ce qui la frappait, c'était la manière dont elle en parlait avec un calme désarmant, presque serein, et un courage qui forçait l'admiration. Une question lui brûlait les lèvres, et sa curiosité finit par l'emporter. Inspirant doucement, elle murmura à voix basse.
— Est-ce… Est-ce que cela a affecté toute votre lignée ?
Mrs Malefoy, l'observant un moment, laissant planer un silence avant de répondre finalement d'un ton apaisant.
— Daphné ma sœur a eu plus de chance. Scorpius n'en a pas hérité, ni dans son sang ni dans sa magie.
Rose sentit une chaleur monter à ses joues à la mention de son fils. Bien que cette pensée lui ait effleuré l'esprit, elle n'avait pas eu besoin de la formuler pour que Mrs Malefoy le comprenne, de façon presque instinctive. Un grincement rompit le silence, attirant leur attention vers la porte. Scorpius entra, un verre à la main, et observa un instant les deux femmes d'un air curieux avant de lui tendre le verre.
— Vous aviez l'air en grande conversation fit-il remarqué.
— Rose et moi avons simplement fait connaissance.
Scorpius arqua un sourcil.
— C'est vague.
— Et c'est tout ce que tu sauras, répondit sa mère.
Leurs regards se croisèrent, et Mrs Malefoy lui adressa un sourire. Elle y répondit, bien que son esprit soit encore absorbé par tout ce qu'elle venait d'apprendre. Leur discussion avaient éveillé une curiosité en elle, révélant une facette de Scorpius à laquelle elle n'avait jamais vraiment réfléchi. La jeune fille ne put s'empêcher de s'interroger sur les raisons qui avaient poussé sa mère à lui confier tout cela. Un mélange de respect et de doute l'envahit, la laissant réfléchir à tout ce qu'elle ignorait des personnes qui l'entouraient.
— Je dois vous laisser j'ai d'autres visite à faire dit Rose.
— Je suis ravie de vous avoir rencontrée déclara t-elle.
— Ce fut un plaisir pour moi aussi,répondit-elle d'un ton sincère.
La rouquine adressa un bref signe de tête en direction de Scorpius avant de quitter la pièce. Il resta un instant immobile, les yeux fixés sur l'endroit où elle venait de disparaître, jusqu'à ce que la voix de sa mère le tire de sa torpeur.
— Elle est charmante.
Le blond resta songeur un instant, il se contenta d'un signe de la tête puis détourna la tête vers la fenêtre.
Depuis son entrée à Poudlard, ses amis étaient un sujet habituel dans leurs conversations. Sa mère avait ce don pour poser les questions, presque sans effort. Il se souvenait des différences flagrantes entre ses parents, qui devenaient encore plus évidentes à chaque retour de Poudlard pour les vacances. Son père l'aimait, il n'en doutait pas. Mais même des années après la guerre, une part de lui restait marquée par cette rigueur héritée, où l'amour s'exprimait dans le devoir et les attentes.
Comment sont tes notes? Tes professeurs te considèrent-ils comme le meilleur élève? lui demanda-t-il
Scorpius avait appris à lire entre les lignes. Ces mots, qu'il avait perçu comme des attentes, étaient en réalité une manière maladroite de lui montrer qu'il était fier de lui. Mais cela ne suffisait jamais à sa mère qui voulait en savoir plus.
As-tu rencontré de nouveaux amis cette année? Comment va Albus? Et cette fille… Rose? Tu me parles si peu d'elle.
Ces questions étaient posées dans ces moments où Drago Malefoy, assis dans un fauteuil, semblait absorbé par la lecture de son journal. Ce n'est que plus tard que sa mère lui avait confié que son père ne manquait jamais une miette de leurs échanges, même s'il n'intervenait jamais. Un sourire effleura ces lèvres alors qu'il reportait son attention sur sa mère.
— Ton père ne va pas tarder à arriver. Tu comptes l'attendre?
Il glissa ses mains dans les poches de sa robe de guérisseur.
— Je dois reprendre mon service. Mais je repasserai tout à l'heure.
Astoria lui adressa un sourire. Elle connaissait l'emploi du temps chargé de son fils. Scorpius s'approcha et déposa un baiser sur sa joue.
— A plus tard.
Il ouvrit la porte, jetant un dernier regard à sa mère avant de disparaître dans le couloir. Les paroles de sa mère résonnaient encore, ce mélange de douceur et de perspicacité qu'il admirait chez elle.
En quittant St Mangouste, Rose réalisa qu'elle n'avait pas recroisé Scorpius de la journée. Une part d'elle en fut soulagée. Elle n'aurait su quoi répondre si jamais il évoquait leur conversation avec sa mère. Lorsqu'elle rentra chez elle, elle poussa la porte d'entrée et déposa sa sacoche dans le vestibule. Des voix provenant du salon lui parvinrent, rythmée par des éclats de voix enthousiastes et des exclamations.
— Hugo ? appela-t-elle.
— Je suis dans le salon !
Hugo était confortablement installer sur le canapé. Il regardait un match de football.
— C'est la finale de la première league, expliqua-t-il, les yeux rivés sur l'écran.
Rose observa son frère avec une pointe d'amusement. La fascination de Hugo pour les sports moldus ne datait pas d'hier. Il partageait volontiers cette passion lors des repas de famille, surtout avec leur grand-père. Curieux et passionné, Mr Granger n'hésitait jamais à lui expliquer les règles des jeux moldus. Quand Hugo racontait un match avec son énergie débordante, même leur père finissait par écouter, bien qu'il ne manque jamais de pester contre ces histoires de Moldus jouant sans balai.
— Tu viens t'asseoir ? Ça va devenir intéressant.
Elle s'installa à ses côtés, observant la télévision sans grande conviction.
— Comment s'est passé ta journée ? demanda Hugo, en se tournant vers elle.
— Exténuante. Et toi, comment ça s'est passé à la boutique ?
Hugo grimaça.
—Trois heures à ranger l'inventaire sous l'œil vigilant de la patronne. Apparemment, elle n'aime pas que j'écrive "divers" sur toutes les étiquettes.
Rose éclata de rire.
— Tu veux dire qu'elle a découvert ton incroyable sens de l'organisation ?
Hugo haussa les épaules, d'un air innocent.
— Tout le monde n'est pas aussi perfectionniste que toi, Rosie. Moi, je mise sur mon charme naturel.
Rose leva les yeux au ciel, mais son sourire ne faiblit pas.
— Avec les plantes peut-être.
— Exactement. Elles m'adorent plaisanta t-il
Hugo poussa soudain un cri d'indignation reportant son attention sur l'écran. L'arbitre venait de siffler la fin du match.
— Sérieusement ? Ils ont encore perdu ? s'exclama-t-il en secouant la tête.
Il éteignit la télévision avec un soupir avant de se tourner vers sa sœur.
— Les Moldus savent y faire avec le foot. C'est stratégique. Tu devrais essayer de regarder un match un de ces jours.
— Pas sûre que ce soit mon truc, répliqua-t-elle d'un ton moqueur.
— En parlant de défis… tu te sens d'attaque pour une partie d'échec ? Défia Hugo les yeux pétillant de malice.
Rose arqua un sourcil sceptique.
— Très bien, mais je ne vais pas me laisser faire cette fois.
Hugo disposa l'échiquier entre eux, arrangeant les pièces. Il joua le premier coup, avançant son pion avec assurance. La partie dura plus longtemps que d'habitude, chaque coup soigneusement réfléchi. Mais malgré ses efforts, Rose finit par céder.
— Échec et mat, déclara Hugo d'un ton triomphant. C'est peut-être ta énième défaite. Mais qui comptes ?
— J'ai vingt-cinq défaite rappela -t–elle en riant, toi, visiblement .
Rose jeta un coup d'œil à l'horloge murale.
— Bon, je dois me préparer.
Hugo releva la tête, intrigué.
— Une soirée de prévue?
— Frank organise un dîner avec son équipe au Chaudron Baveur, confia-t-elle en se levant.
Hugo haussa un sourcil.
— Une immersion dans le monde des sportifs? Bonne chance, Rosie.
— Merci lança-elle amusée
Elle s'éclipsa dans sa chambre, changeant sa robe contre une tenue plus décontractée : un jean sombre et un chemisier bleu nuit. Quelques touches discrètes de maquillage suffirent à effacer les traces de fatigue. Satisfaite, elle attrapa son manteau et transplana dans un léger pop.
À peine entrée, une clameur joyeuse monta de la salle principale. Des sorciers et sorcières, chopes à la main, se pressaient autour des tables. Le pub, décoré pour l'occasion, offrait plusieurs buffets débordant de plats généreux le long des murs. Des assiettes volantes circulaient entre les convives, portant des tartes à la citrouille, des mini-pâtés en croûte et d'autres mets traditionnels. Dans un coin, un groupe de musiciens sorciers jouait une mélodie. Des banderoles rouges et or aux couleurs de l'équipe de Quidditch pendaient au plafond, arborant fièrement l'inscription : 'Félicitations !'"
Rose s'avança dans la salle, cherchant Frank. Elle reconnut la silhouette d'Augusta Londubat, sa grand-mère, avec son élégant chapeau vert orné d'une plume imposante. Les parents de Frank se tenait un peu plus loin. Ils s'empressèrent de la rejoindre.
— Rose ! s'exclama Hannah Nous sommes ravies de te voir.
— Bonsoir.
— Frank nous a dit que tu as commencé à St Mangouste s'exclama Neville.
— Oui, j'en suis ravie.
Neville hocha la tête avec bienveillance.
— Je n'en ai aucun doute.
— Le Chaudron Baveur a rarement été aussi animé, remarqua-t-elle pour détourner la conversation.
— C'est vrai, approuva Hannah d'un signe de la tête.
Rose s'apprêtait à répondre quand elle sentit une main sur son épaule. Elle tourna la tête et vit Frank, un sourire éclatant sur le visage, qui s'était approcher sans qu'elle le remarque.
— Salut Rose dit-il en l'embrassant sur la joue. Je suis ravi que tu aies pu venir.
— Je t'avais promis d'être là.
— Tu veux quelque chose à boire ? Proposa Frank.
— Non je te remercie.
— Viens, je veux te présenter à mon équipe, dit-il
Rose salua Neville et Hannah avant de le suivre, la main de Frank fermement refermée sur la sienne. Il l'emmena devant une table autour de laquelle plusieurs personnes étaient rassemblées. Les conversations s'interrompirent, et tous se tournèrent vers Frank lorsqu'ils arrivèrent à leur hauteur.
— Tout le monde, voici Rose. Je te présente l'équipe.
Helena Bones, ancienne Gryffondor, fut la première à lui tendre la main.
— Rose! Ça fait plaisir de te revoir.
Rose lui serra la main. Frank continua les présentations, mentionnant rapidement Erwan Caldwell, poursuiveur, et Yann Finnigan qui étaient tous les deux anciens élèves à Poudlard.
— Salut, Weasley, lança Erwan avec un clin d'œil. Alors, tu ne regrettes pas de ne pas avoir poursuivi une carrière dans le Quidditch ?
— Pas le moins du monde, répondit-t-elle
— Je confirme, elle était redoutable sur le terrain, intervint Yann Finnigan, un jeune homme aux cheveux bruns.
— Pas étonnant, avec Ginny Weasley comme tante. Elle était joueuse chez les Holy Harpies.
Rose se tourna vers la jeune femme brune, assise à côté de Yann, qui venait de prendre la parole.
— Voici Cassie Bole, notre batteuse présenta Frank.
Cassie inclina la tête.
— Enchantée, dit-elle.
Frank désigna ensuite un grand blond au fond de la table.
— Et voici Benjamin Edward, notre autre batteur.
— Ravi de te rencontrer, dit-il.
Enfin, Frank posa une main sur l'épaule d'un homme à la carrure massive, aux cheveux châtains ébouriffés.
— Et Lenny Farrow, notre gardien.
— Enchanté, dit Lenny en lui tendant une poignée de main ferme.
Rose les salua tous avec un sourire, remarquant un véritable esprit de camaraderie dans le groupe. Soudain, un éclat de lumière suivi d'un léger clic détourna l'attention de Rose. Elle se retourna et aperçut une jeune femme aux cheveux châtains relevés en chignon. Elle abaissa l'objectif avant d'adresser un sourire au groupe.
— Arianna? Je croyais que tu ne pouvais pas venir, lança Frank, légèrement surpris.
— Un changement de dernière minute, répondit-elle. Je ne voulais pas manquer cette soirée.
Rangeant son appareil photo dans un geste précis, elle posa un regard curieux sur Rose.
– Je te présente Arianna Johnson, journaliste pour la Gazette et attachée de presse pour l'équipe présenta Frank
— Rose Weasley fit-elle
— C'est exact, répondit Rose en serrant sa main.
Un silence bref s'installa, que Frank rompit aussitôt.
— C'est Arianna qui a écrit l'article dont je t'ai parler.
— Vous travaillez depuis longtemps pour la Gazette? Questionna Rose.
— Deux ans maintenant, répondit-elle.
— Vous devez avoir un emploi du temps chargé, dit Rose par politesse.
— Oui, les journées ne se ressemblent pas, répondit Arianna, son regard se posant brièvement sur Frank avant de revenir à Rose.
— Je vous laisse profiter de la soirée.
Alors qu'elle s'éloignait, Rose sentit un parfum sucré. De la mûre. Le même parfum qu'elle avait senti quelques jours plus tôt. Celui qui la tourmentait depuis. U Un nœud se forma dans sa gorge alors que le doute, qu'elle avait tenté d'enfouir, revenait plus, plus clair. Un frisson remonta le long de sa nuque alors qu'elle jetait un coup d'œil furtif en direction de Frank. Le bruit autour d'elle semblait s'estomper, remplacé par ce sentiment de malaise qu'elle ne pouvait plus ignorer.
Voici la fin du chapitre 6. J'espère qu'il vous aura plu ! N'hésitez pas à partager votre avis en commentaire. Le prochain chapitre devrait être publié la semaine prochaine.
Xx
D
