Chapitre 14 : Fracasser les codes et le monde avec.
RAR :
Guest : Merci beaucoup. Je vais essayer de rester régulière avec celle-là.
- Défi des Mille-Prompts : 26. Personnage – Lancel Lannister.
- Si tu l'oses : 14. Saupoudrer légèrement/dépoussiérer.
- Collectionner les POP : POP n13 : Oliver Queen : Sa richesse : Écrire sur une famille de Sang-Pur ou sur un personnage riche (Tyrion Lannister).
- Prompt of the day : Procrastination.
- Toujours plus : fusionner 4 défis.
Port-Réal.
Le lendemain.
C'était une belle journée qui s'annonçait, pensa Brienne, et un grand jour pour elle également, le jour où elle allait devoir faire ses preuves face à tout le monde, en face du roi lui-même (non pas que cela ait une grande signification pour elle), afin de montrer si oui ou non elle était digne d'essayer de devenir chevalier.
C'était Tyrion qui en avait eu l'idée.
Dans un discours, qui était saupoudré légèrement d'ironie (comme toujours avec le Lannister), le nain s'était exclamé, devant le roi et quelques chevaliers, et même quelques autres membres de la cour, que, s'ils pensaient réellement qu'une femme n'était pas capable de les battre, hé bien, soit !
Ils n'auraient qu'à l'affronter, et prouver à la face du monde qu'ils étaient plus forts qu'elle !
Le nain avait déclaré cela dans le but de piquer leur fierté, avec succès.
En réalité, il n'y avait pas eu tant de monde que cela à convaincre.
Renly Baratheon, ainsi que Ser Barristan Selmy, Ser Loras, mais aussi son frère Jaime, y étaient plutôt favorables, et même ceux qui étaient contre, se sentant offensés par les paroles de Tyrion, qui avait insinué qu'ils avaient peur de perdre, avaient fini par accepter de combattre l'aspirante chevalier au cours de l'après-midi.
Et le roi avait également donné son accord.
Ça allait être un combat épique, de toute évidence, un combat anonyme également, puisque les divers chevaliers dissimuleraient leurs visages et leurs armoiries (même si certains d'entre eux seraient assez facilement reconnaissables, tel la Montagne, au hasard...).
Et Brienne était plus qu'impatiente.
Elle connaissait sa propre valeur, et durant les sept dernières années, elle avait gagné beaucoup d'expérience, une expérience qu'elle n'avait pas encore quand elle était devenue chevalier dans la garde royale de Renly Baratheon (une époque où elle était déjà très puissante et douée à l'épée), et si elle ne pensait pas que ce combat était gagné d'avance, elle savait qu'elle avait toutes ses chances.
De plus, comme elle l'avait déjà dit à Tyrion, ce serait véritablement agréable de se battre uniquement pour prouver ses compétences, et pas seulement pour sa propre vie, et contre la mort, mais elle ne put s'empêcher de frissonner alors qu'elle repensait à l'horreur des combats contre les marcheurs blancs.
Mais les images s'effacèrent rapidement, alors qu'elle se remémorait le fait qu'ils avaient encore une chance de tout sauver.
Peut-être...
Alors qu'elle voyait Podrick en train d'essayer de l'aider à se préparer pour le tournoi/le combat/l'entraînement, elle se mit à sourire.
Le jeune garçon lui avait manqué, elle devait bien le reconnaître, et maintenant qu'elle le voyait ainsi, certes gauche, maladroit et beaucoup moins compétent qu'autrefois, mais sain et sauf, c'était l'amusement, plus que l'exaspération qui l'animait en ce moment-même.
L'écuyer n'avait pas semblé être plus déphasé que cela en apprenant qu'il allait d'un côté être l'échanson de Tyrion Lannister (parce qu'on ne change pas les bonnes vieilles habitudes), mais que d'un autre côté, il serait aussi l'écuyer de la future (avec un peu de chance) Ser Brienne de Torth.
Un peu comme la dernière fois en somme, il paraissait simplement décidé à aider et à faire de son mieux, qu'il serve un homme ou une femme chevalier ne changeait pas vraiment grand-chose pour lui (servir Gregor Clegane aurait été beaucoup plus désagréable, à n'en pas douter...)
Il avait fallu qu'il s'y reprenne à plusieurs fois pour l'aider à se préparer, mais une fois cela fait, les choses sérieuses avaient enfin pu commencer.
Il allait en avoir des choses à faire, avec elle, pas droit à la procrastination.
Quelques heures auparavant, durant l'entraînement des autres écuyers, Tyrion, Amerei Frey, ainsi que Ser Barristan avaient tout particulièrement prêté attention à la manière dont Lancel Lannister se débrouillait face aux autres.
Et étonnement, le jeune garçon s'en était plutôt bien sorti.
Avant de le voir à l'œuvre, Tyrion avait craint que son cousin ne se plante complètement, ce qui aurait pu être logique, étant donné le fait que, contrairement à tout les autres écuyers contre lesquels il se battait (Podrick étant arrivé à la capitale seulement quelques semaines plus tôt, il était un peu à part), il n'avait eu personne pour lui apprendre à bien développer ses capacités, Robert étant... Robert, c'est-à-dire un gros con incompétent.
Oh, bien évidemment, il avait très certainement eu un maître d'armes avant son arrivée à la capitale, mais après un an à ne rien faire, il avait eu le temps d'oublier pas mal de trucs...
En clair, c'était pas vraiment gagné.
Il se défendit bien pourtant, et, s'il était moins bon que les autres qui avaient eu de meilleurs professeurs que lui (enfin, qui avaient eu un professeur tout court...), il était malgré tout meilleur que ne l'était Podrick à ses débuts, avant que Brienne ne le reprenne en main et ne lui apprenne tout ce qu'il devait savoir.
Donc, en résumé, il n'était pas le meilleur de tous, mais c'était globalement moins pire que prévu (ce qui à nouveau, vu Robert, était un putain d'exploit...), et si Barristan (qui en avait vu d'autres) ne fut pas impressionné non plus, il parût être assez satisfait des prouesses de son futur écuyer.
« Lord Tyrion ?
- Oui Ser Barristan ?
- Je suis convaincu, votre cousin est plutôt prometteur, je pense pouvoir réussir à en faire quelque chose, c'est entendu, il sera mon écuyer. »
Ce n'était rien, en un sens, que cette nouvelle, comparé à tout ce qu'il devrait faire, ce que eux, les cinq personnes qui avaient été choisies, allaient devoir faire pour sauver le monde et l'empêcher de sombrer dans la Longue Nuit éternelle...
Ce n'était qu'un détail, certes, rien de plus, un tout petit changement probablement sans conséquences, mais pour Tyrion, c'était toujours mieux que rien.
Il allait améliorer la vie de Lancel, et avec un peu de chance, indirectement il empêcherait le jeune homme de subir son funeste et injuste destin.
Oui, ce n'était peut-être rien, mais depuis son retour dans le passé, c'était la première fois que Tyrion Lannister avait vraiment l'impression d'avoir de nouveau le contrôle sur quelque chose, même si c'était aussi futile que de faire en sorte que Lancel devienne l'écuyer de Ser Barristan Selmy...
Au moins, il avait le sentiment de ne plus être impuissant, il sentait qu'il pouvait changer les choses.
§§§§
« Hé bien cousin, félicitations pour ta performance ! En tout cas, tu es définitivement un meilleur guerrier que moi... Enfin, en même temps c'est pas trop difficile, marmonna-t-il avec un sourire amusé, se rappelant de la remarque de Bronn sur le fait qu'il était « un guerrier de merde », ce qui était plus que vrai. »
Lancel rit, et Tyrion remarqua soudainement une chose à laquelle il n'avait pas vraiment pris attention auparavant...
Depuis quelques temps, enfin, depuis que Tyrion était revenu à Port-Réal, quatre jours plus tôt, et surtout depuis qu'il lui avait fait dire par Jaime qu'il ne servirait plus Robert...
Hé bien, l'ancien moineau semblait sourire plus souvent...
Même si la veille il paraissait gêné durant le dîner, sur son visage ne transparaissaient ni la tristesse ni la peur, ce qui contrastait avec l'expression de son visage qu'il affichait quand il servait Robert, puis Cersei.
Enfin, surtout lorsque Robert était encore vivant, ses sourires étaient faux, et surtout...
Ses yeux étaient tellement tristes...
Mais là, dans son regard, quelque chose avait changé, et le nain ressentit un peu de fierté en se disant que c'était en partie grâce à lui.
Lancel paraissait heureux.
« Merci beaucoup cousin... j'ai fait de mon mieux pour m'entraîner le plus souvent possible, quand j'avais le temps...
Tyrion haussa un sourcil surpris.
- Attends une seconde... Petit cachottier ! Ainsi donc, c'est pour ça que je ne te trouvais pas hier après-midi, tu t'exerçais ! Ah mais je comprends mieux alors... Tu y allais pendant ton temps libre ! En tout cas, je constate que cet entraînement a porté ses fruits, bravo, tu es en bonne voie pour devenir chevalier de ce que je vois !
- Merci Tyrion, je suis vraiment heureux que Ser Barristan accepte de me prendre en charge...
- Tu le mérites, crois-moi... »
En voyant Lancel brusquement rougir, Tyrion se dit immédiatement qu'Amerei Frey devait être dans le coin, puisqu'elle était la seule à provoquer cette réaction chez son cousin, pour ce qu'il en savait, et il trouvait cela à la fois drôle et adorable.
Il ne se trompait pas, et il faillit éclater de rire en voyant la jeune Frey arriver, en se disant qu'il commençait vraiment à bien connaître Lancel ainsi que ses réactions.
« Lord Tyrion ? Puis-je vous emprunter votre cousin quelques minutes je vous pris ? Demanda-t-elle, réutilisant la formule qu'il avait lui-même employée la veille. Je vous le rendrai dans quelques minutes, et ne vous en faites pas, je ne vais pas vous l'abîmer...
- Oh mais je n'en doute pas... Je vais y aller, le combat des chevaliers va bientôt débuter, j'ai hâte de voir Brienne éclater tout ces connards... Faites attention à ne pas le traumatiser une nouvelle fois quant même...
- J'essaierai. »
Tyrion faillit éclater de rire en voyant les deux jeunes gens se faire face, tandis que Lancel avait l'air d'être un canari sur le point d'être bouffé par le chat que se trouvait être Amerei Frey.
Ah, il n'aurait jamais cru pouvoir de nouveau s'amuser à Port-Réal !
« Lady Amerei, fit Lancel, la saluant poliment.
- Bravo à vous pour votre réussite d'aujourd'hui, ser Lancel.
L'écuyer laissa échapper un léger rire.
- Je ne suis pas encore chevalier ma dame...
- Oh, mais je suis certaine que cela ne saurait tarder.
- Les Sept vous entendent dans ce cas-là. Que faites-vous ici Amerei ?
Elle soupira.
- Je suis venue pour m'excuser si jamais je vous ai mis mal à l'aise hier soir... Ce n'était pas mon intention. Et puisque mon approche non subtile n'a pas eu l'air de marcher, je souhaiterais que nous oublions tout ça, pour repartir sur de bonnes bases. »
Oh...
Çaaussi c'était nouveau pour Lancel, les gens qui s'excusaient auprès de lui, surtout pour un motif aussi futile que cela.
Après tout, ce n'était pas de sa faute à elle s'il était aussi prude qu'un septon...
Elle n'avait rien à voir avec la grossièreté de Robert, qui jurait à tour de bras sans avoir jamais peur de choquer qui que ce soit, ou du moins, s'en foutant royalement...
Ce n'était pas que sa proposition ne l'intéressait pas, c'était surtout que, hé bien... il ne se sentait pas prêt.
Et le fait qu'elle semble vraiment s'en soucier était plutôt réconfortant.
C'était rare qu'on lui demande son avis ou qu'on tienne compte de ce qu'il voulait...
« Oh, je... je vous remercie pour votre sollicitude lady Amerei et je... j'accepte vos excuses. Et je serais ravi d'être votre ami. Si c'est bien ce que vous voulez également.
- Cela me convient parfaitement... »
§§§§
Tout comme lors de son combat contre Ser Loras, durant l'entraînement/le tournoi/le combat, Brienne de Torth montra sa force et sa valeur ainsi que ses compétences face aux divers chevaliers contre lesquels elle se battit.
Traduction : elle avait éclaté tout le monde – et avait réussi à faire jeu égal avec des mastodontes tels que la Montagne ou Barristan Selmy, qui étaient probablement les deux seuls chevaliers à être quasiment imbattables – et ce, à la surprise de tout le monde (Tyrion excepté).
Oui, en effet, à la grande stupeur de l'assemblée, elle avait défait la majorité de ses assaillants, presque sans montrer la moindre fatigue.
J'ai déjà combattu les marcheurs blancs pendant près de quatorze heures non-stop une fois, à côté, ça, c'est de la gnognotte, avait-elle envie de leur répondre.
Contre Jaime, elle ne s'était pas le moins du monde retenue par ailleurs, ressentant un certain plaisir à le combattre ainsi, dans un contexte bien moins empli d'hostilité, comme lorsqu'il était encore son prisonnier.
Et au cours du combat contre le Régicide, la jeune femme ne s'était jamais sentie aussi vivante qu'à cet instant.
Oh, et elle avait gagné contre lui, cela va de soi...
Elle était Brienne de Torth après tout, et même si cela ne voulait rien dire pour les gens de la cour, cela signifiait beaucoup pour elle.
Et elle savait parfaitement qui elle était désormais.
Elle n'était pas Brienne la Belle, elle n'était pas un monstre de foire.
Elle était Ser Brienne, elle était un chevalier, une guerrière, une combattante, et si elle devait botter le cul de tout les connards arrogants et stupides qui se trouvaient sur son chemin pour le prouver, hé bien, elle le ferait...
Jaime, quant à lui était plutôt... intrigué par cette aspirante chevalier.
Non pas parce qu'elle était une femme (après tout, les femmes de l'île aux Ours ou celles de Dorne, ou même cette Yara Greyjoy des Îles de Fer étaient toutes de bons contre-exemples à ce sujet...), mais surtout parce qu'elle était une femme, à Port-Réal, qui tentait de devenir chevalier.
Cette femme n'avait définitivement pas choisi la facilité...
En un sens ça lui plaisait, parce qu'elle ne comptait pas sur le fait d'être noble pour réussir à arriver à ses fins (pas comme d'autres...), mais uniquement sur ses propres compétences (bon le fait qu'elle soit une femme devait jouer, et justement, elle ne se contentait pas d'être une dame, alors que cela aurait été la voie de la facilité. La voie « normale » en quelque sorte), et il avait le sentiment, étonnement, que même si elle avait été un homme, elle en aurait fait de même.
Il y avait en cette femme une certaine noblesse d'âme, un certain honneur qui l'irritait au moins autant qu'il l'attirait vers elle, sans qu'il arrive réellement à comprendre pourquoi.
Peut-être parce qu'elle, contrairement à Ned Stark (qui était, avec Barristan Selmy, l'une des rares personnes réellement honorables qu'il pensait connaître), ne semblait pas être rivée à son honneur comme si presque rien d'autre au monde ne comptait...
Bref, elle était moins chiante...
(Certes, Jaime ne détestait pas Eddard Stark non plus, mais dire qu'il l'appréciait réellement n'aurait pas été très exacte.)
Et puis, il fallait dire que les chevaliers capables de le battre à plate couture lors d'un duel à l'épée se comptaient sur les doigts d'une main...
En somme, même s'il avait un peu de mal à l'admettre (il avait quant même sa fierté, que diable !), il était... impressionné, vraiment.
Ce qui n'arrivait pas souvent.
Voire... jamais en fait.
Et le fait est, il n'allait pas le nier, qu'en ce jour, Brienne de Torth, en plus de le battre, avait fait une autre chose extraordinaire.
Elle avait gagné son respect.
Et, alors qu'elle l'avait aidé à se relever, après avoir enlevé son heaume, le sourire aux lèvres, il avait remarqué une chose à laquelle il n'avait pas vraiment fait attention avant.
Elle avait de magnifiques yeux bleus...
§§§§
Tyrion avait jubilé durant une bonne partie du combat, déjà parce que la présence de Brienne faisait chier un bon paquet de types que le nain ne pouvait pas encadrer, ensuite parce que la future femme chevalier avait éclaté les types en question.
Et enfin parce qu'il avait remporté un sacré pactole en pariant sur la victoire de Brienne (bon, il n'y avait que pour ses combats contre Gregor Clegane et Ser Barristan qu'il avait préféré s'abstenir, par prudence), sans compter que voir la mine déconfite de Littlefinger après la défaite de Ser Loras (et donc la sienne, indirectement) avait été un vrai régal...
Oui, vraiment, il s'était bien marré, et ça avait été une très bonne journée, et les commentaires d'Amerei pendant les combats avaient également vraiment été très distrayants.
Ah, il l'aimait vraiment bien cette gamine, et son petit béguin pour Lancel était plutôt mignon.
Et puis avec elle, on ne s'ennuyait pas.
Durant les nombreux combats de Brienne, il avait surpris le regard brûlant de colère et de haine que Cersei posait sur cette dernière et, si il en avait eu quelque chose à foutre d'elle (traduction : si sa sœur elle-même en avait jamais eu quelque chose à foutre de lui, ou même de l'humanité en général, parce que, même si ce n'était pas la Cersei qui les avait tous condamnés, elle était quant même la même personne...), il aurait peut-être remarqué que ce n'était pas du mépris, mais de la jalousie qu'il y avait dans son regard.
Elle, elle avait eu le droit d'apprendre à se battre.
Contrairement à elle...
Mais Tyrion, se souvenant de tout ce qu'elle avait déjà pu faire contre lui, tout ce qu'elle ferait plustardsi on lui en donnait l'opportunité, n'y prêta pas attention.
En vérité, il s'autorisa même à sourire.
Et à vrai dire, lorsque Robert dut, bon gré mal gré, reconnaître les compétences de Brienne de Torth, et accepter qu'elle tente de devenir un véritable chevalier, le sourire du nain se transforma en rictus presque moqueur.
Ils venaient de mettre un coup de pied dans la fourmilière...
Et ce, pour sa plus grande satisfaction.
Oh, bien sûr, cela ne changerait très probablement rien, et il faudrait sûrement du temps (bordel, par les Sept, beaucoup de temps plutôt) avant qu'à Port-Réal, et ailleurs, les choses finissent enfin par évoluer dans le bon sens.
Ouais, le fait que Brienne ait le droit de seulement essayer de devenir chevalier (et elle allait réussir, il le savait) ne voulait absolument rien dire, tout comme le fait de devenir membre de la garde de Renly Baratheon n'avait pas changé grand-chose à la condition de la femme, ou aux carcans divers et variés qui dirigeaient leurs vies...
Tout comme l'action de Daenerys à Essos n'aurait sûrement (dans le pire des scénarios), à terme, peut-être pas servit à grand-chose et l'esclavage aurait fini par revenir, comme avant.
Enfin, il imaginait qu'il ne le saurait jamais...
Et oui, ça, c'était un autre problème qu'il allait devoir essayer de régler, à terme.
(Ça et le problème Littlefinger.
Ben oui, comment faire pour l'évincer, alors que celui-ci était le Grand Argentier du royaume - et que les Sept Couronnes lui devaient beaucoup, beaucoup d'argent – sans que cela paraisse suspect ?)
Mais bon, une seule chose à la fois, et l'exploit de Brienne était déjà magnifique.
Et le fait est que le sourire heureux de la jeune femme en valait complètement la peine...
A suivre...
ND'A : Bon ben c'est pas tout ça, mais j'ai bien envie de revenir à Winterfell moi...
