Salut vous tous ! Deux semaines que vous n'avez pas eu de nouvelles de cette fic et en plus je n'ai rien posté à la place… I'm unforgivable :/ Pour le coup vous avez bien le doit de me haïr, je vous le donne même. Ce n'est pas pour me faire pardonner ou pour vous fournir un prétexte mais je tiens tout de même à m'expliquer (à croire que l'on vit dans un Monde où il faut sans cesse se justifier) : je n'avais pas fini d'écrire le chapitre. Comme je vous l'ai déjà dit c'est une fic que j'ai écrite en 2010 et elle était censée être terminée, sauf qu'en la relisant je me suis rendue compte que certaines choses méritaient d'être approfondies, et donc que d'autres devaient être expliquées. En conséquence je reprends tous les chapitres de A à Z depuis le chapitre 16 donc voilà, ça risque de mettre du temps. Et ensuite, je ne vous ai rien posté à la place parce que j'avais pensé à la suite de ma petite Trilogie sur ''Their Daily''mais même soucis, je n'ai pas fini d'écrire le dernier. Et comme je me garde une certaine longueur d'avance en guise de 'roues de secours', tout s'explique.
Bref, après tout ça je vous poste enfin la suite. Petit rappel tout de même : Cuddy avait passé sa 1e échographie et s'était souvenue de cette fameuse nuit où le gâteau avait été mis dans le four (désolé de cette métaphore, c'est juste que je l'adore x) ), ce qui correspondait en fait à leur 2e nuit ensemble au niveau de l'histoire. J'ai vu à ce propos que mon NC vous avez plutôt plu, tant mieux :) Dans ce chapitre, il n'y en a pas. De plus je vais pendant quelques temps faire des chapitres de façon fragmentée au niveau de sa période de grossesse parce que je ne vois pas trop l'intérêt de vous décrire les choses jour après jour, c'est plus intéressant de le faire au fil du temps si on veut bien voir la progression des choses, son évolution.
Voilà ce que j'avais à vous dire, je pense n'avoir rien oublier (sait-on jamais avec ce cher 'Mister Ramolli' ! ) Ma période d'exam est passée, tant mieux il était temps ! Cela dit je pense que vous devrez patienter encore, désolé d'avance mais même moi ça ne me plaît pas super.
À Monica : ravie que tu aies compris à présent, je ne dois donc pas être si nulle en terme d'explication ^^ LOL Je suis très contente en tout cas si mon histoire te passionne toujours autant :D Et pas de soucis pour ton absence, je comprends très bien. À plus tard dans ce cas ;)
Un grand merci à tous ceux qui me suivent (avec ou sans reviews) Ceux qui me soutiennent ont toutefois droit à mes faveurs, mais pas toutes. Suffit de savoir taper là où il faut. Et oui, je fais appel à votre charisme, ou votre don de manipuler les autres si vous préférez XD
Good Read ;)
Chap' 17
Quinze jours plus tard ; nous étions le 12 Octobre 2007.
En ce vendredi soir, Cuddy s'était permise de débaucher plus tôt. Elle flânait désormais dans les rues de Princeton, ne suivant que ses envies. Une boutique infantile dans l'angle d'une rue ? Elle s'y précipitait comme si sa vie en dépendait. Sa grossesse avait encore de beaux jours devant elle mais la Doyenne semblait déjà obnubilée par tous les accessoires qui agrémenteraient plus tard cette pièce doucement baignée de lumière. Ses yeux embués de joie se promenèrent sur les berceaux, tous plus attirants les uns que les autres. Depuis quand un lit pour bébé pouvait-il être attirant ? Ma parole, elle perdait vraiment la tête.
Vers dix-neuf heures, elle rentra chez elle. Sur sa route, elle s'était arrêtée vite fait au supermarché pour y trouver de quoi faire un crumble de framboises. De nature, elle n'était pas spécialement portée sur les desserts mais avec ses envies récursives de fruits rouges elle voulait les manger à toutes les sauces. La jeune femme s'attela à la tâche. Elle passa bien dix minutes à malaxer ce mélange de farine, de sucre et de beurre jusqu'à obtenir une pâte sableuse qu'elle éparpilla ensuite sur ces fameuses billes de délice. Elle mit ensuite le tout à cuire et alla se faire couler un bain. Sa grossesse faisait augmenter son stress, pas la peine d'épiloguer sur le pourquoi du comment.
Assise dans le fond de sa baignoire, elle faisait de temps à autre glisser sa main sur son très léger ventre, ne pouvant arrêter de se dire que malgré tout elle allait avoir des regrets. En fait, elle en avait déjà. Ce que certaines femmes pouvaient concevoir sans trop de mal n'était pas aussi facile pour elle. Sans même s'en rendre compte, elle poussa un grognement de contrariété. C'était souvent qu'elle l'était, contrariée. Tout ça à cause de cet homme. Il lui offrait ce dont elle rêvait secrètement au plus profond d'elle-même tout en lui retirant le bonheur de pouvoir vivre en famille. Elle voulait un enfant depuis quelques années, mais elle voulait aussi être entourée d'une famille. Elle pensait que, comme tous les fabuleux couples qu'elle pouvait rencontrer dans son travail, elle pourrait fonder la sienne. Visiblement elle n'avait le droit qu'à la moitié, le choix de celle-ci lui étant exclusivement réservé. Elle se replongea alors immédiatement dans ses souvenirs, se rappelant du jour où il était rentré brusquement dans son bureau et qu'elle avait compris qu'il savait. Il lui avait ouvertement demandé de faire un choix entre son désir de maternité et sa présence auprès d'elle. Elle ne regrettait pas le ''choix'' qu'elle avait fait mais elle se dit qu'elle avait sans doute perdu l'espoir de passer sa vie auprès de lui. Donc oui, elle avait bel et bien des regrets. Pourquoi les choses ne peuvent-elles pas être plus simples ?
Vingt minutes plus tard, elle sortit de ces eaux refroidies et alla passer un sweat et un pantalon de jogging. À peine eut-elle fini de relever ses cheveux en un chignon décoiffé qu'elle entendit la minuterie du four biper. Rien que l'odeur du fruit la faisait saliver. C'était bien sûr au sens métaphorique du terme, le littéral faisant référence à son estomac qui se mit à grogner. Le plat sorti, elle le déposa sur le plan de travail pour le laisser refroidir. Elle partit ensuite retrouver son salon, se mettant à farfouiller dans sa sacoche avant d'en sortir un dossier administratif. Installée en tailleur sur son canapé, elle s'amusait quelquefois à faire bouger son stylo entre ses doigts, comme si le simple fait de l'agiter l'aidait à réfléchir. Après avoir passé une heure à annoter diverses choses sur ce document, elle céda à l'envie titillante d'aller goûter à ce délice culinaire. Avant cela, elle sortit de son frigo le reste de salade crudités qui lui restait de la veille et passa à table. Son professionnalisme ne pouvant visiblement pas se faire oublier très longtemps, elle reprit son dossier sous les yeux et continua de le remplir. Pourtant, elle savait parfaitement qu'à un moment elle ne pourrait plus agir comme tel.
Devant son écran télé qui diffusait un classique des studios d'Hollywood, elle se délecta une fois encore de ce goût déferlant dans sa bouche, aussi délicat et sucré… « Pourquoi est-ce que j'y pense ? C'est idiot, il n'y a aucune raison à ça ! … Mais oui, c'est vrai que ses baisers sont à la fois délicats et sucrés. » Elle n'écoutait que d'une oreille, plus plongée dans sa réflexion cérébrale qu'autre chose. Un bruit provenant de l'entrée vint toutefois perturber le cours de ses pensées. Son chef d'oncologie avait l'habitude de passer chez elle parfois pour s'assurer que tout allait bien et aussi pour lui tenir un peu compagnie. Il savait que dans son état ça ne devait pas toujours être évident, et plus ça allait plus il se montrait prévenant. Néanmoins, lorsqu'elle ouvrit la porte pour s'assurer de l'identité de son visiteur, elle fut plutôt surprise de voir celui qui avait frappé à sa porte à une heure pareille.
À voir ta tête, je ne me suis pas trompé en m'étant dit que j'allais te surprendre en venant ici ce soir.
Qu'est-ce que tu veux ?
En dépit de son expression déconcertée, il avait bien remarqué son air fatigué et eut presque sous ses yeux la représentation de ce que serait son visage dans quelques semaines, lorsqu'il serait criblé de traits tirés et maculé de cernes. Cependant, cela ne l'empêcha pas de formuler sa requête.
Tu m'autorises à rentrer ou tu préfères me laisser sur le pas de la porte ?
Son sens de l'humour n'opéra pas avec charme mais elle le laissa tout de même s'aventurer à l'intérieur. Cela dit, elle n'était pas pour autant d'une amabilité sans faille.
Tu ne veux pas non plus t'installer dans le canapé avec une bière à la main et des biscuits à proximité ?
Wilson m'a dit que ce serait bien que je te parle. Confia-t-il un moment après en se retournant vers elle.
Et depuis quand tu fais ce qu'on te dit ?
Disons que ce n'est pas vraiment lui que j'écoute en ce moment.
Les yeux dans les siens, elle ne sut dire s'il disait vrai ou non. Elle était devenue vite impressionnable et l'idée qu'il pourrait en tirer parti lui traversa froidement l'esprit. Elle n'était plus sûre de rien avec lui et avait comme l'impression de ne plus rien savoir. L'indécision grandissait en elle comme l'objectivité semblait s'évaporer à mesure que le temps passait. Elle alla s'asseoir et ne savait visiblement pas vraiment comment elle devait réagir.
Je ne vois pas trop ce que tu pourrais me dire.
Dans ce cas, tu vas être encore plus étonnée.
Elle plissa les yeux et, bien qu'elle ne savait pas trop à quoi s'attendre, sa détermination semblait telle qu'elle était bien décidée à savoir de quoi il retournait. Il la rejoignit, s'installant sur le fauteuil d'à côté. Les mains croisées devant lui, il paraissait un peu anxieux et ce détail ne lui échappa pas.
Écoute, je pense que ça serait bien qu'on ait une discussion. Confessa-t-il un peu mal à l'aise de devoir reconnaître devant elle que cette situation dans laquelle ils étaient ne lui semblait pas très claire.
Et par quoi veux-tu commencer ? Le fait que je ne t'ai rien dit, ou la paternité que tu refuses d'accepter ?
Il la regarda presque incrédule quant aux paroles qu'elle venait de prononcer.
Attends, j'ai quand même le droit de douter vu comment les choses se sont passées !
Peut-être, mais tu ne devrais pas parce que je ne vois pas où tu vois la logique que j'aurais à faire ça. Déclara la jeune femme, le ton sincère et calme, les yeux plantés dans les siens. Une certaine amertume résidait dans sa voix aussi. Je peux à peine croire que tu puisses penser ça de moi.
Emplie de tristesse et de déception comme venait de l'être sa voix, il s'en voulut plus qu'il ne l'aurait pensé. Il savait qu'il l'avait blessé lors de cette scène dans son bureau il y a bientôt deux mois, mais il n'avait pas conscience de l'ampleur de cette douleur morale qui, pour le coup, le marqua fatalement.
Après tout ce temps qu'on se connaît, je n'aurai jamais pensé que tu puisses me croire capable de te faire passer pour le père de cet enfant.
Sa gorge se noua sous ses paroles, alors que ses yeux ne s'en tirèrent pas davantage mieux. Il ne savait pas quoi dire, pas quoi faire. L'état dans lequel elle sombra de plus en plus lui fit peur. Il avait mal. Mal pour elle alors qu'il se rendait compte qu'il avait mal agit envers elle, s'étant montré trop excessif. Mal parce qu'il aurait voulu que les choses se passent différemment, qu'elles soient plus simples pour tous les deux. Il refusait de la voir souffrir. Il s'était fait une promesse après son agression : celle de la protéger. Aux vues des circonstances, il pensait qu'en restant avec elle il lui ferait plus de mal qu'autre chose. Mais peut-être n'était-ce que pure spéculation. Dans le fond, il n'était peut-être pas si mauvais que ça pour ce rôle. Tout ce qui lui faisait dire le contraire n'était après tout qu'une idée trouvant ses racines dans sa propre enfance. Mis à part ça, il n'en savait rien.
Je ne cherche pas à te faire du mal, c'est juste que…Il soupira un instant, ne sachant pas vraiment comment dire les choses. Je ne suis pas à l'aise avec ça.
Son regard était maintenant porté sur le sol, évitant un maximum de croiser le sien. À chaque fois que ça arrivait, il voyait dans ses yeux se refléter toute la souffrance qu'il lui avait causé. Il le regrettait tellement ; il ne parvenait pas à dépasser ça. Il voulait la protéger et avait l'impression qu'au bout du compte il faisait tout le contraire. Ce n'était même pas qu'une impression puisqu'elle souffrait réellement.
Qu'est-ce qui te gêne comme ça ? Demanda Cuddy les sourcils froncés, ne voyant pas très bien où il voulait en venir.
C'est… C'est pas une question d'être gêné, Lisa. Lui confirma-t-il, plantant cette fois-ci ses yeux bleu nuit dans les siens. Tu comprendrais pas, même si je te l'expliquais.
Sa dernière phrase ne fut que murmure, pourtant elle perçut très bien ce qu'il avait dit. Contrariée - une fois encore ! - la jeune femme perdit son calme.
Comment ça je ne comprendrais pas ? Tu me crois idiote peut-être ? Non mais parce que dis-le tout de suite que je suis une idiote reconnue !
Rouge colère, elle s'était levée du canapé et le regardait d'un regard noir, parvenant à le faire frissonner. House la regarda, ne sachant au début pas comment réagir devant la violence de sa réaction. Il finit par se mettre sur ses pieds et s'approcha d'elle, se voulant rassurant en tentant un contact.
Arrête, je n'ai jamais dit ça et ce n'est pas ce que je pense.
Non, ne me touche pas !
Elle rejeta ses mains lorsqu'il voulut la prendre par les épaules pour capter au mieux son attention. Il l'observa un instant. Son regard hébergeait la terreur et son attitude n'avait rien de rationnel. Il comprit alors qu'elle était plongée dans ses souvenirs, pensant revivre la même chose qu'il y a quelques mois. Sans doute que Benoît avait dû l'approcher de cette façon avant de se montrer brutal. C'est du moins la conclusion qu'il en tira.
Elle ne voulait pas pleurer devant lui ; elle voulait être seule pour ça. Trop chamboulée, c'est pourtant ce qui arriva et elle ne put rien faire pour s'en empêcher. Tremblante, les larmes roulèrent sur ses joues. Grosses et abondantes, elle tombèrent au sol en un sordide silence. Devant ce spectacle qui le désarma complètement, le médecin s'approcha d'elle une seconde fois. Il n'eut rien le temps de faire que la jeune femme se jeta littéralement dans ses bras, ne retenant plus ses pleurs une fois contre son torse. Il passa une main autour de ses reins, la calant davantage contre lui tandis que de l'autre il lui caressa doucement l'échine.
Shhhhh… Calme-toi, tout va bien.
Ses bras jusque là croisés dans son dos, elle remonta ses mains et les plaça sur ses omoplates, les serrant comme si sa vie ne dépendait que de lui. Elle se laissa bercer par son étreinte, appréciant son touché malgré l'épaisseur de son sweat. Progressivement, il sentit sa respiration devenir plus lente, se faire moins anarchique. Ils se défirent lentement l'un de l'autre, redoutant peut-être un peu le moment où leurs regards allaient se croiser. Quand ce fut le cas, elle baissa la tête aussitôt.
Je suis désolée…
C'est pas ta faute. Murmura-t-il en lui relevant le menton.
Certes ce n'était pas de sa faute mais elle se sentait fautive car elle savait très bien qu'il ne lèverait jamais la main sur elle. En sachant cela, de quel droit se permettait-elle de se mettre dans un état pareil ? Son pouce essuya sa joue rougie par l'agacement et elle ne put faire autrement que de fermer les yeux sous son tracé. Leurs visages étaient plutôt proches, il pouvait sentir son souffle s'abattre contre la peau de sa gorge.
Si tu t'attends à ce qu'il y ait plus entre nous, je t'arrête tout de suite. Déclara-t-elle catégoriquement, comme si elle avait pressenti un quelconque rapprochement entre eux. Je ne suis pas prête pour ça, plus maintenant. Tu m'as fait trop de mal.
L'écoutant sans ciller, il plaça ensuite ses mains au niveau de ses biceps et recula légèrement la tête.
Ce n'était pas ce que je voulais.
Il avait bien remarqué que sa voix recommençait à se noyer dans le fond de sa gorge. Peut-être était-ce cela qui lui fit le plus mal. Ça l'atteignait beaucoup et il n'aimait pas du tout ça. Il aurait voulu lui faire tout oublier. La serrer dans ses bras en lui disant que rien de tout ça n'était arrivé. La regarder droit dans les yeux et lui promettre qu'il serait toujours là pour elle ainsi que pour l'enfant qu'elle portait. Plonger au plus profond de ses yeux et n'y trouver aucune trace de doute et de souffrance. Mais rien de tout ça n'arriva et il se dit que finalement ça n'arriverait jamais. Comment pouvait-il gommer cet aspect-là de sa vie ? Comment pouvait-il lui faire une promesse qu'il n'était pas sûr de pouvoir tenir parce que la vie était si imprévisible ? Comment pouvait-il voir dans ses yeux une telle confiance et une telle pureté alors qu'il en était lui-même dépourvu ?
Sur ce questionnement intense qui se fit dans le plus grand des silences, il sentit la douleur se pointer au niveau frontal. L'ironie du sort voulait vraisemblablement lui montrer que même dans un silence de plomb il n'était pas à l'abri d'un quelconque symptôme migraineux. Il ferma un court instant les yeux et lorsqu'il les rouvrit l'endocrinologue semblait être ailleurs. La maintenant toujours entre ses mains, House l'embrassa sur le front.
Repose-toi.
Il récupéra sa canne restée en appui contre l'accoudoir du fauteuil puis quitta la maison, sans un mot de plus. L'expression de son attachement pour elle avait été spontané, elle l'avait bien senti. Elle aurait dû se sentir réconfortée, soulagée peut-être. Au lieu de ça elle le haïssait pour lui avoir témoigné de l'affection. Secouant la tête, elle tenta vainement de se persuader qu'elle devenait folle. La nuit allait être longue, une fois encore.
TBC…
Vos impressions ?
J'avoue que j'ouvre une porte sur la suite. Peut-être.
Merci à vous. Je vous dis à je ne sais pas quand, et j'en profite pour vous dire que désormais cette fic ne sera plus updatée tous les Vendredis comme c'était le cas avant. Je pensais au début que ça ne serait que passager mais il s'avère que non donc plutôt que de vous faire miroiter certaines choses, vous faire saliver sur la suite qui en fait ne vient pas, je préfère mettre directement les choses au clair. Je suis sadique, oui, mais pas sous cet aspect-là.
Sur ce, see you soon !
